Histoire 4

Tu es dans un bar avec des amis pour un anniversaire, c’est un bar oĂč tu sors de temps en temps. Tu as remarquĂ© que le barman te regardait souvent depuis 2 ou 3 soirĂ©es que tu avais fait dans le bar. Des longs regards appuyĂ©s comme s’ils te dĂ©shabillent du regard, qui a les yeux outrageusement plongĂ©s dans ton dĂ©colletĂ© sans essayer d'ĂȘtre discret quand tu vas commander au bar.

J’annonce que le bar va fermer vers 1 h 30, vous ĂȘtes la derniĂšre table dans le bar, j’ai quasiment tout rangĂ©, c'Ă©tait une soirĂ©e calme, il me reste plus qu'Ă  nettoyer votre table et faire ma caisse. Vous avez bien commandĂ© chacun veut payer sa part un par un, vous m’annoncez vos commandes. Vous ĂȘtes nombreux, vous avez commandĂ© plein de trucs et comme vous ĂȘtes un bourrĂ© ça prend du temps. Tu vas aux toilettes, quand tu ressors le bar est vide, le groupe est en train de se disperser dehors. Tu arrives au bar pour payer, tu m’annonces ce que tu as bu et lĂ , je t’annonce qu’il reste encore plein de choses sur la table encore et comme il reste plus que toi comment fait-on. Tu n’es pas trĂšs contente, tu sors pour voir qui il reste, mais plus personne, tu rentres dans le bar, essayes de les appeler, mais pas de rĂ©ponse. Je te dis que si tu ne peux pas payer, on peut s’arranger autrement et tu comprends parfaitement que je ne parle pas de te faire faire la vaisselle


Tu te figes le temps de digĂ©rer l’information, tu ne sais plus trop quoi faire je m’approche de toi en te disant que si tu ne peux pas payer pour le reste de la table je vais ĂȘtre obligĂ© d’appeler la police que tu vas passer la nuit au poste et moi je vais devoir faire une dĂ©position et que je n’ai vraiment pas envie de faire ça, tu me rĂ©ponds que toi non plus. En revanche, si tu acceptes de jouer Ă  un jeu, je suis prĂȘt Ă  oublier. Je vois dans tes yeux que derriĂšre ton air de fille sage la situation commence Ă  t’émoustiller un peu, la rĂšgle est simple, j’ordonne et tu obĂ©is sans rĂ©flĂ©chir.

Tu poses tes affaires pour me signifier que tu acceptes que tu me regardes de tes grands yeux et me demandes ce que tu dois faire. Je te gifle sĂšchement et te signifie que tu n’as pas le droit de m’adresser la parole sans y avoir Ă©tĂ© invitĂ©. Je te caresse la joue que je viens de faire rougir je t’att**** par le menton fais passer mon pouce sur tes lĂšvres. Tu me regardes ton air un peu effrontĂ© Ă  quitter ton visage. Je glisse mon pouce dans ta bouche et te demande si tu as compris. Tu acquiesces docilement sans un mot. Je tire sur ton haut et dis de l’enlever. Tu obĂ©is de peur de prendre une autre gifle. Tu vois mon visage s’illuminer de bonheur devant ta sublime poitrine. Je te serre les seins sans douceur en les prenant Ă  pleine main. La douleur te fait sortir un petit gĂ©missement. Je te complimente sur tes mamelles, elles sont grosses comme je les aime ! Tes tĂ©tons commencent Ă  durcir, je sens l’excitation monter en toi.

D’un geste ferme et sĂ»r, je te retourne et te plaque contre moi, de mon bassin te pousse contre le bar, tu peux sentir ma bite gonfler contre ton cul au travers de mon pantalon, je te dis de relever doucement ta jupe, j’ai envie de me frotter contre ton cul de petite chienne en chaleur, je remue doucement du bassin. Tu att****s ta jupe du bout des doigts et la relĂšve lentement, je dĂ©couvre avec plaisir que tu ne portes rien sous ta jupe


