EVE et moi (III)

Dans cette alcĂŽve du pub naissait une relation que jamais je n’aurais pu imaginer ne serait ce que le matin mĂȘme. Eve avait l’air de se rassĂ©rĂ©ner un peu, elle me regardait avec une intensitĂ© incroyable. Sa petite main serrait ma paluche bien grossiĂšre si je la comparais avec sa menotte. Avec ma pochette j’essuyais un peu ses yeux, enlevait une trace noire sur sa joue. Je posais la paume de ma main sur sa joue toute douce, elle posa sa main par dessus la mienne inclinant sa tĂȘte contre ma main. Ce faisant, elle mimait un baiser avec ses lĂšvres. J’avais le coeur battant comme un gamin, la petite marquait des points c’était Ă©vident. Je glissais ma main de sa joue jusque sous son menton. J'attire ses lĂšvres vers les miennes, a cet instant je n’ai qu’une envie c’est goĂ»ter la douceur de cette bouche que je trouve trĂšs jolie. Elle se laisse faire, me souriant elle me laisse me pendre Ă  ses lĂ©vres, chaudes et douces , je sens qu’elle tremble un peu, qu’elle frissone. Eve est loin d’ĂȘtre indiffĂ©rente, ses bras m’enlacent le cou et elle me laisse prendre l’initiative, ma langue joue avec ses lĂšvres et sa petite langue qui bataille avec la mienne dans sa bouche. Mes mains se sont posĂ©es sur ses hanches, elle ondule et pousse un petit soupir qui meurt sur mes lĂšvres. Elle se recule, me regarde les yeux brillants, mouillĂ©s.

Jamais on ne m’a embrassĂ©e comme ça, tu es le premier.
Elle se jette contre moi le nez dans mon cou et elle me murmure

Tu sais j’ai trùs envie maintenant, on reste là?

Parti comme on est, c’est impensable qu’on reste lĂ  dans ce bar aussi chic soit-il. Elle mĂ©rite cent fois mieux. J’ai bien saisi que pour elle il se passe quelque chose d’important. Moi aussi je le sais mais je ne veux pas encore me l’avouer. Eve m’a chamboulĂ©, retournĂ© J’ai dĂ» me contenir pour ne pas comme elle avoir les larmes aux yeux. Je suis certain qu’elle l’a compris, a sa façon de me regarder.

Non je vais t’emmener lĂ  oĂč l'on sera bien mieux, tu me fais confiance?
Oh oui oui je n'ai jamais rencontrĂ© un homme comme toi , jamais je ne savais mĂȘme pas que çà pouvait exister sauf dans les rĂȘves.
Allons, allons je ne suis pas le pĂšre noĂ«l quand mĂȘme.

Je dĂ©cide de l’emmener dans un appartement que je possĂšde dans le 15Ăšme du cĂŽtĂ© de Grenelle. Un miracle, une camionnette d’entreprise quitte le bord du trottoir me laissant une place pour garer la voiture juste en face de l’immeuble. Pas un bouchon et je trouve Ă  me garer, les dieux sont avec moi.
J'espÚre que cet appartement ne retrouvera ni la mémoire ni la parole, il a vu beaucoup de choses. Il est grand tout est noir et blanc et de belle facture. Eve émet un sifflement.

Pfiouuu la classe!! tu habites ici?
Non il me sert de temps en temps, d’ailleurs si j’étais Ă  la maison ma femme serait lĂ .
Oh c’est vrai tu est mariĂ©, ce serait pas malin de m’emmener chez toi.
Ève semblait perdue dans le salon, elle faisait le tour de la piÚce, lentement regardant les meubles les quelques bibelots présents.

Et je n’ai pas emmenĂ© ce qu’il faut pour me remaquiller je dois vraiment pas ĂȘtre terrible maintenant..
Tais toi tu es Ă  croquer, jolie comme tout.
Je suis sincĂšre, elle est plus jolie Ă  chaque instant, et j’ai de plus en plus envie d’elle. Je la prends dans mes bras, elle est lĂ©gĂšre comme une plume.

