Souvenir de vacances

Le TGV fonce Ă  travers la campagne normande. BercĂ©e par les mouvements de roulis, BĂ©a somnole. Elle ne porte qu’un mini-short en coton blanc, et un petit bustier blanc sans bretelles qui met bien en valeur sa fabuleuse poitrine. Elle ne porte pas de soutien-gorge ; malgrĂ© leur volume, ses appĂąts n’en ont pas besoin, tant ils sont fermes. Chaque mouvement du train fait tressauter ses gros seins ronds, arrogants, qui dardent leurs tĂ©tons sombres et gonflĂ©s Ă  travers le tissu.

Face Ă  elle, un jeune couple ne rate rien du spectacle : elle est blonde, trĂšs jolie, habillĂ©e elle aussi trĂšs lĂ©gĂšrement : une mini-jupe en jeans qui sublime ses longues cuisses bronzĂ©es, un petit tee-shirt qui dĂ©couvre son ventre plat et musclĂ©, ornĂ© d’un diamant dans le nombril ; lui est noir, relax, en short et tee-shirt. Elle ne porte pas non plus de soutien-gorge. Ses seins sont moins imposants que ceux de BĂ©a, sans ĂȘtre pour autant menus : de la taille de jolis pamplemousses, ils balancent librement quand elle se penche en avant.

BĂ©a n’a rien remarquĂ© des regards inquisiteurs de ses compagnons de voyage. L’eĂ»t-elle fait, qu’elle n’en aurait pas Ă©tĂ© pour autant gĂȘnĂ©e : elle adore s’exhiber, elle adore sentir sur elle des regards chargĂ©s de dĂ©sir. BĂ©a somnole, perdue dans une rĂȘverie fort sensuelle. Elle se souvient de ce qu’elle a vĂ©cu l’étĂ© dernier, Ă  pareille Ă©poque, sur la plage oĂč elle va Ă  nouveau passer une semaine de vacances.

Elle Ă©tait pareillement seule, souhaitant s’ouvrir Ă  toutes les aventures qui se prĂ©senteraient.
DĂšs le premier jour, lorsqu’elle s’était rendue sur la plage, elle avait remarquĂ© la splendide noire qui prenait le soleil, seule sur un drap de plage. La jeune femme Ă©tait superbe, sa peau noire luisait au soleil, son corps musclĂ© et nerveux, dĂ©gageait une rĂ©elle sensualitĂ©. CouchĂ©e sur le ventre, elle ne portait qu’un joli string vert fluo qui sĂ©parait ses petites fesses rondes. BĂ©a s’était installĂ©e prĂšs d’elle. Elle s’était lentement dĂ©vĂȘtue, libĂ©rant d’abord sa formidable poitrine du petit top qui la cachait Ă  grand peine, ĂŽtant ensuite sa jupe pour ne garder que son string dorĂ© qui flattait son teint bronzĂ©. Elle avait rapidement engagĂ© la conversation, questionnĂ© sa voisine sur la plage, la mer, les distractions du lieu. Les deux femmes avait rapidement sympathisĂ©.

