Idées noires : j'ai perdu. partie 2
Juin : nous sommes maintenant en Allemagne.
Marc et Bénédicte vivent avec nous. Ils me dressent, m'enseignent et m'apprennent le rôle d'une soumise. Je perd petit à petit de mon humanité pour me transformer en sex-toy de Maître Alain qu'il utilise à sa guise.
Nous vivons nus à bord, je sers de vide-couille aux deux hommes et de machine à sucer Bénédicte. Parfois il lui arrive d'être douce et aimante avec moi. Je suis maintenant totalement coupée du monde, de ma famille, de mes amis. Chaque matin au petit déjeuner je passe sous la table et m'occupe du sexe des personnes présentes. Une fois ce rituel passé, c'est la béquée. Je m'agenouille face à Maître Alain, et en bonne petite salope que je suis, j'attends bouche ouverte qu'il me donne ma pilule. Fermant les yeux je patiente le temps nécessaire à sa bonne volonté, qu'il dépose alors le calice sur cette langue sentant le sperme ou la mouille et j'avale le cachet avec un verre d'eau.
Dis comme ça, ça paraît dur, mais ma condition de soumise me convient bien. Maître Alain avait raison, j'aime le sexe extrême. Au début c'était dur mais j'avoue aimer subir la cravache avant que Bénédicte me suce et me prépare aux assauts des hommes. Les humiliations ? Je n'y fait même plus attention. Pour moi ce ne sont que des rituels, les prémices de moments plus intenses.
En quelques mois ma sexualité a bien changée. Je vie nue, suis attachée tous les jours, fouettées régulièrement, la sodomie est quotidienne, les double pénétrations sont régulières aussi. Maître Alain m'a fait tatouer un truc dans le dos … c'est entre mes omoplates, impossible à lire. Le jour du tatouage, j'ai réalisé que la péniche n'avait pas de miroir (sauf dans les appartements de Marc et Bénédicte, mais je n'y ai pas accès).
Juillet : Nous sommes aux Pays-bas. Maître Alain me prête à d'autres hommes. Je pleure à chaque fois mais j'obéis parce que tel est son désir. A chaque passage d'écluse il se débrouille pour trouver un type dégueulasse et puant, il m’emmène avec lui et me présente alors au type. Je dois le sucer et me faire baiser par cette brute épaisse qui m'insulte en une langue inconnue. Une fois le type avait un sexe énorme et me défonçait en levrette. Il y eu un échange avec Maître Alain. J'avais un bandeau et je n'ai pas vu ce type mais j'ai senti qu'il me mettait quelque chose sur l'attache du bandeau (un billet de 5 euros). Ce jour-là j'ai su que mon trou du cul ne valait pas plus. Ensuite il a craché sur ma rondelle et m'a enculé d'une seule poussée. J'ai hurlé et pleuré de plus belle. De retour à la péniche, je marchais bizarrement. Bénédicte s'est inquiétée.
Il va falloir régler ce problème ma puce. Ton petit trou est bien trop petit.
A partir de ce jour-là, Bénédicte n'a eu qu'une seule obsession : me fister (aussi bien par devant que par derrière). J'ai toujours refusé et lutté contre ça.
Bénédicte m'a emmené au tatoueur, Maître Alain lui avait donné des consignes. Je suis revenu avec 2 piercings aux tétons. Ça fait mal mais j'en suis fière.
Aout : Marc et Maître Alain sont de plus en plus pervers. Je suis le souffre douleur de Bénédicte qui s'obstine à vouloir me fister dès que les hommes me laissent tranquille. Chaque matin j'ai ma pilule et Maître Alain me fait faire une prise de **** par semaine. Les éclusiers ne mettent pas de capote ; enfin pas toujours … disons que deux fois le préservatif a cassé.
Hier Bénédicte est revenue du marché avec un petit extra. On a tous fumé et sniffé, puis on a baisé comme des bêtes. Bénédicte est arrivée à ses fins, je sais maintenant ce que c'est que d'avoir une main jusqu'aux poignets dans ses orifices. Maître Alain a tout filmé et deux jours plus tard quand on est enfin sorti des nuages, on a visionné ça ensemble. Depuis Marc et Maître Alain me prennent régulièrement en double anale ou double vaginale. Je déguste à chaque fois. Ils insistent en me rappelant la vidéo et qu'on doit vraiment y arriver.
