Un couple normal ou presque (7)
[Entre homme et femme] [trio] [sodomie] [travesti]
[Si vous nâavez pas lu les Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents, je vous le conseil fortement. Bonne lecture]
Nous avons Ă nouveau repris une vie sexuelle moins intense mais dĂ©but novembre des amis qui sont venus dĂźner nous ont fait lâĂ©loge de lâĂ©changisme et vantĂ© les mĂ©rites dâun cĂ©lĂšbre Ă©tablissement lyonnais. Ă leur dĂ©part se fut notre sujet de conversation, jâĂ©tais trĂšs enthousiaste mais ma femme pas du tout. Ce nâest pas que je voulais la tromper juste une envie dâaventure. Je le voyais comme un jeu un peu dangereux, plein dâadrĂ©naline et de suspens. Ă force dâinstance je finis par la persuader mais elle posa une condition que je trouvais inacceptable, je devais mâhabiller comme elle. Vous me connaissez, je nâai pas rĂ©sistĂ© longtemps et rendez-vous fut pris pour le 18 novembre. Ma femme nous acheta deux ensembles identiques : jupe courte noire croisĂ©e sur le devant avec la veste assortie et chemisier blanc en satin blanc Ă manches longues. Il y avait Ă©galement un manteau court beige clair et un foulard. Pour la lingerie il y avait un ensemble porte-jarretelles, soutien-gorge et string satinĂ©s beiges avec des liserĂ©s et motifs en dentelle noirs. Pour les bas, noirs, opaques et avec jarretiĂšre.
Nous avons pris un congĂ© le vendredi pour pouvoir nous prĂ©parer et la sĂ©ance habituelle de prĂ©paration du corps, dâhabillage et de maquillage recommença. Comme il fallait sortir elle me fit quitter ma montre et me prĂȘta un bracelet et un collier. Une fois de plus jâĂ©tais mĂ©connaissable et ayant maintenant lâhabitude des talons, tant quâil ne faudra pas parler ça devrait passer. Mais comment faire une rencontre ? Peut-ĂȘtre une lesbienne qui serait trĂšs surprise Ă un moment ou Ă un autre ? Ou une femme qui partage les mĂȘmes fantasmes que ma femme, ça existe ?
Vers 22H00 nous quittons le domicile, je laisse le volant Ă ma femme, je marche avec des talons mais de lĂ Ă conduire, et nous nous rendons dans le club recommandĂ© auprĂšs duquel nous avions fait une rĂ©servation pour ĂȘtre certains de trouver de la place.
En arrivant nous avons trouvĂ© un endroit trĂšs cosy et chic. Nous nous sommes rapidement installĂ©s dans une alcĂŽve vide sans trop attirer les regards. Il y avait du monde mais pas trop, nos amis nous avaient prĂ©venus que la direction limitait les entrĂ©es pour conserver un caractĂšre intimiste. Nous commandĂąmes une bouteille de champagne. Mon cĆur battait la chamade, je me sentais extrĂȘmement mal Ă lâaise et un peu honteux. Je voulais partir et en fis part Ă mon Ă©pouse qui me proposa de finir tranquillement la bouteille et de voir ensuite. Tous en sirotant notre champagne nous observions lâassemblĂ©e et ne manquions pas quelques commentaires sur celui-ci ou celle-ci. Il y avait quelques belles femmes, court vĂȘtu, sans vulgaritĂ©, qui attiraient mon regard. Je repĂ©rais aussi un travesti et quelques instants plus tard un second, ce qui me rassura quelque peu.
Nous en Ă©tions Ă notre derniĂšre flute lorsque lâatmosphĂšre changea sensiblement, quelques couples Ă 2, 3 ou 4 sâĂ©taient formĂ©s et commençaient Ă sâembrasser. Des mains baladeuses ne tardĂšrent pas Ă se promener sur le corps des partenaires. SâĂ©tait trĂšs excitant et lorsque je vis lâun des travestis embrasser goulument une femme je me dis quâaprĂšs tout jâavais peut-ĂȘtre une chance. Je fouillais la salle Ă la recherche dâune proie lorsque je sentis la main de ma femme sur ma cuisse quâelle commença Ă caresser. « Câest trĂšs excitant tu ne trouves pas, embrasse-moi ! ». JâobtempĂ©rais avec joie et nos bouches se soudĂšrent pour un baiser trĂšs sensuel tandis que sa main continuait Ă me caresser la cuisse et que je commençais Ă faire de mĂȘme.