AprĂšs 5 minutes, BĂ©a s’était accroupie face Ă  sa voisine en la regardant fixement, le dos cambrĂ©, les seins dardĂ©s, les jambes lĂ©gĂšrement Ă©cartĂ©es pour qu’elle puisse apercevoir sa moule gonflĂ©e sous le fin tissu. La jeune noire l’avait observĂ©e avec intĂ©rĂȘt lorsqu’elle avait commencĂ© Ă  s’enduire la peau d’huile solaire, caressant ses mollets, ses cuisses, ses fesses, ses seins avec application. BĂ©a avait tout de suite flashĂ© pour la superbe nĂ©gresse et avait dĂ©cidĂ© de la sĂ©duire. Quoiqu’elle prĂ©fĂšre les hommes, elle n’avait jamais regrettĂ© les aventures lesbiennes qu’elle avait pu avoir. Apparemment trĂšs intĂ©ressĂ©e au manĂšge de BĂ©a, la jeune fille s’était assise sur son drap.
BĂ©a avait alors dĂ©couvert avec plaisir qu’elle avait des seins fabuleux, au moins aussi Ă©normes que les siens. De plus en plus excitĂ©e, BĂ©a avait continuĂ© machinalement Ă  se caresser la poitrine, sans paraĂźtre se rendre compte du spectacle sans Ă©quivoque qu’elle offrait. Elle massait ses gros seins, les frottait l’un contre l’autres, les soulevait, les pressait ; les tĂ©tons excitĂ©s par les caresses commençaient Ă  gonfler. La jeune noire sourit. BĂ©a lui rendit son sourire.
"Vous voudriez me mettre de l’huile dans le dos ?

— Bien sĂ»r, si cela vous fait plaisir.
— Je ne doute pas que j’y trouverai un grand plaisir" rĂ©pondit subtilement BĂ©a.

La jeune noire s’était levĂ©e. Elle Ă©tait vraiment superbe. Sa poitrine Ă©tait exceptionnellement ferme et arrogante. MalgrĂ© leur volume, ses seins tremblaient Ă  peine lorsqu’elle s’approcha. Elle avait une dĂ©marche de gazelle. BĂ©a se coucha sur le ventre et se laissa enduire d’huile. La jeune fille lui caressa d’abord le dos et les Ă©paules
"Oh, ça fait du bien, vous ne pouvez pas imaginer !" lui dit BĂ©a pour l’encourager. Sa nouvelle compagne lui remit de l’huile sur les cuisses, qu’elle commença Ă  masser. BĂ©a commençait Ă  mouiller, elle sentait son string devenir moite. Inconsciemment, elle souleva un peu son beau cul, certes plus imposant, mais pas moins excitant que celui de la noire qui commença aussitĂŽt Ă  le caresser. Elle massa les fesses, d’abord doucement, puis avec plus d’insistance Ă  mesure qu’elle constatait que BĂ©a s’excitait, pressant ses pouces de plus en plus loin dans la raie des fesses.

C’était incroyable : ces deux femmes ne s’étaient jamais vues, s’étaient adressĂ© la parole moins de cinq minutes plus tĂŽt, et dĂ©jĂ  elles Ă©taient aussi intimes que deux amantes. Le coup de foudre avait Ă©tĂ© immĂ©diat, et partagĂ©. Sans doute, BĂ©a devait-elle dĂ©gager dans sa maniĂšre d’ĂȘtre et son apparence physique un signal terriblement clair de son obsession pour le sexe. Sans doute aussi la jeune noire devait-elle ĂȘtre Ă  l’affĂ»t d’une telle aventure. TrĂšs vite, les caresses de la jeune fille Ă©taient devenues franchement Ă©rotiques : elles remontait ses doigts fins Ă  l’intĂ©rieur des cuisses, maltraitait les fesses, s’aventurait dans la fente, puis bientĂŽt jusqu’au pubis. BĂ©a grognait de plaisir. Elle avait beaucoup de mal Ă  s’empĂȘcher d’onduler du cul de maniĂšre non Ă©quivoque. Elle devait interrompre la sĂ©ance sous peine de provoquer un scandale. Elle se retourna.

