Vacances au Cap d'Agde (6)

CINQUIEME JOURNEE

Nous sommes déjà vendredi et c’est la dernière journée pour Paul et Joël qui doivent repartir le lendemain. Le soleil est revenu, nous partons tous les quatre à la plage retrouver nos complices. Nous nous installons sur nos serviettes et nos amis ne tardent pas à nous rejoindre et à s’allonger à nos côtés. Joël qui a manifestement jeté son dévolu sur Mylène, se colle contre elle et commence aussitôt à l’embrasser fougueusement et la peloter sous les yeux de Nico impassible.
Je suis pour ma part entourée de mon mari et de Paul, et « mes » deux hommes m’embrassent tendrement et me caressent. J’échange des baisers profonds et langoureux tantôt avec Eric tantôt avec Paul. Leurs mains courent sur mon corps, pétrissent mes seins, jouent avec mes tétons, caressent à tour de rôle ma vulve qui est déjà toute humide. Je suis merveilleusement bien, les yeux fermés je me laisse aller, totalement offertes à mes deux amants, le corps doucement gagné par le plaisir, gémissant doucement. Leurs bouches embrassent mes seins, sucent mes tétons gonflés de désir, leurs doigts titillent mon clitoris, caressent ma vulve dégoulinante de cyprine et s’insinuent entre mes lèvres. Je suis très vite terrassée par un orgasme fulgurant, mon corps se tord, secoué par les spasmes de la jouissance, criant mon plaisir sans retenue.
Les regards des autres vacanciers présents sur la plage se sont tournés vers nous. Joël demande à Eric et Nico s’ils ont envies de nous voir « offertes » à des inconnus.
Nico accepte immédiatement, mon mari semble hésiter un peu, me regarde comme pour demander mon consentement, et accepte finalement. Joël nous propose alors d’aller dans un de ces coins tranquilles qui nous sont devenus familiers. Nous nous levons tous les six, et nous dirigeons vers les bosquets. Les hommes ont tous des érections monumentales. Je sens des dizaines de regards se poser sur nous et nous suivre pour voir où nous allons. Nous gagnons un bosquet d’arbres, étalons nos serviettes. Joël demande à nos maris de rester à l’écart et d’observer. Nous nous agenouillons sur les serviettes, Paul et Joël s’approchent de nous leur énormes chibres tendus et nous commençons à les sucer.
Des voyeurs ne tardent pas à arriver. Ils commencent par se masturber en nous regardant, mais Paul et Joël les invitent à se joindre à nous. Très vite nous sommes entourées. Deux, trois puis cinq hommes nous encerclent, nous tendent leurs bites, plus ou moins longues, plus ou moins grosses. Nous en masturbons certains pendant que nous en suçons d’autres. Nos bouches passent de l’une à l’autre. Certains nous pétrissent les seins, d’autres s’enhardissent à nous doigter tout en se masturbant en attendant leur tour. L’un d’entre eux me saisit par les cheveux en m’enfonce une queue de belle taille dans la bouche en poussant des râles de plaisir. Il m’envoie un premier jet de sperme dans la gorge, se retire et finit d’éjaculer sur mon visage avant de se reculer. Un autre prend aussitôt sa place et sans ménagement, me saisit la tête à deux main et enfourne sa bite pour me baiser la bouche.
Mylène de son côté connait le même sort que moi et enchaîne les fellations. Il doit y avoir maintenant sept ou huit gars qui attendent leur tour. Certains prennent même des photos ou filment avec leurs téléphones. Mimi et moi avons le visage recouvert de sperme. nous en avons dans les cheveux, sur le nez, dans les yeux, la semence de tous ces mâles en rut coule dans le cou, tombe sur nos seins. Il ne nous est pas possible de tout avaler tant nous recevons de foutre.
Nos maris se tiennent toujours à l’écart mais ne ratent rien de la scène.
Profitant d’une accalmie, Paul et Joël s’allongent sur les serviettes et nous font venir sur eux. Nous nous empalons chacune sur un de ces gigantesques pieux en leur tournant le dos, offrant ainsi à nos amants tout loisir de jouer avec nos petits trous. Pendant ce temps d’autres voyeurs se sont approchés et nous donnent leur queues à sucer, éjaculant tantôt dans nos bouches, tantôt sur nos visages. Au total plus d’une douzaine d’hommes se sont succédés, offrant à nos maris le premier bukkake de leurs femmes en tant que cocus et voyeurs.
Paul et Joël ne restent pas inactifs et nous liment vigoureusement pendant que nous suçons les inconnus.
