Souvenir de vacances
Le TGV fonce Ă travers la campagne normande. BercĂ©e par les mouvements de roulis, BĂ©a somnole. Elle ne porte quâun mini-short en coton blanc, et un petit bustier blanc sans bretelles qui met bien en valeur sa fabuleuse poitrine. Elle ne porte pas de soutien-gorgeâŻ; malgrĂ© leur volume, ses appĂąts nâen ont pas besoin, tant ils sont fermes. Chaque mouvement du train fait tressauter ses gros seins ronds, arrogants, qui dardent leurs tĂ©tons sombres et gonflĂ©s Ă travers le tissu.
Face Ă elle, un jeune couple ne rate rien du spectacle : elle est blonde, trĂšs jolie, habillĂ©e elle aussi trĂšs lĂ©gĂšrement : une mini-jupe en jeans qui sublime ses longues cuisses bronzĂ©es, un petit tee-shirt qui dĂ©couvre son ventre plat et musclĂ©, ornĂ© dâun diamant dans le nombrilâŻ; lui est noir, relax, en short et tee-shirt. Elle ne porte pas non plus de soutien-gorge. Ses seins sont moins imposants que ceux de BĂ©a, sans ĂȘtre pour autant menus : de la taille de jolis pamplemousses, ils balancent librement quand elle se penche en avant.
BĂ©a nâa rien remarquĂ© des regards inquisiteurs de ses compagnons de voyage. LâeĂ»t-elle fait, quâelle nâen aurait pas Ă©tĂ© pour autant gĂȘnĂ©e : elle adore sâexhiber, elle adore sentir sur elle des regards chargĂ©s de dĂ©sir. BĂ©a somnole, perdue dans une rĂȘverie fort sensuelle. Elle se souvient de ce quâelle a vĂ©cu lâĂ©tĂ© dernier, Ă pareille Ă©poque, sur la plage oĂč elle va Ă nouveau passer une semaine de vacances.
Elle Ă©tait pareillement seule, souhaitant sâouvrir Ă toutes les aventures qui se prĂ©senteraient.
DĂšs le premier jour, lorsquâelle sâĂ©tait rendue sur la plage, elle avait remarquĂ© la splendide noire qui prenait le soleil, seule sur un drap de plage. La jeune femme Ă©tait superbe, sa peau noire luisait au soleil, son corps musclĂ© et nerveux, dĂ©gageait une rĂ©elle sensualitĂ©. CouchĂ©e sur le ventre, elle ne portait quâun joli string vert fluo qui sĂ©parait ses petites fesses rondes. BĂ©a sâĂ©tait installĂ©e prĂšs dâelle. Elle sâĂ©tait lentement dĂ©vĂȘtue, libĂ©rant dâabord sa formidable poitrine du petit top qui la cachait Ă grand peine, ĂŽtant ensuite sa jupe pour ne garder que son string dorĂ© qui flattait son teint bronzĂ©. Elle avait rapidement engagĂ© la conversation, questionnĂ© sa voisine sur la plage, la mer, les distractions du lieu. Les deux femmes avait rapidement sympathisĂ©.
AprĂšs 5 minutes, BĂ©a sâĂ©tait accroupie face Ă sa voisine en la regardant fixement, le dos cambrĂ©, les seins dardĂ©s, les jambes lĂ©gĂšrement Ă©cartĂ©es pour quâelle puisse apercevoir sa moule gonflĂ©e sous le fin tissu. La jeune noire lâavait observĂ©e avec intĂ©rĂȘt lorsquâelle avait commencĂ© Ă sâenduire la peau dâhuile solaire, caressant ses mollets, ses cuisses, ses fesses, ses seins avec application. BĂ©a avait tout de suite flashĂ© pour la superbe nĂ©gresse et avait dĂ©cidĂ© de la sĂ©duire. Quoiquâelle prĂ©fĂšre les hommes, elle nâavait jamais regrettĂ© les aventures lesbiennes quâelle avait pu avoir. Apparemment trĂšs intĂ©ressĂ©e au manĂšge de BĂ©a, la jeune fille sâĂ©tait assise sur son drap.
BĂ©a avait alors dĂ©couvert avec plaisir quâelle avait des seins fabuleux, au moins aussi Ă©normes que les siens. De plus en plus excitĂ©e, BĂ©a avait continuĂ© machinalement Ă se caresser la poitrine, sans paraĂźtre se rendre compte du spectacle sans Ă©quivoque quâelle offrait. Elle massait ses gros seins, les frottait lâun contre lâautres, les soulevait, les pressaitâŻ; les tĂ©tons excitĂ©s par les caresses commençaient Ă gonfler. La jeune noire sourit. BĂ©a lui rendit son sourire.
"Vous voudriez me mettre de lâhuile dans le dos ?
ââŻBien sĂ»r, si cela vous fait plaisir.
ââŻJe ne doute pas que jây trouverai un grand plaisir" rĂ©pondit subtilement BĂ©a.
La jeune noire sâĂ©tait levĂ©e. Elle Ă©tait vraiment superbe. Sa poitrine Ă©tait exceptionnellement ferme et arrogante. MalgrĂ© leur volume, ses seins tremblaient Ă peine lorsquâelle sâapprocha. Elle avait une dĂ©marche de gazelle. BĂ©a se coucha sur le ventre et se laissa enduire dâhuile. La jeune fille lui caressa dâabord le dos et les Ă©paules
"Oh, ça fait du bien, vous ne pouvez pas imaginer !" lui dit BĂ©a pour lâencourager. Sa nouvelle compagne lui remit de lâhuile sur les cuisses, quâelle commença Ă masser. BĂ©a commençait Ă mouiller, elle sentait son string devenir moite. Inconsciemment, elle souleva un peu son beau cul, certes plus imposant, mais pas moins excitant que celui de la noire qui commença aussitĂŽt Ă le caresser. Elle massa les fesses, dâabord doucement, puis avec plus dâinsistance Ă mesure quâelle constatait que BĂ©a sâexcitait, pressant ses pouces de plus en plus loin dans la raie des fesses.
