La rencontre.
Imagine,
Nous ne nous connaissons pas pourtant le premiĂšre rencontre aura lieu dans une chambre dâhĂŽtel.
La chambre est rĂ©servĂ©e pour 16 heures. Deux clĂ©s Ă lâaccueil, tu prends seule possession de la chambre. Tu as 30 minutes devant toi avant que je ne tây rejoigne.
Je rentre.
Tu es vĂȘtue du peignoir marquĂ© du nom de lâhĂŽtel et je sais que dessous tu es entiĂšrement nue.
Nous nous regardons, nous jaugeons, nous nous sourions. Nous effaçons la gĂȘne qui pourrait poindre et nous embrassons.
Je glisse une main sous le peignoir et la porte à tes seins, ma bouche derriÚre tes oreilles, sur ta nuque⊠je suis derriÚre toi.
JâĂ©carte le haut du peignoir pour faire apparaĂźtre tes Ă©paules, ton dos. Je sens, frĂŽle, embrasse ta peau.
Je me mets face Ă toi. Je dĂ©boutonne mon jean et le laisse tomber Ă mes pieds (je ne porte jamais de caleçon). Je dĂ©grafe ma chemise⊠je suis a poil devant toi⊠5 minutes seulement se sont Ă©coulĂ©es depuis que pour la premiĂšre fois nous posions notre regard lâun sur lâautre.
Tu laisses choir ton peignoir et te montres Ă moi. Je ne veux pas te voir Ă genoux suçant ma queue, je veux autre chose et tu le sais parfaitementâŠ
Tu tâinstalles sur le lit, un coussin calĂ© sous tes reins, tu baisses la lumiĂšre et tandis que tu Ă©cartes tes jambesâŠ
â « Viens par lĂ et montre moi, bouffe moi, fait moi jouir ».
Mes gestes sont lents⊠Je mâinstalle entre tes cuisses que je caresse, que jâembrasse.
Je remonte vers toi, vers ton ventre⊠jây pose la tĂȘte le nez et la bouche tournĂ©s vers tes jambes en compas. Je poursuis mes caresses sur tes jambes, lĂ©gĂšres, extrĂȘmement lĂ©gĂšres.
Je me rapproche de ta vulve mais je dĂ©cide de te mettre au supplice. Je veux sentir lâodeur de tes fluides remonter jusquâĂ mes narines, voir ton corps se cambrer de tant vouloir, sentir ta main sur ma tĂȘte, voir la seconde te pincer un sein.
Et puis jâinstalle enfin ma tĂȘte, mon nez, ma bouche a 4 cm de ta chatteâŠ
De tout petits baisers partout sur ton con. LĂ©gers, une plume.
Et puis ma langue⊠ma langue qui parcourt le sillon entre tes grandes et tes petites lÚvres.. , ma langue qui dissocie ces derniÚres.
Ton trou rose et luisant est devant mes yeux. Tu comprends que je suis en train de te sentir, te humer, mâenivrer de lâodeur de ton sexe , dây frotter mon visage pour recueillir tes sucs dĂ©licats.
PauseâŠ
Doucement ma langue sâintroduit dans ton fourreau, loin, trĂšs loin. Tu te cambres⊠il faut dĂ©sormais que je prenne soin de ton clitoris.
LĂ©cher, sucer, boire une femme câest lâĂ©couter, la ressentir, interprĂ©ter ses gestes, son souffle, ses tensions⊠Une chatte est un jeu de patience⊠aucune nâest lâĂ©gale dâune autre.
Ma bouche est collĂ©esâ Ă ton sexe, il sâen Ă©loigne, mais tu sais dĂ©jĂ .⊠je vais te faire jouir, trĂšs fort.
Tu Ă©cartes plus encore, tu viens vers ma gueule et je comprends que tu veux mes doigts.
Je ralenti la cadence et la pulpe de mon index associée à celle mon majeur viennent dessiner les contours de ta vulve, de ton trou devenu obscÚne.