— Bon Dieu, cela fait du bien. Mais si vous continuez, je vais devenir folle. On est quand-mĂȘme sur une plage publique.
— Si nous Ă©tions seules, vous m’auriez demandĂ© de continuer ?
— Vous le savez, que vous massez divinement bien. Vous semblez bien connaĂźtre les femmes et leurs dĂ©sirs secrets !
— À voir la maniĂšre dont vous m’avez contemplĂ©e tout Ă  l’heure, on dirait que vous non plus, les femmes ne vous laissent pas indiffĂ©rente.
— Vous avez un corps superbe, mĂȘme une femme ne peut s’empĂȘcher de vous trouver excitante et de vous admirer
— Vous aussi, vous ĂȘtes superbe dans votre genre. J’ai rarement vu des seins aussi beaux. J’ai beaucoup envie de les caresser. Vous voulez que je m’en occupe ?
— Si vous me caressez les seins, je ne pourrai plus me contrîler. Vous savez que j’ai envie de vous ? Vous m’excitez terriblement.
— Moi aussi je suis trĂšs excitĂ©e, Ă  caresser sans vergogne vos jolies fesses. Et je suis d’autant plus excitĂ©e que tout le monde nous observe. Vous croyez qu’on voit ça souvent, deux paires de nichons aussi superbes qui s’exhibent ? Redressez-vous, que je puisse encore les admirer !"

A ces mots, BĂ©a s’appuie sur ses coudes. Ses gros seins semblent comme posĂ©s sur son torse, tant ils sont gonflĂ©s. La jeune nĂ©gresse s’empare du flacon d’huile solaire, et lui en envoie une longue giclĂ©e sur la poitrine. Puis elle commence Ă  Ă©taler l’huile. AnĂ©antie, BĂ©a la laisse faire. Chaque fois que les doigts agiles effleurent ses mamelons, gonflĂ©s Ă  en ĂȘtre douloureux,, elle sent une dĂ©charge de plaisir descendre jusqu’à son sexe palpitant. Chaque fois que les mains pressent les globes de chair, elle croit dĂ©faillir. Elle doit se retenir pour ne pas gĂ©mir. Elle s’effraie elle-mĂȘme de la situation, du spectacle lubrique qu’elles offrent aux autres vacanciers. Mais en mĂȘme temps elle ne peut s’empĂȘcher d’aller au-devant des caresses de sa compagne, et de souhaiter qu’elles se fassent encore plus intimes. Elle est sur le point de se toucher le sexe quand, dans un dernier instant de luciditĂ©, elle dĂ©cide d’interrompre le jeu.
" Vous logez loin d’ici ?

— À cinq minutes à pied. Pourquoi ?
— J’ai envie de vous. Cela ne m’est jamais arrivĂ© comme cela, aussi vite, aussi intensĂ©ment. Je mouille comme une damnĂ©e.
— Ca, ça se voit ! Votre string est dĂ©jĂ  trempĂ©. C’est particuliĂšrement expressif. Venez, allons chez moi !"

La nĂ©gresse se relĂšve. Elle est vraiment superbe : silhouette Ă©lancĂ©e, poitrine insolente, peau luisante. BĂ©a se lĂšve Ă©galement. Elle dĂ©couvre en se penchant la tache d’humiditĂ© qui dĂ©core son string. Son premier rĂ©flexe est de renfiler rapidement sa jupe, puis elle se ravise. Pourquoi aurait-elle honte de son dĂ©sir ? Elle ne se rhabille pas, entasse ses vĂȘtements dans son sac de plage et reste en string, le torse nu.
"Nous y allons ?

— Vous ne vous rhabillez pas ?
— C’est si loin ?
— Non, c’est vraiment à 2 pas.
— Alors, pourquoi cacher mon corps, si vous le trouvez beau ?
— C’est vrai, tout compte fait. Cela sera trùs excitant d’y aller en string. Tout le monde pourra mater les deux plus jolies nanas de la plage qui vont exhiber leurs nichons."