CâĂ©tait incroyable : ces deux femmes ne sâĂ©taient jamais vues, sâĂ©taient adressĂ© la parole moins de cinq minutes plus tĂŽt, et dĂ©jĂ elles Ă©taient aussi intimes que deux amantes. Le coup de foudre avait Ă©tĂ© immĂ©diat, et partagĂ©. Sans doute, BĂ©a devait-elle dĂ©gager dans sa maniĂšre dâĂȘtre et son apparence physique un signal terriblement clair de son obsession pour le sexe. Sans doute aussi la jeune noire devait-elle ĂȘtre Ă lâaffĂ»t dâune telle aventure. TrĂšs vite, les caresses de la jeune fille Ă©taient devenues franchement Ă©rotiques : elles remontait ses doigts fins Ă lâintĂ©rieur des cuisses, maltraitait les fesses, sâaventurait dans la fente, puis bientĂŽt jusquâau pubis. BĂ©a grognait de plaisir. Elle avait beaucoup de mal Ă sâempĂȘcher dâonduler du cul de maniĂšre non Ă©quivoque. Elle devait interrompre la sĂ©ance sous peine de provoquer un scandale. Elle se retourna.
ââŻBon Dieu, cela fait du bien. Mais si vous continuez, je vais devenir folle. On est quand-mĂȘme sur une plage publique.
ââŻSi nous Ă©tions seules, vous mâauriez demandĂ© de continuer ?
ââŻVous le savez, que vous massez divinement bien. Vous semblez bien connaĂźtre les femmes et leurs dĂ©sirs secrets !
ââŻĂ voir la maniĂšre dont vous mâavez contemplĂ©e tout Ă lâheure, on dirait que vous non plus, les femmes ne vous laissent pas indiffĂ©rente.
ââŻVous avez un corps superbe, mĂȘme une femme ne peut sâempĂȘcher de vous trouver excitante et de vous admirer
ââŻVous aussi, vous ĂȘtes superbe dans votre genre. Jâai rarement vu des seins aussi beaux. Jâai beaucoup envie de les caresser. Vous voulez que je mâen occupe ?
ââŻSi vous me caressez les seins, je ne pourrai plus me contrĂŽler. Vous savez que jâai envie de vous ? Vous mâexcitez terriblement.
ââŻMoi aussi je suis trĂšs excitĂ©e, Ă caresser sans vergogne vos jolies fesses. Et je suis dâautant plus excitĂ©e que tout le monde nous observe. Vous croyez quâon voit ça souvent, deux paires de nichons aussi superbes qui sâexhibent ? Redressez-vous, que je puisse encore les admirer !"
A ces mots, BĂ©a sâappuie sur ses coudes. Ses gros seins semblent comme posĂ©s sur son torse, tant ils sont gonflĂ©s. La jeune nĂ©gresse sâempare du flacon dâhuile solaire, et lui en envoie une longue giclĂ©e sur la poitrine. Puis elle commence Ă Ă©taler lâhuile. AnĂ©antie, BĂ©a la laisse faire. Chaque fois que les doigts agiles effleurent ses mamelons, gonflĂ©s Ă en ĂȘtre douloureux,, elle sent une dĂ©charge de plaisir descendre jusquâĂ son sexe palpitant. Chaque fois que les mains pressent les globes de chair, elle croit dĂ©faillir. Elle doit se retenir pour ne pas gĂ©mir. Elle sâeffraie elle-mĂȘme de la situation, du spectacle lubrique quâelles offrent aux autres vacanciers. Mais en mĂȘme temps elle ne peut sâempĂȘcher dâaller au-devant des caresses de sa compagne, et de souhaiter quâelles se fassent encore plus intimes. Elle est sur le point de se toucher le sexe quand, dans un dernier instant de luciditĂ©, elle dĂ©cide dâinterrompre le jeu.
" Vous logez loin dâici ?
ââŻĂ cinq minutes Ă pied. Pourquoi ?
ââŻJâai envie de vous. Cela ne mâest jamais arrivĂ© comme cela, aussi vite, aussi intensĂ©ment. Je mouille comme une damnĂ©e.
ââŻCa, ça se voit ! Votre string est dĂ©jĂ trempĂ©. Câest particuliĂšrement expressif. Venez, allons chez moi !"
La nĂ©gresse se relĂšve. Elle est vraiment superbe : silhouette Ă©lancĂ©e, poitrine insolente, peau luisante. BĂ©a se lĂšve Ă©galement. Elle dĂ©couvre en se penchant la tache dâhumiditĂ© qui dĂ©core son string. Son premier rĂ©flexe est de renfiler rapidement sa jupe, puis elle se ravise. Pourquoi aurait-elle honte de son dĂ©sir ? Elle ne se rhabille pas, entasse ses vĂȘtements dans son sac de plage et reste en string, le torse nu.
"Nous y allons ?
ââŻVous ne vous rhabillez pas ?
ââŻCâest si loin ?
ââŻNon, câest vraiment Ă 2 pas.
ââŻAlors, pourquoi cacher mon corps, si vous le trouvez beau ?
ââŻCâest vrai, tout compte fait. Cela sera trĂšs excitant dây aller en string. Tout le monde pourra mater les deux plus jolies nanas de la plage qui vont exhiber leurs nichons."