La pénétration de mes doigts est une caresse.
Ta chatte les avale dâun trait, je te sens liquide. Je caresse tes parois et surtout celles qui se trouvent derriĂšre le pubisâŠ
Doucement, toujours⊠je suis le briseur de coffre fort: patience, audace, doigté.
Trois doigts dĂ©sormaisâŠ
Ma tĂȘte se positionne entre ma main qui sâoccupe de ta chatte et le matelas.
Tu te touches le clitoris, je te rempli, je te caresse de mon autre main le ventre, les seins les cuisses et ma bouche se rapproche de ton cuL.
Laisse moi lui dire bonjour, lui rendre hommage, lâembrasser, le sucer; ma langue tourne autour de tes sphincters, ils ffrĂ©missentâŠ
â « bouffe moi le cul oui. fout ta tĂȘte entre mes fesses, lĂšche, je veux sentir mon trou du cul dans ta bouche, enfonce ta langue, loin, plus loin encore»
La jouissance est proche ⊠mais pas encore.
Jâai toujours les doigts plantĂ©s en toi, toi toujours ta main qui caresse ton clitoris.
Je me redresse, et approche mon visage du tien, retire mes doigts pleins de ta mouille, les enfonce dans ma bouche, Ă©tale ses jus sur mes babinesâŠ
Plus prĂšs de ton visage encoreâŠ
â « sent et goĂ»te comme tu es dĂ©licieuse! ».
Tu mâembrasses, me lĂšches le visage⊠tu aimes ce type de saletĂ©s⊠jolie rencontre.
Ă nouveau mes doigts dans ta chatte et ma bouche a ton oreille dans un murmureâŠ
â « ne retiens rien⊠et si tu gicles jâespĂšre bien que ce sera sur ma gueule».
Mon visage devant ta chatte, je retire mes doigts et ce sont désormais de grands coups de langues avides sur ta chatte, ton trou du cul, sur ces chairs rouges qui frémissent, luisent et attendent leur libération.
Tu prends ma tĂȘte entre tes mains et comme si celle ci nâĂ©tait rien dâautre quâun sex toy tu la mĂšnes dâun trou Ă lâautre.
La libération.
Mes doigts⊠4 tâinvestissent sans opposer la moindre rĂ©sistance. Tu te sens dilatĂ©e et dĂ©goulinante dâenvie, tes doigts dansent sur ton clitoris.
Les miens vont et viennent trĂšs loin, de mon autre main un doigt sur ton trou du cul, ne pas forcer, juste caresserâŠ
Mes doigts se replient pour caresser lĂ paroi interne granuleuse Ă lâarriĂšre du pubis. Jâappuie, je flatte, jâagace⊠et tu te cambres!
Ta chatte est prĂȘte Ă exploser. Elle sâaccroche Ă moi mais paraĂźt en mĂȘme temps vouloir me recracher.
Je positionne ma bouche juste devant ton trou, je te lĂšche. Tu comprends que je suis prĂȘt Ă tâaccueillir, te boire.
Tu frottes de plus belle, ton anus se contracte et saccade, les muscles de ta chatte compriment mes phalanges.
Tu jouis, la jouissance tâemporte, mes doigts dans ta chatte accĂ©lĂšrent le mouvement, la caresse est plus prĂ©cise, plus fermeâŠ
Alors le miracle advient: tu gicles, tu cris, tu te tords, tu trembles, tu veux ĂȘtre libĂ©rĂ©e de mes doigts qui ont dĂ©clenchĂ© cette vague inouĂŻe et pourtant ton bassin se jette sur eux.
Ma main toute entiÚre est avalée au plus loin de ta matrice.
Le lit et ma gueule sont trempes de toiâŠ
Tu te calmes, peut ĂȘtre dĂ©jĂ un peu Ă©reintĂ©e, tu me regardes enfin.
Il me semble que tu souris!