A ces mots, elle s’approche de BĂ©a, la saisit par la taille, l’attire vers elle et l’embrasse sur les lĂšvres. Surprise, BĂ©a manque dĂ©faillir. Une onde de dĂ©sir l’envahit. Les lĂšvres de la nĂ©gresse sont fraĂźches et humides, trĂšs douces. Sa langue agile s’insinue dĂ©jĂ  entre ses lĂšvres, BĂ©a rĂ©pond au baiser en lui mordillant la lĂšvre infĂ©rieure ; leurs langues se trouvent, s’enroulent. Elles s’enlacent, leurs gros seins pressĂ©s les uns contre les autres, leurs jambes entremĂȘlĂ©es. AprĂšs de longues minutes de fusion, BĂ©a se libĂšre et reprend son souffle. La nĂ©gresse la prend par la main, l’entraĂźne et lui prend la taille. BĂ©a lui pose une main sur les fesses, et elle s’en vont, tendrement enlacĂ©es.
"Je m’appelle BĂ©a

— Moi, c’est MaĂŻtĂ©. On se tutoie ?
— Tu viens de loin ?
— De la Guadeloupe"

Les deux jeunes femmes quittent la plage. La négresse et la blonde, superbes, leur peau luisant au soleil, leur poitrine insolemment volumineuse, leur cul ferme et nerveux constituent un spectacle extraordinaire.

Effectivement, MaĂŻtĂ© habite Ă  2 pas, une jolie petite villa dans un jardin entourĂ© d’une haute haie.
A peine ont-elles refermĂ© le portail du jardin, qu’elles recommencent Ă  s’embrasser goulĂ»ment. Mais cette fois, trĂšs vite, BĂ©a s’enhardit. Elle a saisi le sein gauche de MaĂŻtĂ©. Il est lourd et ferme. Elle effleure le tĂ©ton, trĂšs gonflĂ©, commence Ă  le titiller, Ă  le pincer entre le pouce et l’index. MaĂŻtĂ© rĂ©agit en lui pĂ©trissant les fesses, les caresse, les Ă©carte pour glisser son doigt dans le fente du cul.
Sans arrĂȘter de l’embrasser, MaĂŻtĂ© l’attire vers le bord de la piscine. Les deux femmes s’allongent sur les dalles chaudes, et se caressent mutuellement les seins en continuant leurs jeux de langue. BĂ©a Ă©carte les cuisses. Le tissu dorĂ© de son string dessine la forme de sa moule gonflĂ©e. Elle prend la main de MaĂŻtĂ©, et la pose sur son sexe. MaĂŻtĂ© commence Ă  la caresser Ă  travers le tissu. BĂ©a ondule du bassin. Elle Ă©carte elle-mĂȘme le string pour libĂ©rer sa moule. Elle a le pubis rasĂ©. Sa moule est gonflĂ©e, son clitoris, d’une taille inhabituelle, palpite en attendant les caresses.
"Toi aussi, tu te rases ?

— Oui, j’adore ça, voir ma petite moule toute lisse
— Regarde, moi aussi je suis Ă©pilĂ©e
— C’est drîle, cette fente toute rose sur ta peau noire. On dirait un bonbon à la fraise.
— Tu veux goĂ»ter ?"

MaĂŻtĂ© s’accroupit, approche son sexe du visage de sa compagne qui n’hĂ©site pas un instant. Elle s’empare goulĂ»ment du fruit juteux qui lui est offert. Elle s’attendait Ă  un goĂ»t Ăącre, mais la nĂ©gresse s’est parfumĂ© la moule, qui sent effectivement la fraise. Elle commence Ă  la lĂ©cher dĂ©licatement, entrant le bout de sa langue entre les lĂšvres, remontant vers le clitoris qu’elle se met Ă  sucer. La nĂ©gresse, la tĂȘte rejetĂ©e en arriĂšre, se masse les nichons, d’abord doucement, puis de plus en plus violemment Ă  mesure que sa compagne accentue sa succion. Elle est trĂšs excitĂ©e, s’empare de ses tĂ©tons, les Ă©tire, puis commence Ă  se secouer les seins. Le spectacle est extraordinaire. BĂ©a se branle ardemment le clitoris.
"On est folles