A ces mots, elle sâapproche de BĂ©a, la saisit par la taille, lâattire vers elle et lâembrasse sur les lĂšvres. Surprise, BĂ©a manque dĂ©faillir. Une onde de dĂ©sir lâenvahit. Les lĂšvres de la nĂ©gresse sont fraĂźches et humides, trĂšs douces. Sa langue agile sâinsinue dĂ©jĂ entre ses lĂšvres, BĂ©a rĂ©pond au baiser en lui mordillant la lĂšvre infĂ©rieureâŻ; leurs langues se trouvent, sâenroulent. Elles sâenlacent, leurs gros seins pressĂ©s les uns contre les autres, leurs jambes entremĂȘlĂ©es. AprĂšs de longues minutes de fusion, BĂ©a se libĂšre et reprend son souffle. La nĂ©gresse la prend par la main, lâentraĂźne et lui prend la taille. BĂ©a lui pose une main sur les fesses, et elle sâen vont, tendrement enlacĂ©es.
"Je mâappelle BĂ©a
ââŻMoi, câest MaĂŻtĂ©. On se tutoie ?
ââŻTu viens de loin ?
ââŻDe la Guadeloupe"
Les deux jeunes femmes quittent la plage. La négresse et la blonde, superbes, leur peau luisant au soleil, leur poitrine insolemment volumineuse, leur cul ferme et nerveux constituent un spectacle extraordinaire.
Effectivement, MaĂŻtĂ© habite Ă 2 pas, une jolie petite villa dans un jardin entourĂ© dâune haute haie.
A peine ont-elles refermĂ© le portail du jardin, quâelles recommencent Ă sâembrasser goulĂ»ment. Mais cette fois, trĂšs vite, BĂ©a sâenhardit. Elle a saisi le sein gauche de MaĂŻtĂ©. Il est lourd et ferme. Elle effleure le tĂ©ton, trĂšs gonflĂ©, commence Ă le titiller, Ă le pincer entre le pouce et lâindex. MaĂŻtĂ© rĂ©agit en lui pĂ©trissant les fesses, les caresse, les Ă©carte pour glisser son doigt dans le fente du cul.
Sans arrĂȘter de lâembrasser, MaĂŻtĂ© lâattire vers le bord de la piscine. Les deux femmes sâallongent sur les dalles chaudes, et se caressent mutuellement les seins en continuant leurs jeux de langue. BĂ©a Ă©carte les cuisses. Le tissu dorĂ© de son string dessine la forme de sa moule gonflĂ©e. Elle prend la main de MaĂŻtĂ©, et la pose sur son sexe. MaĂŻtĂ© commence Ă la caresser Ă travers le tissu. BĂ©a ondule du bassin. Elle Ă©carte elle-mĂȘme le string pour libĂ©rer sa moule. Elle a le pubis rasĂ©. Sa moule est gonflĂ©e, son clitoris, dâune taille inhabituelle, palpite en attendant les caresses.
"Toi aussi, tu te rases ?
ââŻOui, jâadore ça, voir ma petite moule toute lisse
ââŻRegarde, moi aussi je suis Ă©pilĂ©e
ââŻCâest drĂŽle, cette fente toute rose sur ta peau noire. On dirait un bonbon Ă la fraise.
ââŻTu veux goĂ»ter ?"
MaĂŻtĂ© sâaccroupit, approche son sexe du visage de sa compagne qui nâhĂ©site pas un instant. Elle sâempare goulĂ»ment du fruit juteux qui lui est offert. Elle sâattendait Ă un goĂ»t Ăącre, mais la nĂ©gresse sâest parfumĂ© la moule, qui sent effectivement la fraise. Elle commence Ă la lĂ©cher dĂ©licatement, entrant le bout de sa langue entre les lĂšvres, remontant vers le clitoris quâelle se met Ă sucer. La nĂ©gresse, la tĂȘte rejetĂ©e en arriĂšre, se masse les nichons, dâabord doucement, puis de plus en plus violemment Ă mesure que sa compagne accentue sa succion. Elle est trĂšs excitĂ©e, sâempare de ses tĂ©tons, les Ă©tire, puis commence Ă se secouer les seins. Le spectacle est extraordinaire. BĂ©a se branle ardemment le clitoris.
"On est folles
ââŻoui, on est folles, mais que câest bon, ! continue, suce-moi le bouton, je jouis, je vais exploser. Vas-y, branle-toi, viens avec moi⊠Ah, tu lĂšches comme une dĂ©esse.
ââŻVas-y continue Ă secouer tes gros seins, ça mâexcite. Mmh. Ooh que ton sexe est bon. Mmh
ââŻAh ah ah
ââŻOuiiiii, je viens, je viensâŠ
ââŻMoi aussi, je vais tâinonder Ahhh"
Les deux femmes partent ensemble dans un formidable orgasme, la nĂ©gresse lĂąche tout son jus sur le visage de BĂ©a qui lâĂ©tale en se frottant sur son sexe. Lâorgasme a Ă©tĂ© si violent que BĂ©a perd un moment ses esprits. La nĂ©gresse sâest Ă©croulĂ©e Ă cĂŽtĂ© dâelle, encore secouĂ©e de spasmes
Doucement, BĂ©a revient Ă la rĂ©alitĂ©, Ă la superbe gazelle quâelle vient de sucer. Elle tend la main, touche la peau souple et lisse, lui caresse les fesses. DĂ©jĂ , une nouvelle vague de dĂ©sir lâenvahit. Que se passe-t-il ? Elle a le bout des seins douloureux tant ils sont gonflĂ©s. Elle y sent son sang battre. Son sexe aussi palpite. Elle vient dâavoir un orgasme formidable, et dĂ©jĂ elle ressent lâenvie de recommencer Ă baiser. MaĂŻtĂ© lui sourit. Elle aussi semble gagnĂ©e Ă nouveau par lâexcitation.
" Ca tâexcite quâil nous regarde ?
ââŻQui ça?" interroge BĂ©a, interloquĂ©e.