Nous fĂźmes interrompus par un « Bonjour Mesdames. Excusez-moi de vous dĂ©ranger mais je vois que votre bouteille est vide, voudriez-vous en partager une autre avec moi ? ». Jâallais rĂ©pondre au malotru dâaller jouer ailleurs mais je fus devancĂ© par mon Ă©pouse qui y alla dâun « Mais bien, sur, avec grand plaisir ! » avec un sourire coquin que je lui connaissais si bien. Lâinconnu sâinstalla et commanda une bouteille. Il Ă©tait plutĂŽt bel homme, la quarantaine passĂ©e, jâaurais pariĂ© pour 45 ans. Il devait mesurer un peu plus dâun mĂštre 80 et semblai sportif, les yeux marrons derriĂšre des lunettes et des cheveux poivre et sel.
- Je mâappelle SĂ©bastien. Jâai lâimpression que vous vous amusiez bien et je nâespĂšre ne pas interrompre quelque chose. Nous annonça-t-il.
- Non, pas du tout. Nous en Ă©tions aux mises en bouches si lâon peut dire. Lui rĂ©pondit ma femme.
- Vous ĂȘtes copines, mariĂ©es peut ĂȘtre. Il est surprenant de vous voir habillĂ©es Ă lâidentique.
- Nous sommes mariĂ©s. En fait je suis avec mon mari, StĂ©phane (oui câest moi) et je suis Sandrine.
Il resta quelques instants sans voie avant de poursuivre.
- EnchantĂ© de vous rencontrer Sandrine et StĂ©phane dit-il en me regardant dâun Ćil perçant.
- Vous ĂȘtes travesti StĂ©phane ? me demanda-t-il, trĂšs direct le gars.
Je nâai Ă nouveau pas eu le temps de rĂ©pondre, ma femme sâen chargea.
- Non, câest juste un pari et une sorte de gage pour venir passer une soirĂ©e ici.
- Câest donc la premiĂšre fois que vous venez ? Demanda-t-il en remplissant les flutes de champagne.
Cela allait faire beaucoup, jâavais dĂ©jĂ la tĂȘte qui tournait un peu aprĂšs la premiĂšre bouteille.
- Oui câest notre premiĂšre fois. Jâavoue que nous sommes un peu perdus et surpris mais aussi trĂšs excitĂ©s.
En effet, dans la salle les mains et les bouches avaient trouvĂ© des chemins sous les vĂȘtements et il y avait de plus en plus de peaux nues.
- Câest vrai, la premiĂšre fois ça peut surprendre. Mais le but ici est de se faire plaisir, sans gĂšnes et sans tabous. Nous sommes tous lĂ pour ça, nous partageons tous le mĂȘme objectif, nous faire plaisir et faire plaisir en retour au travers dâĂ©changes sexuels.
- Oui je vois ça. Répondit ma femme en montrant la salle.
En effet, certains Ă©taient passĂ©s Ă lâĂ©tape supĂ©rieure, il y avait quelques fellations et cunnilingus en cours. Je vis mĂȘme le travesti, se robe remontĂ©e sur sa taille, se faire sucer par sa copine. Je mâabandonnais quelques instants dans la contemplation de ce tableau trĂšs Ă©rotique. Lorsque je me retournais vers ma femme et SĂ©bastien, je les trouvais en train de sâembrasser goulument. Une main de SĂ©bastien Ă©tait trĂšs haute entre les cuisses de ma femme tandis quâune des siennes Ă©tait posĂ©e sur sa braguette. Sans voix je les observais un instant, je vis leurs langues se mĂ©langer, leurs mains sâactiver. Bien que trĂšs excitĂ© par la situation jâallais protester mais une fois de plus je fus pris de court, SĂ©bastien sâarracha aux lĂšvres de ma femme et lui dit en la regardant intensĂ©ment :
- Jâai rĂ©servĂ© une chambre au cas oĂč, ça te dirait que nous y allions ?
- Oh ! Oui ! Sâil le souhaite mon mari peut-il venir, je ne voudrais lâabandonner.
- Bien sûr ! Plus on est de fous plus on rigole !
