Estelle et les déboires d'un médecin
Estelle et les déboires d'un médecin "débordé"
- Estelle Muller. Vous habitez à Strasbourg, quartier de la gare, née à Saverne le 6 juillet
- C'est ça.
- Alors vos résultats d'examen sont arrivés et … je suis désolée Mme Muller. Revenez dans une semaine et on verra ce que l'on peut faire comme traitement. J'aurai aimé pouvoir vous donner espoir.
…
Fait chier. Putain de vie de merde, c'est trop injuste. 3 mois … encore 3 mois et tout sera fini. Merde, j'ai 35 ans ! C'est pas mon heure ! Bien trop jeune pour mourir !
Le soir même on a longuement parlé, pleuré aussi. Finalement on est allé se coucher, j'ai mal dormi. Le lendemain j'ai fait volte face et décidé de prendre ma vie (ou ce qu'il en reste) à bras le corps.
- Sam ?
- Oui ma puce ?
- Tu te souviens du chantier de rénovation l'année dernière qui m'a donné du fil à retordre sur Brumath ?
- Oui. Le club échangiste ?
- C'est ça. J'ai appelé les gérant ce matin, ils m'ont fait un petit prix.
- Heee comment ça ? Je ne comprends pas.
- Ils ont des studios accolés à leur établissement et … on en a un pour presque rien toute la semaine.
- Quoi ? Mais … on va y faire quoi ?
- Devines …
J'avais décidé de faire sauter toutes les barrières et d'assouvir tous les fantasmes de mon homme en une seule semaine. Beaucoup je sais, mais je n'ai pas vraiment le temps. Je pense que je lui aurai dit oui à tout en d'autres circonstances , mais sur une période de plusieurs années, voir décennies. Là ma décision s'est prise en une nuit.
Donc « no limit », « no condom », et surtout des vidéos et photos pour immortaliser les scènes.
1er soir, de la pression, des doutes, des craintes. Ghislaine était là, elle s'est faite le plus discret possible, mais ce fut … dans le style « reportage photos et vidéo ». Quelques passages express de quelques minutes. Sam était assis sur un fauteuil, il n'a pas participé mais il a tout vu. De jeunes et beaux garçons qui ont défilé à tour de rôle dans notre chambre. Un toutes les demi-heures et moi je me suis trouvée parfaite.
Le 2e soir, c'était soirée papys. Ils sont venus à trois et on a fait tout ce qu'il est possible de faire sur un lit à 4.Sam s'est branlé et Gigi s'est amusée avec sa caméra. Elle n'en a pas perdu une miette et elle est restée toute la nuit avec nous.
Le 3e soir, 4 lascars … genre «mauvais garçons ». Dédé (le gérant) assurait la sécurité et les prises photos. J'ai été attachée, ballonnée, m*****ée, traitée de tous les noms. En d'autres circonstances, le type qui me traite de « salope » se prend une gifle immédiatement. Là, je ne sais pas, j'ai aimé, ça m'a excité aussi.
Le 4e jour, ce fut repos. Trop fatiguée pour en supporter plus, toujours ces migraines incomprises, cette sensation d'être bizarre.
Le 5e jour, Gigi est venue avec 2 autres copines. Elle m'ont initié à des plaisirs saphyques. Je ne connaissais pas et ce fut une découverte. Gigi a exceptionnellement participé et j'ai adoré sa prestation. Il y avait une connivence entre nous. Julie s'est occupée de mon Sam. Il avait un peu honte de le faire devant moi mais … putain elle a dégusté la Julie, Loulou était hyper excité et très performant.
Le 6e jour, je … difficile à dire. J'ai branlé, sucé un peu ; j'ai excité le bestiau mais pas réussi à conclure. Il m'a éjaculé sur la cuisse mais je n'ai pas assuré, pas accepté, c'était trop peut-être, la limite à ne pas dépasser. Au bout d'un moment j'ai regardé Sam, lui aussi semblait dégoutté de la situation. Dédé a compris, il a dit au mec qu'on arrêtait tout et le type est parti avec son clébard.
7e jour : rien. On est retourné voir le médecin. Il avait l'air soucieux.
- Madame Muller. Que vous dire. Je pourrai rejeter la faute à mon assistante : charmante demoiselle mais visiblement incompétente, manquant de professionnalisme, d'expérience. Mais la vérité, c'est que je suis le seul fautif, j'en prend l'entière responsabilité et vous présente mes excuses.
- C'est … c'est grave ? Il ne me reste pas 3 mois à vivre ?
- Non madame.
- C'est pire ? Il me reste moins que ça ?
- Je … vous êtes bien Estelle Muller ? Vous habitez à Strasbourg, quartier de la gare, née à Saverne un 6 juillet ? Vous avez eu 2 enfants et … vous avez 35 ans ?
- Oui c'est bien ça.
- Nous avons aussi dans ce cabinet une Estelle Muller … tout comme vous, mais elle a 85 ans.
- Mais … mais alors, vous voulez dire que je ne vais pas mourir ?
- Si vous allez mourir, on meurt tous un jour, mais pour vous ce n'est pas votre heure ; enfin je l'espère.
- Mais … mes maux de tête ? Mes douleurs au ventre?
- Passager. Bientôt vous aurez des nausées, mais ça aussi ça va passer. Vous êtes juste enceinte.
