Vive les applications de cul

Il m’arrive rĂ©guliĂšrement d’user des applications de rencontre mais je dois dire que j’y trouve rarement des mecs vraiment intĂ©ressants. J’ai bien eu quelques baises que je qualifierais de charmantes mais sans plus.

Ce matin par contre, je suis tombĂ© sur un mec super canon. Je cliquais sans cesse sur le gros X lorsque j’ai vu sa photo. Je ne suis pas vraiment attirĂ© par les jeunes mais lui, il Ă©tait quelque chose. Fin vingtaine, cheveux bruns, musclĂ© Ă  souhait. Il posait vĂȘtu d’un short de sport, plutĂŽt bien ajustĂ© pour attirer l’Ɠil sur ses bijoux de famille, une poitrine imberbe trĂšs bien dessinĂ©e et de superbes cuisses. Qu’avais-je Ă  perdre Ă  cliquer sur le cƓur pour lui signifier qu’il m’intĂ©ressait, surtout qu’il avait bien mentionnĂ© qu’il Ă©tait lĂ  pour le sexe?

Je cliquai donc, me disant que je n’aurais certes pas de rĂ©ponse mais Ă  ma grande surprise, il dĂ©buta aussitĂŽt une conversation, en me demandant comment j’allais et surtout, ce que je recherchais sur ce site. Je lui rĂ©pondis immĂ©diatement que je voulais du sexe, tout comme lui et il me demanda si j’étais libre en aprĂšs-midi. Oh que oui je l’étais et il me donna son adresse, Ă  seulement environ trente minutes de chez moi.

Treize heures. Je monte dans ma voiture. Je m’étais vĂȘtu d’un jeans serrĂ©, bien entendu sans sous-vĂȘtement, et d’un t-shirt bien ajustĂ©. Tout en conduisant, je m’interroge sur le fait qu’il ait rĂ©pondu si vite et surtout, qu’il m’ait donnĂ© son adresse, moi, un Ă©tranger. Peut-ĂȘtre me rendais-je lĂ  pour rien, m’apercevant qu’il s’était moquĂ© de moi. Je sonnerais Ă  la porte pour me retrouver devant je ne sais qui mais pas lui. Mais bon, ce n’était qu’à trente minutes.

ArrivĂ©e devant l’adresse, je me stationne et, avant de sortir du vĂ©hicule, me tripote la queue pour la faire grossir, me disant par contre que si ce n’est pas son adresse, la personne qui m’ouvrira remarquera sĂ»rement ma bosse sous mon jeans mais pas grave, faut ce qu’il faut.

Je marche donc sur le trottoir menant Ă  la maison et appuie sur la sonnette. Quelques secondes suffisent pour que la porte s’ouvre, le mec se prĂ©sentant avec un large sourire.

- Je me demandais si tu allais venir, me dit-il en me faisant signe d’entrer. Tu sais, sur ce genre de site, plusieurs donnent rendez-vous sans jamais se prĂ©senter.

- Tu vois, je me demandais si tu m’avais donnĂ© la bonne adresse, dis-je en refermant la porte derriĂšre moi.

- Je n’ai pas de temps à perdre avec ce genre d’idiotie. Tu aimerais un verre sur la terrasse? Un Sauvignon, ça t’irait?

- Pas de problĂšme.

- Parfait. Regarde, la terrasse est juste lĂ . Je te rejoins dans quelques minutes.

Ce mec est tout Ă  fait bandant. Je le fixe quelques instants, tandis qu’il marche j’imagine en direction de la cuisine. Il est vĂȘtu d’un short de sport, pas le mĂȘme que sur la photo. Celui-ci est blanc, juste assez ajustĂ© pour laisser voir qu’il a un cul d’enfer. Sa camisole noire laisse bien voir ses biceps et des pectoraux bien durs. Et son visage
 MĂąchoire carrĂ©e, des lĂšvres pulpeuses, de jolis yeux noisette qui lui donne un regard tĂ©nĂ©breux. J’ai peine Ă  croire que je vais le baiser mais bon, je suis bien lĂ , chez lui, et il m’offre une coupe de vin alors, je le baiserai.