Septembre : On vadrouille dans les canaux. C'est vraiment une belle région. Régulièrement Maître Alain me sors. Une fois on est allé dans un cinéma. Je n'ai rien compris, c'était une petite salle, un film en danois. J'ai sucé 3 types. Les autres fois c'était pour aller dans des clubs. En Hollande, les club sont … bien plus hard qu'en France. Maître Alain m'a fait baiser par des hommes seuls en manque de sexe extrême. Ils avaient l'air d'apprécier. Maintenant à chaque fois que je quitte la péniche, une question me turlupine : combien de mecs vais-je baiser. 2, 3 en même temps ? Plus ? Je suis sa putain. A chaque fois, toujours le même rituel : à notre retour, Maître Alain est d'un calme religieux, d'une douceur angevine et il me fait l'amour pendant 2 jours. Le naturel reviens après au galop et je redeviens sa chose.
Un jour 4 types sont montés à bord. On m'a attaché sur le banc capitonné et toute la soirée les 6 hommes présent m'ont saillie. Le lendemain j'avais la chatte encore en feu. Bénédicte rigolait. Je n'ai jamais su qui m'avait labouré, comme d'habitude j'avais une cagoule sur la tête.
Hier Maître Alain a voulu m'humilier, j'avais refusé à Bénédicte qu'elle me fiste. Il était en colère, ils m'ont mis sur une chaise et j'ai du demander pardon à Bénédicte. Pour me faire pardonner et prouver ma bonne foie, Bénédicte est parti dans ses appartements et elle est revenue avec une petite glace et une tondeuse à cheveux. J'ai dû me tondre entièrement la tête. J'ai pleuré toute la nuit.
Octobre : la nuit cauchemardesque.
Nous avons quitté la péniche tous les 4. Un taxi nous a emmené dans une ferme perdue au milieu d'un polder. Une dizaine de personne, un petit spectacle sur une estrade. Des cigarettes circulaient, le brouillard s'est installé dans nos esprits. Une femme s'est faite fouetter devant nous. Rien d'exceptionnel, il m'arrive d'être encore plus marqué qu'elle. A un moment on m'a fait monter sur l'estrade et Maître Alain et Marc on fait le spectacle, me prenant dans tous les sens. Je cru la séance terminé quand Bénédicte est alors arrivée avec la cagoule et s'est jointe à nous. Elle m'a attachée sur le banc puis mis la cagoule. Dedans un test de grossesse « positif ».
- Ma puce, j'ai une petite nouvelle pour toi : t'es enceinte.
- Zut alors, de Marc ou de Maître Alain ?
- Je pense des 4 types qui sont venus l'autre jour.
- Non tu te trompes, je suis sûre que c'est de Marc. … ; mais comment c'est possible, je prends la pilule !
- Non ma puce. Depuis quelques temps, tu prends bien ton médicament, mais on a changé de traitement dernièrement (décision collégiale ma beauté). Sinon, sache que Marc et Alain ont fait ce qu'il faut, ils ne pourront plus avoir d'enfant. Donc c'est les types de l'autre jour.
- Les capotes ?
- Pas pour eux.
La salope m'a alors mis la cagoule et m'a fistée devant tout le monde. Ils applaudissaient tous. Une nana s'est approchée et s'est jointe à Bénédicte pour me faire jouir. D'autres recrachaient leur fumée en pleine figure. C'était plus fort que ce que j'avais déjà pris. On m'a saillie de nouveau ; c'était dur, pas vraiment délicat, certainement pas Maître Alain ou Marc.
Le brouillard, des cris, des applaudissements puis dans un sursaut d 'éveil, j'ai senti que mon partenaire était différent. Sa tête contre mon épaule, bavant, son bas-ventre allant à vive allure, son torse velu, trop pour un homme. J'ai crié et les applaudissements ont recommencé. Je suis retournée dans le brouillard.
Ce jour-là j'ai décidé de tout arrêter.
Maître Alain m'a retiré mon collier, il m'a craché à la figure et m'a tourné le dos.
Bénédicte m'a donné une paire de chaussure, un tee shirt et une mini-jupe. Marc m'a tendu mon sac à main. Pas de téléphone, mais juste le passeport, le test de grosse et 4 billets de 50 euros.
- Un taxi t'attend dehors pour la gare centrale. Avec le fric tu devrais pouvoir t'acheter un billet.
- Mais si y'a pas assez ?
- Tu feras la pute. Avec ces fringues ça devrait être facile. Maintenant barres-toi et qu'on ne te revoie plus. Tu peux garder les piercings et le tatouage, c'est cadeau.
J'oubliai, le tatouage sous la nuque : "fuck my ass"
Aujourd'hui j'ai un fils qui me demande pourquoi y'a pas de papa à la maison et pourquoi il n'a pas la même couleur de peau que moi. Je ne sais pas quoi lui répondre.