— oui, on est folles, mais que c’est bon, ! continue, suce-moi le bouton, je jouis, je vais exploser. Vas-y, branle-toi, viens avec moi
 Ah, tu lĂšches comme une dĂ©esse.
— Vas-y continue à secouer tes gros seins, ça m’excite. Mmh. Ooh que ton sexe est bon. Mmh
— Ah ah ah
— Ouiiiii, je viens, je viens

— Moi aussi, je vais t’inonder Ahhh"

Les deux femmes partent ensemble dans un formidable orgasme, la nĂ©gresse lĂąche tout son jus sur le visage de BĂ©a qui l’étale en se frottant sur son sexe. L’orgasme a Ă©tĂ© si violent que BĂ©a perd un moment ses esprits. La nĂ©gresse s’est Ă©croulĂ©e Ă  cĂŽtĂ© d’elle, encore secouĂ©e de spasmes
Doucement, BĂ©a revient Ă  la rĂ©alitĂ©, Ă  la superbe gazelle qu’elle vient de sucer. Elle tend la main, touche la peau souple et lisse, lui caresse les fesses. DĂ©jĂ , une nouvelle vague de dĂ©sir l’envahit. Que se passe-t-il ? Elle a le bout des seins douloureux tant ils sont gonflĂ©s. Elle y sent son sang battre. Son sexe aussi palpite. Elle vient d’avoir un orgasme formidable, et dĂ©jĂ  elle ressent l’envie de recommencer Ă  baiser. MaĂŻtĂ© lui sourit. Elle aussi semble gagnĂ©e Ă  nouveau par l’excitation.
" Ca t’excite qu’il nous regarde ?

— Qui ça?" interroge BĂ©a, interloquĂ©e.
— "Jean, mon copain, il n’a pas ratĂ© une miette du spectacle. Regarde, de l’autre cĂŽtĂ© de la piscine."

Béa découvre alors, allongé dans un fauteuil, un grand noir, nu, qui tient en main son énorme sexe dressé en leur souriant.
BĂ©a aurait pu Ă  ce moment pendre peur, ramasser ses affaires et quitter prĂ©cipitamment l’endroit. Mais elle est trop excitĂ©e pour abandonner sa compagne, et puis elle imagine ce pĂ©nis qui la pĂ©nĂštre, et mouille encore davantage. MaĂŻtĂ© n’hĂ©site pas ; elle lui prend la main et l’amĂšne de l’autre cĂŽtĂ© de la piscine.
"Jean, je te prĂ©sente BĂ©a, j’ai fait sa connaissance sur la plage.

— Si j’en juge par ce que je viens de voir, c’est une connaissance approfondie. Vous m’avez offert un spectacle inoubliable. C’est que vous ĂȘtes superbes toutes les deux. Vous me faites bander !
— Tu a vu ses seins, ils sont aussi beaux que les miens. C’est fou ce que ça m’a excite, des nichons Ă©normes comme ça. Toi aussi ça t’excite ?"

Jean ne rĂ©pond pas, mais se lĂšve et s’approche de BĂ©a. Son sexe dressĂ© est d’une taille apprĂ©ciable, BĂ©a se demande un moment si elle pourrait l’emboucher. Sans aucune hĂ©sitation, comme s’il voulait examiner la marchandise, Jean s’empare de ses seins, les soulĂšve dans ses mains, les fait rouler l’un contre l’autre. BĂ©a croit Ă  nouveau dĂ©faillir. MaĂŻtĂ© vient se coller derriĂšre elle. Elle sent le bout de ses seins qui s’écrase contre ses omoplates, son ventre qui se colle Ă  ses fesses. MaĂŻtĂ© lui saisit la taille et pose sa main droite sur son sexe encore dĂ©goulinant. BĂ©a ferme les yeux pour mieux s’abandonner aux caresses. Elle ne sait plus qui, de Jean ou de MaĂŻtĂ©, lui masse les seins, titille ses tĂ©tons, lui triture les fesses et pĂ©nĂštre sa vulve. Elle est prise de partout, son dĂ©sir est intense. Soudain, elle sent la bite s’appuyer contre sa cuisse. Elle ne peut s’empĂȘcher de s’en emparer. Elle est Ă©norme, longue et dure, elle la sent palpiter dans sa main. Elle commence Ă  la branler, d’abord doucement, puis en accĂ©lĂ©rant le rythme. Mais elle ne rĂ©siste pas longtemps Ă  l’invincible envie de se faire pĂ©nĂ©trer : elle Ă©carte davantage les cuisses, et amĂšne le gland contre sa fente. Jean s’enfonce en elle progressivement. La taille de sa bite est vraiment impressionnante, BĂ©a la sent bien distendre son vagin. Heureusement, elle mouille abondamment. Lorsqu’il commence ses mouvements de va-et-vient, elle sent trĂšs rapidement le plaisir envahir ses entrailles. Elle saisit les mains de MaĂŻtĂ© pour les plaquer sur ses seins.

