Trio magique (dernier jour)
Jeudi derniĂšre journĂ©e pour Domi qui doit reprendre lâavion vendredi. Maryse travaille ce matin, mais nous Ă©changeons des dizaines de textos. Dans ses premiers messages, elle nous raconte combien le retour chez elle a Ă©tĂ© difficile, cumulant les erreurs de conduite, manquant de peu de griller un feu rouge, puis nous dĂ©crit la soirĂ©e quâelle a passĂ©e. Elle Ă©tait tellement « ailleurs », quâelle a ratĂ© totalement le diner, et lorsque son mari ou son fils lui parlait, soit elle ne rĂ©pondait pas soit elle faisait rĂ©pĂ©ter totalement absente, au point que son mari finit par sâĂ©nerver Ă un moment et elle dut prĂ©texter une migraine pour justifier auprĂšs dâeux son Ă©tat et pouvoir ainsi sâĂ©clipser et se rĂ©fugier dans sa chambre pour enfin ĂȘtre tranquille.
Ses textos suivants seront plus « enflammĂ©s », nous disant Ă quel point elle a aimĂ© cette journĂ©e avec nous, combien elle est heureuse dâavoir accepter ma proposition et quâelle passera nous retrouver en dĂ©bauchant ⊠« si vous ĂȘtes dâaccord » !!!
Cette derniĂšre remarque nous fait Ă©clater de rire. Comment pourrions nous refuser une telle proposition venant dâelle?
« mais bien sĂ»r que nous sommes dâaccord ⊠vient dĂšs que tu veux. »
« dâaccord je vais essayer de dĂ©baucher plus tĂŽt, il nây a pas beaucoup de travail aujourdâhui. Je vais voir si je peux prendre des heures. »
Moins dâune demi heure plus tard, un nouveau message de sa part :
« jâai lâautorisation de ma chef pour partir Ă 11H ⊠il me tarde !!! »
Domi et moi sautons de joie et comme la veille, reprenons une de ces pilules magiques qui nous ont plutÎt bien réussies hier.
11H30 Maryse sonne Ă la porte toute excitĂ©e. Elle est vĂȘtue dâune petite robe en jean qui lui arrive Ă mi cuisse, fermĂ©e devant par des boutons pression. Nous lâaccueillons tous les deux dans lâentrĂ©e et lâembrassons fougueusement lâun aprĂšs lâautre, lui laissant Ă peine le temps de poser son sac Ă mĂȘme le sol, commençant Ă la peloter avant dâavoir refermĂ© la porte. Nous dĂ©faisons sa robe en tirant tous les deux sur les pans, sans prendre rĂ©ellement de prĂ©cautions, dĂ©couvrant dâun coup le corps de Maryse qui ne porte aucun sous vĂȘtement. Quelle belle surprise nous fait elle lĂ !!! On peut mĂȘme dire quâelle est trĂšs fiĂšre de lâeffet produit. Nous faisons tomber sa robe Ă mĂȘme le sol et nous jetons comme des « morts de faim » sur ses seins dont les tĂ©tons fiĂšrement dressĂ©s pointent vers nous avec arrogance. Domi encore plus excitĂ© que moi, enfonce directement deux doigts dans la chatte de la belle et la doigte Ă©nergiquement, tandis que je me concentre sur son clito avec douceur. La soudainetĂ© de ces prĂ©liminaires nâempĂȘche pas Maryse de connaitre un orgasme rapide et violent. Je sens ses doigts se crisper dans mes cheveux, alors quâelle plante ses ongles dans le dos de Domi qui retire dâun coup tous ses vĂȘtements, la saisit dans ses bras puissants et la soulĂšve du sol. Maryse a seulement le temps de passer ses bras autour du cou et dâentourer de ses jambes la taille de mon ami, que celui ci la pĂ©nĂštre debout. Elle sâenfonce jusquâĂ la garde sur la queue dressĂ©e de Domi qui la maintenant sous les fesses, la fait monter et descendre sur toute la longueur de son arbre. Ce coĂŻt explosif arrache des cris de plaisir Ă Maryse qui ne tarde pas Ă jouir de nouveau. Gardant Maryse accrochĂ©e Ă son cou et toujours profondĂ©ment enfoncĂ© en elle, Domi lâamĂšne sur le canapĂ© du salon, sur lequel il la couche et recommence Ă la pistonner toujours aussi virilement en poussant des rugissements de fauve en rut. Je sais que Maryse apprĂ©cie tout particuliĂšrement ce traitement que jâai eu mainte fois lâoccasion de lui administrer et quâelle est trĂšs loin de connaĂźtre avec son cocu. Il faut la voir se tordre de plaisir sous les coups de boutoir que lui dĂ©livre Domi et lâentendre gĂ©mir et crier sans discontinuer pour ĂȘtre sĂ»r quâelle prend un pied phĂ©nomĂ©nal !!!