Et nây une ni deux nous nous retrouvions dans une chambre spacieuse avec salle de bain et lit king size. Ă peine la porte franchie SĂ©bastien sâĂ©tait jetĂ© sur ma femme et lâembrassait tout en lui plotant les fesses. Ma femme me fit signe de me rapprocher, ce que je fis. Elle quitta la bouche de SĂ©bastien pour trouver la mienne et mâembrasser passionnĂ©ment tandis que, par dĂ©faut, il lui embrassait le cou. Je sentis une main me caresser les fesses. Je pris conscience que câĂ©tait celle de SĂ©bastien et je compris quâil nous caressait Sandrine et moi. Trop excitĂ© par la situation je laissais faire et allais Ă©galement sur les fesses ma femme. Jây rencontrais celle de SĂ©bastien et nous nous sommes lancĂ©s dans un ballet Ă deux mains sur la piste de ses fesses. Je sentis une main de ma femme chercher et trouver mon sexe quâelle commença Ă caresser. A la crispation de la main de SĂ©bastien je compris quâelle avait fait de mĂȘme avec le sien. Nous poursuivĂźmes ainsi, ma femme alternant les bouches, mes fesses et celles de ma femme se faisant malaxĂ©es tandis quâelle nous caressait.
Soudain elle est tombĂ©e Ă genoux et en un rien de temps elle avait ouvert le pantalon de SĂ©bastien, fait tomber ma jupe et mon string. Nos deux sexes pontaient vers elle. Elle les prit en main tous les deux et commença Ă les caresser. CâĂ©tait Ă©trange de voir une autre queue que mienne et encore plus dans la main de ma femme. Mais le plus choquant fut quand elle remplaça sa main par sa bouche. AlcoolisĂ© et excitĂ© par sa main sur mon sexe et celle de SĂ©bastien qui me caressait les fesses, je laissais faire. BientĂŽt elle quitta sa queue pour prendre la mienne. Je ne rĂ©ussis pas Ă contenir et gĂ©missement de plaisir. Je sentis alors la main de SĂ©bastien me prendre le coup et mâattirer Ă lui pour mâembrasser. Je tentais de mâĂ©loigner mais sa poigne Ă©tait ferme et sa langue aventureuse. Je tentais de le repousser des deux mains mais son Ă©treinte trop rigide et ma queue maintenue fermement par ma femme ne me laissaient que peu de champ. Finalement sa langue rĂ©ussie Ă me pĂ©nĂ©trer la bouche et Ă trouver ma langue. Je me dĂ©battais encore un peu, pour la forme car son baiser mâĂ©lectrisait et je mây abandonnais bientĂŽt tandis que ma femme, qui avait tout vu et fait en sorte que je ne puisse pas trop me dĂ©battre en mâemprisonnant le sexe, reprenait sa fellation.
SĂ©bastien quitta mes lĂšvres et avec un clin dâĆil mâannonça « Au fait, jâaime autant les femmes que les hommes et si ta femme est trĂšs jolie, tu es trĂšs mignon Ă©galement et ton cĂŽtĂ© fĂ©minin ainsi travesti est trĂšs attirant. ». Mon dieu ! Dans quel guĂȘpier Ă©tions-nous tombĂ©, il voulait baiser qui ma femme ou moi ? Je lui posais la question et il rĂ©pondit en riant « Mais les deux mon capitaine ! ». LĂ -dessus il mâattrapa les joues et mâattira Ă lui pour reprendre son baiser tandis que ma femme me quittait pour sa queue, sa main remplaçant sa bouche.
Ma femme finit par remonter et nous lança « Eh les mecs, je peux jouer avec vous ? ». AussitĂŽt SĂ©bastien libĂ©ra ma bouche et sâempara de la sienne. Un peu dĂ©laissĂ© je mâoccupais de ma femme, je commençais Ă lui hotter son chemisier, bouton par bouton, ma bouche embrassant chaque centimĂštre de peau dĂ©couverte. Je mâattardais sur ses seins que je laissais dans le soutien-gorge mais que je malaxais doucement tout en parcourant les surfaces dĂ©couvertes du bout de la langue. Jâarrivais finalement Ă la jupe que je dĂ©grafais et descendais Ă ses pieds. En remontant doucement je lui caressais les jambes et lorsque ma bouche arriva Ă hauteur de son sexe, je lâembrassais. Elle Ă©carta un peu les jambes et jâalternais bisous et caresses du bout des doigts finalement je descendis aussi son string. Mes mains sur ses fesses, je parcourais sa chatte du bout de la langue avant de la manger. Je fus sorti de mon application buccale par de petits coups sur ma joue, un peu agacĂ©, je tournais la tĂȘte pour voir ce qui se passait et dĂ©couvris le sexe tendu de SĂ©bastien qui, profitant de ce que jâavais la bouche ouverte sây engouffra. Je sentis alors 4 mains sur ma tĂȘte qui mâempĂȘchĂšrent de me relever et de reculer tandis que sa queue commençait Ă aller en venir dans ma bouche.
