Un couple normal ou presque (6)

[Entre homme et femme] [sodomie] [travesti]

[Si vous n’avez pas lu les Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]

AprÚs cette folle soirée nous avons repris un rythme et des pratiques « classique » mais toujours en lingerie. Seule petite différence, lorsque je rentrais du boulot je quittais mon costume pour passer la robe et les escarpins dont je commençais à maitriser la pratique et qui me faisaient moins mal aux pieds. Si ma femme en avait ri au début, elle ne faisait plus de remarque et se changement de peau me faisant le plus grand bien.

Et puis, un soir d’octobre elle me demanda si ça me plairait de rĂ©essayer le god ? Notre sĂ©ance prĂ©cĂ©dente ayant Ă©tĂ© fantastique je ne pouvais que de rĂ©pondre par l’affirmative. Mais je fus surpris lorsqu’elle prĂ©cisa « Pas pour moi, pour toi ». J’eu un moment d’hĂ©sitation mais au final, j’y avais pris du plaisir et l’idĂ©e m’excita et j’acceptais. Elle me donna rendez-vous au vendredi suivant, dans 3 jours. TrĂšs excitĂ©, ce soir-lĂ  nous avons fait l’amour rapidement mais bestialement.

Le jeudi elle me prĂ©cisa qu’elle me voulait comme lors de notre « grande sĂ©ance » en robe et tout et tout. Le jour dit, en rentrant du boulot je me prĂ©cipitais rĂ©cupĂ©rer le nĂ©cessaire dans mon armoire et m’enfermais dans la salle de bain pour une sĂ©ance contrĂŽle de l’épilation, douche, crĂšme pour le corps, habillage et maquillage. La derniĂšre fois c’est ma femme qui s’en Ă©tait occupĂ© autant vous dire que j’ai galĂ©rĂ© mais le rĂ©sultat Ă©tait plutĂŽt satisfaisant et aprĂšs pas loin de deux heure je suis sorti de la salle de bain. À ma grande surprise mon Ă©pouse n’était pas rentrĂ©e et en l’attendant je prĂ©parais l’apĂ©ritif. Elle rentra alors que je sortais la bouteille de champagne du frigo et vint m’embrasser tendrement. Elle me complimenta sur ma tenue, ce qui me fit plaisir, et me dit qu’elle faisait un petit tour par la salle de bain avant l’apĂ©ro.

En l’attendant je m’installais dans le canapĂ© et allumais la tĂ©lĂ© pour ne pas trop penser Ă  la soirĂ©e qui nous attendait. Le documentaire sur la vie d’un groupe de lions dans la savane africaine sur lequel je tombais ne m’aida pas vraiment. Quand ma femme me rejoignit le lion du groupe commençait Ă  vouloir monter une lionne en chaleur, pile poil dans le ton de la soirĂ©e. Elle Ă©tait superbe, dans la mĂȘme robe que la mienne, j’imaginais la mĂȘme lingerie que la mienne et j’eu un dĂ©but d’érection. Elle vient vers tout en sensualitĂ© et avec ce petit sourire mutin. Elle portait un sac en plastique qu’elle dĂ©posa au pied de la table basse avant de nous servir le champagne. Se faisant elle se pencha, un peu plus que nĂ©cessaire je pense, et j’admirait ses fesses et ses jambes sur lesquels la robe remontait le haut des bas et les jarretelles arriĂšres. Mon dĂ©but d’érection se confirma dans la seconde. Elle se releva pour m’apporter mon verre, consciente de son effet et de mon Ă©moi et s’assit sur mes genoux. Nous trinquĂąmes Ă  la semaine passĂ©e et Ă  la soirĂ©e Ă  venir et engageĂąmes la conversation seule diffĂ©rence, elle Ă©tait sur mes genoux et je pouvais luis caresser les cuisses tout en discutant.