- Estelle Muller. Vous habitez à Strasbourg, quartier de la gare, née à Saverne le 6 juillet
- C'est ça.
- Alors vos résultats d'examen sont arrivés et … je suis désolée Mme Muller. Revenez dans une semaine et on verra ce que l'on peut faire comme traitement. J'aurai aimé pouvoir vous donner espoir.
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Fait chier. Putain de vie de merde, c'est trop injuste. 3 mois … encore 3 mois et tout sera fini. Merde, j'ai 35 ans ! C'est pas mon heure ! Bien trop jeune pour mourir !
Le soir même on a longuement parlé, pleuré aussi. Finalement on est allé se coucher, j'ai mal dormi. Le lendemain j'ai fait volte face et décidé de prendre ma vie (ou ce qu'il en reste) à bras le corps.
- Sam ?
- Oui ma puce ?
- Tu te souviens du chantier de rénovation l'année dernière qui m'a donné du fil à retordre sur Brumath ?
- Oui. Le club échangiste ?
- C'est ça. J'ai appelé les gérant ce matin, ils m'ont fait un petit prix.
- Heee comment ça ? Je ne comprends pas.
- Ils ont des studios accolés à leur établissement et … on en a un pour presque rien toute la semaine.
- Quoi ? Mais … on va y faire quoi ?
- Devines …
J'avais décidé de faire sauter toutes les barrières et d'assouvir tous les fantasmes de mon homme en une seule semaine. Beaucoup je sais, mais je n'ai pas vraiment le temps. Je pense que je lui aurai dit oui à tout en d'autres circonstances , mais sur une période de plusieurs années, voir décennies. Là ma décision s'est prise en une nuit.
Donc « no limit », « no condom », et surtout des vidéos et photos pour immortaliser les scènes.
1er soir, de la pression, des doutes, des craintes. Ghislaine était là, elle s'est faite le plus discret possible, mais ce fut … dans le style « reportage photos et vidéo ». Quelques passages express de quelques minutes. Sam était assis sur un fauteuil, il n'a pas participé mais il a tout vu. De jeunes et beaux garçons qui ont défilé à tour de rôle dans notre chambre. Un toutes les demi-heures et moi je me suis trouvée parfaite.
Le 2e soir, c'était soirée papys. Ils sont venus à trois et on a fait tout ce qu'il est possible de faire sur un lit à 4.Sam s'est branlé et Gigi s'est amusée avec sa caméra. Elle n'en a pas perdu une miette et elle est restée toute la nuit avec nous.
Le 3e soir, 4 lascars … genre «mauvais garçons ». Dédé (le gérant) assurait la sécurité et les prises photos. J'ai été attachée, ballonnée, m*****ée, traitée de tous les noms. En d'autres circonstances, le type qui me traite de « salope » se prend une gifle immédiatement. Là, je ne sais pas, j'ai aimé, ça m'a excité aussi.
Le 4e jour, ce fut repos. Trop fatiguée pour en supporter plus, toujours ces migraines incomprises, cette sensation d'être bizarre.
Le 5e jour, Gigi est venue avec 2 autres copines. Elle m'ont initié à des plaisirs saphyques. Je ne connaissais pas et ce fut une découverte. Gigi a exceptionnellement participé et j'ai adoré sa prestation. Il y avait une connivence entre nous. Julie s'est occupée de mon Sam. Il avait un peu honte de le faire devant moi mais … putain elle a dégusté la Julie, Loulou était hyper excité et très performant.
Le 6e jour, je … difficile à dire. J'ai branlé, sucé un peu ; j'ai excité le bestiau mais pas réussi à conclure. Il m'a éjaculé sur la cuisse mais je n'ai pas assuré, pas accepté, c'était trop peut-être, la limite à ne pas dépasser. Au bout d'un moment j'ai regardé Sam, lui aussi semblait dégoutté de la situation. Dédé a compris, il a dit au mec qu'on arrêtait tout et le type est parti avec son clébard.
7e jour : rien. On est retourné voir le médecin. Il avait l'air soucieux.
- Madame Muller. Que vous dire. Je pourrai rejeter la faute à mon assistante : charmante demoiselle mais visiblement incompétente, manquant de professionnalisme, d'expérience. Mais la vérité, c'est que je suis le seul fautif, j'en prend l'entière responsabilité et vous présente mes excuses.
- C'est … c'est grave ? Il ne me reste pas 3 mois à vivre ?
- Non madame.
- C'est pire ? Il me reste moins que ça ?
- Je … vous êtes bien Estelle Muller ? Vous habitez à Strasbourg, quartier de la gare, née à Saverne un 6 juillet ? Vous avez eu 2 enfants et … vous avez 35 ans ?
- Oui c'est bien ça.
- Nous avons aussi dans ce cabinet une Estelle Muller … tout comme vous, mais elle a 85 ans.
- Mais … mais alors, vous voulez dire que je ne vais pas mourir ?
- Si vous allez mourir, on meurt tous un jour, mais pour vous ce n'est pas votre heure ; enfin je l'espère.
- Mais … mes maux de tête ? Mes douleurs au ventre?
- Passager. Bientôt vous aurez des nausées, mais ça aussi ça va passer. Vous êtes juste enceinte.
2 years ago