Mais jâavais lĂąchĂ© prise depuis quâil mâavait embrassĂ© alors jâacceptais cette nouvelle Ă©preuve qui au final nâen Ă©tait pas une. Ils le comprirent et les mains disparurent tandis que jâimprimais de moi-mĂȘme un mouvement de va et vient sur cette queue tendue. CâĂ©tait finalement trĂšs excitant de sucer une queue et jâessayais de mâappliquer, de faire ce que Sandrine me fait, ce que jâaime particuliĂšrement. Et puis jâai commencĂ© Ă alterner entre sa chatte et sa queue tandis quâils continuaient Ă sâembrasser et Ă se caresser. Je finis par me relever et SĂ©bastien nous poussa sur le lit oĂč Sandrine et moi tombions allongĂ©s sur le dos. « Quelle vue magnifique ! » nous annonça SĂ©bastien et il se jeta entre les jambes de ma femme pour lui manger la chatte tandis quâune main attrapais mon sexe. Il fit comme moi un peu plus tĂŽt et alterna ses caresses buccales entre nos sexes. Sa deuxiĂšme main ne resta pas longtemps inactive, lorsquâil prenait ma queue dans sa bouche il en profitait pour passer entre mes fasse et me masser lâĆillet, jâimaginais sans mal quâil faisait de mĂȘme Ă ma femme.
Ă ce rythme je nâallais pas tenir encore longtemps, je sentais poindre la jouissance. Câest Ă cet instant quâil annonça « Mes chĂ©ris, vous ĂȘtre prĂȘts ! Sandrine, veux-tu bien venir chevaucher ton homme ? ». Sans rĂ©pondre, lâĆil Ă©tincelant elle se positionna sur moi et elle Ă©tait tellement excitĂ©e quâelle sâassit sur mon pubis en elle seul mouvement. Je poussais un gĂ©missement de satisfaction en sentant mon sexe entrer dans ce fourreau chaud et humide. Elle commença quelques mouvements de hanches, se soulevant et redescendant, comme une cavaliĂšre sur son cheval. Mais SĂ©bastien lâarrĂȘta « Belle Sandrine, voudrais-tu te coucher sur ton mari ? ». Se quelle fit et nous en profitĂąmes pour nous embrasser, sa bouche avait le gout caractĂ©ristique du plaisir. Je commençais quelques mouvements de bassins quand soudain elle quitta ma bouche et lança un « Ohh ! » tandis que je sentis quelque chose avancer sur ma queue toujours en elle. Je compris quâil venait de la sodomiser. Câest alors lui qui donna le rythme de la chevauchĂ©e, ma femme prise en sandwich gĂ©missait et rĂąlait de plaisir. Je sentais sa queue frotter la mienne Ă lâintĂ©rieur de ma femme et je tentais de donner un rythme coordonnĂ© aux siens. SâĂ©tait tellement bon que jâallais exploser quand ma femme cria sa jouissance et SĂ©bastien et moi rallĂąmes de concert en nous vidant en elle.
Je sentis SĂ©bastien quitter ma femme que jâenlaçais, toujours en elle. Nous sommes restĂ©s un moment ainsi dans une douce bĂ©atitude qui fut brisĂ©e par SĂ©bastien qui annonça « Merci les tourtereaux, jâai passĂ© un trĂšs agrĂ©able moment. Si vous repassez par-lĂ faites-moi signe, il y a encore plein dâautres plaisirs Ă dĂ©couvrir. Je vous ai laissĂ© ma carte sur le guĂ©ridon. Bonne fin de soirĂ©e. » et, sur ces paroles un peu Ă©nigmatiques, il est parti. Il nous a fallu plus de temps pour sortir de notre torpeur et nous rajuster. Sur la route du retour nous avons beaucoup parler de cette soirĂ©e et des plaisirs que nous avions eu. A ces questions quant au baiser et Ă la fellation, je lui ai avouĂ© que jâavais finalement aimĂ© ça. Je nâĂ©tais pas prĂȘt Ă le refaire, car cela ne mâattire pas mais sur le moment ce nâĂ©tait pas dĂ©sagrĂ©able.
Ce soir-lĂ ou plutĂŽt ce matin-lĂ nous nous sommes endormis sagement, ne nous doutant pas que de nouvelles aventures nous attendaient.