ââŻ"Jean, mon copain, il nâa pas ratĂ© une miette du spectacle. Regarde, de lâautre cĂŽtĂ© de la piscine."
Béa découvre alors, allongé dans un fauteuil, un grand noir, nu, qui tient en main son énorme sexe dressé en leur souriant.
BĂ©a aurait pu Ă ce moment pendre peur, ramasser ses affaires et quitter prĂ©cipitamment lâendroit. Mais elle est trop excitĂ©e pour abandonner sa compagne, et puis elle imagine ce pĂ©nis qui la pĂ©nĂštre, et mouille encore davantage. MaĂŻtĂ© nâhĂ©site pasâŻ; elle lui prend la main et lâamĂšne de lâautre cĂŽtĂ© de la piscine.
"Jean, je te prĂ©sente BĂ©a, jâai fait sa connaissance sur la plage.
ââŻSi jâen juge par ce que je viens de voir, câest une connaissance approfondie. Vous mâavez offert un spectacle inoubliable. Câest que vous ĂȘtes superbes toutes les deux. Vous me faites bander !
ââŻTu a vu ses seins, ils sont aussi beaux que les miens. Câest fou ce que ça mâa excite, des nichons Ă©normes comme ça. Toi aussi ça tâexcite ?"
Jean ne rĂ©pond pas, mais se lĂšve et sâapproche de BĂ©a. Son sexe dressĂ© est dâune taille apprĂ©ciable, BĂ©a se demande un moment si elle pourrait lâemboucher. Sans aucune hĂ©sitation, comme sâil voulait examiner la marchandise, Jean sâempare de ses seins, les soulĂšve dans ses mains, les fait rouler lâun contre lâautre. BĂ©a croit Ă nouveau dĂ©faillir. MaĂŻtĂ© vient se coller derriĂšre elle. Elle sent le bout de ses seins qui sâĂ©crase contre ses omoplates, son ventre qui se colle Ă ses fesses. MaĂŻtĂ© lui saisit la taille et pose sa main droite sur son sexe encore dĂ©goulinant. BĂ©a ferme les yeux pour mieux sâabandonner aux caresses. Elle ne sait plus qui, de Jean ou de MaĂŻtĂ©, lui masse les seins, titille ses tĂ©tons, lui triture les fesses et pĂ©nĂštre sa vulve. Elle est prise de partout, son dĂ©sir est intense. Soudain, elle sent la bite sâappuyer contre sa cuisse. Elle ne peut sâempĂȘcher de sâen emparer. Elle est Ă©norme, longue et dure, elle la sent palpiter dans sa main. Elle commence Ă la branler, dâabord doucement, puis en accĂ©lĂ©rant le rythme. Mais elle ne rĂ©siste pas longtemps Ă lâinvincible envie de se faire pĂ©nĂ©trer : elle Ă©carte davantage les cuisses, et amĂšne le gland contre sa fente. Jean sâenfonce en elle progressivement. La taille de sa bite est vraiment impressionnante, BĂ©a la sent bien distendre son vagin. Heureusement, elle mouille abondamment. Lorsquâil commence ses mouvements de va-et-vient, elle sent trĂšs rapidement le plaisir envahir ses entrailles. Elle saisit les mains de MaĂŻtĂ© pour les plaquer sur ses seins.
ââŻOh oui, prenez-moi. Vas-y, bourre-moi avec ta grosse bite. Et toi, MaĂŻtĂ©, secoue moi les nichons, jâaime ça.
ââŻEt tes fesses, tu aimes aussi que je te masse les fesses.
ââŻOui, les seins, les fesses, et branle-moi le clito. Oh, je viens, je viens."
BĂ©a explose. Le plaisir est tellement fulgurant quâelle sâĂ©croule. Jean nâa pas encore joui. MaĂŻtĂ© se retourne, se penche en avant pour lui prĂ©senter sa croupe. BĂ©a, accroupie sous elle, sâempare de ses gros seins qui pendent entre ses bras et commence Ă les masser. Elle admire la bite qui pĂ©nĂštre la moule largement distendue. Lorsque Jean commence Ă la bourrer, les seins de la nĂ©gresse commencent Ă osciller en rythme. BĂ©a tend les lĂšvres pour happer un des tĂ©tons et se met Ă la sucer avec aviditĂ©. La nĂ©gresse se masturbe le clitoris, et ne tarde pas Ă jouir Ă son tour. Comme sâil sâagissait dâun rituel, lorsquâelle a fini de jouir, elle se retourne, sâaccroupit face Ă son partenaire. Elle prend ses seins dans ses mains, les soulĂšve et les presse lâun contre lâautre
"Viens, il va lĂącher tout son sperme sur nos nichons"
Tout excitĂ©e, BĂ©a sâaccroupit Ă ses cĂŽtĂ©s et lâimite. Elles se massent les seins. Jean se branle de plus en plus vite. Puis il explose, rĂ©pandant de longues rasades de sperme sur les superbes nichons qui lui sont offerts.