Je te dis que je ne m'Ă©tais pas trompĂ© sur toi, que tes yeux sentent le cul Ă  3 km, tu te cambres un peu plus et te trĂ©mousses en gĂ©missant. Je te tire par les cheveux et te mets une fessĂ©e, puis une autre et ainsi de suite, j’imprime la marque de ma main sur ton joli cul rebondie. Tu te tortilles dans tous les sens redoutant le prochain coup. Je te dis que les salopes de mauvaises payeuses mĂ©ritent une punition. Je passe ma main entre tes cuisses oh surprise, tu es trempĂ©e de mouille. Tu es tellement trempĂ©e de dĂ©sir que j’étale copieusement ta cyprine sur ton visage, tes seins et tes deux orifices. Tu entends ma ceinture et mon pantalon tomber, et d'un geste, je te plaque face contre le bar. Je te dis de rester comme ça et d’écarter les jambes, je te dis aussi d’agripper ton cul avec tes deux mains et d’écarter les fesses. Je pose mes deux mains sur tes hanches et viens appuyer sa bite dans la raie de tes fesses. Puis je la descends vers ta chatte, y trempe mon gland, titille ton clitoris et remonte en glissant vers ton anus.

Tandis que je m’enfonce enfin en toi, tu miaules de plaisir, et tu as l'impression que ma bite a encore grossi tant, tu te sens remplie. Une fois bien enfoncĂ© et que mes couilles s'aplatissent contre ta chatte brĂ»lante. Je reste Ă  l'intĂ©rieur de toi sans bouger le temps que ton petit anneau s'habitue Ă  l'Ă©paisseur de ma queue. Et de te laisser apprĂ©cier mon membre qui remplit complĂštement ta cavitĂ© anale. Je jubile de plaisir de te sentir tremblante et haletante quand je m'introduis en toi. Quand ton anus est suffisamment dilatĂ© pour ne pas exploser au premier coup de rein, mon bassin se met en mouvement entrant et sortant lentement, je veux profiter de chaque seconde oĂč ton cul m'appartient !!

Je te pilonne comme ça pendant un long moment mes coups de bassin faisant claquer mes couilles contre toi je t’'att**** alors par les cheveux et te tire la tĂȘte en arriĂšre, jusqu'Ă  te faire cabrer et pleurnicher. J’ai gagnĂ©, tu n’en peux plus, enculĂ©e jusqu'Ă  la garde et heureuse de l'ĂȘtre. Je te dis que maintenant, tu es ma petite chienne que je fais faire de toi mon jouet. Je me retire de ton cul et traĂźne jusqu'Ă  un canapĂ© du bar, je t’allonge sur le dos et me mets Ă  califourchon au-dessus de toi ; tu as Ă  peine le temps de voir ma belle queue fiĂšre et droite que j'approche de ton visage et te l'enfonce dans la bouche.

Tu me tÚtes goulûment, allongée sur le dos les jambes entrouvertes. Tes bras enserrant ma taille et mes fesses, tu me suces avidement, en gémissant de plaisir. Tu mouilles par petites giclées, au rythme de mon va-et-vient dans ta bouche.
Lorsque mon index et mon majeur entrent dans ta chatte, tandis qu'avec mon pouce, je te masse le clitoris, tu te mets Ă  me sucer frĂ©nĂ©tiquement. Si tu n'avais pas Ă©tĂ© bĂąillonnĂ©e par ma bite, tu aurais hurlĂ© de plaisir. La bouche pleine de mon sexe, tu me jouis dans la main. À ce moment, tu n’es plus qu'un corps ivre de plaisir, dĂ©chaĂźnĂ© par l'orgasme.
J’éjacule sur ton visage et tes seins, j’étale ma semence sur toi avec ma bite et te fais me gober les couilles pendant que je tapote ton visage avec ma queue encore toute raide.

Je reste au-dessus de toi en te disant que les camĂ©ras de sĂ©curitĂ© ont tout filmĂ© et que l’image est suffisamment bonne pour reconnaĂźtre les gens. Que si tu ne veux pas que le film soit mis sur les rĂ©seaux ou que des images soient imprimĂ©es et affichĂ©es un peu partout dans le quartier, tu vas devoir venir ici chaque semaine le mĂȘme soir pour que je rĂ©utilise comme bon me semble !!!
Published by qniaddict
2 years ago
Comments
2
Please or to post comments
adriennestaf
adriennestaf 9 months ago
parfait :wink:
Reply
Marion32a
Marion32a 2 years ago
Toujours un plaisir Ă  lire et Ă  se plonger corps et Ăąme dans le rĂŽle.
Reply