Je sors sur la terrasse, m’assieds à la table, regardant un peu partout pour passer le temps. Il arrive, avec deux coupes de vin, m’en offrant une avant, lui aussi, de prendre place sur une chaise.

- Je me doute qu’on te le dit souvent mais je te trouve super sexy, me dit-il.

- Merci mais honnĂȘtement, je n’étais pas certain que tu me rĂ©pondrais, Ă©tant donnĂ© mon Ăąge.

- J’ai toujours Ă©tĂ© attirĂ© par les plus vieux que moi et toi, c’est du pur dĂ©lice pour les yeux. J’avoue aussi que ton jeans te va Ă  merveille, surtout sans sous-vĂȘtement.

- Comment tu sais que je ne porte pas de sous-vĂȘtement?

- J’ai des yeux pour voir tu sais, me dit-il en riant. J’ai remarquĂ© ton boudin bandĂ©. Rien de plus excitant qu’une queue bien droite sous un jeans.

Je prends une gorgĂ©e de vin, ne sachant trop quoi dire, bien heureux que ma bite lui fasse un tel effet. Il se lĂšve et tranquillement, enlĂšve sa camisole pour se caresser le ventre, glissant ses mains jusqu’à ses pectoraux, pinçant lĂ©gĂšrement ses mamelons.

- J’espùre que je t’excite autant que tu m’excites.

- Plus, j’en suis certain, lui dis-je

- Et toi, tu n’enlùves pas ton t-shirt?

Je me lĂšve Ă  mon tour et me dĂ©barrasse de mon t-shirt, sans me faire prier. Il s’approche et pose sa main sur ma poitrine velue avant de m’embrasser Ă  pleine bouche. Ma main glisse le long de son corps, dĂ©sirant ardemment lui caresser les fesses mais il recule aussitĂŽt.

- Tu es pressĂ© Ă  ce que je vois. J’aime bien prendre mon temps, pas toi? En passant, Etienne, c’est ton vrai prĂ©nom?

- Tout Ă  fait. Et toi?

- Vincent. Je m’appelle Vincent mais tout le monde m’appelle Vince, me rĂ©pond-il en marchant vers la porte patio.

Il s’arrĂȘte et se retourne vers moi, dirigeant sa main sur le devant de son short qu’il baisse, juste un peu, juste assez pour que j’entrevoie une lĂ©gĂšre toison. Il me regarde en souriant, baissant encore un peu son short pour me laisser voir le dĂ©but de sa queue. Il pose son avant-bras droit derriĂšre sa tĂȘte, son biceps bien en muscle et se met Ă  balancer ses hanches avec assez d’agilitĂ© pour me rendre fou de dĂ©sir. J’observe son dĂ©hanchement, sa main qui s’enfouit sous son short, ses doigts tripatouillant sa bite pendant qu’il me sourit Ă  pleines dents, satisfait de constater que mon regard en empreint de dĂ©sir. Il est si sensuel en exĂ©cutant cette danse.

Lentement, il se retourne, se penche et baisse son short, me dĂ©voilant son cul musclĂ© qu’il dandine et le remonte immĂ©diatement avant de me faire signe de le suivre dans la maison. Sans attendre, j’emboĂźte le pas derriĂšre lui en me disant qu’avec un cul comme cela, je me ferais grand plaisir de le fourrer bien Ă  fond. Il nous dirige vers le salon et s’étend sur le canapĂ©, me dictant de son regard de prendre place sur le fauteuil en face. Je m’assieds, replaçant ma bite qui a pris toute son ampleur sous mon jeans devenu trĂšs serrĂ©. Il porte son index Ă  sa bouche, l’humidifie et le glisse sur un mamelon. Je comprends qu’il est aime qu’on le regarde, qu’on le mate. Ça l’excite. Il Ă©carte les cuisses et de son autre main, se met Ă  caresser celle de droite, glissant lentement dans l’entrecuisse, son pouce se faufilant sous son short. Je n’ai qu’une envie, de lui sauter dessus pour le baiser mais je me doute qu’il veut faire durer le plaisir et ça me va parfaitement. Il est un spectacle en soi ce mec.

