Canicule balnéaire
Je suis vautré sur un bain de soleil, au bord de la piscine, il fait tellement chaud que l'endroit, habituellement noir de monde, est déserté par les touristes qui se ruent dans les endroits climatisés, tandis que je comate à l'ombre en somnolent. Le bruit d'un plongeon dans la piscine ne me perturbe pas le moins du monde, mais je finis par ouvrir un œil quand le calme revient, c'est là que je l'aperçois sortant de l'eau, juste devant moi, à ma grande surprise, elle ne porte qu'un bas de maillot de bain brun, avec de jolis lacets, son corps ruisselant est sublime, ses seins se balancent doucement, ornés par deux tétons fièrement dressés dans ma direction... C'est à cet instant qu'elle m'a surpris entrain de la mater. Un peu gêné, je lui lance un petit
-"Bonjour", auquel elle me répond par:
- "Salut, ce bain de soleil est disponible ?"
Je me contente de lui répondre par un petit clin d'œil et un pouce levé.
Elle att**** sa serviette, et s'installe juste en face de moi, à moins d'un mètre.
J'enfonce un peu ma casquette pour essayer de reprendre ma sieste, mais les perles d'eau sur son corps m'hypnotisent, je ne peux arrêter de la mater, le plus discrètement possible, mais son sourire derrière ses lunettes me fait comprendre qu'elle m'a grillé une deuxième fois. Je tourne un peu la tête et ferme complètement les yeux pour tenter de dissiper le malaise.
C'est alors qu'avec un ton moqueur elle me dit:
" J'ai l'impression qu'il est à l'étroit dans ton maillot ! "
Je relève ma casquette et m'aperçois que j'ai une gaule d'enfer et que ça semble l'amuser. Extrêmement gêné, je bafouille quelque chose comme :
" Désolé, je suis confus, la fatigue et la chaleur... Je suis vite à court de mots tellement j'ai HONTE. Je me sent rougir. Elle croise ses mains derrière la tête en bombant le torse et me dit:
" Dommage, je croyais être à l'origine de cette... réaction" avant de pouffer de rire, en se moquant ouvertement de moi. Je suis tellement gêné que je ne sais pas si je dois fuir ou rester pour sauver les apparences. Je met rapidement ma serviette en boule pour essayer de dissimuler ma trique, ce qui l'amuse encore plus:
" Relax, faut relâcher la pression des fois." Je répond en baffouillant :
-" Mais avec ce superbe point de vue, c'est normal que ce soit tendu. "
-" Je prend ça pour un compliment, et y'a pas de honte, on est seuls ici, si tu restes à ta place, profites du spectacle et fait toi plaisir, j'en serais flattée. "
Je ne sais pas si elle se fout de moi ou si elle est sérieuse, je ne sais pas si je dois aller me cacher dans l'hôtel ou prendre ses mots au pied de la lettre.
Devant mon hésitation, elle me lance un sourire malicieux en prenant ses seins à pleines mains, les massant et pinçant ses tétons aussi durs que ma queue à cet instant. Je n'y tiens plus, je baisse un peu mon maillot et empoigne ce qui a trahi l'émotion qu'elle m'a si joliment provoqué.
Elle se redresse un peu pour se mettre encore plus en valeur. Derrière ses lunettes, je sais qu'elle fixe ma trique. Je la regarde droit dans les yeux, cette fois c'est elle qui rougit dans un éclat de rire. Je ne sais pas pourquoi, à cet instant je n'ai plus honte, elle m'excite trop. Sa beauté, sa douce arrogance m'envoûtent. Elle fait le show à mesure que je m'astique, elle caresse ses seins, mords ses lèvres, s'étire, prend la pose... Ses yeux semblent rivés sur ma verge, et ça m'excite encore plus. Mon souffle s'accélère, on sait tous les deux que l'issue est imminente, elle se redresses en serrant ses seins entre ses bras et en passant sa langue sur ses lèvres pour me rendre dingue. J'att**** m'a serviette pour finir dedans, mais elle fait un bond et me la prend des mains.
" NON !!! Laisse moi voir le bouquet final, petit coquin." Me dit-elle avec un large sourire. Je n'y tiens plus, mon crâne est comme une cocotte minute, je gicle tellement fort que quelques gouttes finissent sur ses lunettes, et, à ma grande surprise, ça l'amuse. Mon cœur semble battre à la fois dans mon crâne et dans ma queue, alors que j'essaye de reprendre mon souffle, je la...remercie pour "Le Show"...