[Si vous nâavez pas lu les Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents, je vous le conseil fortement. Bonne lecture]
Nous avons Ă nouveau repris une vie sexuelle moins intense mais dĂ©but novembre des amis qui sont venus dĂźner nous ont fait lâĂ©loge de lâĂ©changisme et vantĂ© les mĂ©rites dâun cĂ©lĂšbre Ă©tablissement lyonnais. Ă leur dĂ©part se fut notre sujet de conversation, jâĂ©tais trĂšs enthousiaste mais ma femme pas du tout. Ce nâest pas que je voulais la tromper juste une envie dâaventure. Je le voyais comme un jeu un peu dangereux, plein dâadrĂ©naline et de suspens. Ă force dâinstance je finis par la persuader mais elle posa une condition que je trouvais inacceptable, je devais mâhabiller comme elle. Vous me connaissez, je nâai pas rĂ©sistĂ© longtemps et rendez-vous fut pris pour le 18 novembre. Ma femme nous acheta deux ensembles identiques : jupe courte noire croisĂ©e sur le devant avec la veste assortie et chemisier blanc en satin blanc Ă manches longues. Il y avait Ă©galement un manteau court beige clair et un foulard. Pour la lingerie il y avait un ensemble porte-jarretelles, soutien-gorge et string satinĂ©s beiges avec des liserĂ©s et motifs en dentelle noirs. Pour les bas, noirs, opaques et avec jarretiĂšre.
Nous avons pris un congĂ© le vendredi pour pouvoir nous prĂ©parer et la sĂ©ance habituelle de prĂ©paration du corps, dâhabillage et de maquillage recommença. Comme il fallait sortir elle me fit quitter ma montre et me prĂȘta un bracelet et un collier. Une fois de plus jâĂ©tais mĂ©connaissable et ayant maintenant lâhabitude des talons, tant quâil ne faudra pas parler ça devrait passer. Mais comment faire une rencontre ? Peut-ĂȘtre une lesbienne qui serait trĂšs surprise Ă un moment ou Ă un autre ? Ou une femme qui partage les mĂȘmes fantasmes que ma femme, ça existe ?
Vers 22H00 nous quittons le domicile, je laisse le volant Ă ma femme, je marche avec des talons mais de lĂ Ă conduire, et nous nous rendons dans le club recommandĂ© auprĂšs duquel nous avions fait une rĂ©servation pour ĂȘtre certains de trouver de la place.
En arrivant nous avons trouvĂ© un endroit trĂšs cosy et chic. Nous nous sommes rapidement installĂ©s dans une alcĂŽve vide sans trop attirer les regards. Il y avait du monde mais pas trop, nos amis nous avaient prĂ©venus que la direction limitait les entrĂ©es pour conserver un caractĂšre intimiste. Nous commandĂąmes une bouteille de champagne. Mon cĆur battait la chamade, je me sentais extrĂȘmement mal Ă lâaise et un peu honteux. Je voulais partir et en fis part Ă mon Ă©pouse qui me proposa de finir tranquillement la bouteille et de voir ensuite. Tous en sirotant notre champagne nous observions lâassemblĂ©e et ne manquions pas quelques commentaires sur celui-ci ou celle-ci. Il y avait quelques belles femmes, court vĂȘtu, sans vulgaritĂ©, qui attiraient mon regard. Je repĂ©rais aussi un travesti et quelques instants plus tard un second, ce qui me rassura quelque peu.
Nous en Ă©tions Ă notre derniĂšre flute lorsque lâatmosphĂšre changea sensiblement, quelques couples Ă 2, 3 ou 4 sâĂ©taient formĂ©s et commençaient Ă sâembrasser. Des mains baladeuses ne tardĂšrent pas Ă se promener sur le corps des partenaires. SâĂ©tait trĂšs excitant et lorsque je vis lâun des travestis embrasser goulument une femme je me dis quâaprĂšs tout jâavais peut-ĂȘtre une chance. Je fouillais la salle Ă la recherche dâune proie lorsque je sentis la main de ma femme sur ma cuisse quâelle commença Ă caresser. « Câest trĂšs excitant tu ne trouves pas, embrasse-moi ! ». JâobtempĂ©rais avec joie et nos bouches se soudĂšrent pour un baiser trĂšs sensuel tandis que sa main continuait Ă me caresser la cuisse et que je commençais Ă faire de mĂȘme.