Nous ne nous connaissons pas pourtant le premiĂšre rencontre aura lieu dans une chambre dâhĂŽtel.
La chambre est rĂ©servĂ©e pour 16 heures. Deux clĂ©s Ă lâaccueil, tu prends seule possession de la chambre. Tu as 30 minutes devant toi avant que je ne tây rejoigne.
Je rentre.
Tu es vĂȘtue du peignoir marquĂ© du nom de lâhĂŽtel et je sais que dessous tu es entiĂšrement nue.
Nous nous regardons, nous jaugeons, nous nous sourions. Nous effaçons la gĂȘne qui pourrait poindre et nous embrassons.
Je glisse une main sous le peignoir et la porte à tes seins, ma bouche derriÚre tes oreilles, sur ta nuque⊠je suis derriÚre toi.
JâĂ©carte le haut du peignoir pour faire apparaĂźtre tes Ă©paules, ton dos. Je sens, frĂŽle, embrasse ta peau.
Je me mets face Ă toi. Je dĂ©boutonne mon jean et le laisse tomber Ă mes pieds (je ne porte jamais de caleçon). Je dĂ©grafe ma chemise⊠je suis a poil devant toi⊠5 minutes seulement se sont Ă©coulĂ©es depuis que pour la premiĂšre fois nous posions notre regard lâun sur lâautre.
Tu laisses choir ton peignoir et te montres Ă moi. Je ne veux pas te voir Ă genoux suçant ma queue, je veux autre chose et tu le sais parfaitementâŠ
Tu tâinstalles sur le lit, un coussin calĂ© sous tes reins, tu baisses la lumiĂšre et tandis que tu Ă©cartes tes jambesâŠ
â « Viens par lĂ et montre moi, bouffe moi, fait moi jouir ».
Mes gestes sont lents⊠Je mâinstalle entre tes cuisses que je caresse, que jâembrasse.
Je remonte vers toi, vers ton ventre⊠jây pose la tĂȘte le nez et la bouche tournĂ©s vers tes jambes en compas. Je poursuis mes caresses sur tes jambes, lĂ©gĂšres, extrĂȘmement lĂ©gĂšres.
Je me rapproche de ta vulve mais je dĂ©cide de te mettre au supplice. Je veux sentir lâodeur de tes fluides remonter jusquâĂ mes narines, voir ton corps se cambrer de tant vouloir, sentir ta main sur ma tĂȘte, voir la seconde te pincer un sein.
Et puis jâinstalle enfin ma tĂȘte, mon nez, ma bouche a 4 cm de ta chatteâŠ
De tout petits baisers partout sur ton con. LĂ©gers, une plume.
Et puis ma langue⊠ma langue qui parcourt le sillon entre tes grandes et tes petites lÚvres.. , ma langue qui dissocie ces derniÚres.
Ton trou rose et luisant est devant mes yeux. Tu comprends que je suis en train de te sentir, te humer, mâenivrer de lâodeur de ton sexe , dây frotter mon visage pour recueillir tes sucs dĂ©licats.
PauseâŠ
Doucement ma langue sâintroduit dans ton fourreau, loin, trĂšs loin. Tu te cambres⊠il faut dĂ©sormais que je prenne soin de ton clitoris.
LĂ©cher, sucer, boire une femme câest lâĂ©couter, la ressentir, interprĂ©ter ses gestes, son souffle, ses tensions⊠Une chatte est un jeu de patience⊠aucune nâest lâĂ©gale dâune autre.
Ma bouche est collĂ©esâ Ă ton sexe, il sâen Ă©loigne, mais tu sais dĂ©jĂ .⊠je vais te faire jouir, trĂšs fort.
Tu Ă©cartes plus encore, tu viens vers ma gueule et je comprends que tu veux mes doigts.
Je ralenti la cadence et la pulpe de mon index associée à celle mon majeur viennent dessiner les contours de ta vulve, de ton trou devenu obscÚne.