Bien dĂ©cidĂ© moi aussi Ă profiter de ce moment, je mâapproche la queue dressĂ©e et vient lâenfoncer dans la bouche de Maryse aussi profondĂ©ment que je le peux. Ainsi prise en brochette et secouĂ©e Ă©nergiquement par Domi, elle a un peu de mal Ă tolĂ©rer ma tige dans sa gorge. Elle renĂącle, tousse, crache et manque de sâĂ©touffer Ă plusieurs reprises, se dĂ©gageant par moment pour retrouver son souffle.
Domi profite dâun de ces instants, pour la retourner sans grand mĂ©nagement, la positionner Ă quatre pattes, la prendre en levrette et recommencer ses vas et viens viril dans la chatte de notre amie. Je viens me replacer devant le visage de Maryse et en lâattrapant par les cheveux, je lui remet mon sexe dans la bouche.
Maryse se remet Ă me lĂ©cher et me sucer alors que Domi sâaffaire toujours dans sa chatte. Nây tenant plus, je demande Ă mon amie de venir me chevaucher. Elle sâavance comme la veille avec Domi, vient sâempaler sur ma queue et ondule du bassin. Domi sâapproche Ă son tour et tente tout dâabord dâentrer son sexe Ă cĂŽtĂ© du mien pour une double vaginale, mais lâopĂ©ration se rĂ©vĂšle impossible. Soit Maryse est trop Ă©troite, soit nos deux engins sont trop gros pour elle, mais elle nous supplie de ne pas continuer ainsi. En dĂ©sespoir de cause, il commence alors Ă dilater son anus avec un puis deux doigts et de la salive, et comme moi la veille appuie son gros gland sur le petit oeillet et dâune poussĂ©e sâintroduit dans le fondement de la belle qui sous la poussĂ©e sâeffondre sur moi en poussant un cri qui nâest pas que de plaisir. Cette fois, câest Domi qui accrochĂ© aux hanches de Maryse donne le tempo de la pĂ©nĂ©tration et celle ci ne peut que subir la fougue de mon ami qui tellement excitĂ©, ahane comme un bucheron en limant son cul comme un forcenĂ© et ne tarde pas Ă jouir en elle. AprĂšs sâĂȘtre retirĂ©, Domi sâaffale au fond du canapĂ© Ă©puisĂ©.
Maryse nâest guĂšre mieux. Je la retourne sur le dos, lui remonte les jambes en les maintenant grandes Ă©cartĂ©es et la pĂ©nĂštre en douceur tout au fond de sa chambre dâamour, faisant coulisser ma tige sur toute sa longueur, tapant au fond de sa grotte Ă chaque fois que je mâenfonce. Elle retrouve un peu de calme et Ă©prouve Ă nouveau du plaisir aprĂšs la bestialitĂ© quâelle a subie. Nous explosons tous les deux ensembles dans un merveilleux orgasme qui parachĂšvera cette aprĂšs midi.