— Oh oui, prenez-moi. Vas-y, bourre-moi avec ta grosse bite. Et toi, MaĂŻtĂ©, secoue moi les nichons, j’aime ça.
— Et tes fesses, tu aimes aussi que je te masse les fesses.
— Oui, les seins, les fesses, et branle-moi le clito. Oh, je viens, je viens."

BĂ©a explose. Le plaisir est tellement fulgurant qu’elle s’écroule. Jean n’a pas encore joui. MaĂŻtĂ© se retourne, se penche en avant pour lui prĂ©senter sa croupe. BĂ©a, accroupie sous elle, s’empare de ses gros seins qui pendent entre ses bras et commence Ă  les masser. Elle admire la bite qui pĂ©nĂštre la moule largement distendue. Lorsque Jean commence Ă  la bourrer, les seins de la nĂ©gresse commencent Ă  osciller en rythme. BĂ©a tend les lĂšvres pour happer un des tĂ©tons et se met Ă  la sucer avec aviditĂ©. La nĂ©gresse se masturbe le clitoris, et ne tarde pas Ă  jouir Ă  son tour. Comme s’il s’agissait d’un rituel, lorsqu’elle a fini de jouir, elle se retourne, s’accroupit face Ă  son partenaire. Elle prend ses seins dans ses mains, les soulĂšve et les presse l’un contre l’autre
"Viens, il va lĂącher tout son sperme sur nos nichons"
Tout excitĂ©e, BĂ©a s’accroupit Ă  ses cĂŽtĂ©s et l’imite. Elles se massent les seins. Jean se branle de plus en plus vite. Puis il explose, rĂ©pandant de longues rasades de sperme sur les superbes nichons qui lui sont offerts.

AgitĂ©e par les mouvements du train autant que par ses souvenirs lubriques, BĂ©a sort de sa somnolence et reprend pied dans la rĂ©alitĂ©. Elle se rend compte alors que sa rĂȘverie a provoquĂ© quelques gestes Ă©loquents . Cuisses largement Ă©cartĂ©es, elle Ă©tait inconsciemment en train de caresser son sein droit d’une main, tandis que de l’autre elle se caressait l’entrejambe. En face d’elle, excitĂ©e par le spectacle, la jeune blonde fixe sa moule : nul doute que le tissu de son short porte dĂ©jĂ  la marque humide de son excitation. Quant au noir, il ne peut dĂ©tacher ses yeux de sa poitrine aux bouts arrogants. Ils n’ont pas vu qu’elle a ouvert les yeux. Par contre, elle remarque immĂ©diatement que la blonde a glissĂ© une main sous sa jupe : elle se masturbe discrĂštement. Quant au jeune noir, la bosse qui dĂ©forme son short rĂ©vĂšle une queue aussi dure qu’impressionnante. "DĂ©cidĂ©ment, les vacances commencent bien" se dit BĂ©a

Published by jeanb69
3 years ago
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