AprĂšs la deuxiĂšme flute de champagne ma main a commencĂ© Ă  s’aventurer un peu plus haut passant sous sa robe pour caresser sa peau. Elle posa alors nos deux flutes sur la table basse et revint s’assoir sur mes genoux, ma main retrouva sa place et nos bouches se soudĂšrent dans un baiser passionnĂ©. Ces cuisses s’écartĂšrent m’indiquant que je pouvais passer de l’extĂ©rieur Ă  l’intĂ©rieur, ce que je fis sans me faire prier et ne tardais pas Ă  remonter plus haut et lui caresser le minou du bout des doigts. Elle m’embrassa plus avidement et mes doigts se firent plus instants. Du plat de la main je la caressais plus Ă©nergiquement, son souffle s’accĂ©lĂ©ra, son baiser pris un gout mĂ©tallique signe de son excitation et ses hanches commencĂšrent Ă  aller et venir au rythme de ma main. J’écartais le tissu humide et la pĂ©nĂ©trais de deux doits tandis que mon pouce trouvait son clitoris et le titillait tandis que mes doigts allaient et venaient. Elle abandonna mes lĂšvres et s’allongea sur le canapĂ©, les fesse toujours sur mes genoux et mes doigts en elle. Elle s’abandonnait. Ainsi offerte je pouvais accĂ©lĂ©rer la cadence et la profondeur de mes pĂ©nĂ©trations tandis que le plat de ma main lui caressait toute la chatte. Elle a commencĂ© Ă  gĂ©mir et son bassin Ă  onduler, signe d’un orgasme proche. J’ai encore accentuer la cadence de ma caresse. Dans un cri son bassin s’est tendu et a Ă©tĂ© pris de soubresauts. C’est beau une femme qui jouit. J’ai dĂ©licatement retirĂ© mes doigts et me suis penchĂ© pour lui faire un bisou sur sa chatte et boire un peu Ă  la source de son plaisir avant de doucement la recouvrir de sa culote.

Je la regardais reprendre ses esprits. Quand enfin elle me sourit, l’air Ă©panouie, elle me dit « Et bien mon coquin, c’est la premiĂšre fois que tu me fais jouir avec tes doigts, ce sera Ă  refaire, merci. ». AprĂšs encore quelques instants elle me dit « Aller mon chĂ©ri, je vais me refaire une beautĂ© et je m’occupe de ton cas ». Cette phrase suffit Ă  faire augmenter mon Ă©rection qui Ă©tait dĂ©jĂ  bien engagĂ©e de la petite sĂ©ance de doitage que je venais e lui prodiguer. Elle revient quelques minutes plus tard, la robe rĂ©ajustĂ©e et le maquillage refait, superbe quoi. J’étais impatient de savoir ce qu’elle allait me faire tout en connaissant la fin, je ne doutais pas que le sac qu’elle avait apportĂ© contenait le god. Je fus surpris de l’entendre me demander de me mettre Ă  genoux sur le bord du canapĂ©, les coudes et le torse sur le dossier mais j’obtempĂ©rais. Je l’entendis fouiller dans le sac et en sortir un masque de nuit « Tiens, met ça, il parait que les sensations sont plus fortes ainsi ». Trop excitĂ© pour protester le passait sur mes yeux et me retrouvais dans le noir. J’entendis sortir de choses du sac et les poser sur le canapĂ© Ă  cĂŽtĂ© de moi. « Écarte un peu les jambes mon chĂ©ri ».

J’obtempĂ©rais et je sentis son bassin venir se coller contre mes fesses et onduler. Ses mains ne tardĂšrent pas Ă  me caresser le dos et Ă  att****r mes hanches et les tirer pour mieux coller mes fesses contre elle. Elles quittĂšrent mes hanches pour descendre sur mes fesses et poursuivre vers mes jambes. Elle Ă©tait contre mon dos pour aller au plus bas. S’était trĂšs sensuel comme caresses. En remontant elle prit le bas de ma robe qu’elle remonta sur mes hanches et repris ses caresses, le dos, les hanches, les fesse et les cuisses. Cette fois, en remontant elle est passĂ©e par devant, le haut des bas, le haut des cuisses, mon sexe sur lequel elle s’est arrĂȘtĂ©e pour le caressĂ© du plat de la main, mon ventre et mon torse. Elle poursuivit ces caresses en alternant avant arriĂšre un bon nombre de fois. En moi-mĂȘme je confirmais que le port du masque amplifiait les sensations, c’était trĂšs Ă©rotique, trĂšs agrĂ©able. Bien que mon sexe soit bien dur je me sentais trĂšs dĂ©tendu, mon corps emplit d’une sensuelle plĂ©nitude. Puis je l’ai sentie descendre dans mon dos, j’ai senti son souffle contre mes fesses avant de sentir se lĂšvres leurs faire des baisers tandis que sa main dĂ©gageait mon sexe du tanga, l’attrapait et le ramenait en arriĂšre dans une position pas trĂšs confortable mais lorsque je sentis sa bouche l’avaler je l’oubliais rapidement. AprĂšs une courte fellation sa langue est remontĂ©s le long de mon sexe, a passĂ© la barriĂšre de mes bourses et est remontĂ©e vers mon anus.