Nous fĂźmes interrompus par un « Bonjour Mesdames. Excusez-moi de vous dĂ©ranger mais je vois que votre bouteille est vide, voudriez-vous en partager une autre avec moi ? ». Jâallais rĂ©pondre au malotru dâaller jouer ailleurs mais je fus devancĂ© par mon Ă©pouse qui y alla dâun « Mais bien, sur, avec grand plaisir ! » avec un sourire coquin que je lui connaissais si bien. Lâinconnu sâinstalla et commanda une bouteille. Il Ă©tait plutĂŽt bel homme, la quarantaine passĂ©e, jâaurais pariĂ© pour 45 ans. Il devait mesurer un peu plus dâun mĂštre 80 et semblai sportif, les yeux marrons derriĂšre des lunettes et des cheveux poivre et sel.
- Je mâappelle SĂ©bastien. Jâai lâimpression que vous vous amusiez bien et je nâespĂšre ne pas interrompre quelque chose. Nous annonça-t-il.
- Non, pas du tout. Nous en Ă©tions aux mises en bouches si lâon peut dire. Lui rĂ©pondit ma femme.
- Vous ĂȘtes copines, mariĂ©es peut ĂȘtre. Il est surprenant de vous voir habillĂ©es Ă lâidentique.
- Nous sommes mariĂ©s. En fait je suis avec mon mari, StĂ©phane (oui câest moi) et je suis Sandrine.
Il resta quelques instants sans voie avant de poursuivre.
- EnchantĂ© de vous rencontrer Sandrine et StĂ©phane dit-il en me regardant dâun Ćil perçant.
- Vous ĂȘtes travesti StĂ©phane ? me demanda-t-il, trĂšs direct le gars.
Je nâai Ă nouveau pas eu le temps de rĂ©pondre, ma femme sâen chargea.
- Non, câest juste un pari et une sorte de gage pour venir passer une soirĂ©e ici.
- Câest donc la premiĂšre fois que vous venez ? Demanda-t-il en remplissant les flutes de champagne.
Cela allait faire beaucoup, jâavais dĂ©jĂ la tĂȘte qui tournait un peu aprĂšs la premiĂšre bouteille.
- Oui câest notre premiĂšre fois. Jâavoue que nous sommes un peu perdus et surpris mais aussi trĂšs excitĂ©s.
En effet, dans la salle les mains et les bouches avaient trouvĂ© des chemins sous les vĂȘtements et il y avait de plus en plus de peaux nues.
- Câest vrai, la premiĂšre fois ça peut surprendre. Mais le but ici est de se faire plaisir, sans gĂšnes et sans tabous. Nous sommes tous lĂ pour ça, nous partageons tous le mĂȘme objectif, nous faire plaisir et faire plaisir en retour au travers dâĂ©changes sexuels.
- Oui je vois ça. Répondit ma femme en montrant la salle.
En effet, certains Ă©taient passĂ©s Ă lâĂ©tape supĂ©rieure, il y avait quelques fellations et cunnilingus en cours. Je vis mĂȘme le travesti, se robe remontĂ©e sur sa taille, se faire sucer par sa copine. Je mâabandonnais quelques instants dans la contemplation de ce tableau trĂšs Ă©rotique. Lorsque je me retournais vers ma femme et SĂ©bastien, je les trouvais en train de sâembrasser goulument. Une main de SĂ©bastien Ă©tait trĂšs haute entre les cuisses de ma femme tandis quâune des siennes Ă©tait posĂ©e sur sa braguette. Sans voix je les observais un instant, je vis leurs langues se mĂ©langer, leurs mains sâactiver. Bien que trĂšs excitĂ© par la situation jâallais protester mais une fois de plus je fus pris de court, SĂ©bastien sâarracha aux lĂšvres de ma femme et lui dit en la regardant intensĂ©ment :
- Jâai rĂ©servĂ© une chambre au cas oĂč, ça te dirait que nous y allions ?
- Oh ! Oui ! Sâil le souhaite mon mari peut-il venir, je ne voudrais lâabandonner.
- Bien sûr ! Plus on est de fous plus on rigole !