Sans rien dire, il se lĂšve et quitte le salon pour revenir quelques secondes plus tard, reprenant sa place sur le canapĂ©. Il reprend son jeu mais cette fois-ci, soulĂšve son short pour en laisser sortir sa queue, tout cela en me fixant sans cesse. Il la manipule lentement, poursuivant ses caresses sur son torse. Elle est droite, bien dure, bien grosse, comme je les aime. Doucement, il se masturbe et moi, je me tripote tout en le convoitant, dĂ©cider Ă  libĂ©rer mon poireau qui n’en peut plus. Je dĂ©boutonne mon jeans et Ă  la vue de ma bite, il sourit tout en se lĂ©chant les lĂšvres. Je ne veux pas trop me pistonner, sachant que je pourrais jouir en quelques instants. Il continue de se branlotter jusqu’à ce qu’il se lĂšve Ă  nouveau, me laissant seul dans le salon pour aller je ne sais oĂč.

Il revient et se place droit devant moi. Lentement, trĂšs lentement, il baisse son short, le laissant tomber Ă  ses pieds et grimpe sur le fauteuil, posant ses pieds de chaque cĂŽtĂ© de moi. Il pose ses mains sur mes Ă©paules et se met Ă  se dandiner, me balançant sa queue au visage, effleurant mes lĂšvres qui s’entrouvrent automatiquement mais il recule un peu, juste assez pour que je ne puisse le sucer. Il continue tout de mĂȘme de remuer le bas de son corps, plaçant le dessous de ses bourses sur mon nez. Il sent bon en plus. Non pas un parfum commercial mais une odeur corporelle un peu sucrĂ©e. Il se recule et descend du fauteuil, quittant encore une fois le salon pour revenir presqu’aussitĂŽt.

Cette fois-ci, il reprend place sur le fauteuil mais me prĂ©sente son cul, le trĂ©moussant d’avant en arriĂšre. Sa rosette est juste un peu poilue. Elle est si prĂšs que je sors ma langue pour la goĂ»ter, la lĂ©chant pour m’en dĂ©lecter. Il se laisse faire, appuyant mĂȘme son cul contre mon visage. De ses mains, il s’écarte les miches, m’ouvrant Ă  grand son terrain de jeu. Ma langue se fait aller de grands coups, tentant de percer sa capsule. Un vrai rĂ©gal. Il pose un pied par terre, et le deuxiĂšme et me quitte Ă  nouveau. Je fronce les sourcils, m’interrogeant sur ces dĂ©parts subits.

Il revient en marchant trĂšs lentement, la queue bien en main, me regardant en souriant. Il me tourne le dos, pose un genou sur le canapĂ© et se met Ă  se tripoter le cul, caressant ses fesses tout en les Ă©cartant pour m’exposer son as de trĂšfle. Il se penche pour poser sa tĂȘte sur le coussin, Ă©levant son cul. D’un coup sec, il se claque les brioches. Ses couilles, rasĂ©es, sont bien remplies et sa verge, toujours bien dure. Il passe un bras entre ses cuisses pour palper sa rosette de son index. Dans cette position, je n’aurais qu’à me lever et lui fourrer ma queue dans le cul mais je prĂ©fĂšre le dĂ©vorer des yeux, du moins pour l’instant. Je me contente de me palucher la carotte, me disant que bien des mecs paieraient pour une telle attraction.

Il se retourne et s’étend sur le dos, reprenant ses caresses des pectoraux tout en tapant sa queue. Et soudain, il entre dans le salon, une serviette autour des hanches.

