Un couple normal ou presque (8)

[Entre hommes] [travesti] [sodomie]

[Si vous n’avez pas lu les Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]

Quelques semaines plus tard, nous devions ĂȘtre fin novembre, nous parlions encore de notre expĂ©rience au club Ă©changiste et de SĂ©bastien. Cela avait Ă©tĂ© un trĂšs bon moment et je pensais depuis quelques jours que j’aimerais retenter l’expĂ©rience. J’en parlais Ă  mon Ă©pouse qui fut immĂ©diatement partante. Ma femme lui a donc envoyĂ© un mail en lui demandant s’il serait d’accord pour nous revoir et que nous pourrions le recevoir chez nous. La rĂ©ponse arriva le lendemain, elle ne fut pas tout Ă  fait celle que nous attendions mais il nous proposait de nous revoir au club, le 15 dĂ©cembre. Il demandait Ă©galement Ă  ce que je sois habillĂ© en femme, comme la derniĂšre fois. Je ne m’en sortirai donc jamais ? Cela Ă©tant, je suis consentant puisque c’est le fantasme de Sandrine, donc ok, rendez-vous est pris, 22H00 le jeudi 15 dĂ©cembre.

Nous avons pris deux jours de congĂ©s du coup, les jeudi et vendredi pour nous prĂ©parer Ă  la soirĂ©e et sans nul doute nous en remettre. Pour cette fois, c’est moi qui est choisi nos tenues : ensemble mini-jupe portefeuille et veste en tweed texturĂ© gris, rose et noir, en ensemble porte-jarretelles serre-taille en satin bleu canard et dentelle noire avec le tanga et le soutien-gorge assortis, des bas noirs opaques avec jarretiĂšres. Nous avions dĂ©jĂ  les escarpins, les chemisiers blancs et les manteaux. Cette histoire commençait Ă  nous couter un bras en fringues.

Le jour J nous avons commencĂ© Ă  nous prĂ©parer en milieu d’aprĂšs-midi : contrĂŽle de l’épilation (toujours entre le haut des cuisses et de bas du ventre ainsi que les aisselles et une dĂ©coloration du reste pour moi), douche approfondie sur les parties intimes, habillage, perruque pour moi et maquillage (je laissais ma femme s’en occuper). Je ne me lassais pas d’ĂȘtre surpris par cette transformation, j’étais un autre et il faut l’avouer nous Ă©tions superbes, classes et sexy.

Nous sommes arrivĂ©s au club vers 22H00 et comme SĂ©bastien n’étant pas encore arrivĂ© nous avons trouvĂ© une alcĂŽve et avons commandĂ© une bouteille de champagne avec 3 flutes. En l’attendant nous avons commencĂ© la bouteille tout en commentant ce qui se passait dans la salle. Nous avons fini la bouteille et Ă  23H00, aprĂšs avoir repoussĂ© de nombreuses invitations d’hommes comme de femmes, nous avons convenu que nous nous Ă©tions fait poser un lapin et nous apprĂȘtions Ă  partir lorsqu’il est arrivĂ©. Il nous a fait la bise en s’excusant platement pour son retard et il commanda une nouvelle bouteille pour se faire pardonnĂ©. Nous avons donc trinquĂ© et papotĂ©, anxieux et impatients de passer aux choses sĂ©rieuses. Nos verres Ă  moitiĂ©s entamĂ©s, un homme est venu se prĂ©senter, il devait avoir tout juste la quarantaine, un peu plus grand que SĂ©bastien, les yeux bleus et les cheveux blonds, le parfais jetsetteur. « Mes amis je vous prĂ©sente François, une vieille connaissance » nous annonça SĂ©bastien en l’invitant Ă  s’installer dans notre alcĂŽve.