Et nây une ni deux nous nous retrouvions dans une chambre spacieuse avec salle de bain et lit king size. Ă peine la porte franchie SĂ©bastien sâĂ©tait jetĂ© sur ma femme et lâembrassait tout en lui plotant les fesses. Ma femme me fit signe de me rapprocher, ce que je fis. Elle quitta la bouche de SĂ©bastien pour trouver la mienne et mâembrasser passionnĂ©ment tandis que, par dĂ©faut, il lui embrassait le cou. Je sentis une main me caresser les fesses. Je pris conscience que câĂ©tait celle de SĂ©bastien et je compris quâil nous caressait Sandrine et moi. Trop excitĂ© par la situation je laissais faire et allais Ă©galement sur les fesses ma femme. Jây rencontrais celle de SĂ©bastien et nous nous sommes lancĂ©s dans un ballet Ă deux mains sur la piste de ses fesses. Je sentis une main de ma femme chercher et trouver mon sexe quâelle commença Ă caresser. A la crispation de la main de SĂ©bastien je compris quâelle avait fait de mĂȘme avec le sien. Nous poursuivĂźmes ainsi, ma femme alternant les bouches, mes fesses et celles de ma femme se faisant malaxĂ©es tandis quâelle nous caressait.
Soudain elle est tombĂ©e Ă genoux et en un rien de temps elle avait ouvert le pantalon de SĂ©bastien, fait tomber ma jupe et mon string. Nos deux sexes pontaient vers elle. Elle les prit en main tous les deux et commença Ă les caresser. CâĂ©tait Ă©trange de voir une autre queue que mienne et encore plus dans la main de ma femme. Mais le plus choquant fut quand elle remplaça sa main par sa bouche. AlcoolisĂ© et excitĂ© par sa main sur mon sexe et celle de SĂ©bastien qui me caressait les fesses, je laissais faire. BientĂŽt elle quitta sa queue pour prendre la mienne. Je ne rĂ©ussis pas Ă contenir et gĂ©missement de plaisir. Je sentis alors la main de SĂ©bastien me prendre le coup et mâattirer Ă lui pour mâembrasser. Je tentais de mâĂ©loigner mais sa poigne Ă©tait ferme et sa langue aventureuse. Je tentais de le repousser des deux mains mais son Ă©treinte trop rigide et ma queue maintenue fermement par ma femme ne me laissaient que peu de champ. Finalement sa langue rĂ©ussie Ă me pĂ©nĂ©trer la bouche et Ă trouver ma langue. Je me dĂ©battais encore un peu, pour la forme car son baiser mâĂ©lectrisait et je mây abandonnais bientĂŽt tandis que ma femme, qui avait tout vu et fait en sorte que je ne puisse pas trop me dĂ©battre en mâemprisonnant le sexe, reprenait sa fellation.
SĂ©bastien quitta mes lĂšvres et avec un clin dâĆil mâannonça « Au fait, jâaime autant les femmes que les hommes et si ta femme est trĂšs jolie, tu es trĂšs mignon Ă©galement et ton cĂŽtĂ© fĂ©minin ainsi travesti est trĂšs attirant. ». Mon dieu ! Dans quel guĂȘpier Ă©tions-nous tombĂ©, il voulait baiser qui ma femme ou moi ? Je lui posais la question et il rĂ©pondit en riant « Mais les deux mon capitaine ! ». LĂ -dessus il mâattrapa les joues et mâattira Ă lui pour reprendre son baiser tandis que ma femme me quittait pour sa queue, sa main remplaçant sa bouche.
Ma femme finit par remonter et nous lança « Eh les mecs, je peux jouer avec vous ? ». AussitĂŽt SĂ©bastien libĂ©ra ma bouche et sâempara de la sienne. Un peu dĂ©laissĂ© je mâoccupais de ma femme, je commençais Ă lui hotter son chemisier, bouton par bouton, ma bouche embrassant chaque centimĂštre de peau dĂ©couverte. Je mâattardais sur ses seins que je laissais dans le soutien-gorge mais que je malaxais doucement tout en parcourant les surfaces dĂ©couvertes du bout de la langue. Jâarrivais finalement Ă la jupe que je dĂ©grafais et descendais Ă ses pieds. En remontant doucement je lui caressais les jambes et lorsque ma bouche arriva Ă hauteur de son sexe, je lâembrassais. Elle Ă©carta un peu les jambes et jâalternais bisous et caresses du bout des doigts finalement je descendis aussi son string. Mes mains sur ses fesses, je parcourais sa chatte du bout de la langue avant de la manger. Je fus sorti de mon application buccale par de petits coups sur ma joue, un peu agacĂ©, je tournais la tĂȘte pour voir ce qui se passait et dĂ©couvris le sexe tendu de SĂ©bastien qui, profitant de ce que jâavais la bouche ouverte sây engouffra. Je sentis alors 4 mains sur ma tĂȘte qui mâempĂȘchĂšrent de me relever et de reculer tandis que sa queue commençait Ă aller en venir dans ma bouche.