-"Mais de rien, ça m'a fait plaisir...
Et ta queue va continuer à me regarder longtemps comme ça ? "
-"Je vais devoir aller prendre une douche froide ou assurer un deuxième service, le "Show" est spectaculaire.
Elle éclate encore de rire.
-"Si vraiment tu remet ça, tu veux bien que j'en fasse autant ?"
Je n'ai pas le temps de répondre, qu'elle a déjà défait un lacet de son maillot et remonté ses genoux pour me laisser entrevoir cet adorable petit minou qu'elle commence à caresser, à mesure que je branle de plus belle ma queue, toujours sous le charme...
Soudain, un bruit de claquettes vient casser cette ambiance torride. On se regarde, l'air paniqué, comme deux gosses sur le point de se faire surprendre par leurs parents...
" Viens, on va dans l'eau !!!" Me lance-t-elle avant de plonger dans la piscine. Je la suis sans réfléchir. C'est lorsque nous apercevons un bellâtre, avec sa serviette sur l'épaule et ses écouteurs au fond des oreilles, venir vers la piscine, que nous réalisons avec stupeur que nos maillots de bain sont resté sur le bain de soleil. Je me sent rougir et commence à paniquer lorsque qu'il entre dans le bassin, visiblement plus concentré par sa musique que par nos exercices aquatiques. Pendant que je stresse, elle se met a glousser, comme électrisée par la situation, se faire surprendre semble l'exciter au plus haut point. Le rire nerveux qu'elle peine à dissimuler finit par attirer l'attention du baigneur mélomane qui nous interpelle:
" C'est de moi que vous riez ? "
- " Non, on chahute tous les deux, mais on peut chahuter à 3 aussi, si tu veux."
Lui lance-t-elle avec une pointe d'arrogance qui me déstabilise encore plus. Et comme pour joindre l'acte à ses paroles, elle colle son dos à mon torse, prend mes mains qu'elle presse sur sa poitrine palpitante, puis elle me prend en main, et commence à m'astiquer lentement sous les yeux de se pauvre type, qui ouvre la bouche comme un poisson rouge tombé à côté du bocal.
" Arrête de gober les mouches et approche, y'a mieux à faire avec ta bouche." Toujours avec ce ton moqueur, qui semble nous hypnotiser, moi et l'autre carpe koï, qui avance vers nous timidement.
C'est à cet instant que nous perdons tout contrôle ... Je masse ses seins qui captivent encore plus notre invité qui ce trouve maintenant juste devant elle. Un somptueux soupir lui échappe lorsque je mords tendrement son cou, je suis raide comme la justice. Elle se ressaisit un instant pour lui dire :
" T'es le seul à encore avoir un maillot, met toi à l'aise mon coquin".
Toujours sidéré, le bougre s'exécute, il bande comme un arc lui aussi. Elle, comme une diablesse, est aux anges.
Elle me sussure : " Assieds-toi au bord, je veux te goûter". Je me suis à peine installé qu'elle me gobe goulûment, et c'est à présent le lascar qui la pelotte tout en agitant ses hanches contre les siennes. Un râle voluptueux s'étouffe sur ma verge, le fourbe est entré dans le vif du sujet avant moi. La gloutonne recrache mon membre pour me dire :
" Rejoins nous, y'a de la place par derrière aussi." elle se retourne et saute dans ses bras. Sans réfléchir, je me colle à elle et profite de leur élan pour la laisser s'empaler sur mon gourdin. Elle contient un cri, entre douleur, surprise et plaisir, l'invité inattendu, quant à lui, s'ebroue dans des mouvements de plus en plus saccadés. J'empoigne à nouveau ses tendres mamelons et les presse plus fort à mesure que je m'enfonce en elle. À cet instant, je réalise que nous avons transformé cette calme étendue d'eau en bassin à remous. Le rythme s'accélère, nous copulons comme des animaux en rut, la paisible quiétude des lieux ruinée par nos gémissements et les clapotis de nos ébats, elle se cambre, s'agrippe à ma nuque et me souffle à l'oreille : " faut abréger, y'a pas que la piscine qui déborde". J'intensifie encore mes coups de boutoir, je dois libérer cette pression, je n'en peux plus. Tout son corps tremble lorsque je me répend en elle, nous avons fini ensemble, égoïstement, en oubliant presque le troisième laron, perdu dans sa béatitude... Des cris d'enfants s'approchent, elle pousse brusquement l'homme aux écouteurs qui bascule dans l'eau à la renverse. Nous en profitons pour nous extraire du bassin et prendre la fuite, emballées dans nos serviettes, le laissant seul, avec une vingtaine de sales gosses sautant dans le bassin, encore agité par nos turbulences.
