Ma voisine, cette coquine - Ch1 : Nina
J'ai emménagé dans le quartier il y a maintenant quelques mois. J'habite une petite maison sympa avec un petit jardin et surtout un salon assez grand pour tous mes meubles. La semaine d'avant, j'avais croisé ma voisine en allant chercher le courrier. C'est une femme d'origine congolaise (je l'apprendrais plus tard), environ 1m60, les cheveux mi-longs et quelques rondeurs (seins, fesses et ventre). On discute un peu vite fait et on décide de se prendre un café chez moi afin de faire plus ample connaissance.
Le jour convenu, ma voisine (je l'appellerais Nina) sonne à ma porte. Ce jour-là, elle porte une robe blanche sans haut (qui tient au niveau de la poitrine) qui descend jusqu'aux genoux et des tongs. Je l'accueille, l'installe sur le canapé et je nous prépare un café. Nous discutons de choses et d'autres. J'apprends qu'elle est fraichement divorcée, avec un compagnon qu'elle a rencontré pendant sa séparation avec son ex-mari et avant la procédure de divorce qui fut longue et fatigante, qu'elle a deux filles de 14 et 16 ans (je les avais déjà croisé le matin en allant au travail) et qu'elle est mère au foyer (son compagnon gagne suffisamment pour).
Son café fini, Nina se penche en avant pour poser sa tasse sur la table basse. J'en profite pour admirer son décolleté généreux. Je finis à mon tour mon café et me penche pour poser ma tasse. Se faisant, je pose mon autre main sur la cuisse de Nina. Au moment de me redresser, je remarque mon geste et retire ma main immédiatement, ce qui a pour effet de remonter un peu la robe de mon invitée et de découvrir un peu plus ses jambes. Je reste un peu bloqué, peut-être suffisamment pour que Nina le remarque, et je reprends ma discussion. Je sens mon entrejambe gonfler avec cette petite péripétie et je vois que Nina a les yeux qui fuient régulièrement dans cette direction.
Peut-être pour donner le feu vert pour aller plus loin, Nina se tourne un peu vers moi, remontant sa jambe adjacente à moi sur le canapé et son autre jambe. Sa robe est alors remontée encore un peu plus, arrivant à mi-cuisse. Je fais de même, laissant ainsi une libre vue sur la bosse qui déforme mon short. Quelques minutes plus tard, toujours dans la conversation, Nina pose sa main sur ma cuisse comme si de rien n'était. Sentant que cela semblait naturel pour elle, je laisse faire. Voulant jouer un peu plus, je parle progressivement de plus en plus bas, nous contraignant ainsi à nous pencher l'un vers l'autre et m'obligeant à prendre appui sur sa jambe à mon tour. Je sens ses doigts commencer à jouer avec les poils de ma jambe, ce qui a pour effet d'augmenter le volume de ma bosse pubienne. Presque inconsciemment, je me mets moi aussi à lui caresser la cuisse avec mon pouce qui se trouve à l'intérieur de cette dernière. En nous rapprochant encore un peu plus, je pose ma main sur le dossier du canapé derrière elle.
La discussion devient plus légère et on rigole de tout et de rien. Toutefois, je sens sa main remonter doucement le long de ma jambe et commencer à passer sous mon short. Je ne me laisse pas distancer et j'entreprends de poser de façon "innocente" ma in sur son épaule. A ce moment-là, on se regarde tous les deux dans les yeux. Nous savons que si nous continuons, il ne pourra pas y avoir de retour en arrière. J'arrive à ressentir son désir et son envie en plus de mon désir et mon envie. Je remonte ma main jusque sa nuque et tire sa tête vers moi pour l'embrasser. L'initiative est très bien accueillie car je sens tout de suite sa langue qui souhaite rencontrer la mienne. A partir de maintenant, nous ne sommes plus que deux animaux avec un énorme appétit sexuel à assouvir.