Mais jâavais lĂąchĂ© prise depuis quâil mâavait embrassĂ© alors jâacceptais cette nouvelle Ă©preuve qui au final nâen Ă©tait pas une. Ils le comprirent et les mains disparurent tandis que jâimprimais de moi-mĂȘme un mouvement de va et vient sur cette queue tendue. CâĂ©tait finalement trĂšs excitant de sucer une queue et jâessayais de mâappliquer, de faire ce que Sandrine me fait, ce que jâaime particuliĂšrement. Et puis jâai commencĂ© Ă alterner entre sa chatte et sa queue tandis quâils continuaient Ă sâembrasser et Ă se caresser. Je finis par me relever et SĂ©bastien nous poussa sur le lit oĂč Sandrine et moi tombions allongĂ©s sur le dos. « Quelle vue magnifique ! » nous annonça SĂ©bastien et il se jeta entre les jambes de ma femme pour lui manger la chatte tandis quâune main attrapais mon sexe. Il fit comme moi un peu plus tĂŽt et alterna ses caresses buccales entre nos sexes. Sa deuxiĂšme main ne resta pas longtemps inactive, lorsquâil prenait ma queue dans sa bouche il en profitait pour passer entre mes fasse et me masser lâĆillet, jâimaginais sans mal quâil faisait de mĂȘme Ă ma femme.
Ă ce rythme je nâallais pas tenir encore longtemps, je sentais poindre la jouissance. Câest Ă cet instant quâil annonça « Mes chĂ©ris, vous ĂȘtre prĂȘts ! Sandrine, veux-tu bien venir chevaucher ton homme ? ». Sans rĂ©pondre, lâĆil Ă©tincelant elle se positionna sur moi et elle Ă©tait tellement excitĂ©e quâelle sâassit sur mon pubis en elle seul mouvement. Je poussais un gĂ©missement de satisfaction en sentant mon sexe entrer dans ce fourreau chaud et humide. Elle commença quelques mouvements de hanches, se soulevant et redescendant, comme une cavaliĂšre sur son cheval. Mais SĂ©bastien lâarrĂȘta « Belle Sandrine, voudrais-tu te coucher sur ton mari ? ». Se quelle fit et nous en profitĂąmes pour nous embrasser, sa bouche avait le gout caractĂ©ristique du plaisir. Je commençais quelques mouvements de bassins quand soudain elle quitta ma bouche et lança un « Ohh ! » tandis que je sentis quelque chose avancer sur ma queue toujours en elle. Je compris quâil venait de la sodomiser. Câest alors lui qui donna le rythme de la chevauchĂ©e, ma femme prise en sandwich gĂ©missait et rĂąlait de plaisir. Je sentais sa queue frotter la mienne Ă lâintĂ©rieur de ma femme et je tentais de donner un rythme coordonnĂ© aux siens. SâĂ©tait tellement bon que jâallais exploser quand ma femme cria sa jouissance et SĂ©bastien et moi rallĂąmes de concert en nous vidant en elle.
Je sentis SĂ©bastien quitter ma femme que jâenlaçais, toujours en elle. Nous sommes restĂ©s un moment ainsi dans une douce bĂ©atitude qui fut brisĂ©e par SĂ©bastien qui annonça « Merci les tourtereaux, jâai passĂ© un trĂšs agrĂ©able moment. Si vous repassez par-lĂ faites-moi signe, il y a encore plein dâautres plaisirs Ă dĂ©couvrir. Je vous ai laissĂ© ma carte sur le guĂ©ridon. Bonne fin de soirĂ©e. » et, sur ces paroles un peu Ă©nigmatiques, il est parti. Il nous a fallu plus de temps pour sortir de notre torpeur et nous rajuster. Sur la route du retour nous avons beaucoup parler de cette soirĂ©e et des plaisirs que nous avions eu. A ces questions quant au baiser et Ă la fellation, je lui ai avouĂ© que jâavais finalement aimĂ© ça. Je nâĂ©tais pas prĂȘt Ă le refaire, car cela ne mâattire pas mais sur le moment ce nâĂ©tait pas dĂ©sagrĂ©able.
Ce soir-lĂ ou plutĂŽt ce matin-lĂ nous nous sommes endormis sagement, ne nous doutant pas que de nouvelles aventures nous attendaient.
2 years ago