-"Bonjour", auquel elle me répond par:
- "Salut, ce bain de soleil est disponible ?"
Je me contente de lui répondre par un petit clin d'œil et un pouce levé.
Elle att**** sa serviette, et s'installe juste en face de moi, à moins d'un mètre.
J'enfonce un peu ma casquette pour essayer de reprendre ma sieste, mais les perles d'eau sur son corps m'hypnotisent, je ne peux arrêter de la mater, le plus discrètement possible, mais son sourire derrière ses lunettes me fait comprendre qu'elle m'a grillé une deuxième fois. Je tourne un peu la tête et ferme complètement les yeux pour tenter de dissiper le malaise.
C'est alors qu'avec un ton moqueur elle me dit:
" J'ai l'impression qu'il est à l'étroit dans ton maillot ! "
Je relève ma casquette et m'aperçois que j'ai une gaule d'enfer et que ça semble l'amuser. Extrêmement gêné, je bafouille quelque chose comme :
" Désolé, je suis confus, la fatigue et la chaleur... Je suis vite à court de mots tellement j'ai HONTE. Je me sent rougir. Elle croise ses mains derrière la tête en bombant le torse et me dit:
" Dommage, je croyais être à l'origine de cette... réaction" avant de pouffer de rire, en se moquant ouvertement de moi. Je suis tellement gêné que je ne sais pas si je dois fuir ou rester pour sauver les apparences. Je met rapidement ma serviette en boule pour essayer de dissimuler ma trique, ce qui l'amuse encore plus:
" Relax, faut relâcher la pression des fois." Je répond en baffouillant :
-" Mais avec ce superbe point de vue, c'est normal que ce soit tendu. "
-" Je prend ça pour un compliment, et y'a pas de honte, on est seuls ici, si tu restes à ta place, profites du spectacle et fait toi plaisir, j'en serais flattée. "
Je ne sais pas si elle se fout de moi ou si elle est sérieuse, je ne sais pas si je dois aller me cacher dans l'hôtel ou prendre ses mots au pied de la lettre.
Devant mon hésitation, elle me lance un sourire malicieux en prenant ses seins à pleines mains, les massant et pinçant ses tétons aussi durs que ma queue à cet instant. Je n'y tiens plus, je baisse un peu mon maillot et empoigne ce qui a trahi l'émotion qu'elle m'a si joliment provoqué.
Elle se redresse un peu pour se mettre encore plus en valeur. Derrière ses lunettes, je sais qu'elle fixe ma trique. Je la regarde droit dans les yeux, cette fois c'est elle qui rougit dans un éclat de rire. Je ne sais pas pourquoi, à cet instant je n'ai plus honte, elle m'excite trop. Sa beauté, sa douce arrogance m'envoûtent. Elle fait le show à mesure que je m'astique, elle caresse ses seins, mords ses lèvres, s'étire, prend la pose... Ses yeux semblent rivés sur ma verge, et ça m'excite encore plus. Mon souffle s'accélère, on sait tous les deux que l'issue est imminente, elle se redresses en serrant ses seins entre ses bras et en passant sa langue sur ses lèvres pour me rendre dingue. J'att**** m'a serviette pour finir dedans, mais elle fait un bond et me la prend des mains.
" NON !!! Laisse moi voir le bouquet final, petit coquin." Me dit-elle avec un large sourire. Je n'y tiens plus, mon crâne est comme une cocotte minute, je gicle tellement fort que quelques gouttes finissent sur ses lunettes, et, à ma grande surprise, ça l'amuse. Mon cœur semble battre à la fois dans mon crâne et dans ma queue, alors que j'essaye de reprendre mon souffle, je la...remercie pour "Le Show"...
-"Mais de rien, ça m'a fait plaisir...
Et ta queue va continuer à me regarder longtemps comme ça ? "
-"Je vais devoir aller prendre une douche froide ou assurer un deuxième service, le "Show" est spectaculaire.
Elle éclate encore de rire.
-"Si vraiment tu remet ça, tu veux bien que j'en fasse autant ?"
