Manon, ma belle fille, suite et fin
Je suis épuisée par ce que je viens de vivre. Incapable du moindre mouvement je reprend mon souffle en gemissant bruyamment. Phil n'a pas totalement débandé, je sens encore sa queue bien en forme lorsqu'il se retire de mon antre et va s'asseoir sur le banc du jacuzzi.
Je viens me blottir contre lui. Pelotonnée dans ses bras, je suis merveilleusement bien. Nous nous embrassons langoureusement pendant de longues minutes en nous caressant tendrement. J'aime particulièrement cette douceur, cette tendresse dont il est capable après m'avoir fait l'amour bestialement comme il vient de le faire.
Phil me caresse les seins, recommence à jouer avec mes mamelons qui durcissent instantanément. Je caresse moi aussi son torse puissant, ses pectoraux, son ventre. A peine l'ai-je effleuré, son sexe reprend déjà de la vigueur.
Mais tu es insatiable, lui dis-je ?
Comment veux-tu que je résiste à un si joli petit bout de femme ?
Tu n'es pas fatigué ?
Pas du tout, je pourrais te faire l'amour pendant des heures.
Hummm, je ne dirais pas non.
Viens sur moi.
Je viens m'asseoir à califourchon sur lui, sa queue est de nouveau gonflée, fièrement dressée au zénith. Je la glisse en moi et ondule doucement du bassin. Je suis de nouveau pleine de cette poutre. Mes bras noués derrière sa nuque, mes doigts crispés dans sa chevelure, je ferme les yeux la tête rejetée en arrière, je me laisse gagner par le plaisir.
Oh Phil c'est si bon avec toi.
Phil pétrit mes fesses et suce mes mamelons. Je continue mes lentes ondulations. Mon vagin se contracte sur son mandrin, mon plaisir augmente toujours. Phil glisse un doigt vers mon anus, titille ma rondelle et y pénètre doucement. Mon plaisir monte encore d'un cran, ma respiration s'accélère, mes gémissements deviennent de plus en plus forts et rauque, l'orgasme me gagne et me submerge de nouveau. Je m’effondre contre lui et lui glisse à l'oreille :
Fais-moi tout ce que tu veux, prends-moi comme tu en as envie.
Tourne-toi, me dit-il.
Je m'assoie alors sur ses cuisses en lui tournant le dos. Phil me prend dans ses bras et me colle contre lui. La tête rejetée en arrière, appuyée sur son épaule, je le laisse me caresser la poitrine et triturer mes mamelons. Contre mes fesses, son sexe est tendu au maximum.
Il me soulève un peu, dirige son chibre vers mon petit trou et je m'empale sur cette magnifique tige. Nous restons ainsi immobiles un instant, puis Phil commence de tous petits mouvements du bassin. Sa queue me distend l'anus et s'enfonce profondément dans mes entrailles, et pourtant je ressens un plaisir intense me gagner. Plaisir qui redouble lorsque deux doigts viennent jouer avec mon clitoris puis s'enfoncent aussi loin qu'ils peuvent dans ma chatte.
Et encore cette merveilleuse sensation de plénitude qui m'envahit et cet orgasme qui s'ensuit, toujours aussi intense, qui me fait hurler au risque d'ameuter tout le quartier. Phil continue ainsi à me sodomiser et me doigter, transformant cette jouissance en douce torture. Heureusement pour moi, il jouit à son tour, abrégeant mes “souffrances” et lâchant une nouvelle fois sa semence dans mes entrailles.
Il est déjà 18h, presque quatre heures que nous faisons l'amour !!! Il est grand temps de me rhabiller et de partir avant le retour de ma mère. Un dernier baiser, et je quitte mon merveilleux beau-père remplie de son sperme.
Je viens me blottir contre lui. Pelotonnée dans ses bras, je suis merveilleusement bien. Nous nous embrassons langoureusement pendant de longues minutes en nous caressant tendrement. J'aime particulièrement cette douceur, cette tendresse dont il est capable après m'avoir fait l'amour bestialement comme il vient de le faire.
Phil me caresse les seins, recommence à jouer avec mes mamelons qui durcissent instantanément. Je caresse moi aussi son torse puissant, ses pectoraux, son ventre. A peine l'ai-je effleuré, son sexe reprend déjà de la vigueur.
Mais tu es insatiable, lui dis-je ?
Comment veux-tu que je résiste à un si joli petit bout de femme ?
Tu n'es pas fatigué ?
Pas du tout, je pourrais te faire l'amour pendant des heures.
Hummm, je ne dirais pas non.
Viens sur moi.
Je viens m'asseoir à califourchon sur lui, sa queue est de nouveau gonflée, fièrement dressée au zénith. Je la glisse en moi et ondule doucement du bassin. Je suis de nouveau pleine de cette poutre. Mes bras noués derrière sa nuque, mes doigts crispés dans sa chevelure, je ferme les yeux la tête rejetée en arrière, je me laisse gagner par le plaisir.
Oh Phil c'est si bon avec toi.
Phil pétrit mes fesses et suce mes mamelons. Je continue mes lentes ondulations. Mon vagin se contracte sur son mandrin, mon plaisir augmente toujours. Phil glisse un doigt vers mon anus, titille ma rondelle et y pénètre doucement. Mon plaisir monte encore d'un cran, ma respiration s'accélère, mes gémissements deviennent de plus en plus forts et rauque, l'orgasme me gagne et me submerge de nouveau. Je m’effondre contre lui et lui glisse à l'oreille :
Fais-moi tout ce que tu veux, prends-moi comme tu en as envie.
Tourne-toi, me dit-il.
Je m'assoie alors sur ses cuisses en lui tournant le dos. Phil me prend dans ses bras et me colle contre lui. La tête rejetée en arrière, appuyée sur son épaule, je le laisse me caresser la poitrine et triturer mes mamelons. Contre mes fesses, son sexe est tendu au maximum.
Il me soulève un peu, dirige son chibre vers mon petit trou et je m'empale sur cette magnifique tige. Nous restons ainsi immobiles un instant, puis Phil commence de tous petits mouvements du bassin. Sa queue me distend l'anus et s'enfonce profondément dans mes entrailles, et pourtant je ressens un plaisir intense me gagner. Plaisir qui redouble lorsque deux doigts viennent jouer avec mon clitoris puis s'enfoncent aussi loin qu'ils peuvent dans ma chatte.
Et encore cette merveilleuse sensation de plénitude qui m'envahit et cet orgasme qui s'ensuit, toujours aussi intense, qui me fait hurler au risque d'ameuter tout le quartier. Phil continue ainsi à me sodomiser et me doigter, transformant cette jouissance en douce torture. Heureusement pour moi, il jouit à son tour, abrégeant mes “souffrances” et lâchant une nouvelle fois sa semence dans mes entrailles.
Il est déjà 18h, presque quatre heures que nous faisons l'amour !!! Il est grand temps de me rhabiller et de partir avant le retour de ma mère. Un dernier baiser, et je quitte mon merveilleux beau-père remplie de son sperme.
9 months ago