Voyage en Italie 3
Jour 2
Aujourdâhui je suis de la sortie dans un chĂąteau transformĂ© en musĂ©e Ă Barolo.
La nuit sâest bien passĂ©e aprĂšs ma douche tardive.
En jeans, chemisier et baskets aux pieds je me dirige vers le rĂ©fectoire sous lâĆil coquin du jeune livreur de pain qui est Ă©galement en charge de diverses taches au sein du domaine.
Par la fenĂȘtre je vois deux Ă©lĂšves en grande conversation avec le livreur.
Ils semblent regarder quelque chose dans sa main en jetant des regards en direction du réfectoire.
Je me reprends Ă penser au bruit dans les escaliers la veille.Â
« et si câĂ©tait lui ? » « quâa t il dans la main ? » « comment communiquent t ils entre eux ? »
Je ne bouge pas en les voyant entrer et me saluer dâun air radieux.
Je quitte la salle afin de me préparer et de téléphoner au conducteur du car pour venir nous chercher.
La camionnette est maintenant garĂ©e Ă la porte des bureaux dâoĂč je dois tĂ©lĂ©phoner.
En entrant mon regard se pose directement sur un petit appareil photo avec écran posé sur une table dans le couloir.
En me dirigeant vers le secrĂ©tariat jâai peur de vouloir comprendre la discussion entre les Ă©lĂšves et le livreur. Je dois vite vĂ©rifier.
En revoyant lâintĂ©rieur des toilettes mes craintes sont fondĂ©es en constatant lâouverture sous les portes des cabines.
As t il pris des photos ? Un film ?
Les a t il montrées aux deux élÚves ?
Je suis dévastée en entrant dans ma chambre.
Lâheure du dĂ©part approchant je dois reprendre mes esprits.
Je rejoins Laurent et nous nous dirigeons vers le groupe dĂ©jĂ prĂȘt Ă partir.
Je me sens vulnĂ©rable, consciente de mon erreur hier matin, pour preuve en montant dans le car quand une main ferme me caresse les fesses Ă lâabri des regards et je sens un souffle dans ma nuque.
En me retournant je distingue bien le petit sourire et le clin dâĆil dâun des deux Ă©lĂšves (Louis).
Je ne sais pas comment me comporter Ă ce moment lĂ .
Ne rien dire câest accepter cette contrainte!
Me fùcher je risque un scandale !
Je prends le parti de mâasseoir un peu Ă lâĂ©cart et de rĂ©flĂ©chir calmement Ă la situation.
La visite se passe bien,bien que je sois souvent collée à Louis et Paul le deuxiÚme larron du matin.
De retour dans le car Louis sâassied avec autoritĂ© Ă mon cotĂ©.
Laurent se trouvant sur le siĂšge guide je fais bonne figure Ă faire semblant dâaccepter cette situation.
Sa jambe se colle immédiatement à la mienne.
En posant sa main sur ma cuisse,il me chuchote Ă lâoreille :
« tu es une belle salope à poil dans les chiottes des mecs »
Je veux enlever sa main mais au contraire elle se fait plus insistante.
Toujours Ă voix basse :Â
« le livreur t-a filmée avec son appareil photo et tu auras la surprise en rentrant de te voir entrain de te branler ».
Je suis sans paroles tandis que sa main atteint presque mon entre jambes.
Je la repousse avec vigueur.
« Je te laisse cogiter mais on va se revoir»
En arrivant prĂ©textant un mal de tĂȘte je retourne dans ma chambre avant le repas.
Une feuille de papier est glissĂ©e sous ma porte et sur laquelle sont imprimĂ©es deux photos de moi dans la cabine des WC avec une lĂ©gende en italien : « 15h dans la grange sans soutien gorge ». (originaire dâun dĂ©partement limitrophe je maĂźtrise assez bien la langue une raison de ma prĂ©sence)
Aujourdâhui je suis de la sortie dans un chĂąteau transformĂ© en musĂ©e Ă Barolo.
La nuit sâest bien passĂ©e aprĂšs ma douche tardive.
En jeans, chemisier et baskets aux pieds je me dirige vers le rĂ©fectoire sous lâĆil coquin du jeune livreur de pain qui est Ă©galement en charge de diverses taches au sein du domaine.
Par la fenĂȘtre je vois deux Ă©lĂšves en grande conversation avec le livreur.
Ils semblent regarder quelque chose dans sa main en jetant des regards en direction du réfectoire.
Je me reprends Ă penser au bruit dans les escaliers la veille.Â
« et si câĂ©tait lui ? » « quâa t il dans la main ? » « comment communiquent t ils entre eux ? »
Je ne bouge pas en les voyant entrer et me saluer dâun air radieux.
Je quitte la salle afin de me préparer et de téléphoner au conducteur du car pour venir nous chercher.
La camionnette est maintenant garĂ©e Ă la porte des bureaux dâoĂč je dois tĂ©lĂ©phoner.
En entrant mon regard se pose directement sur un petit appareil photo avec écran posé sur une table dans le couloir.
En me dirigeant vers le secrĂ©tariat jâai peur de vouloir comprendre la discussion entre les Ă©lĂšves et le livreur. Je dois vite vĂ©rifier.
En revoyant lâintĂ©rieur des toilettes mes craintes sont fondĂ©es en constatant lâouverture sous les portes des cabines.
As t il pris des photos ? Un film ?
Les a t il montrées aux deux élÚves ?
Je suis dévastée en entrant dans ma chambre.
Lâheure du dĂ©part approchant je dois reprendre mes esprits.
Je rejoins Laurent et nous nous dirigeons vers le groupe dĂ©jĂ prĂȘt Ă partir.
Je me sens vulnĂ©rable, consciente de mon erreur hier matin, pour preuve en montant dans le car quand une main ferme me caresse les fesses Ă lâabri des regards et je sens un souffle dans ma nuque.
En me retournant je distingue bien le petit sourire et le clin dâĆil dâun des deux Ă©lĂšves (Louis).
Je ne sais pas comment me comporter Ă ce moment lĂ .
Ne rien dire câest accepter cette contrainte!
Me fùcher je risque un scandale !
Je prends le parti de mâasseoir un peu Ă lâĂ©cart et de rĂ©flĂ©chir calmement Ă la situation.
La visite se passe bien,bien que je sois souvent collée à Louis et Paul le deuxiÚme larron du matin.
De retour dans le car Louis sâassied avec autoritĂ© Ă mon cotĂ©.
Laurent se trouvant sur le siĂšge guide je fais bonne figure Ă faire semblant dâaccepter cette situation.
Sa jambe se colle immédiatement à la mienne.
En posant sa main sur ma cuisse,il me chuchote Ă lâoreille :
« tu es une belle salope à poil dans les chiottes des mecs »
Je veux enlever sa main mais au contraire elle se fait plus insistante.
Toujours Ă voix basse :Â
« le livreur t-a filmée avec son appareil photo et tu auras la surprise en rentrant de te voir entrain de te branler ».
Je suis sans paroles tandis que sa main atteint presque mon entre jambes.
Je la repousse avec vigueur.
« Je te laisse cogiter mais on va se revoir»
En arrivant prĂ©textant un mal de tĂȘte je retourne dans ma chambre avant le repas.
Une feuille de papier est glissĂ©e sous ma porte et sur laquelle sont imprimĂ©es deux photos de moi dans la cabine des WC avec une lĂ©gende en italien : « 15h dans la grange sans soutien gorge ». (originaire dâun dĂ©partement limitrophe je maĂźtrise assez bien la langue une raison de ma prĂ©sence)
6 months ago