Surpris, je regarde la scĂšne. Ils sont lĂ , tous les deux. Ce sont des jumeaux identiques et trĂšs identiques. Je comprends maintenant toutes ces allĂ©es et venues. Ils s’inter changeaient. Une fois Vincent, une fois son frĂšre. Ce dernier laisse tomber la serviette Ă  ses pieds. Vincent s’assied et fait signe Ă  son frĂšre de le rejoindre sur le canapĂ©, continuant de se polir le gourdin. Ce dernier le rejoint, Ă  l’autre bout du canapĂ© et s’agenouille pour poser sa tĂȘte sur l’appui-bras, le visage tournĂ© vers moi. Vincent accĂ©lĂšre son branlage tandis que son frĂšre Ă©carte ses fesses comme pour offrir son croupion, tous les deux me fixant en se dĂ©lectant de ma rĂ©action, ou plutĂŽt mon absence de rĂ©action. Je suis sidĂ©rĂ© tant ils sont indissociables. DĂ©jĂ , lorsque je me croyais seul avec Vincent, je le trouvais exceptionnellement excitant mais lĂ , ce tableau qui se prĂ©sentait Ă  mes yeux Ă©tait tout Ă  fait divin.

- Alors, ça te plait? Je te présente mon frÚre Christophe, me dit Vincent.

- Je me doute bien que vous ĂȘtes frĂšre.

Tous deux laissent entendre un lĂ©ger rire, Vincent se rapprochant de son frĂšre, son visage au niveau du cul bien bombĂ©. Il se lĂšche les lĂšvres. Christophe se dandine le derriĂšre mais Vincent ne touche pas, se contentant de regarder. Je ne sais plus si je peux les rejoindre oĂč s’ils prĂ©fĂšrent se donner en show alors je dĂ©cide, encore, de ne rien faire, me demandant si l’un portera sa langue dans le garde-manger de l’autre. Mais non, Vincent reprend sa place. Il lĂšve les jambes, les Ă©carte et mouille son index avant de le mener Ă  sa rosette. Il se doigte, l’enfonçant bien Ă  fond. Christophe se dĂ©place, s’étendant sur le ventre, le visage tout prĂšs du cul de son frĂšre. Ce dernier semble grandement apprĂ©ciĂ© sentir en lui son index dont les mouvements se font de plus en plus vite. Christophe me lance un clin d’Ɠil avant de regarder son frĂšre en ouvrant la bouche. AussitĂŽt, Vincent retire son index et l’introduit dans la bouche de son frĂšre qui le suce tranquillement en laissant entendre un petit gĂ©missement de satisfaction. L’index retrouve sa place bien au fond du cul.

- Tu devrais goĂ»ter, c’est un vrai rĂ©gal, me dit Christophe, m’invitant de mĂȘme Ă  participer.

Je me lĂšve sur le champ et les rejoins, m’agenouillant en ouvrant la bouche pour goĂ»ter l’index crĂ©meux. Christophe profite du fait que le cul de son frĂšre soit libre pour lui insĂ©rer son index, suivi du majeur. Ses mouvements accĂ©lĂ©rĂ©s plaisent Ă  Vincent qui me regarde en se lamentant.

- Déshabille-toi, me dit-il. Je me relÚve et me débarrasse, enfin, de mon jeans. Christophe regarde ma queue, continuant à doigter son frÚre dont la respiration augmente graduellement. Je crois que mon frÚre préférerait ta queue à mes doigts. Tu aimerais fourrer son cul?