Pendant que nous nous dévorons mutuellement nos bouches, je la fais basculer à califourchon sur moi. J'ai ainsi plus de facilité pour lui pétrir les fesses et relever sa robe sur ses hanches. Son bassin ondule de lui-même sur moi tandis que je fais de sa culotte un string. Je remonte ensuite mes mains jusqu'à atteindre le zip de sa robe que je descends d'un coup sec. Pendant que j'entreprends de dégrafer son soutien-gorge, mes baisers descendent dans le cou de Nina et je retire ses vêtements de sa poitrine. Je me jette littéralement sur ses seins pour les manger, en commençant par ses tétons déjà bien durs. Nina se met à gémir sous ma langue.
Tout d'un coup, Nina se redresse pour pouvoir me retirer mon t-shirt. Elle se met ensuite debout devant moi et sa robe et son soutien-gorge tombent à ses pieds. Elle se retourne et fait glisser sa culotte le long de ses jambes en se penchant bien, de sorte que j'ai une vue imprenable sur son jardin secret. Cela ne dure pas car elle se remet face à moi et me retire mon short et mon caleçon en une fois, puis se met à genoux entre mes jambes. Nina se jette alors sur ma bite et l'avale goulûment. Elle me suce comme une affamée, sa salive dégouline jusque sur mes couilles. J'ai droit à des gorges profondes, des cravates de notaire, des gobage de couille et même à un léchage de l'anus.
Sentant que je ne tiendrais plus très longtemps, je la fais se relever et je la met debout sur le canapé, une jambe de chaque côté de moi afin d'avoir un accès libre à sa chatte. Je lui rends la monnaie de sa pièce et lui lèche la chatte et l'anus, lui met des doigts dans chacun de ces deux orifices, parfois en même temps, je lui bouffe le clitoris jusqu'à ce que Nina ait un orgasme des plus humides qui me coule sur le menton, le cou et le torse. Avec ses jambes qui tremblent, Nina s'assoit sur moi. Je sens dans le même mouvement ma bite s'enfoncer en elle jusqu'aux couilles.
Galvanisée par cet empalement, Nina s'est lancé dans un va et viens effréné malgré sa fatigue. Voulant toutefois être plus actif, nous avons changé de position pour la prendre en levrette. Je la pilonne du mieux que je peux et chaque coup de rein lui fait lâcher un gémissement. Je lui écarte les fesses et j'ai une vue imprenable sur son petit trou. J'arrive à cracher un peu de salive dessus (pas facile de viser tout en la prenant) et j'insère un pouce dans cette voie. Nina me sort un râle de plénitude et ne tarde pas à jouir une nouvelle fois sous l'effet de cette double pénétration. N'en tenant plus, je sors de sa chatte pour rentrer dans son cul. Sa mouille aidant, je suis rentré en elle à fond du premier coup, lui faisant sortir un cri de bonheur. Je reprends mon pilonnage et ne tarde pas à jouir dans ses intestins.
Nina me fait m'asseoir à nouveau sur le canapé et se poste à nouveau entre mes jambes pour me sucer, à moitié pour nettoyer mon sperme, à moitié pour me redonner de la vigueur. Ce qui fonctionne très bien car je redeviens dur rapidement. Elle se relève alors, se retourne pour être dos à moi et s'empale à nouveau sur moi, me laissant à nouveau la vue de son trou de balle. La seule nouveauté : je vois mon sperme sortir doucement de son cul et Nina le récupère au fur et à mesure avec ses doigts pour les amener à sa bouche et tout lécher, le tout en me lançant des regards de cochonne vicieuse. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens que je vais jouir à nouveau et j'en fais part à Nina. Celle-ci me reprend en bouche jusqu'à ce que je lui lâche la sauce dans sa gorge qu'elle avale goulûment.
Épuisés par cette séance de sexe, nous nous écroulons quelques minutes sur le canapé, moi avec une main sur un de ses seins, elle avec une main sur ma bite. On a bu une bouteille d'eau entière à nous deux en peu de temps puis nous nous sommes rhabillés. Nina est repartie chez elle car ses filles n'allaient pas tarder à rentrer de chez leur copine.