AgitĂ©e par les mouvements du train autant que par ses souvenirs lubriques, BĂ©a sort de sa somnolence et reprend pied dans la rĂ©alitĂ©. Elle se rend compte alors que sa rĂȘverie a provoquĂ© quelques gestes Ă©loquents . Cuisses largement Ă©cartĂ©es, elle Ă©tait inconsciemment en train de caresser son sein droit dâune main, tandis que de lâautre elle se caressait lâentrejambe. En face dâelle, excitĂ©e par le spectacle, la jeune blonde fixe sa moule : nul doute que le tissu de son short porte dĂ©jĂ la marque humide de son excitation. Quant au noir, il ne peut dĂ©tacher ses yeux de sa poitrine aux bouts arrogants. Ils nâont pas vu quâelle a ouvert les yeux. Par contre, elle remarque immĂ©diatement que la blonde a glissĂ© une main sous sa jupe : elle se masturbe discrĂštement. Quant au jeune noir, la bosse qui dĂ©forme son short rĂ©vĂšle une queue aussi dure quâimpressionnante. "DĂ©cidĂ©ment, les vacances commencent bien" se dit BĂ©aâŠ
Face Ă elle, un jeune couple ne rate rien du spectacle : elle est blonde, trĂšs jolie, habillĂ©e elle aussi trĂšs lĂ©gĂšrement : une mini-jupe en jeans qui sublime ses longues cuisses bronzĂ©es, un petit tee-shirt qui dĂ©couvre son ventre plat et musclĂ©, ornĂ© dâun diamant dans le nombrilâŻ; lui est noir, relax, en short et tee-shirt. Elle ne porte pas non plus de soutien-gorge. Ses seins sont moins imposants que ceux de BĂ©a, sans ĂȘtre pour autant menus : de la taille de jolis pamplemousses, ils balancent librement quand elle se penche en avant.
BĂ©a nâa rien remarquĂ© des regards inquisiteurs de ses compagnons de voyage. LâeĂ»t-elle fait, quâelle nâen aurait pas Ă©tĂ© pour autant gĂȘnĂ©e : elle adore sâexhiber, elle adore sentir sur elle des regards chargĂ©s de dĂ©sir. BĂ©a somnole, perdue dans une rĂȘverie fort sensuelle. Elle se souvient de ce quâelle a vĂ©cu lâĂ©tĂ© dernier, Ă pareille Ă©poque, sur la plage oĂč elle va Ă nouveau passer une semaine de vacances.
Elle Ă©tait pareillement seule, souhaitant sâouvrir Ă toutes les aventures qui se prĂ©senteraient.
DĂšs le premier jour, lorsquâelle sâĂ©tait rendue sur la plage, elle avait remarquĂ© la splendide noire qui prenait le soleil, seule sur un drap de plage. La jeune femme Ă©tait superbe, sa peau noire luisait au soleil, son corps musclĂ© et nerveux, dĂ©gageait une rĂ©elle sensualitĂ©. CouchĂ©e sur le ventre, elle ne portait quâun joli string vert fluo qui sĂ©parait ses petites fesses rondes. BĂ©a sâĂ©tait installĂ©e prĂšs dâelle. Elle sâĂ©tait lentement dĂ©vĂȘtue, libĂ©rant dâabord sa formidable poitrine du petit top qui la cachait Ă grand peine, ĂŽtant ensuite sa jupe pour ne garder que son string dorĂ© qui flattait son teint bronzĂ©. Elle avait rapidement engagĂ© la conversation, questionnĂ© sa voisine sur la plage, la mer, les distractions du lieu. Les deux femmes avait rapidement sympathisĂ©.
AprĂšs 5 minutes, BĂ©a sâĂ©tait accroupie face Ă sa voisine en la regardant fixement, le dos cambrĂ©, les seins dardĂ©s, les jambes lĂ©gĂšrement Ă©cartĂ©es pour quâelle puisse apercevoir sa moule gonflĂ©e sous le fin tissu. La jeune noire lâavait observĂ©e avec intĂ©rĂȘt lorsquâelle avait commencĂ© Ă sâenduire la peau dâhuile solaire, caressant ses mollets, ses cuisses, ses fesses, ses seins avec application. BĂ©a avait tout de suite flashĂ© pour la superbe nĂ©gresse et avait dĂ©cidĂ© de la sĂ©duire. Quoiquâelle prĂ©fĂšre les hommes, elle nâavait jamais regrettĂ© les aventures lesbiennes quâelle avait pu avoir. Apparemment trĂšs intĂ©ressĂ©e au manĂšge de BĂ©a, la jeune fille sâĂ©tait assise sur son drap.
BĂ©a avait alors dĂ©couvert avec plaisir quâelle avait des seins fabuleux, au moins aussi Ă©normes que les siens. De plus en plus excitĂ©e, BĂ©a avait continuĂ© machinalement Ă se caresser la poitrine, sans paraĂźtre se rendre compte du spectacle sans Ă©quivoque quâelle offrait. Elle massait ses gros seins, les frottait lâun contre lâautres, les soulevait, les pressaitâŻ; les tĂ©tons excitĂ©s par les caresses commençaient Ă gonfler. La jeune noire sourit. BĂ©a lui rendit son sourire.
"Vous voudriez me mettre de lâhuile dans le dos ?
ââŻBien sĂ»r, si cela vous fait plaisir.
ââŻJe ne doute pas que jây trouverai un grand plaisir" rĂ©pondit subtilement BĂ©a.
La jeune noire sâĂ©tait levĂ©e. Elle Ă©tait vraiment superbe. Sa poitrine Ă©tait exceptionnellement ferme et arrogante. MalgrĂ© leur volume, ses seins tremblaient Ă peine lorsquâelle sâapprocha. Elle avait une dĂ©marche de gazelle. BĂ©a se coucha sur le ventre et se laissa enduire dâhuile. La jeune fille lui caressa dâabord le dos et les Ă©paules
"Oh, ça fait du bien, vous ne pouvez pas imaginer !" lui dit BĂ©a pour lâencourager. Sa nouvelle compagne lui remit de lâhuile sur les cuisses, quâelle commença Ă masser. BĂ©a commençait Ă mouiller, elle sentait son string devenir moite. Inconsciemment, elle souleva un peu son beau cul, certes plus imposant, mais pas moins excitant que celui de la noire qui commença aussitĂŽt Ă le caresser. Elle massa les fesses, dâabord doucement, puis avec plus dâinsistance Ă mesure quâelle constatait que BĂ©a sâexcitait, pressant ses pouces de plus en plus loin dans la raie des fesses.
