Annie

Enfin, elle Ă©tait dans le train
le train pour Nantes
invitĂ©e par un groupe d’une vingtaine d’hommes
du moins c’est ce qu’on lui avait promis
ils avaient eus quelques exigences
un plug anal, la routine ou presque pour elle
pas de sous-vĂȘtements, comme d’habitude
un chemisier limite transparent ,des talons aiguilles et une mini-jupe
elle n’était pas passĂ©e inaperçue dans la gare de Lille
elle avait senti le regard des mĂąles en rut se poser sur elle
mais elle avait promis d’ĂȘtre sage jusqu’à l’arrivĂ©e
son test HIV Ă©tait son passeport pour tout un week-end de dĂ©bauche no capote


Le contrĂŽleur n’arrivait pas Ă  dĂ©crocher le regard de ses seins qui pointaient sous la fine soie du chemisier
enfin ce fĂ»t l’arrivĂ©e en gare de Nantes
.une pancarte brandie par 4 mecs hilares portait l’inscription Annie Bukkake, comme si c’était son nom de famille
.elle se dirigea vers eux
celui qui semblait ĂȘtre le chef s’approcha d’elle
sans dire un mot il lui pinça un tĂȘton
elle poussa un petit cri, la gifle la persuada de se tenir Ă  carreau
quelques mots d’étonnement ou de dĂ©sapprobation s’élevĂšrent, mais MaĂźtre Dom n’en eu cure


- Suis nous


Elle dĂ» presque courir, mal Ă  l’aise perchĂ©e sur ses escarpins 


Les hommes l’entouraient lui pelotant le cul à chaque occasion


Ils arrivÚrent devant un SUV noir aux vitres teintées


- Grimpe derriùre
Manu, on va direct à la cave


Elle frissonna en entendant ces paroles
appréhension, excitation, elle ne savait pas
Maitre Dom et un autre homme prirent place à ses cotés

Une fois les portes fermĂ©es, la voiture s’élança direction les quartiers nord


- Mets-toi Ă  4 pattes !

Elle s’exĂ©cuta prestement, Ă©tonnĂ©e de sentir son ventre vibrer d’envie
la main de Maitre Dom se saisit du plug le faisant coulisser en elle d’avant en arriĂšre 


- T’attends quoi pour me sucer salope ?

Le ton ne tolĂ©rait pas la moindre dĂ©sobĂ©issance
elle ouvrit le pantalon de toile et dĂ©gagea une bite qu’elle jugea de belle taille
aussitĂŽt elle plongea pour l’enfourner
un doigt de l’autre homme assis Ă  cĂŽtĂ© d’elle commença Ă  fouiller sa chatte, tandis qu’il remplaçait son chef dans le jeu du plug


Elle commençait Ă  sentir qu’elle mouillait
Dom lui saisit les mains et les plaça dans son dos lui signifiant qu’elle ne devait lui donner du plaisir qu’avec la bouche
il ne tarda pas Ă  imprimer le rythme avec sa main, enfonçant de plus en plus sa verge dans la gorge de la pauvre Annie qui hoquetait et bavait Ă©normĂ©ment


- Regarde cette salope comme elle salive Ă  l’idĂ©e de ce qu’elle va subir
.

- Et elle mouille grave
j’en suis Ă  4 doigts dans sa chatte et je sens que je vais pouvoir y glisser ma main bientĂŽt
et regarde ce trou du cul bĂ©ant
je vais aussi lui fiste c’est sĂ»r !

La panique s’empara d’Annie
elle n’avait jamais fait de fist anal
personne n’était au courant de son voyage Ă  Nantes, et elle trouva soudain qu’elle s’était embarquĂ©e dans cette aventure Ă  la lĂ©gĂšre
il y a tellement de mecs barrĂ©s ! les journaux relatent souvent des cas de gens mutilĂ©s, exĂ©cutĂ©s ou dont on ne retrouve jamais le corps
un frisson parcourut son Ă©chine


- Regarde, elle en tremble d’envie 


- Oui 
elle suce bien
je vais me retenir de lui gicler dans la gorge
je veux l’enculer d’abord
tu veux que je t’encule hein Annie ?

- Humm humm humm

La claque sur le cul la fit sursauter

- On ne t’a jamais dit de ne pas parler la bouche pleine ?

- Allez, on est presque arrivé enlĂšve tes fringues si tu veux en avoir pour reprendre le train lundi matin
.

Lundi matin ? mais il Ă©tait convenu qu’elle prendrait le train du dimanche aprĂšs-midi


- Ah oui, j’ai dĂ» changer le programme 
tu vas devoir sucer des bites et te faire enculer jusqu’à lundi matin
donnes moi tes fringues 
tu vas sortir Ă  poil pour que les mecs voient bien qu’on ne leur amĂšne pas de la viande avariĂ©e


Il est vrai que malgré sa quarantaine passée elle était bien conservée
des seins moyens mais encore fermes, une blondeur naturelle, de beaux yeux gris, des fesses bien fermes, un petit mÚtre soixante-cinq mais pas de kilos superflus


Le SUV se gara devant une barre d’immeuble des annĂ©es soixante


Deux gamins d’une quinzaine d’annĂ©es faisaient le guet Ă  l’entrĂ©e, travaillant sans doute pour le dealer local
elle prit une inspiration
de toute façon elle Ă©tait lĂ  maintenant et ne pouvait plus reculer
de plus de doux picotements lui parcouraient le bas-ventre
elle descendit donc de voiture et finit tranquillement de se dĂ©shabiller, mĂȘme si ses doigts tremblaient un peu
encadrĂ©e par les 4 hommes elle avança vers l’immeuble. Les gamins la regardĂšrent passer avec des yeux ronds
.ça les changeaient des burkas
dans le hall ils se dirigĂšrent vers les sous-sols. Au niveau moins deux, Dom ouvrit la porte d’un local


- La chaufferie. Au moins tu n’auras pas froid


Des piles de palettes de diffĂ©rentes hauteurs constituaient l’unique mobilier.

Elles étaient recouvertes de couvertures défraichies


- Viens par là je vais faire ton lavement


Dom sortit un long tuyau au bout duquel il y avait un embout en caoutchouc souple


- Montes là et met toi à quatre pattes
Jamel, mets-lui la vaseline dans cul que ça glisse facilement


Le beur lui appliqua sans ménagement la crÚme tout en lui pelotant sans vergogne la chatte


Dom posa l’embout sur son anus puis sans crier gare le poussa Ă  l’intĂ©rieur
Annie gĂ©mit de douleur
une claque vint lui rappeler qu’elle Ă©tait sa place
le tuyau se fit assez facilement un chemin dans ses entrailles
elle prenait presque plaisir Ă  le sentir sillonner en elle, finissant de lui nettoyer les intestins, alors qu’elle s’était faite un lavement avant de partir de Lille


- Regarde-moi tout ce qu’on sort de son cul


Elle se sentait un peu honteuse de ne pas avoir Ă©tĂ© aussi clean que ce qu’attendaient ses MaĂźtres du jour

Published by josyldo
1 year ago
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