FIN
Marc et Bénédicte vivent avec nous. Ils me dressent, m'enseignent et m'apprennent le rôle d'une soumise. Je perd petit à petit de mon humanité pour me transformer en sex-toy de Maître Alain qu'il utilise à sa guise.
Nous vivons nus à bord, je sers de vide-couille aux deux hommes et de machine à sucer Bénédicte. Parfois il lui arrive d'être douce et aimante avec moi. Je suis maintenant totalement coupée du monde, de ma famille, de mes amis. Chaque matin au petit déjeuner je passe sous la table et m'occupe du sexe des personnes présentes. Une fois ce rituel passé, c'est la béquée. Je m'agenouille face à Maître Alain, et en bonne petite salope que je suis, j'attends bouche ouverte qu'il me donne ma pilule. Fermant les yeux je patiente le temps nécessaire à sa bonne volonté, qu'il dépose alors le calice sur cette langue sentant le sperme ou la mouille et j'avale le cachet avec un verre d'eau.
Dis comme ça, ça paraît dur, mais ma condition de soumise me convient bien. Maître Alain avait raison, j'aime le sexe extrême. Au début c'était dur mais j'avoue aimer subir la cravache avant que Bénédicte me suce et me prépare aux assauts des hommes. Les humiliations ? Je n'y fait même plus attention. Pour moi ce ne sont que des rituels, les prémices de moments plus intenses.
En quelques mois ma sexualité a bien changée. Je vie nue, suis attachée tous les jours, fouettées régulièrement, la sodomie est quotidienne, les double pénétrations sont régulières aussi. Maître Alain m'a fait tatouer un truc dans le dos … c'est entre mes omoplates, impossible à lire. Le jour du tatouage, j'ai réalisé que la péniche n'avait pas de miroir (sauf dans les appartements de Marc et Bénédicte, mais je n'y ai pas accès).
Juillet : Nous sommes aux Pays-bas. Maître Alain me prête à d'autres hommes. Je pleure à chaque fois mais j'obéis parce que tel est son désir. A chaque passage d'écluse il se débrouille pour trouver un type dégueulasse et puant, il m’emmène avec lui et me présente alors au type. Je dois le sucer et me faire baiser par cette brute épaisse qui m'insulte en une langue inconnue. Une fois le type avait un sexe énorme et me défonçait en levrette. Il y eu un échange avec Maître Alain. J'avais un bandeau et je n'ai pas vu ce type mais j'ai senti qu'il me mettait quelque chose sur l'attache du bandeau (un billet de 5 euros). Ce jour-là j'ai su que mon trou du cul ne valait pas plus. Ensuite il a craché sur ma rondelle et m'a enculé d'une seule poussée. J'ai hurlé et pleuré de plus belle. De retour à la péniche, je marchais bizarrement. Bénédicte s'est inquiétée.
Il va falloir régler ce problème ma puce. Ton petit trou est bien trop petit.
A partir de ce jour-là, Bénédicte n'a eu qu'une seule obsession : me fister (aussi bien par devant que par derrière). J'ai toujours refusé et lutté contre ça.
Bénédicte m'a emmené au tatoueur, Maître Alain lui avait donné des consignes. Je suis revenu avec 2 piercings aux tétons. Ça fait mal mais j'en suis fière.
Aout : Marc et Maître Alain sont de plus en plus pervers. Je suis le souffre douleur de Bénédicte qui s'obstine à vouloir me fister dès que les hommes me laissent tranquille. Chaque matin j'ai ma pilule et Maître Alain me fait faire une prise de **** par semaine. Les éclusiers ne mettent pas de capote ; enfin pas toujours … disons que deux fois le préservatif a cassé.
Hier Bénédicte est revenue du marché avec un petit extra. On a tous fumé et sniffé, puis on a baisé comme des bêtes. Bénédicte est arrivée à ses fins, je sais maintenant ce que c'est que d'avoir une main jusqu'aux poignets dans ses orifices. Maître Alain a tout filmé et deux jours plus tard quand on est enfin sorti des nuages, on a visionné ça ensemble. Depuis Marc et Maître Alain me prennent régulièrement en double anale ou double vaginale. Je déguste à chaque fois. Ils insistent en me rappelant la vidéo et qu'on doit vraiment y arriver.