CâĂ©tait incroyable : ces deux femmes ne sâĂ©taient jamais vues, sâĂ©taient adressĂ© la parole moins de cinq minutes plus tĂŽt, et dĂ©jĂ elles Ă©taient aussi intimes que deux amantes. Le coup de foudre avait Ă©tĂ© immĂ©diat, et partagĂ©. Sans doute, BĂ©a devait-elle dĂ©gager dans sa maniĂšre dâĂȘtre et son apparence physique un signal terriblement clair de son obsession pour le sexe. Sans doute aussi la jeune noire devait-elle ĂȘtre Ă lâaffĂ»t dâune telle aventure. TrĂšs vite, les caresses de la jeune fille Ă©taient devenues franchement Ă©rotiques : elles remontait ses doigts fins Ă lâintĂ©rieur des cuisses, maltraitait les fesses, sâaventurait dans la fente, puis bientĂŽt jusquâau pubis. BĂ©a grognait de plaisir. Elle avait beaucoup de mal Ă sâempĂȘcher dâonduler du cul de maniĂšre non Ă©quivoque. Elle devait interrompre la sĂ©ance sous peine de provoquer un scandale. Elle se retourna.
ââŻBon Dieu, cela fait du bien. Mais si vous continuez, je vais devenir folle. On est quand-mĂȘme sur une plage publique.
ââŻSi nous Ă©tions seules, vous mâauriez demandĂ© de continuer ?
ââŻVous le savez, que vous massez divinement bien. Vous semblez bien connaĂźtre les femmes et leurs dĂ©sirs secrets !
ââŻĂ voir la maniĂšre dont vous mâavez contemplĂ©e tout Ă lâheure, on dirait que vous non plus, les femmes ne vous laissent pas indiffĂ©rente.
ââŻVous avez un corps superbe, mĂȘme une femme ne peut sâempĂȘcher de vous trouver excitante et de vous admirer
ââŻVous aussi, vous ĂȘtes superbe dans votre genre. Jâai rarement vu des seins aussi beaux. Jâai beaucoup envie de les caresser. Vous voulez que je mâen occupe ?
ââŻSi vous me caressez les seins, je ne pourrai plus me contrĂŽler. Vous savez que jâai envie de vous ? Vous mâexcitez terriblement.
ââŻMoi aussi je suis trĂšs excitĂ©e, Ă caresser sans vergogne vos jolies fesses. Et je suis dâautant plus excitĂ©e que tout le monde nous observe. Vous croyez quâon voit ça souvent, deux paires de nichons aussi superbes qui sâexhibent ? Redressez-vous, que je puisse encore les admirer !"
A ces mots, BĂ©a sâappuie sur ses coudes. Ses gros seins semblent comme posĂ©s sur son torse, tant ils sont gonflĂ©s. La jeune nĂ©gresse sâempare du flacon dâhuile solaire, et lui en envoie une longue giclĂ©e sur la poitrine. Puis elle commence Ă Ă©taler lâhuile. AnĂ©antie, BĂ©a la laisse faire. Chaque fois que les doigts agiles effleurent ses mamelons, gonflĂ©s Ă en ĂȘtre douloureux,, elle sent une dĂ©charge de plaisir descendre jusquâĂ son sexe palpitant. Chaque fois que les mains pressent les globes de chair, elle croit dĂ©faillir. Elle doit se retenir pour ne pas gĂ©mir. Elle sâeffraie elle-mĂȘme de la situation, du spectacle lubrique quâelles offrent aux autres vacanciers. Mais en mĂȘme temps elle ne peut sâempĂȘcher dâaller au-devant des caresses de sa compagne, et de souhaiter quâelles se fassent encore plus intimes. Elle est sur le point de se toucher le sexe quand, dans un dernier instant de luciditĂ©, elle dĂ©cide dâinterrompre le jeu.
" Vous logez loin dâici ?
ââŻĂ cinq minutes Ă pied. Pourquoi ?
ââŻJâai envie de vous. Cela ne mâest jamais arrivĂ© comme cela, aussi vite, aussi intensĂ©ment. Je mouille comme une damnĂ©e.
ââŻCa, ça se voit ! Votre string est dĂ©jĂ trempĂ©. Câest particuliĂšrement expressif. Venez, allons chez moi !"
La nĂ©gresse se relĂšve. Elle est vraiment superbe : silhouette Ă©lancĂ©e, poitrine insolente, peau luisante. BĂ©a se lĂšve Ă©galement. Elle dĂ©couvre en se penchant la tache dâhumiditĂ© qui dĂ©core son string. Son premier rĂ©flexe est de renfiler rapidement sa jupe, puis elle se ravise. Pourquoi aurait-elle honte de son dĂ©sir ? Elle ne se rhabille pas, entasse ses vĂȘtements dans son sac de plage et reste en string, le torse nu.
"Nous y allons ?
ââŻVous ne vous rhabillez pas ?
ââŻCâest si loin ?
ââŻNon, câest vraiment Ă 2 pas.
ââŻAlors, pourquoi cacher mon corps, si vous le trouvez beau ?
ââŻCâest vrai, tout compte fait. Cela sera trĂšs excitant dây aller en string. Tout le monde pourra mater les deux plus jolies nanas de la plage qui vont exhiber leurs nichons."
A ces mots, elle sâapproche de BĂ©a, la saisit par la taille, lâattire vers elle et lâembrasse sur les lĂšvres. Surprise, BĂ©a manque dĂ©faillir. Une onde de dĂ©sir lâenvahit. Les lĂšvres de la nĂ©gresse sont fraĂźches et humides, trĂšs douces. Sa langue agile sâinsinue dĂ©jĂ entre ses lĂšvres, BĂ©a rĂ©pond au baiser en lui mordillant la lĂšvre infĂ©rieureâŻ; leurs langues se trouvent, sâenroulent. Elles sâenlacent, leurs gros seins pressĂ©s les uns contre les autres, leurs jambes entremĂȘlĂ©es. AprĂšs de longues minutes de fusion, BĂ©a se libĂšre et reprend son souffle. La nĂ©gresse la prend par la main, lâentraĂźne et lui prend la taille. BĂ©a lui pose une main sur les fesses, et elle sâen vont, tendrement enlacĂ©es.
