Un couple normal ou presque (4)

[Entre homme et femme] [sodomie] [travesti]

[Si vous n’avez pas lu les Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents, je vous le conseil fortement. Bonne lecture]

Les jours passĂšrent et nous Ă©vitions dorĂ©navant les caresses anales y compris la sodomie. Mais un jour ma femme a remis le sujet sur la table en me disant qu’elle aimerait essayer la double pĂ©nĂ©tration. Puisque nous avions un god, autant s’en servir. J’ai acceptĂ© de bon cƓur car l’idĂ©e de la sodomisĂ©e avec le god tout en lui fourrant la chatte avec ma queue m’excitait plutĂŽt bien. Nous avons convenu de nous y mettre dĂšs le soir venu. J’y serai bien aller tout de suite mais nous avions quelques rendez-vous Ă  honorer. Elle a dĂ» deviner mon excitation car elle a posĂ© une condition : « tu devras ĂȘtre maquillĂ© et porter une perruque. ». C’était hors de question, porter de la lingerie, ok mais me travestir, pas question ! Et donc plus de sexe. Pourtant elle m’aguichait joyeusement, portait ses tenues les plus sexy, dormait systĂ©matiquement en nuisette lĂ©gĂšre et n’hĂ©sitait pas Ă  se servir du god pour se faire plaisir nui et jour. Tant et si bien que j’ai craquĂ©, j’avais trop envie de lui faire l’amour.
DĂšs que je le lui annonçais elle jubila et m’annonça qu’elle le savait et avait tout prĂ©vu, y compris mon gage pour ne pas avoir acceptĂ© tout de suite. Elle me demanda d’aller me doucher, de m’épiler consciencieusement, de me raser et de porter ce qu’elle avait dĂ©posĂ© dans la salle de bain. Je me pliais Ă  sa volontĂ© de bon grĂ© en pensant Ă  la soirĂ©e dĂ©bridĂ©e qui nous attendait. AprĂšs l’épilation, la douche et le rasage je cherchais la lingerie qu’elle m’avait prĂ©parĂ©e. Bien sĂ»r je n’étais pas au bout de mes surprises, sous celle-ci se trouvait une robe ainsi que des escarpins Ă  ma taille. Je maugrĂ©ais mais bon, que ne ferais-je pas pour satisfaire les fantasmes de ma femme ? J’enfilais la lingerie, un serre taille satin et dentelle couleur taupe et crĂšme, trĂšs joli, les bas noirs, le tanga et le soutien-gorge assortis. PlutĂŽt pas mal, le serre taille m’affinait indĂ©niablement. Je passais ensuite la robe noire courte, moulante mais pas trop, Ă©vasĂ©e et Ă  manches longues. La ceinture qui allait avec et chaussais les escarpins noirs avec des talons d’au moins 5 cm. En me regardant dans la glace, je trouvais le rĂ©sultat plutĂŽt pas mal, jusqu’au cou. J’étais plutĂŽt bandant comme ça, ce qui ne manqua pas de se produire et retarda ma sortie de la salle de bain.
CalmĂ© je me dirigeais vers le salon oĂč ma femme m’attendait pour la sĂ©ance maquillage. Lorsqu’elle m’entendit elle se leva et je dĂ©couvris qu’elle Ă©tait habillĂ©e comme moi et je vis de l’excitation dans son regard. « Tu es superbe mon chĂ©ri » me lança-t-elle avec un sourire espiĂšgle, « Viens d’assoir ici, nous allons en voir pour un moment ». Effectivement, j’eu le droit Ă  la totale, perruque, faux ongles, faux cils, Ă©pilation de sourcils mais pas trop, fond de teint, 
 Lorsqu’elle eut fini et que je pu me regarder dans la glace, je n’en revenais pas, le rĂ©sultat Ă©tait bluffant, on aurait dit une femme. Mis Ă  part ma voix et mon allure on aurait pu s’y tromper. « Aller mon chĂ©ri, maintenant que tu es tout beau, offre-moi un verre, le champagne est au frais. ».
En me dirigeant vers le frigo maladroitement sur mes talons je ne pus m’empĂȘcher d’éprouver un vif plaisir. Non par le fait d’ĂȘtre travesti mais par celui du changement. Enfiler cette robe sur des dessous fĂ©minins fut une rĂ©vĂ©lation, comme de revĂȘtir une nouvelle peau pour changer de personnage et vivre une nouvelle vie. À cet instant il ne me semblait pas que ce soit le travestissement en femme qui soit Ă  l’origine de ce plaisir mais le travestissement en lui-mĂȘme, cela aurait pu ĂȘtre tout autre chose comme porter une toison de la prĂ©histoire ou une tenue de la Renaissance mais les fantasmes de ma femme en ont dĂ©cidĂ© ainsi.
De retour au salon avec toujours autant de difficultĂ©s Ă  marcher, en plus des talons j’ai mal aux pieds, je sers le champagne sous le regard moqueur de mon Ă©pouse et prends place en face d’elle et nous papotons comme nous avons coutume de le faire lorsque nous prenons l’apĂ©ritif. Finalement, Ă  la fin de la bouteille, je lui pose la question qui me taraude : « Tu me travestis en femme parce que tu as des fantasmes lesbiens ? ». AprĂšs un grand Ă©clat de rire elle ne me rĂ©pond « Absolument pas ! J’aime les hommes, j’aime leur corps, j’aime leur sexe, j’aime jouer avec et le sentir en moi. Un corps de femme, mĂȘme si je peux le trouver joli, ne m’excite absolument pas. En revanche, j’ai trouvĂ© que le port de lingerie t’allait trĂšs bien et Ă©tait trĂšs excitant autant pour moi que pour toi. Le travestissement d’aujourd’hui confirme ce que je pensais, comme pour une femme, cela te met en valeur. Moi qui sait ce qui se cache sous cette tenue, j’ai trĂšs envie de t’effeuiller depuis le dĂ©but de l’apĂ©ritif. ».
Sur ce elle se lĂšve et vient s’assoir Ă  cĂŽtĂ© de moi. Elle me prend le visage et m’embrasse tendrement. Ses mains quittent doucement mes joues pour descendre le long de mon coup jusqu’à mes Ă©paules tandis que sa bouche quitte la mienne pour m’embrasser le cou. Ne voulant pas ĂȘtre en reste je commençais Ă©galement Ă  parcourir son corps mais dans un ronronnement elle me dit « Non, laisse-toi faire ». Je me laissais donc complĂštement aller Ă  ses caresses. Une de ses mains Ă©tait arrivĂ©e sur mon torse qu’elle caressait doucement. MalgrĂ© ou peut ĂȘtre grĂące Ă  la robe et au soutien-gorge, la sensation fut enivrante et je senti mes tĂ©tons se durcir. Elle poursuivit ainsi, faisant monter mon excitation tandis que sa bouche remontait le long de mon cou pour venir agacer mon oreille.