Qui n’aimerait pas fourrer un cul pareil? Il faudrait ĂȘtre fou. Je lui rĂ©ponds par un signe affirmatif de la tĂȘte pendant que Vincent se place dos Ă  moi, sur les genoux. Christophe se relĂšve pour s’asseoir et prend ma queue dans sa bouche. Je suis si excitĂ© que je pourrais lui cracher mon foutre dans la gorge sur le champ mais il s’en aperçoit et se recule. Il Ă©carte les fesses de son frĂšre et je place ma bite sur la capsule que je dĂ©fonce, sentant sur le coup la chaleur de ce cul en feu. Je me fais aller avec ardeur, entrainĂ© par les sons que laissent entendre Vincent. Christophe se rapproche de ma queue et m’incite Ă  la retirer pour la prendre en bouche. Il adore le goĂ»t de la graisse du fourreau de son frĂšre, me suçant avec fougue avant de me laisser savoir que je dois ramener popol au cirque. J’enfourne donc Ă  nouveau, reprenant ma cadence.

Christophe se lĂšve et se place derriĂšre moi. Je peux sentir sa bite qui glisse entre mes fesses, sachant bien qu’il s’apprĂȘte Ă  m’embrocher. Je n’ai pas Ă  attendre bien longtemps pour sentir son poireau me bĂȘcher le cul. J’accĂ©lĂšre encore mes mouvements, heureux d’ĂȘtre pris en sandwich entre ces jumeaux baisables au max. Je peux sentir le souffle de Christophe sur mon cou, sa respiration haletante Ă  mes oreilles jusqu’à ce qu’il se retire, posant ses mains sur mes hanches pour me signaler que moi aussi, je dois me retirer. Il s’assied sur le canapĂ©, sa bite bien dure et bien droite. Je prends place, mon cul sur le gland, me laissant descendre pour prendre en entier cette grosse teub qui n’attend pas pour prendre le contrĂŽle absolu. Christophe me tape dedans Ă  grands coups tandis que Vincent se place debout, devant moi, pour que je le suce. Je suis aux anges. J’apprĂ©cie les coups sur ma prostate, sa façon de me marteler tout autant que l’ardeur de Vincent Ă  m’enfoncer sa queue dans la gorge. Je ne pense Ă  rien d’autre qu’à ces jumeaux, excitĂ© de savoir qu’ils sont frĂšres et qu’ils s’adonnent Ă  ce genre d’aventure.

Et soudain, Vincent me crache sa crĂšme dans la bouche, exactement en mĂȘme temps que Christophe me remplit le cul de son Ă©cume blanche. De les entendre jouir en mĂȘme temps, les mĂȘmes gĂ©missements, le mĂȘme son, c’est une musique Ă  mes oreilles.

Vincent descend du canapĂ© pendant que moi, je lĂšve le cul pour retirer la bite de Christophe avant de me lever Ă  mon tour, suivant de Christophe. Tous deux s’agenouillent devant moi et se mettent Ă  me sucer, Ă  tour de rĂŽle. Je n’en peux plus et je leur lance, en plein visage, ma giclĂ©e bien Ă©paisse, tous deux la bouche ouverte, dĂ©sirant goĂ»ter ma crĂšme. Les visages bien graissĂ©s, ils s’embrassent, lĂ©chant la liqueur que l’autre a autour de la bouche. Ils sont si beaux Ă  voir.

Ils se lĂšvent et chacun m’embrassent, en mĂȘme temps. Je peux goĂ»ter le peu de mon foutre qu’ils ont toujours sur la bouche.

- Alors, en espérant que tu as passé un bon moment, me dit Vincent

- Un excellent moment, lui dis-je. Mais je sais que ce moment ne se reproduira jamais. J’ai compris que ce que vous aimez, c’est ce jeu de vous intervertir alors que le mec ne s’aperçoit de rien.

- Tu es trop intelligent Etienne. Effectivement, ça nous excite au max ce petit jeu. Mais tu es un mec baisable et nous avons pris grand plaisir avec toi.

Je me rhabille, déçu de devoir les quitter mais surtout, de ne plus jamais les revoir.
Published by etienneguy48
2 years ago
Comments
1
Please or to post comments
Paflechienhamster 2 years ago
Dépravés à souhait, hum...
Reply