"Je mâappelle BĂ©a
ââŻMoi, câest MaĂŻtĂ©. On se tutoie ?
ââŻTu viens de loin ?
ââŻDe la Guadeloupe"
Les deux jeunes femmes quittent la plage. La négresse et la blonde, superbes, leur peau luisant au soleil, leur poitrine insolemment volumineuse, leur cul ferme et nerveux constituent un spectacle extraordinaire.
Effectivement, MaĂŻtĂ© habite Ă 2 pas, une jolie petite villa dans un jardin entourĂ© dâune haute haie.
A peine ont-elles refermĂ© le portail du jardin, quâelles recommencent Ă sâembrasser goulĂ»ment. Mais cette fois, trĂšs vite, BĂ©a sâenhardit. Elle a saisi le sein gauche de MaĂŻtĂ©. Il est lourd et ferme. Elle effleure le tĂ©ton, trĂšs gonflĂ©, commence Ă le titiller, Ă le pincer entre le pouce et lâindex. MaĂŻtĂ© rĂ©agit en lui pĂ©trissant les fesses, les caresse, les Ă©carte pour glisser son doigt dans le fente du cul.
Sans arrĂȘter de lâembrasser, MaĂŻtĂ© lâattire vers le bord de la piscine. Les deux femmes sâallongent sur les dalles chaudes, et se caressent mutuellement les seins en continuant leurs jeux de langue. BĂ©a Ă©carte les cuisses. Le tissu dorĂ© de son string dessine la forme de sa moule gonflĂ©e. Elle prend la main de MaĂŻtĂ©, et la pose sur son sexe. MaĂŻtĂ© commence Ă la caresser Ă travers le tissu. BĂ©a ondule du bassin. Elle Ă©carte elle-mĂȘme le string pour libĂ©rer sa moule. Elle a le pubis rasĂ©. Sa moule est gonflĂ©e, son clitoris, dâune taille inhabituelle, palpite en attendant les caresses.
"Toi aussi, tu te rases ?
ââŻOui, jâadore ça, voir ma petite moule toute lisse
ââŻRegarde, moi aussi je suis Ă©pilĂ©e
ââŻCâest drĂŽle, cette fente toute rose sur ta peau noire. On dirait un bonbon Ă la fraise.
ââŻTu veux goĂ»ter ?"
MaĂŻtĂ© sâaccroupit, approche son sexe du visage de sa compagne qui nâhĂ©site pas un instant. Elle sâempare goulĂ»ment du fruit juteux qui lui est offert. Elle sâattendait Ă un goĂ»t Ăącre, mais la nĂ©gresse sâest parfumĂ© la moule, qui sent effectivement la fraise. Elle commence Ă la lĂ©cher dĂ©licatement, entrant le bout de sa langue entre les lĂšvres, remontant vers le clitoris quâelle se met Ă sucer. La nĂ©gresse, la tĂȘte rejetĂ©e en arriĂšre, se masse les nichons, dâabord doucement, puis de plus en plus violemment Ă mesure que sa compagne accentue sa succion. Elle est trĂšs excitĂ©e, sâempare de ses tĂ©tons, les Ă©tire, puis commence Ă se secouer les seins. Le spectacle est extraordinaire. BĂ©a se branle ardemment le clitoris.
"On est folles
ââŻoui, on est folles, mais que câest bon, ! continue, suce-moi le bouton, je jouis, je vais exploser. Vas-y, branle-toi, viens avec moi⊠Ah, tu lĂšches comme une dĂ©esse.
ââŻVas-y continue Ă secouer tes gros seins, ça mâexcite. Mmh. Ooh que ton sexe est bon. Mmh
ââŻAh ah ah
ââŻOuiiiii, je viens, je viensâŠ
ââŻMoi aussi, je vais tâinonder Ahhh"
Les deux femmes partent ensemble dans un formidable orgasme, la nĂ©gresse lĂąche tout son jus sur le visage de BĂ©a qui lâĂ©tale en se frottant sur son sexe. Lâorgasme a Ă©tĂ© si violent que BĂ©a perd un moment ses esprits. La nĂ©gresse sâest Ă©croulĂ©e Ă cĂŽtĂ© dâelle, encore secouĂ©e de spasmes
Doucement, BĂ©a revient Ă la rĂ©alitĂ©, Ă la superbe gazelle quâelle vient de sucer. Elle tend la main, touche la peau souple et lisse, lui caresse les fesses. DĂ©jĂ , une nouvelle vague de dĂ©sir lâenvahit. Que se passe-t-il ? Elle a le bout des seins douloureux tant ils sont gonflĂ©s. Elle y sent son sang battre. Son sexe aussi palpite. Elle vient dâavoir un orgasme formidable, et dĂ©jĂ elle ressent lâenvie de recommencer Ă baiser. MaĂŻtĂ© lui sourit. Elle aussi semble gagnĂ©e Ă nouveau par lâexcitation.
" Ca tâexcite quâil nous regarde ?
ââŻQui ça?" interroge BĂ©a, interloquĂ©e.
ââŻ"Jean, mon copain, il nâa pas ratĂ© une miette du spectacle. Regarde, de lâautre cĂŽtĂ© de la piscine."
Béa découvre alors, allongé dans un fauteuil, un grand noir, nu, qui tient en main son énorme sexe dressé en leur souriant.