Je pensais que nous allions en rester là et éventuellement se lâcher un sourire coquin en se croisant à nouveau à la boîte aux lettres. Mais je me trompais ...
Le jour convenu, ma voisine (je l'appellerais Nina) sonne à ma porte. Ce jour-là, elle porte une robe blanche sans haut (qui tient au niveau de la poitrine) qui descend jusqu'aux genoux et des tongs. Je l'accueille, l'installe sur le canapé et je nous prépare un café. Nous discutons de choses et d'autres. J'apprends qu'elle est fraichement divorcée, avec un compagnon qu'elle a rencontré pendant sa séparation avec son ex-mari et avant la procédure de divorce qui fut longue et fatigante, qu'elle a deux filles de 14 et 16 ans (je les avais déjà croisé le matin en allant au travail) et qu'elle est mère au foyer (son compagnon gagne suffisamment pour).
Son café fini, Nina se penche en avant pour poser sa tasse sur la table basse. J'en profite pour admirer son décolleté généreux. Je finis à mon tour mon café et me penche pour poser ma tasse. Se faisant, je pose mon autre main sur la cuisse de Nina. Au moment de me redresser, je remarque mon geste et retire ma main immédiatement, ce qui a pour effet de remonter un peu la robe de mon invitée et de découvrir un peu plus ses jambes. Je reste un peu bloqué, peut-être suffisamment pour que Nina le remarque, et je reprends ma discussion. Je sens mon entrejambe gonfler avec cette petite péripétie et je vois que Nina a les yeux qui fuient régulièrement dans cette direction.
Peut-être pour donner le feu vert pour aller plus loin, Nina se tourne un peu vers moi, remontant sa jambe adjacente à moi sur le canapé et son autre jambe. Sa robe est alors remontée encore un peu plus, arrivant à mi-cuisse. Je fais de même, laissant ainsi une libre vue sur la bosse qui déforme mon short. Quelques minutes plus tard, toujours dans la conversation, Nina pose sa main sur ma cuisse comme si de rien n'était. Sentant que cela semblait naturel pour elle, je laisse faire. Voulant jouer un peu plus, je parle progressivement de plus en plus bas, nous contraignant ainsi à nous pencher l'un vers l'autre et m'obligeant à prendre appui sur sa jambe à mon tour. Je sens ses doigts commencer à jouer avec les poils de ma jambe, ce qui a pour effet d'augmenter le volume de ma bosse pubienne. Presque inconsciemment, je me mets moi aussi à lui caresser la cuisse avec mon pouce qui se trouve à l'intérieur de cette dernière. En nous rapprochant encore un peu plus, je pose ma main sur le dossier du canapé derrière elle.
La discussion devient plus légère et on rigole de tout et de rien. Toutefois, je sens sa main remonter doucement le long de ma jambe et commencer à passer sous mon short. Je ne me laisse pas distancer et j'entreprends de poser de façon "innocente" ma in sur son épaule. A ce moment-là, on se regarde tous les deux dans les yeux. Nous savons que si nous continuons, il ne pourra pas y avoir de retour en arrière. J'arrive à ressentir son désir et son envie en plus de mon désir et mon envie. Je remonte ma main jusque sa nuque et tire sa tête vers moi pour l'embrasser. L'initiative est très bien accueillie car je sens tout de suite sa langue qui souhaite rencontrer la mienne. A partir de maintenant, nous ne sommes plus que deux animaux avec un énorme appétit sexuel à assouvir.
Pendant que nous nous dévorons mutuellement nos bouches, je la fais basculer à califourchon sur moi. J'ai ainsi plus de facilité pour lui pétrir les fesses et relever sa robe sur ses hanches. Son bassin ondule de lui-même sur moi tandis que je fais de sa culotte un string. Je remonte ensuite mes mains jusqu'à atteindre le zip de sa robe que je descends d'un coup sec. Pendant que j'entreprends de dégrafer son soutien-gorge, mes baisers descendent dans le cou de Nina et je retire ses vêtements de sa poitrine. Je me jette littéralement sur ses seins pour les manger, en commençant par ses tétons déjà bien durs. Nina se met à gémir sous ma langue.