La pénétration de mes doigts est une caresse.
Ta chatte les avale dâun trait, je te sens liquide. Je caresse tes parois et surtout celles qui se trouvent derriĂšre le pubisâŠ
Doucement, toujours⊠je suis le briseur de coffre fort: patience, audace, doigté.
Trois doigts dĂ©sormaisâŠ
Ma tĂȘte se positionne entre ma main qui sâoccupe de ta chatte et le matelas.
Tu te touches le clitoris, je te rempli, je te caresse de mon autre main le ventre, les seins les cuisses et ma bouche se rapproche de ton cuL.
Laisse moi lui dire bonjour, lui rendre hommage, lâembrasser, le sucer; ma langue tourne autour de tes sphincters, ils ffrĂ©missentâŠ
â « bouffe moi le cul oui. fout ta tĂȘte entre mes fesses, lĂšche, je veux sentir mon trou du cul dans ta bouche, enfonce ta langue, loin, plus loin encore»
La jouissance est proche ⊠mais pas encore.
Jâai toujours les doigts plantĂ©s en toi, toi toujours ta main qui caresse ton clitoris.
Je me redresse, et approche mon visage du tien, retire mes doigts pleins de ta mouille, les enfonce dans ma bouche, Ă©tale ses jus sur mes babinesâŠ
Plus prĂšs de ton visage encoreâŠ
â « sent et goĂ»te comme tu es dĂ©licieuse! ».
Tu mâembrasses, me lĂšches le visage⊠tu aimes ce type de saletĂ©s⊠jolie rencontre.
Ă nouveau mes doigts dans ta chatte et ma bouche a ton oreille dans un murmureâŠ
â « ne retiens rien⊠et si tu gicles jâespĂšre bien que ce sera sur ma gueule».
Mon visage devant ta chatte, je retire mes doigts et ce sont désormais de grands coups de langues avides sur ta chatte, ton trou du cul, sur ces chairs rouges qui frémissent, luisent et attendent leur libération.
Tu prends ma tĂȘte entre tes mains et comme si celle ci nâĂ©tait rien dâautre quâun sex toy tu la mĂšnes dâun trou Ă lâautre.
La libération.
Mes doigts⊠4 tâinvestissent sans opposer la moindre rĂ©sistance. Tu te sens dilatĂ©e et dĂ©goulinante dâenvie, tes doigts dansent sur ton clitoris.
Les miens vont et viennent trĂšs loin, de mon autre main un doigt sur ton trou du cul, ne pas forcer, juste caresserâŠ
Mes doigts se replient pour caresser lĂ paroi interne granuleuse Ă lâarriĂšre du pubis. Jâappuie, je flatte, jâagace⊠et tu te cambres!
Ta chatte est prĂȘte Ă exploser. Elle sâaccroche Ă moi mais paraĂźt en mĂȘme temps vouloir me recracher.
Je positionne ma bouche juste devant ton trou, je te lĂšche. Tu comprends que je suis prĂȘt Ă tâaccueillir, te boire.
Tu frottes de plus belle, ton anus se contracte et saccade, les muscles de ta chatte compriment mes phalanges.
Tu jouis, la jouissance tâemporte, mes doigts dans ta chatte accĂ©lĂšrent le mouvement, la caresse est plus prĂ©cise, plus fermeâŠ
Alors le miracle advient: tu gicles, tu cris, tu te tords, tu trembles, tu veux ĂȘtre libĂ©rĂ©e de mes doigts qui ont dĂ©clenchĂ© cette vague inouĂŻe et pourtant ton bassin se jette sur eux.
Ma main toute entiÚre est avalée au plus loin de ta matrice.
Le lit et ma gueule sont trempes de toiâŠ
Tu te calmes, peut ĂȘtre dĂ©jĂ un peu Ă©reintĂ©e, tu me regardes enfin.
Il me semble que tu souris!
2 years ago