Il s’installa aux cĂŽtĂ©s de mon Ă©pouse, SĂ©bastien Ă©tant aux miens. Un peu surpris par cette intrusion nous n’avons pas osĂ© protester et la conversation a repris. C’est au dĂ©but du troisiĂšme verre, qui devait ĂȘtre le 7Ăšme pour nous que je sentis la main de SĂ©bastien se poser sur ma cuisse et la caresser doucement tout en continuant Ă  discuter comme si de rien n’était. Lorsque sa main a voulu remonter plus haut je l’ai bloquĂ©e et j’ai tournĂ© la tĂȘte vers lui. Il me regardait avec un grand sourire et il s’est penchĂ© vers moi et m’a embrassĂ©, je me suis laissĂ© faire. Son baiser Ă©tait tendre et j’avais oubliĂ© comme il Ă©tait agrĂ©able de se faire embrasser.
Je commençais Ă  ĂȘtre excitĂ© et je sentais une douce chaleur envahir mon bas ventre tandis que mon sexe prenait vie. J’en lĂąchais sa main qui remonta instantanĂ©ment sur mes cuisses. Lorsqu’elle quitta mes bas et atteignit ma peau, j’écartais instinctivement les cuisses et elle poursuivi sa croisade jusqu’à mon sexe maintenant tendu. La main repartit doucement jusqu’à mes cuisses et revient plusieurs fois et lorsqu’elle caressa enfin mon sexe, le parcourant sur toute sa longueur je poussais un gĂ©missement Ă©touffĂ© par son baisĂ©. Il quitta alors mes lĂšvres et regardant mon Ă©pouse et François qui en Ă©taient au mĂȘme point que nous Ă  la diffĂ©rence qui s’ils s’embrassait comme nous et que la main de François, comme celle de SĂ©bastien, Ă©tait haute sous la jupe de ma femme, celle-ci caressait Ă©galement son partenaire. SĂ©bastien annonça alors « Mes amis, je pense qu’il est l’heure de monter. ». Ma femme paru inquiĂšte « 3 hommes pour une femme, j’ai peur de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur ». Mais SĂ©bastien nous expliqua, « Vous ĂȘtes dans un club Ă©changiste ici et le principe est d’échanger, de ne pas rester avec le mĂȘme partenaire. Tu vas donc aller avec François et j’irai de mon cĂŽtĂ© avec ton mari ».

Il y eu un long silence, Sandrine me regardait incrĂ©dule. Finalement elle me demanda ce que j’en pensais. « Je ne suis pas chaud ma chĂ©rie, si nous Ă©tions ok pour l’échangisme, l’amour entre hommes c’est pas trop mon truc. ». SĂ©bastien intervient tout de suite « Tu peux laisser Sandrine profiter du moment c’est ce que vous vouliez, non ? Quant Ă  nous, il ne se passera rien que tu ne voudrais pas et si tu veux nous pourrons tout simplement continuer Ă  boire du champagne. ». Sandrine me lança un nouveau regard et me demanda « Je suis partante mais il faut que tu le sois aussi ». Bon, j’étais un peu rassurer quant aux attentes de SĂ©bastien et bien que je sois un jaloux de François, c’est vrai qu’à la base nous sommes venus pour ça. J’ai donc acceptĂ©. Ni une ni deux nous nous dirigeĂąmes vers l’étage et les chambres individuelles. SĂ©bastien et moi avions la mĂȘme chambre que la derniĂšre fois et je vis partir ma femme avec François Ă  quelques portes de lĂ .