Je n'ai pas le temps de répondre, qu'elle a déjà défait un lacet de son maillot et remonté ses genoux pour me laisser entrevoir cet adorable petit minou qu'elle commence à caresser, à mesure que je branle de plus belle ma queue, toujours sous le charme...
Soudain, un bruit de claquettes vient casser cette ambiance torride. On se regarde, l'air paniqué, comme deux gosses sur le point de se faire surprendre par leurs parents...
" Viens, on va dans l'eau !!!" Me lance-t-elle avant de plonger dans la piscine. Je la suis sans réfléchir. C'est lorsque nous apercevons un bellâtre, avec sa serviette sur l'épaule et ses écouteurs au fond des oreilles, venir vers la piscine, que nous réalisons avec stupeur que nos maillots de bain sont resté sur le bain de soleil. Je me sent rougir et commence à paniquer lorsque qu'il entre dans le bassin, visiblement plus concentré par sa musique que par nos exercices aquatiques. Pendant que je stresse, elle se met a glousser, comme électrisée par la situation, se faire surprendre semble l'exciter au plus haut point. Le rire nerveux qu'elle peine à dissimuler finit par attirer l'attention du baigneur mélomane qui nous interpelle:
" C'est de moi que vous riez ? "
- " Non, on chahute tous les deux, mais on peut chahuter à 3 aussi, si tu veux."
Lui lance-t-elle avec une pointe d'arrogance qui me déstabilise encore plus. Et comme pour joindre l'acte à ses paroles, elle colle son dos à mon torse, prend mes mains qu'elle presse sur sa poitrine palpitante, puis elle me prend en main, et commence à m'astiquer lentement sous les yeux de se pauvre type, qui ouvre la bouche comme un poisson rouge tombé à côté du bocal.
" Arrête de gober les mouches et approche, y'a mieux à faire avec ta bouche." Toujours avec ce ton moqueur, qui semble nous hypnotiser, moi et l'autre carpe koï, qui avance vers nous timidement.
C'est à cet instant que nous perdons tout contrôle ... Je masse ses seins qui captivent encore plus notre invité qui ce trouve maintenant juste devant elle. Un somptueux soupir lui échappe lorsque je mords tendrement son cou, je suis raide comme la justice. Elle se ressaisit un instant pour lui dire :
" T'es le seul à encore avoir un maillot, met toi à l'aise mon coquin".
Toujours sidéré, le bougre s'exécute, il bande comme un arc lui aussi. Elle, comme une diablesse, est aux anges.
Elle me sussure : " Assieds-toi au bord, je veux te goûter". Je me suis à peine installé qu'elle me gobe goulûment, et c'est à présent le lascar qui la pelotte tout en agitant ses hanches contre les siennes. Un râle voluptueux s'étouffe sur ma verge, le fourbe est entré dans le vif du sujet avant moi. La gloutonne recrache mon membre pour me dire :
" Rejoins nous, y'a de la place par derrière aussi." elle se retourne et saute dans ses bras. Sans réfléchir, je me colle à elle et profite de leur élan pour la laisser s'empaler sur mon gourdin. Elle contient un cri, entre douleur, surprise et plaisir, l'invité inattendu, quant à lui, s'ebroue dans des mouvements de plus en plus saccadés. J'empoigne à nouveau ses tendres mamelons et les presse plus fort à mesure que je m'enfonce en elle. À cet instant, je réalise que nous avons transformé cette calme étendue d'eau en bassin à remous. Le rythme s'accélère, nous copulons comme des animaux en rut, la paisible quiétude des lieux ruinée par nos gémissements et les clapotis de nos ébats, elle se cambre, s'agrippe à ma nuque et me souffle à l'oreille : " faut abréger, y'a pas que la piscine qui déborde". J'intensifie encore mes coups de boutoir, je dois libérer cette pression, je n'en peux plus. Tout son corps tremble lorsque je me répend en elle, nous avons fini ensemble, égoïstement, en oubliant presque le troisième laron, perdu dans sa béatitude... Des cris d'enfants s'approchent, elle pousse brusquement l'homme aux écouteurs qui bascule dans l'eau à la renverse. Nous en profitons pour nous extraire du bassin et prendre la fuite, emballées dans nos serviettes, le laissant seul, avec une vingtaine de sales gosses sautant dans le bassin, encore agité par nos turbulences.
2 years ago