Lorsqu’ils éjaculent en nous, ils nous font allonger sur le dos, demandent aux curieux de s’écarter, et font venir Nico et Eric :
« Allez messieurs … c’est à vous, occupez vous de vos femmes. Elles ont très envies que vous les embrassiez !!! »
Nos maris s’approchent et s’exécutent nous embrassant à pleine bouche.
« Allez … montrez leur que vous les aimez … léchez leur aussi le visage … »
Eric et Nico s’exécute encore, léchant le sperme des inconnus qui nous recouvre. Ils nous lèchent ensuite les seins et le ventre qui sont également couverts de semence.
« Hummm … je suis sûr que vos femmes ont très envie d’un bon cunnilingus » lance Paul qui a rempli mon vagin de son sperme qui s’écoule entre mes lèvres jusque sur mes fesses.
Eric se place entre mes cuisses et commence à me lécher, avalant tout le jus qui s’échappe de ma vulve. Des voyeurs qui sont toujours là prennent des photos ou filment, d’autres se contente de se masturber en silence. L’un d’entre eux s’agenouille à côté de moi et me tend sa queue pour que je le suce tout en filmant avec son portable.
Nico lui aussi lèche la vulve baveuse de Mimi, et Paul en profite pour venir dans sa bouche.
Mon mari s’applique à me nettoyer de tout le sperme qui s’écoule massivement de ma grotte. Il me procure un plaisir immense et je suis de nouveau submergé par un orgasme qui se répand en moi comme un tsunami. Je jouis une nouvelle fois en hurlant de bonheur.
Nico qui lui aussi a bien léché sa femme, ne peut se retenir de la pénétrer et de la ramoner vigoureusement pour se soulager à son tour en criant comme une bête.
Joël, décidément le plus pervers de tous, viens se positionner au dessus de mon visage et pose son cul sur ma bouche. Je suis contrainte de lui lécher l’anus pendant qu’il me pétrit vigoureusement les seins à pleines mains s’offrant même une branlette espagnole. Eric arrête de me lécher, me soulève le bassin, frotte son gland sur ma vulve et me pénètre sans difficulté. Je ne peux pas le voir, mais je reconnais son sexe qui pénètre au plus profond de mon vagin, baignant dans le reste du sperme de Paul. Je continue de lécher l’anus de Joël qui se branle de plus en plus vigoureusement entre mes seins en me pinçant les mamelons. Eric continue ses va et vient en moi, lents et profonds. J’aime comme il me fait l’amour, tout en douceur. Cela contraste avec la bestialité que m’ont offert tous les autres hommes cet après midi. Il jouit, déverse en moi une quantité impressionnante de sperme en six ou sept jets. Je sens à chacun de ses spasmes, son pénis taper au fond de mon vagin. Il se retire et je sens un autre sexe s’immiscer aussitôt entre mes lèvres. Il est beaucoup plus gros et plus long que mon mari. Je pense que ce doit être Paul mais je ne peux pas voir, toujours caché par Joël. Celui ci se retire enfin pour venir jouir sur mon visage. C’est à ce moment là que je réalise que l’homme qui m’a pénétré et me ramone si vigoureusement n’est pas Paul. C’est un magnifique black qui a posé mes jambes sur ses épaules de chaque côté de son cou et qui me baise sans ménagement. Il est jeune, 25 ans tout au plus, incroyablement musclé, un torse puissant, des muscles saillants, la peau ébène. Je suis stupéfaite et cherche des yeux mon mari. Je le vois, Mylène est agenouillée devant lui et le suce tout en lui malaxant les couilles. Il la tient par les cheveux et baise la bouche de mon amie tout en me regardant me faire défoncer par ce jeune black. Je suis sidérée par le côté surréaliste de ce moment. Nico, Paul et Joël assistent à la scène, souriants béatement. Pendant ce temps, mon nouvel amant redouble d’intensité dans ses coups de reins. Il s’enfonce en moi de toute la longueur de sa tige. Je me redresse sur mes coudes pour apprécier ce corps tout en muscles et admirer ce sexe qui s’enfonce en moi tel un marteau piqueur. C’est un pieu gigantesque, encore plus long et plus gros que celui de Joël, qui me pilonne la chatte toujours sans préservatif. Il jouit en moi, je sens son premier jet de foutre inonder ma grotte. Il se retire très rapidement et vient finir d’éjaculer sur mon ventre, mes seins et mon visage puis enfonce sa bite dans ma bouche pour que je le nettoie. J’avale les dernières gouttes de sperme et suce ce chibre qui me remplit la bouche au delà de tout ce que j’ai connu à ce jour.
C’est la première fois de ma vie que j’ai le sentiment d’avoir servi de vide-couilles à une armée d’inconnus sous les yeux de mon mari consentant.