Une fois seuls dans la chambre j’ai eu une grosse crise de panique, j’étais seul dans une chambre avec un homme tandis que j’étais dĂ©guisĂ© en femme. SĂ©bastien a dĂ» sentir mon trouble car il m’a pris par les Ă©paules et m’a dit doucement « Tout va bien, pas de stress. Ta femme va passer un trĂšs bon moment qui ne remettra rien en cause entre vous, c’est comme d’aller faire une sĂ©ance de relaxation mais par le sexe. Pour nous, c’est comme tu veux. Nous pouvons nous assoir et discuter en sirotant un peu de cognac pour faire passer de champagne. Nous pouvons aussi nous embrasser et nous caresser, sans plus. J’ai d’ailleurs trĂšs envie de t’embrasser lĂ , c’est comme tu veux ». Je relevais la tĂȘte, il me regardait intensĂ©ment et je m’avançais vers lui. AprĂšs tout qu’est-ce qu’un baiser ? Nous venions d’ne Ă©changer un qui Ă©tait trĂšs agrĂ©able. Je ne sais pas si c’est le fait d’ĂȘtre seul avec lui dans une chambre mais dĂšs que ces lĂšvres touchĂšrent les miennes je reçu comme une dĂ©charge Ă©lectrique et lorsque sa langue trouva la mienne le feu dans mon bas ventre se ralluma.

Il me prit dans ses bras et lorsque son baiser se fit plus ardent je sentis ses mains quitter mes Ă©paules et faire tomber ma veste puis elles me caressĂšrent le dos. Quand elles atteignirent mes fesses son baiser devient passionnĂ©. Je commençais Ă©galement Ă  le serrer contre moi et Ă  lui caresser le dos et les fesses. J’étais trĂšs excitĂ© et je sentais sa propre excitation contre la mienne. Je tirais sur ses fesses pour me coller plus fort Ă  lui et mieux le sentir. Doucement il remonta ma jupe et je sentis ses mains sur la peau de mes fesses. S’était trĂšs agrĂ©able, j’avais commencĂ© Ă  onduler contre lui, s’en m’en rendre compte. Il quitta alors mes lĂšvres et me dit « Vient, allongeons-nous, nous serons plus confortables. Il me prit la main et me guida jusqu’au lit oĂč nous nous sommes allongĂ©s l’un en fasse de l’autre.

Tout en me regardant, il a commencĂ© Ă  me caresser le visage puis sa main est descendue le long de mon cou, elle a poursuivi sa route sur mon flanc jusqu’à arriver sur le haut de ma cuisse. Elle est alors remontĂ©e par l’arriĂšre, s’attardant un peu sur mes fesses avant de remonter dans mon dos. J’avais fermĂ© les yeux m’abandonnant Ă  ces caresses. Il redescendit face avant et s’attarda sur mon torse, me titillant les tĂ©tons au travers du chemiser et du soutien-gorge. MalgrĂ© ces protections la caresses Ă©tait divine et mes tĂ©tons durs Ă  faire mal. Puis il poursuivit sa route, il contourna mon sexe et descendit jusque sur ma cuisse, plus bas que ma jupe. Il remonta par l’autre cuisse, Ă©vitant Ă  nouveau mon sexe qui criait de dĂ©sir. Il me caressa l’autre tĂ©ton et redescendit par le centre cette fois, et il passa sur mon sexe dans une douce caresse qui me fit tressaillir, le plaisir Ă©tait tellement intense que j’ai cru que j’allais exploser. Arriver sur mes cuisses il remonta et commença Ă  remonter ma jupe. Il se ravisa et me demanda s’il pouvait l’enlever. J’acquiesçais. Il dĂ©grafa donc ma jupe et dĂ©licatement la tira Ă  lui. « Il sont trĂšs beaux tes dessous, c’est ta femme qui les a choisis ? » me demanda-t-il. « Non, c’est moi » lui rĂ©pondis d’une petite voix que je ne reconnaissais pas. « Tu as trĂšs bon gout StĂ©phane ». LĂ -dessus il posa sa main entre mes cuisses, que j’écartais pour lui donner un peu de champ, et il reprit ses aller et retours.
Sortant de ma torpeur je commençais Ă©galement Ă  le caresser, je parcourais son torse, je descendais sur son ventre, poursuivait sur son sexe que j’attrapais Ă  travers le tissu de son pantalon.

