Découverte du plaisir de l'exhibition (1)
Je vais vous raconter ce qui je pense être l’origine de mon envie de parfois de me conduire d’une manière peu conventionnelle.
A l’époque je vivais en couple enfin avec un copain Guadeloupéen de 24 ans et moi 22. (Aujourd’hui 48)
Nous étions insouciants et croquions la vie avec beaucoup de plaisir.
Ayant fait quelques économies nous décidons d’un petit voyage sur son ile natale pour apprécier le soleil en Janvier.
Afin de garder une certaine indépendance nous logerons dans un gite généreusement mis à notre disposition par un membre de sa famille non loin de STE ROSE.
Je prenais l’avion pour la première fois mais ce que j’en retiens ce sont les toilettes qui sont si petites que j’ai du mal à imaginer les nombreuses situations érotiques dans ce lieu par certains récits et vidéos.
Enfin le sujet est ailleurs.
Nous sommes pris en charge à l’aéroport par un membre de sa famille pour rejoindre notre point de chute.
Les deux premiers jours adaptation au soleil le matin puis passage dans sa famille jusque tard dans la nuit. Puis petit à petit plage le matin et visite de basse terre l’AM.
Je commence à avoir de belles couleurs après les premières rougeurs.
Nous fréquentons la petite plage de Clugny le long d’une route bordée d’arbres et de haies ce qui nous permet de mettre notre véhicule de location à l’ombre.
La première semaine se passe entre farniente, plage et visite de l’ile.
Mais, lui, il commence à trouver le temps long et passe de plus en plus de temps avec ses amis à refaire sa jeunesse.
Heureusement j’ai un vélo pour rejoindre la plage à moins d’un km.
J’ai trouvé un petit coin tranquille éloigné de la partie proche du bourg surtout fréquentée par les familles.
J’avais souvent le sentiment d’être observée depuis cette haie d’arbres mais je m’y suis habituée ne voyant personne.
Pourtant ce matin-là en mettant ma serviette j’ai vu une silhouette sa cacher derrière un bosquet.
Encore ignorante ou grisée par ce sentiment de plaire je pris mon temps d’apparaitre en bikini blanc à ce mec caché.
J’en ai parlé à mon copain entre midi qui m’a promis de m’accompagner à la plage et de me rassurer car ce n’était certainement qu’un voyeur.
J’en avais déjà vu mais je n’avais jamais été (enfin je le pense) victime de cela.
Une fois sur place mon copain en a profité pour me couvrir de crème solaire en insistant sur mes fesses, en réduisant ma culotte à son strict minimum et en me susurrant à l’oreille qu’un mec nous matait.
Venant de sa part je mouillais mon slip mais je me laissais faire.
J’avais mes fesses tournées vers la lisière.
C’est la première fois que je ressentais ce plaisir.
« Ne bouge pas » pendant qu’il continuait à m’enduire de crème.
Soudain je sentais son doigt imprégné de gras s’introduire dans mon cul !
Instinctivement j’ai serré mes fesses mais sous ses va-et-vient je me détends et je commence à écarter mes cuisses.
« C’est bien » me dit-il tout en continuant à triturer mon orifice.
Au bout d’un moment : « c’est bon il part il va certainement se calmer ailleurs»
Je me lève en me rajustant pour courir vers l’eau afin me remettre de cet émoi.
C’était la première fois que j’ai eu ce sentiment d’aimer me faire mater en acceptant l’exhibition.
La nuit a été torride sous les assauts de mon amant.
Avant de m’endormir mes pensées allaient vers ce voyeur «reviendra-t-il demain ?».
A l’époque je vivais en couple enfin avec un copain Guadeloupéen de 24 ans et moi 22. (Aujourd’hui 48)
Nous étions insouciants et croquions la vie avec beaucoup de plaisir.
Ayant fait quelques économies nous décidons d’un petit voyage sur son ile natale pour apprécier le soleil en Janvier.
Afin de garder une certaine indépendance nous logerons dans un gite généreusement mis à notre disposition par un membre de sa famille non loin de STE ROSE.
Je prenais l’avion pour la première fois mais ce que j’en retiens ce sont les toilettes qui sont si petites que j’ai du mal à imaginer les nombreuses situations érotiques dans ce lieu par certains récits et vidéos.
Enfin le sujet est ailleurs.
Nous sommes pris en charge à l’aéroport par un membre de sa famille pour rejoindre notre point de chute.
Les deux premiers jours adaptation au soleil le matin puis passage dans sa famille jusque tard dans la nuit. Puis petit à petit plage le matin et visite de basse terre l’AM.
Je commence à avoir de belles couleurs après les premières rougeurs.
Nous fréquentons la petite plage de Clugny le long d’une route bordée d’arbres et de haies ce qui nous permet de mettre notre véhicule de location à l’ombre.
La première semaine se passe entre farniente, plage et visite de l’ile.
Mais, lui, il commence à trouver le temps long et passe de plus en plus de temps avec ses amis à refaire sa jeunesse.
Heureusement j’ai un vélo pour rejoindre la plage à moins d’un km.
J’ai trouvé un petit coin tranquille éloigné de la partie proche du bourg surtout fréquentée par les familles.
J’avais souvent le sentiment d’être observée depuis cette haie d’arbres mais je m’y suis habituée ne voyant personne.
Pourtant ce matin-là en mettant ma serviette j’ai vu une silhouette sa cacher derrière un bosquet.
Encore ignorante ou grisée par ce sentiment de plaire je pris mon temps d’apparaitre en bikini blanc à ce mec caché.
J’en ai parlé à mon copain entre midi qui m’a promis de m’accompagner à la plage et de me rassurer car ce n’était certainement qu’un voyeur.
J’en avais déjà vu mais je n’avais jamais été (enfin je le pense) victime de cela.
Une fois sur place mon copain en a profité pour me couvrir de crème solaire en insistant sur mes fesses, en réduisant ma culotte à son strict minimum et en me susurrant à l’oreille qu’un mec nous matait.
Venant de sa part je mouillais mon slip mais je me laissais faire.
J’avais mes fesses tournées vers la lisière.
C’est la première fois que je ressentais ce plaisir.
« Ne bouge pas » pendant qu’il continuait à m’enduire de crème.
Soudain je sentais son doigt imprégné de gras s’introduire dans mon cul !
Instinctivement j’ai serré mes fesses mais sous ses va-et-vient je me détends et je commence à écarter mes cuisses.
« C’est bien » me dit-il tout en continuant à triturer mon orifice.
Au bout d’un moment : « c’est bon il part il va certainement se calmer ailleurs»
Je me lève en me rajustant pour courir vers l’eau afin me remettre de cet émoi.
C’était la première fois que j’ai eu ce sentiment d’aimer me faire mater en acceptant l’exhibition.
La nuit a été torride sous les assauts de mon amant.
Avant de m’endormir mes pensées allaient vers ce voyeur «reviendra-t-il demain ?».
1 year ago