Mon dieu, c’était divin Ă  me donner de petits frissons. Tellement que je n’ai pas senti sa main descendre et je fus surpris de la sentir me caresser les cuisses gainĂ©es de nylon. Surtout lorsqu’elle est remontĂ©e doucement sous le bas de ma robe pour atteindre la lisiĂšre des bas oĂč elle alterna caresse de ma peau fraichement Ă©pilĂ©e et le nylon. Je n’en pouvais plus de plaisir, mon souffle Ă©tait court, mon corps Ă©tait bouillant et chacune de ses fibres semblait vouloir exploser de bonheur. Je sentais mon membre pulsĂ© Ă  l’étroit sous le tanga. Finalement, gĂȘnĂ©e par ma robe, elle me la fit remonter jusqu’à la taille et repris son exploration manuelle, caressant doucement le haut de mes cuisses, remontant vers mon sexe mais ne faisant que s’en approcher.

Quel supplice de Tantale ! À chaque fois qu’elle s’en approchait j’attendais qu’elle y arrive, qu’elle le caresse Ă  son tour mais non, elle faisait durer le supplice et j’en avait presque mal jusque dans les testicules. Inconsciemment j’écartais les cuisses et elle en profita pour en caresser l’intĂ©rieur poursuivant sa torture. Finalement, alors que je n’y croyais plus, un doigt qui se promenais sur l’intĂ©rieur d’une cuisse, remonta le long des testicules puis de ma queue pour s’attarder sur le gland qu’elle flatta toujours du bout du doigt. J’ai cru que j’allais jouir tellement j’attendais cette caresse mais je teins bon. Elle entreprit de poursuivre ses caresses en parcourant mon membre tendu Ă  l’extrĂȘme.

Mon cƓur s’était emballĂ©, mon corps Ă©tait un brasier et mon sexe un volcan qui ne demandait qu’à entrer en Ă©ruption. Lorsque sa main remonta sur mon ventre pour passer sous le fin tissu et saisir mon sexe, je poussais un long soupir. Elle changea alors de position et vint se placer entre mes cuisses en me regardant l’Ɠil pĂ©tillant, elle descendit le tanga, libĂ©rant mon sexe qui jailli comme un diable de sa boite et entrepris une lente fellation. TrĂšs vite je sentis que j’allais exploser et lui demandais d’arrĂȘter mais elle poursuivit et je ne tardais pas Ă  entrer en Ă©ruption. Cette Ă©ruption fut libĂ©ratrice et Ă  chaque spasme je sentais la tension de mon corps retomber pour s’enfoncer dans du coton. Elle poursuivi encore un peu la fellation, m’arrachant quelques spasmes qui finirent par me plonger dans un Ă©tat semi comateux de plĂ©nitude heureuse.

Finalement elle revint se placer Ă  mes cĂŽtĂ©s et m’embrassa. Le gout Ă©trange de son baiser me fit comprendre que nous partagions mon sperme et tandis que nous prolongions se baiser sa main me caressait doucement le sexe. Finalement elle quitta mes lĂšvres et mon sexe pour me dire avec un grand sourire « Si tu te souviens bien, ce n’était pas ce qui Ă©tait prĂ©vu mais j’ai craquĂ©. Alors maintenant c’est Ă  toi de me faire ma gĂąterie. Remet toi, je t’attends dans la chambre. ».

Mais ça, c’est une autre histoire
Published by thma69
2 years ago
Comments
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babettevar 2 years ago
hummm divin sentir son jus dans sa bouche une belle découverte
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jennybhose
jennybhose 2 years ago
Je pense que nous sommes beaucoup Ă  t'envier ton Ă©pouse......
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Ponfarr
Ponfarr 2 years ago
Mmmmh quelle folie cette effervescence, chérie ! 
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