Je le caressais un peu et remontais au mĂȘme rythme que lui. Lorsqu’il entreprit de dĂ©boutonner mon chemisier il me lança un regard interrogateur auquel j’acquiesçait d’un sourire timide. Tandis que mes boutons sautaient l’un aprĂšs l’autre, je faisais de mĂȘme avec sa chemise. Nous nous retrouvĂąmes torses nus mĂȘme si j’avais toujours mon soutien-gorge et nos caresses se firent plus sensuelles. À un moment, alors qu’il me caressait le sexe j’ai tentĂ© d’accĂ©der au sien, sous son pantalon, n’y arrivant pas j’ai entrepris d’enlever sa ceinture, de le dĂ©boutonner et de baisser sa braguette. Il a alors pris l’initiative de le quitter. Il Ă©tait maintenant en boxer et je pouvais voir plus prĂ©cisĂ©ment son excitation. Ma main se prĂ©cipita sur son sexe et d’impatience, je passais dessous pour le toucher du bout des doigts. Il Ă©mit un gĂ©missement, j’étais content de lui faire plaisir. Je lui fis descendre son boxer et je rĂ©alisais ce que j’étais en train de faire, j’étais presque nu, au lit avec un homme nu, sur l’instant je n’en ai rien eu Ă  battre. Et j’ai poursuivi les caresses de son sexe que je trouvais trĂšs beau. Lui-mĂȘme passa la main dans mon tanga et me caressa la queue. La chaleur et la douceur Ă©taient divins et nous gĂ©missions maintenant en rythme.

Soudain ses lĂšvres se posĂšrent sur les miennes et il m’embrassa fougueusement en me faisant basculer sur le dos. Il Ă©tait sur moi, ses jambes entre les miennes, m’embrassant comme un fou et il a commencĂ© Ă  onduler du bassin, nos sexes se frottant l’un l’autre dans une caresse divine. Il a continuĂ© comme ça et j’ai cru que j’allais exploser. Il a dĂ» le sentir car il a arrĂȘtĂ© ses mouvements et a quittĂ© ma bouche en commençant Ă  descendre sur ma poitrine, sur mon ventre, sur mon sexe qu’il a libĂ©rĂ© du tanga et il a entreprit une lente fellation agrĂ©mentĂ©e de bisous et de coups de langues. J’allais jouir et lui pris la tĂȘte pour le faire remonter mais il a continuĂ© et dans un rĂąle je me suis libĂ©rĂ© dans sa bouche. Il a poursuivi un peu sa fellation m’arrachant quelques sursauts de plaisir puis il est remontĂ© vers ma bouche pour m’embrasser et partager la sĂšve de mon plaisir.

Il s’est finalement levĂ©, nu, le sexe toujours au garde Ă  vous et nous a servi une flute de champagne. Je rajustais mon sexe mou dans mon tanga, je m’assis et le remerciais, tant pour le verre que pour ce qui venais de se passer et m’inquiĂ©tais qu’il n’ait pas joui. Il me rĂ©pondit de ne pas m’inquiĂ©ter, que la nuit n’était pas finie. Bon, ça promettait. Je pensais alors Ă  ma femme, oĂč en Ă©tait-elle, trouvait-elle son plaisir ? Nous Ă©changeĂąmes quelques propos anodins et lorsque nos verres furent vidĂ©s il me demanda si un massage me plairait, qu’il adorait faire ça. J’acceptais et il me fit m’allonger sur le dos et il vint s’installer Ă  califourchon sur mes cuisses.