BĂ©a aurait pu Ă ce moment pendre peur, ramasser ses affaires et quitter prĂ©cipitamment lâendroit. Mais elle est trop excitĂ©e pour abandonner sa compagne, et puis elle imagine ce pĂ©nis qui la pĂ©nĂštre, et mouille encore davantage. MaĂŻtĂ© nâhĂ©site pasâŻ; elle lui prend la main et lâamĂšne de lâautre cĂŽtĂ© de la piscine.
"Jean, je te prĂ©sente BĂ©a, jâai fait sa connaissance sur la plage.
ââŻSi jâen juge par ce que je viens de voir, câest une connaissance approfondie. Vous mâavez offert un spectacle inoubliable. Câest que vous ĂȘtes superbes toutes les deux. Vous me faites bander !
ââŻTu a vu ses seins, ils sont aussi beaux que les miens. Câest fou ce que ça mâa excite, des nichons Ă©normes comme ça. Toi aussi ça tâexcite ?"
Jean ne rĂ©pond pas, mais se lĂšve et sâapproche de BĂ©a. Son sexe dressĂ© est dâune taille apprĂ©ciable, BĂ©a se demande un moment si elle pourrait lâemboucher. Sans aucune hĂ©sitation, comme sâil voulait examiner la marchandise, Jean sâempare de ses seins, les soulĂšve dans ses mains, les fait rouler lâun contre lâautre. BĂ©a croit Ă nouveau dĂ©faillir. MaĂŻtĂ© vient se coller derriĂšre elle. Elle sent le bout de ses seins qui sâĂ©crase contre ses omoplates, son ventre qui se colle Ă ses fesses. MaĂŻtĂ© lui saisit la taille et pose sa main droite sur son sexe encore dĂ©goulinant. BĂ©a ferme les yeux pour mieux sâabandonner aux caresses. Elle ne sait plus qui, de Jean ou de MaĂŻtĂ©, lui masse les seins, titille ses tĂ©tons, lui triture les fesses et pĂ©nĂštre sa vulve. Elle est prise de partout, son dĂ©sir est intense. Soudain, elle sent la bite sâappuyer contre sa cuisse. Elle ne peut sâempĂȘcher de sâen emparer. Elle est Ă©norme, longue et dure, elle la sent palpiter dans sa main. Elle commence Ă la branler, dâabord doucement, puis en accĂ©lĂ©rant le rythme. Mais elle ne rĂ©siste pas longtemps Ă lâinvincible envie de se faire pĂ©nĂ©trer : elle Ă©carte davantage les cuisses, et amĂšne le gland contre sa fente. Jean sâenfonce en elle progressivement. La taille de sa bite est vraiment impressionnante, BĂ©a la sent bien distendre son vagin. Heureusement, elle mouille abondamment. Lorsquâil commence ses mouvements de va-et-vient, elle sent trĂšs rapidement le plaisir envahir ses entrailles. Elle saisit les mains de MaĂŻtĂ© pour les plaquer sur ses seins.
ââŻOh oui, prenez-moi. Vas-y, bourre-moi avec ta grosse bite. Et toi, MaĂŻtĂ©, secoue moi les nichons, jâaime ça.
ââŻEt tes fesses, tu aimes aussi que je te masse les fesses.
ââŻOui, les seins, les fesses, et branle-moi le clito. Oh, je viens, je viens."
BĂ©a explose. Le plaisir est tellement fulgurant quâelle sâĂ©croule. Jean nâa pas encore joui. MaĂŻtĂ© se retourne, se penche en avant pour lui prĂ©senter sa croupe. BĂ©a, accroupie sous elle, sâempare de ses gros seins qui pendent entre ses bras et commence Ă les masser. Elle admire la bite qui pĂ©nĂštre la moule largement distendue. Lorsque Jean commence Ă la bourrer, les seins de la nĂ©gresse commencent Ă osciller en rythme. BĂ©a tend les lĂšvres pour happer un des tĂ©tons et se met Ă la sucer avec aviditĂ©. La nĂ©gresse se masturbe le clitoris, et ne tarde pas Ă jouir Ă son tour. Comme sâil sâagissait dâun rituel, lorsquâelle a fini de jouir, elle se retourne, sâaccroupit face Ă son partenaire. Elle prend ses seins dans ses mains, les soulĂšve et les presse lâun contre lâautre
"Viens, il va lĂącher tout son sperme sur nos nichons"
Tout excitĂ©e, BĂ©a sâaccroupit Ă ses cĂŽtĂ©s et lâimite. Elles se massent les seins. Jean se branle de plus en plus vite. Puis il explose, rĂ©pandant de longues rasades de sperme sur les superbes nichons qui lui sont offerts.
AgitĂ©e par les mouvements du train autant que par ses souvenirs lubriques, BĂ©a sort de sa somnolence et reprend pied dans la rĂ©alitĂ©. Elle se rend compte alors que sa rĂȘverie a provoquĂ© quelques gestes Ă©loquents . Cuisses largement Ă©cartĂ©es, elle Ă©tait inconsciemment en train de caresser son sein droit dâune main, tandis que de lâautre elle se caressait lâentrejambe. En face dâelle, excitĂ©e par le spectacle, la jeune blonde fixe sa moule : nul doute que le tissu de son short porte dĂ©jĂ la marque humide de son excitation. Quant au noir, il ne peut dĂ©tacher ses yeux de sa poitrine aux bouts arrogants. Ils nâont pas vu quâelle a ouvert les yeux. Par contre, elle remarque immĂ©diatement que la blonde a glissĂ© une main sous sa jupe : elle se masturbe discrĂštement. Quant au jeune noir, la bosse qui dĂ©forme son short rĂ©vĂšle une queue aussi dure quâimpressionnante. "DĂ©cidĂ©ment, les vacances commencent bien" se dit BĂ©aâŠ
3 years ago