Septembre : On vadrouille dans les canaux. C'est vraiment une belle région. Régulièrement Maître Alain me sors. Une fois on est allé dans un cinéma. Je n'ai rien compris, c'était une petite salle, un film en danois. J'ai sucé 3 types. Les autres fois c'était pour aller dans des clubs. En Hollande, les club sont … bien plus hard qu'en France. Maître Alain m'a fait baiser par des hommes seuls en manque de sexe extrême. Ils avaient l'air d'apprécier. Maintenant à chaque fois que je quitte la péniche, une question me turlupine : combien de mecs vais-je baiser. 2, 3 en même temps ? Plus ? Je suis sa putain. A chaque fois, toujours le même rituel : à notre retour, Maître Alain est d'un calme religieux, d'une douceur angevine et il me fait l'amour pendant 2 jours. Le naturel reviens après au galop et je redeviens sa chose.
Un jour 4 types sont montés à bord. On m'a attaché sur le banc capitonné et toute la soirée les 6 hommes présent m'ont saillie. Le lendemain j'avais la chatte encore en feu. Bénédicte rigolait. Je n'ai jamais su qui m'avait labouré, comme d'habitude j'avais une cagoule sur la tête.
Hier Maître Alain a voulu m'humilier, j'avais refusé à Bénédicte qu'elle me fiste. Il était en colère, ils m'ont mis sur une chaise et j'ai du demander pardon à Bénédicte. Pour me faire pardonner et prouver ma bonne foie, Bénédicte est parti dans ses appartements et elle est revenue avec une petite glace et une tondeuse à cheveux. J'ai dû me tondre entièrement la tête. J'ai pleuré toute la nuit.
Octobre : la nuit cauchemardesque.
Nous avons quitté la péniche tous les 4. Un taxi nous a emmené dans une ferme perdue au milieu d'un polder. Une dizaine de personne, un petit spectacle sur une estrade. Des cigarettes circulaient, le brouillard s'est installé dans nos esprits. Une femme s'est faite fouetter devant nous. Rien d'exceptionnel, il m'arrive d'être encore plus marqué qu'elle. A un moment on m'a fait monter sur l'estrade et Maître Alain et Marc on fait le spectacle, me prenant dans tous les sens. Je cru la séance terminé quand Bénédicte est alors arrivée avec la cagoule et s'est jointe à nous. Elle m'a attachée sur le banc puis mis la cagoule. Dedans un test de grossesse « positif ».
- Ma puce, j'ai une petite nouvelle pour toi : t'es enceinte.
- Zut alors, de Marc ou de Maître Alain ?
- Je pense des 4 types qui sont venus l'autre jour.
- Non tu te trompes, je suis sûre que c'est de Marc. … ; mais comment c'est possible, je prends la pilule !
- Non ma puce. Depuis quelques temps, tu prends bien ton médicament, mais on a changé de traitement dernièrement (décision collégiale ma beauté). Sinon, sache que Marc et Alain ont fait ce qu'il faut, ils ne pourront plus avoir d'enfant. Donc c'est les types de l'autre jour.
- Les capotes ?
- Pas pour eux.
La salope m'a alors mis la cagoule et m'a fistée devant tout le monde. Ils applaudissaient tous. Une nana s'est approchée et s'est jointe à Bénédicte pour me faire jouir. D'autres recrachaient leur fumée en pleine figure. C'était plus fort que ce que j'avais déjà pris. On m'a saillie de nouveau ; c'était dur, pas vraiment délicat, certainement pas Maître Alain ou Marc.
Le brouillard, des cris, des applaudissements puis dans un sursaut d 'éveil, j'ai senti que mon partenaire était différent. Sa tête contre mon épaule, bavant, son bas-ventre allant à vive allure, son torse velu, trop pour un homme. J'ai crié et les applaudissements ont recommencé. Je suis retournée dans le brouillard.
Ce jour-là j'ai décidé de tout arrêter.
Maître Alain m'a retiré mon collier, il m'a craché à la figure et m'a tourné le dos.
Bénédicte m'a donné une paire de chaussure, un tee shirt et une mini-jupe. Marc m'a tendu mon sac à main. Pas de téléphone, mais juste le passeport, le test de grosse et 4 billets de 50 euros.
- Un taxi t'attend dehors pour la gare centrale. Avec le fric tu devrais pouvoir t'acheter un billet.
- Mais si y'a pas assez ?
- Tu feras la pute. Avec ces fringues ça devrait être facile. Maintenant barres-toi et qu'on ne te revoie plus. Tu peux garder les piercings et le tatouage, c'est cadeau.
J'oubliai, le tatouage sous la nuque : "fuck my ass"
Aujourd'hui j'ai un fils qui me demande pourquoi y'a pas de papa à la maison et pourquoi il n'a pas la même couleur de peau que moi. Je ne sais pas quoi lui répondre.
FIN
10 months ago