AprĂšs avoir dĂ©grafĂ© mon soutien-gorge il commença son massage du dos qui Ă©tait trĂšs agrĂ©able et aprĂšs quelques instants, Ă©puisĂ© par la sĂ©ance de sexe et la flute de champagne, je tombais dans une douce bĂ©atitude. J’en sortais aprĂšs avoir pris conscience que quelque chose s’agitait entre mes fesses de temps en temps. Je sentais toujours ses mains me masser le dos mais elles descendaient maintenant jusque sur mes fesses et en descendant un doigt passait entre elle pour venir titiller mon Ɠillet. J’allais protester que je n’étais pas d’accord pour cette caresse lorsque ces mains poursuivre sous mes fesses pour me masser le pĂ©rinĂ©e ce qui dĂ©clencha une dĂ©charge Ă©lectrique dans tout mon corps. Les mains remontĂšrent alors sur mes fesses, les doigts inquisiteurs traversant le canyon, s’arrĂȘtant un moment au puit avant de repartir. Bon, c’est plutĂŽt agrĂ©able, s’il ne va pas plus loin, je lui laisse le bĂ©nĂ©fice du doute. Je remarquais alors qu’’il n’était plus sur mes cuisses, mais Ă  genoux entre elles, j’étais tellement parti que je n’avais rien senti.

Au passage suivant le massage du pĂ©rinĂ©e me provoqua une nouvelle dĂ©charge qui me fit me cambrer. Il en profitant pour glisser sa main sous moi et me saisir le sexe tandis que sa main reprenait ses massages. Je sentis immĂ©diatement mon sexe revivre et se durcir sous les lĂ©gers aller-retour qu’il imprimait Ă  sa main. Je sentis qu’en plus de ses massages, il m’embrassait le dos, dessinait des arabesques avec sa langue. Je ne rĂ©ussis pas Ă  contenir un soupir d’aise. « A on se rĂ©veille Ă  ce que je vois, et dans de bonnes conditions me dit ma main ». LĂ -dessus il sera un peu mon sexe avant de poursuivre ses petits mouvements. Il me dit aussi que j’avais un cul magnifique, ce Ă  quoi je rĂ©pondais un timide merci.

Ses bisous et sa main descendirent le long de ma colonne vertĂ©brale jusqu’à mes fesses qu’elles malaxĂšrent et bidouillĂšrent Ă  souhait. Je commençais Ă  ĂȘtre trĂšs excitĂ© et je j’ondulais du bassin pour me frotter sur sa main et accentuer l’amplitude de ses caresses. Mais cela accentuait aussi pression du doigt inquisiteur maintenant posĂ© sur mon Ɠillet. Qu’à cela ne tienne, serre les fesses et fait toi plaisir me dit-je et je poursuivais ma masturbation sur sa main. Mais concentrĂ© sur mon plaisir j’oubliais mes fesses et lors d’un mouvement plus ample le doigt força l’entrĂ©e du puit m’arrachant un « Ohhh » autant de surprise que de plaisir. « On peux continuer comme ça si tu veux ou tu prĂ©fĂšres que je le retire ? ». ComplĂštement sous l’emprise de mon plaisir je lui dis qu’il pouvait rester. « Attends deux secondes alors ». Son doigt sortit pour revenir et me pĂ©nĂ©trer facilement, il avait dĂ» mettre du gel. « Vas-y mon beau, fait toi plaisir ». Sans plus attendre je repris ma masturbation sur sa main, sentant son doigt aller et venir en moi au grĂ© de mes au grĂ© de mes mouvements.

Sa main sur mon sexe exerça une pression plus forte sur mon sexe et je dus lever les hanches pour ne pas avoir mal mais la pression se poursuivit et je finis par me retrouver Ă  quatre pattes, la tĂȘte toujours sur l’oreiller. La pĂ©nĂ©tration du doigt Ă©tait plus forte ainsi et je poursuivais mes mouvements de hanches pour me frotter Ă  sa main tandis que je sentais que lui aussi faisait bouger son doigt. Je l’entendis me demander si s’était bon, si j’aimais ça et je grognais un oui. Il me demanda aussi si j’en voulais plus, je grognais un non qu’il n’a pas dĂ» comprendre car aussitĂŽt la pĂ©nĂ©tration fut plu Ă©paisse, un deuxiĂšme doigt venait d’envahir mon cul et s’était tant mieux car c’était meilleur.