Tout d'un coup, Nina se redresse pour pouvoir me retirer mon t-shirt. Elle se met ensuite debout devant moi et sa robe et son soutien-gorge tombent à ses pieds. Elle se retourne et fait glisser sa culotte le long de ses jambes en se penchant bien, de sorte que j'ai une vue imprenable sur son jardin secret. Cela ne dure pas car elle se remet face à moi et me retire mon short et mon caleçon en une fois, puis se met à genoux entre mes jambes. Nina se jette alors sur ma bite et l'avale goulûment. Elle me suce comme une affamée, sa salive dégouline jusque sur mes couilles. J'ai droit à des gorges profondes, des cravates de notaire, des gobage de couille et même à un léchage de l'anus.
Sentant que je ne tiendrais plus très longtemps, je la fais se relever et je la met debout sur le canapé, une jambe de chaque côté de moi afin d'avoir un accès libre à sa chatte. Je lui rends la monnaie de sa pièce et lui lèche la chatte et l'anus, lui met des doigts dans chacun de ces deux orifices, parfois en même temps, je lui bouffe le clitoris jusqu'à ce que Nina ait un orgasme des plus humides qui me coule sur le menton, le cou et le torse. Avec ses jambes qui tremblent, Nina s'assoit sur moi. Je sens dans le même mouvement ma bite s'enfoncer en elle jusqu'aux couilles.
Galvanisée par cet empalement, Nina s'est lancé dans un va et viens effréné malgré sa fatigue. Voulant toutefois être plus actif, nous avons changé de position pour la prendre en levrette. Je la pilonne du mieux que je peux et chaque coup de rein lui fait lâcher un gémissement. Je lui écarte les fesses et j'ai une vue imprenable sur son petit trou. J'arrive à cracher un peu de salive dessus (pas facile de viser tout en la prenant) et j'insère un pouce dans cette voie. Nina me sort un râle de plénitude et ne tarde pas à jouir une nouvelle fois sous l'effet de cette double pénétration. N'en tenant plus, je sors de sa chatte pour rentrer dans son cul. Sa mouille aidant, je suis rentré en elle à fond du premier coup, lui faisant sortir un cri de bonheur. Je reprends mon pilonnage et ne tarde pas à jouir dans ses intestins.
Nina me fait m'asseoir à nouveau sur le canapé et se poste à nouveau entre mes jambes pour me sucer, à moitié pour nettoyer mon sperme, à moitié pour me redonner de la vigueur. Ce qui fonctionne très bien car je redeviens dur rapidement. Elle se relève alors, se retourne pour être dos à moi et s'empale à nouveau sur moi, me laissant à nouveau la vue de son trou de balle. La seule nouveauté : je vois mon sperme sortir doucement de son cul et Nina le récupère au fur et à mesure avec ses doigts pour les amener à sa bouche et tout lécher, le tout en me lançant des regards de cochonne vicieuse. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens que je vais jouir à nouveau et j'en fais part à Nina. Celle-ci me reprend en bouche jusqu'à ce que je lui lâche la sauce dans sa gorge qu'elle avale goulûment.
Épuisés par cette séance de sexe, nous nous écroulons quelques minutes sur le canapé, moi avec une main sur un de ses seins, elle avec une main sur ma bite. On a bu une bouteille d'eau entière à nous deux en peu de temps puis nous nous sommes rhabillés. Nina est repartie chez elle car ses filles n'allaient pas tarder à rentrer de chez leur copine.
Je pensais que nous allions en rester là et éventuellement se lâcher un sourire coquin en se croisant à nouveau à la boîte aux lettres. Mais je me trompais ...
1 year ago