Souvenir #2 : Première Sodomie des lycéens
Je remonte ici dans un souvenir de jeunesse. Un premier amour, les premières tentations. Et puis les fesses de ma première copine, ouverte devant moi brillant à la lumière d'une deuxième lune. Elle respire lentement encore transpirant du haut en bas du dos. Son vagin rougit de plaisir et son anus ouvert remplie de mon sperme.
Une première fois ça ne s'oublie pas.
Nous avions commencer à parler de ça au lycée en riant. Chacun de nos amis évoquant le sexe de façon discrète ou alors vantarde. Timide et complice, personne dans notre cercle d'ami nous aurait soupçonné d'être aussi avancer sur le sujet. J'avais déjà éjaculer au fond de sa gorge pendant une séance de cinéma. Nous avions fait l'amour tendrement et puis certaines fois baiser sans aucune retenue ni discrétion. Sa chatte était pour moi un petit palais magnifique que je découvrais au jour le jour ; c'était bien sur sans connaitre encore l'accueil charnel de anus.
Nous rentrions à pied du lycée, les amis avaient évoqué toute l'après midi la sodomie avec toute les appréhensions de jeunesse. Nous discutions de tout et de rien mais nous avions tous les deux une idée derrière la tête.
"Tu viens chez mes parents, ils sont en week-end à B.... " J'acceptais sans me faire prier. Tout en nous dirigeant vers sa maison je mis ma mains sur sa fesse. je commençais à bander.
Tout s'est passé très vite, nous étions nue dans sa chambre, le soleil de l'hiver était tombé, nos vetement aussi. Elle avait mon sexe dans sa bouche, je lui appuyait sur la tête tendrement. Un léger filet de bave me coulait sur les couilles. Mon sexe ne rentrait pas complètement dans sa bouche. Tant pis.
"Je sais pas si ça va rentré" dit-elle en rougissant ; elle jeta un coup d'oeil sur son cul.
Elle se tourna vers moi. Elle était blonde, sa chatte rouge était transparente. Pour la première fois je voyais de près son cul. Son anus étoilé était magnifique. Pour la première fois de ma vie, j'eu envie d'enculer quelqu'un.
Allongé sur moi elle mouillait de haut en bas : Ma verge de sa bave et sa chatte chaude sur mon visage.
je posa ma langue sur son cul. Elle sursauta un peu, nous rions de bon coeur de cette surprise de première fois. Si elle savait que bien des années plus tard elle allait aimer la double pénétration jusqu'a en perdre conscience de tout son corps.
Elle se retourne et met son cul face à ma bite. Mon coeur bat fort. Comme si je n'avais jamais fait l'amour.
Je pose mon gland trempé contre son anus dilaté. je vois, petit à petit, centimètre par centimètre ma bite disparaitre dans son intimité. Personne ne bouge, personne ne parle. A l'écoute l'un de l'autre. Ma bite est aspiré par chacune de ces respirations. Je sens son cul sur ma verge. Je sens le sang qui tape contre ces parois. A chaque mouvement elle gémis, moi aussi ; je ressors mon sexe entré de moitié, et on ne bouge plus l'un de l'autre. On en parle pas mais on s'écoute : Ma bite veut déjà y retourné au fond de son cul.
" C'est... étrange mais pas désagréable."
- je trouve aussi... Je peux revenir.
- Oui...
Nous avons pris le temps et quelques instants plus tard, mes couilles tapait contre sa chatte. je sentait l'entièreté de son cul sur ma verge . Fort bon et indescriptible. Elle se carrerasa en même temps et jouis assez rapidement.
Ma grosse bite, en toute modestie, découvrait son cul et la place était faite. Lors que je sortais de son cul, je voyais mon empreinte de mon passage.
"Putain c'est trop bon... Encore..." C'était moi qui parlait. Je voulais son cul que je découvrais sans cesse.
Nous restez dans cette position en variant le rythmes, elle jouit du cul une fois et presque un autre fois. C'était brulant et merveilleux. je lui disais que je l'aimais dans le creux de l'oreille pendant que mon sexe, devenue énorme défonçait son anus.
je ne savais pas ou jouir. J'avais peur de l'inconnue et de ne pas faire les choses correctement ; Petite jeunesse gentille et docile me dis-je avec le recul.
je nous revois l'un dans l'autre au bord de l'énième orgasme lui demandé ou elle avait envie que j'éjacule.
Elle ne répondit rien me tendit son cul encore un peu et à l'aide de ces deux mains l'écarta amoureusement ; salope...
Je pris ma bite luisante de mouille et l'enfonça dans son cul tendrement ; salaud.
Il suffit de quelques allée retour pour sentir le sperme jaillir. Je vis ma bite grossir et écarté encore plus son cul : une cathédrale. SOn cul était une oeuvre.
Amoureux, hilare et soulagé; Nous restions quelques instants sans bouger. l'un dans l'autre . En silence. Nous étions amoureux et beaux. en cuillères.
De retour au lycée le lundi suivant. Les discussion continuait sur le sujet. Tabou et vantard. Nous nous regardions de temps à autres. cachant notre secret religieusement.