Avant de nous sĂ©parer, nous soumettons un nouveau dĂ©fi Ă Maryse : celui de rentrer chez elle sans prendre de douche et dans la mĂȘme tenue quâelle est arrivĂ©e, câest Ă dire seulement vĂȘtue de sa robe, sans aucun sous vĂȘtements, et de rester ainsi toute la soirĂ©e en face de son cocu et de son fils. Elle accepta non sans rĂ©ticence au dĂ©but mais joua le jeu. De toute façon, dans un dernier sursaut de perversitĂ©, Domi et moi lui avions confisquĂ© ses dessous afin que Domi emporte un trophĂ©e en mĂ©moire de ces journĂ©es.
Ses textos suivants seront plus « enflammĂ©s », nous disant Ă quel point elle a aimĂ© cette journĂ©e avec nous, combien elle est heureuse dâavoir accepter ma proposition et quâelle passera nous retrouver en dĂ©bauchant ⊠« si vous ĂȘtes dâaccord » !!!
Cette derniĂšre remarque nous fait Ă©clater de rire. Comment pourrions nous refuser une telle proposition venant dâelle?
« mais bien sĂ»r que nous sommes dâaccord ⊠vient dĂšs que tu veux. »
« dâaccord je vais essayer de dĂ©baucher plus tĂŽt, il nây a pas beaucoup de travail aujourdâhui. Je vais voir si je peux prendre des heures. »
Moins dâune demi heure plus tard, un nouveau message de sa part :
« jâai lâautorisation de ma chef pour partir Ă 11H ⊠il me tarde !!! »
Domi et moi sautons de joie et comme la veille, reprenons une de ces pilules magiques qui nous ont plutÎt bien réussies hier.
11H30 Maryse sonne Ă la porte toute excitĂ©e. Elle est vĂȘtue dâune petite robe en jean qui lui arrive Ă mi cuisse, fermĂ©e devant par des boutons pression. Nous lâaccueillons tous les deux dans lâentrĂ©e et lâembrassons fougueusement lâun aprĂšs lâautre, lui laissant Ă peine le temps de poser son sac Ă mĂȘme le sol, commençant Ă la peloter avant dâavoir refermĂ© la porte. Nous dĂ©faisons sa robe en tirant tous les deux sur les pans, sans prendre rĂ©ellement de prĂ©cautions, dĂ©couvrant dâun coup le corps de Maryse qui ne porte aucun sous vĂȘtement. Quelle belle surprise nous fait elle lĂ !!! On peut mĂȘme dire quâelle est trĂšs fiĂšre de lâeffet produit. Nous faisons tomber sa robe Ă mĂȘme le sol et nous jetons comme des « morts de faim » sur ses seins dont les tĂ©tons fiĂšrement dressĂ©s pointent vers nous avec arrogance. Domi encore plus excitĂ© que moi, enfonce directement deux doigts dans la chatte de la belle et la doigte Ă©nergiquement, tandis que je me concentre sur son clito avec douceur. La soudainetĂ© de ces prĂ©liminaires nâempĂȘche pas Maryse de connaitre un orgasme rapide et violent. Je sens ses doigts se crisper dans mes cheveux, alors quâelle plante ses ongles dans le dos de Domi qui retire dâun coup tous ses vĂȘtements, la saisit dans ses bras puissants et la soulĂšve du sol. Maryse a seulement le temps de passer ses bras autour du cou et dâentourer de ses jambes la taille de mon ami, que celui ci la pĂ©nĂštre debout. Elle sâenfonce jusquâĂ la garde sur la queue dressĂ©e de Domi qui la maintenant sous les fesses, la fait monter et descendre sur toute la longueur de son arbre. Ce coĂŻt explosif arrache des cris de plaisir Ă Maryse qui ne tarde pas Ă jouir de nouveau. Gardant Maryse accrochĂ©e Ă son cou et toujours profondĂ©ment enfoncĂ© en elle, Domi lâamĂšne sur le canapĂ© du salon, sur lequel il la couche et recommence Ă la pistonner toujours aussi virilement en poussant des rugissements de fauve en rut. Je sais que Maryse apprĂ©cie tout particuliĂšrement ce traitement que jâai eu mainte fois lâoccasion de lui administrer et quâelle est trĂšs loin de connaĂźtre avec son cocu. Il faut la voir se tordre de plaisir sous les coups de boutoir que lui dĂ©livre Domi et lâentendre gĂ©mir et crier sans discontinuer pour ĂȘtre sĂ»r quâelle prend un pied phĂ©nomĂ©nal !!!