Quelle caresse subtile, j’ai senti des dĂ©charges Ă©lectriques m’allumer le ventre. Elle m’a demandĂ© d’écarter les fesses, ce que j’ai fait avec mes deux mains et a poursuivi son anulingus. Les dĂ©charges Ă©lectriques ne s’arrĂȘtaient pas et je gĂ©missais doucement. GĂ©missements qui ont pris de l’ampleur lorsque j’ai senti un doigt remplacer sa langue et me pĂ©nĂ©trer doucement. AprĂšs quelques aller-retour il est sorti et j’ai entendu le clac caractĂ©ristique de l’ouverture du tube de gel. J’ai aussitĂŽt senti qu’elle m’en badigeonnait l’Ɠillet avant de me pĂ©nĂ©trer avec deux doigts. Elle prit un petit temps de pause en me disant de ne pas bouger, que j’étais trĂšs joli comme ça. AprĂšs quelques instants oĂč je l’entendis faire des bruits que je ne parvenais pas Ă  comprendre, ses doigts sont revenus avec une nouvelle dose de gel, leur pĂ©nĂ©tration fut plus profonde et plus rapide. Lorsqu’ils m’ont quittĂ© j’ai senti le god se prĂ©sentĂ©, je n’étais pas inquiet, j’étais dĂ©tendu et en demande. Il a forcĂ© un petit peu mais aprĂšs quelques petits coup le gland est passĂ©. Il est restĂ© sans bougĂ© quelques instants pour que je m’habitue et il a commencĂ© ses va et vient toujours plus profonds. Je gĂ©missais et avec surprise j’entendais ma femme gĂ©mir Ă©galement. Lorsqu’il arriva Ă  fond, je fus surpris de sentir les hanches de ma femme contre mes fesses. Mes mains qui les tenaient toujours Ă©cartĂ©es les lĂąchĂšrent pour confirmer. Mais je n’ai pas eu le temps de m’interroger plus que ça car j’ai senti ses mains m’agripper les hanches, le god a reculĂ© et d’un coup, ma femme me tirant vers elle tandis que le god avançait. J’ai gĂ©mi de plaisir et des Ă©toiles se sont allumĂ©es dans ma tĂȘte tandis qu’il poursuivait ses mouvements.

Ma femme gĂ©missait aussi, au mĂȘme rythme que moi, ses hanches claquaient contre mes fesses. Les assauts du god se firent plus rapides, plus profonds, nos gĂ©missements se transformĂšrent en rĂąles. Mes hanches allaient sans aide Ă  la rencontre de cet objet de plaisir, sa main gauche libĂ©ra ma hanche pour att****r mon sexe et le masturber violemment. Le plaisir fut si intense que je ne tardais pas Ă  jouir dans un cri de plaisir. Je sentis ma femme pousser un rĂąle et frĂ©mir dans mon dos avant que le god ne se retire doucement laissant une sensation de vide aprĂšs le plaisir qu’il m’avait donnĂ©. Ma femme essoufflĂ©e me donna une petite tape sur les fesses et me dit que je pouvais enlever mon masque. En l’enlevant et me retournant pour m’assoir je compris bien des choses, ma femme portait un god ceinture. Devant mon air ahuri elle s’exclama « Comme ça j’ai les mains libres pour te caresser et comme il est double moi aussi je prends du plaisir. Alors comment trouves-tu la version masculine de la double pĂ©nĂ©tration que tu m’as offerte l’autre soir ? ». Je lui rĂ©pondis, encore sous le coup de ma jouissance et de la surprise « Je n’en reviens pas mais c’était trĂšs agrĂ©able ». « Bien, je suis contente que cela t’ai plu, j’étais un peu inquiĂšte. Je n’étais pas sĂ»re qu’en tant qu’homme tu apprĂ©cies. Mais au final, un cul de femme vaut bien un cul d’homme et si on peut se le faire baiser, vous le pouvez aussi ».

Sur cette tirade trùs philosophique nous nous rajustñmes et finümes le champagne avant d’aller grignoter un morceau et nous coucher.
Published by thma69
2 years ago
Comments
1
Please or to post comments
babettevar 2 years ago
Trop bon j'en mouille
Reply