Entre ses doigts en moi et sa main sur mon sexe tout mon bassin Ă©tait embrasĂ©. Tout mon ĂȘtre vibrait de plaisir et je sentir que je ne tiendrais pas longtemps Ă  ce rythme. Aussi, lorsqu’il me demanda si je voulais qu’il me prenne, je ne compris pas trĂšs bien mais j’acquiesçais. Sa main et ses doigts me quittĂšrent et je soufflais un peu, heureux de cette pause. Je l’entendis bouger derriĂšre moi. « StĂ©phane, tu as vraiment un cul superbe comme ça » me dit-il avant que je ne sente la ficelle de mon tanga s’écarter et quelque chose de plus gros qu’un doigt se prĂ©senter contre mon Ɠillet. Comprenant vaguement ce qui se passait je tentais, sans grande conviction il faut le reconnaitre, de m’en Ă©loigner mais ses deux m’agrippĂšrent les hanches, il força et rapidement il franchit la barriĂšre et me pĂ©nĂ©tra. Son sexe Ă©tait plus large que le god et cela me fit mal, m’arrachant un petit cri.

Il bougea alors un petit peu puis sortit, je sentis du gel versĂ© sur mon anneau en feu, sa queue se reprĂ©senter, passer plus facilement les barriĂšres sans douleur. Toujours agrippĂ© Ă  mes hanches, il commença de lents aller-retours, chaque aller l’enfonçant un peu plus en moi. Lorsque je le sentis contre mes fesses je poussais un rĂąle de plaisir. Alors il recula, sortit de moi, je ne compris pas, j’en voulais plus mais il me pĂ©nĂ©tra d’un coup sec, jusqu’à la garde, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je gĂ©mis tandis qu’il poussait un rĂąle.

Tout devient fou, il se mit Ă  me prendre Ă  une cadence folle, chacun de ses assauts me semblait plus violent, plus profond. Son ventre claquait contre mes fesses, je gĂ©missais, il grognait. Tout mon corps Ă©tait un brasier enflammĂ©, mon bas ventre un volcan Ă©ruption. Je m’abandonnais, sans rĂ©sistance, Ă  ses mains sur mes hanches qui me tiraient vers lui tandis qu’il me pĂ©nĂ©trait. Finalement, dans une derniĂšre poussĂ©e violente qui me fit tomber Ă  plat ventre, je le sentis se raidir et jouir en moi. Il poussa un rĂąle de jouissance tandis que je poussais un gĂ©missement de plaisir. EssoufflĂ©s, groggy, il s’allongea sur moi et me fit des bisous dans le cou. « Tu es trop bon mon chĂ©ri » me susurra-t-il Ă  l’oreille avant de se dĂ©gager et de quitter mon antre. Je restais immobile tandis qu’il quittait mon dos pour s’allonger Ă  mes cĂŽtĂ©s. « Est-ce que tu as aimĂ© ? Pour moi c’était un moment magique. » me demanda-t-il. Je luis rĂ©pondis que oui mais non. J’étais trĂšs mal Ă  l’aise et quelque peu honteux de ce qui venait de se passer, je venais de me faire sodomiser par un mec et j’en avais tirĂ© du plaisir.

Sans un mot je partis dans la salle de bain, hottais ma perruque, mes dessous et, nu, pris une longue douche chaude.
Published by thma69
2 years ago
Comments
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ropaul45
ropaul45 10 months ago
toujours aussi chaud et addictif
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yannemily 1 year ago
Je mouille ma culotte. Merci 
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babettevar 2 years ago
Récit trÚs excitant ja mouillé comme une cochonne vivement la suite
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jennybhose
jennybhose 2 years ago
Quel superbe récit et quelle belle étreinte remplie de tendresse et de sensualité. Quel dommage que ma compagne ne soit pas aussi ouverte d'esprit car je chercherai volontiers mon Sebastien.....
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