Nous n'avons pas attendu la fin de journée pour que j'éjacule dans son cul dans les toilettes du lycée : salope et salaud que nous étions.
Une première fois ça ne s'oublie pas.
Nous avions commencer à parler de ça au lycée en riant. Chacun de nos amis évoquant le sexe de façon discrète ou alors vantarde. Timide et complice, personne dans notre cercle d'ami nous aurait soupçonné d'être aussi avancer sur le sujet. J'avais déjà éjaculer au fond de sa gorge pendant une séance de cinéma. Nous avions fait l'amour tendrement et puis certaines fois baiser sans aucune retenue ni discrétion. Sa chatte était pour moi un petit palais magnifique que je découvrais au jour le jour ; c'était bien sur sans connaitre encore l'accueil charnel de anus.
Nous rentrions à pied du lycée, les amis avaient évoqué toute l'après midi la sodomie avec toute les appréhensions de jeunesse. Nous discutions de tout et de rien mais nous avions tous les deux une idée derrière la tête.
"Tu viens chez mes parents, ils sont en week-end à B.... " J'acceptais sans me faire prier. Tout en nous dirigeant vers sa maison je mis ma mains sur sa fesse. je commençais à bander.
Tout s'est passé très vite, nous étions nue dans sa chambre, le soleil de l'hiver était tombé, nos vetement aussi. Elle avait mon sexe dans sa bouche, je lui appuyait sur la tête tendrement. Un léger filet de bave me coulait sur les couilles. Mon sexe ne rentrait pas complètement dans sa bouche. Tant pis.
"Je sais pas si ça va rentré" dit-elle en rougissant ; elle jeta un coup d'oeil sur son cul.
Elle se tourna vers moi. Elle était blonde, sa chatte rouge était transparente. Pour la première fois je voyais de près son cul. Son anus étoilé était magnifique. Pour la première fois de ma vie, j'eu envie d'enculer quelqu'un.
Allongé sur moi elle mouillait de haut en bas : Ma verge de sa bave et sa chatte chaude sur mon visage.
je posa ma langue sur son cul. Elle sursauta un peu, nous rions de bon coeur de cette surprise de première fois. Si elle savait que bien des années plus tard elle allait aimer la double pénétration jusqu'a en perdre conscience de tout son corps.
Elle se retourne et met son cul face à ma bite. Mon coeur bat fort. Comme si je n'avais jamais fait l'amour.
Je pose mon gland trempé contre son anus dilaté. je vois, petit à petit, centimètre par centimètre ma bite disparaitre dans son intimité. Personne ne bouge, personne ne parle. A l'écoute l'un de l'autre. Ma bite est aspiré par chacune de ces respirations. Je sens son cul sur ma verge. Je sens le sang qui tape contre ces parois. A chaque mouvement elle gémis, moi aussi ; je ressors mon sexe entré de moitié, et on ne bouge plus l'un de l'autre. On en parle pas mais on s'écoute : Ma bite veut déjà y retourné au fond de son cul.
" C'est... étrange mais pas désagréable."
- je trouve aussi... Je peux revenir.
- Oui...
Nous avons pris le temps et quelques instants plus tard, mes couilles tapait contre sa chatte. je sentait l'entièreté de son cul sur ma verge . Fort bon et indescriptible. Elle se carrerasa en même temps et jouis assez rapidement.
Ma grosse bite, en toute modestie, découvrait son cul et la place était faite. Lors que je sortais de son cul, je voyais mon empreinte de mon passage.
"Putain c'est trop bon... Encore..." C'était moi qui parlait. Je voulais son cul que je découvrais sans cesse.
Nous restez dans cette position en variant le rythmes, elle jouit du cul une fois et presque un autre fois. C'était brulant et merveilleux. je lui disais que je l'aimais dans le creux de l'oreille pendant que mon sexe, devenue énorme défonçait son anus.
je ne savais pas ou jouir. J'avais peur de l'inconnue et de ne pas faire les choses correctement ; Petite jeunesse gentille et docile me dis-je avec le recul.
je nous revois l'un dans l'autre au bord de l'énième orgasme lui demandé ou elle avait envie que j'éjacule.
Elle ne répondit rien me tendit son cul encore un peu et à l'aide de ces deux mains l'écarta amoureusement ; salope...
Je pris ma bite luisante de mouille et l'enfonça dans son cul tendrement ; salaud.
Il suffit de quelques allée retour pour sentir le sperme jaillir. Je vis ma bite grossir et écarté encore plus son cul : une cathédrale. SOn cul était une oeuvre.
Amoureux, hilare et soulagé; Nous restions quelques instants sans bouger. l'un dans l'autre . En silence. Nous étions amoureux et beaux. en cuillères.
De retour au lycée le lundi suivant. Les discussion continuait sur le sujet. Tabou et vantard. Nous nous regardions de temps à autres. cachant notre secret religieusement.
Nous n'avons pas attendu la fin de journée pour que j'éjacule dans son cul dans les toilettes du lycée : salope et salaud que nous étions.
2 years ago