Bien dĂ©cidĂ© moi aussi Ă profiter de ce moment, je mâapproche la queue dressĂ©e et vient lâenfoncer dans la bouche de Maryse aussi profondĂ©ment que je le peux. Ainsi prise en brochette et secouĂ©e Ă©nergiquement par Domi, elle a un peu de mal Ă tolĂ©rer ma tige dans sa gorge. Elle renĂącle, tousse, crache et manque de sâĂ©touffer Ă plusieurs reprises, se dĂ©gageant par moment pour retrouver son souffle.
Domi profite dâun de ces instants, pour la retourner sans grand mĂ©nagement, la positionner Ă quatre pattes, la prendre en levrette et recommencer ses vas et viens viril dans la chatte de notre amie. Je viens me replacer devant le visage de Maryse et en lâattrapant par les cheveux, je lui remet mon sexe dans la bouche.
Maryse se remet Ă me lĂ©cher et me sucer alors que Domi sâaffaire toujours dans sa chatte. Nây tenant plus, je demande Ă mon amie de venir me chevaucher. Elle sâavance comme la veille avec Domi, vient sâempaler sur ma queue et ondule du bassin. Domi sâapproche Ă son tour et tente tout dâabord dâentrer son sexe Ă cĂŽtĂ© du mien pour une double vaginale, mais lâopĂ©ration se rĂ©vĂšle impossible. Soit Maryse est trop Ă©troite, soit nos deux engins sont trop gros pour elle, mais elle nous supplie de ne pas continuer ainsi. En dĂ©sespoir de cause, il commence alors Ă dilater son anus avec un puis deux doigts et de la salive, et comme moi la veille appuie son gros gland sur le petit oeillet et dâune poussĂ©e sâintroduit dans le fondement de la belle qui sous la poussĂ©e sâeffondre sur moi en poussant un cri qui nâest pas que de plaisir. Cette fois, câest Domi qui accrochĂ© aux hanches de Maryse donne le tempo de la pĂ©nĂ©tration et celle ci ne peut que subir la fougue de mon ami qui tellement excitĂ©, ahane comme un bucheron en limant son cul comme un forcenĂ© et ne tarde pas Ă jouir en elle. AprĂšs sâĂȘtre retirĂ©, Domi sâaffale au fond du canapĂ© Ă©puisĂ©.
Maryse nâest guĂšre mieux. Je la retourne sur le dos, lui remonte les jambes en les maintenant grandes Ă©cartĂ©es et la pĂ©nĂštre en douceur tout au fond de sa chambre dâamour, faisant coulisser ma tige sur toute sa longueur, tapant au fond de sa grotte Ă chaque fois que je mâenfonce. Elle retrouve un peu de calme et Ă©prouve Ă nouveau du plaisir aprĂšs la bestialitĂ© quâelle a subie. Nous explosons tous les deux ensembles dans un merveilleux orgasme qui parachĂšvera cette aprĂšs midi.
Avant de nous sĂ©parer, nous soumettons un nouveau dĂ©fi Ă Maryse : celui de rentrer chez elle sans prendre de douche et dans la mĂȘme tenue quâelle est arrivĂ©e, câest Ă dire seulement vĂȘtue de sa robe, sans aucun sous vĂȘtements, et de rester ainsi toute la soirĂ©e en face de son cocu et de son fils. Elle accepta non sans rĂ©ticence au dĂ©but mais joua le jeu. De toute façon, dans un dernier sursaut de perversitĂ©, Domi et moi lui avions confisquĂ© ses dessous afin que Domi emporte un trophĂ©e en mĂ©moire de ces journĂ©es.
1 year ago