HĂ© oĂč on va? dit elle en riant
Au lit ça te va?
Eve ne dit rien , hoche la tĂȘte, sourit et m’embrasse avec une sensualitĂ© incroyable.
Toujours accrochĂ©e Ă  mon cou, elle regarde partout avec une lueur d’émerveillement dans les yeux.

Mais il est immense ton lit !!
Oui car il a souvent accueilli plus de 2 personnes.

Elle me regarde avec un sourire entendu,
Tu es un pervers alors? C’est ça ?
Tu as bien compris, pervers et obsĂ©dĂ© tout prĂȘt Ă  te croquer.
Tu me croques quand tu veux.
Je pose Eve sur le bord du lit, elle saute un peu pour tester le moelleux du matelas. Puis elle reprend un air sérieux et me demande.

Je t’ai tout dit de moi, tu es sĂ»r que rien ne te gĂȘne sois, franc avec moi je t’en prie. Je me sens tellement bien prĂšs de toi que je ne voudrais pas de malentendu. Tu sais ce que je suis, que j’ai Ă©tĂ© prostituĂ©e, que encore maintenant ça m'arrive pour avoir un peu d’argent de cĂŽtĂ©, pour ma transition, les mĂ©dicaments tout çà.
Pour la drogue aussi dis-je le plus doucement possible.
Oui, j’ai honte de moi mais sans je ne tiendrais pas. Si c’est çà qui te dĂ©range, on peut tout oublier.
Hors de question ma chĂ©rie, je te laisserais pas tomber. Je vais te soutenir, t’aider tu verra. Tu le mĂ©rites.
Mais tu dis çà il ne c’est rien passĂ© entre nous ou si peu de chose
Peu de choses? vraiment?
Non bien sĂ»r, jamais personne n’a Ă©tĂ© comme ça avec moi, je sais qu’au fond de toi tu a envie de moi. Et moi j’ai envie de toi.
On attends quoi alors petite coquine? Montre moi comment tu es sous ce jean déchiré.
Oui mais je voudrais te dĂ©shabiller, depuis que je t’ai vu je me demande comment tu es sous ton costume.
Vas y ma belle, je suis Ă  toi.

Eve s’approcha et, alors qu’elle dĂ©nouait ma cravate, posa ses lĂšvres sur les miennes. J'aime beaucoup le goĂ»t de ses lĂšvres et son parfum, jeune, acidulĂ© et fruitĂ©, caresser mes narines. Ses mains sont rapides et expertes, ma chemise est grande ouverte sur ma poitrine. Ses mains lĂ©gĂšres caressent ma peau. Elle pose sa joue contre ma poitrine sur mon cƓur. Elle fait un petit baiser sur chacun de mes tĂ©tons ce qui me fait frissonner, c’est une caresse que j'aime beaucoup. Ses yeux clairs me regardent.

Sensible? tu l'aimes lĂ  ma bouche?
Autant que tu veux coquine.

Ses mains ont glissĂ© le long de mes cĂŽtes, elle s'attarde sur une cicatrice Ă  hauteur de mon nombril ou presque, sur la droite. Une balle rĂ©coltĂ©e lors de ma premiĂšre mission opĂ©rationnelle Ă  Kolwezi, il parait d'aprĂšs le toubib qu' Ă  quelques cm prĂšs elle a manquĂ© mon rein. Elle a traversĂ© et j’ai pu continuer quand mĂȘme Ă  assurer la mission.

Comment tu es musclĂ©, et tu a vraiment l’ñge que tu dis. On dirait un sportif, je te trouve vraiment beau. Je comprends pourquoi tu m’a portĂ© comme un chaton. J’ai adorĂ© tu sais.
Toi aussi tu est belle, vraiment belle. MĂȘme si tu as un peu gĂąchĂ© ton maquillage en pleurant. J’aime ta frimousse et je suis certain que le reste est assorti.
Tandis que je parlais, Eve avait dĂ©grafĂ© ma ceinture et le laissa tomber sur mes pieds. Elle s’attendait Ă  trouver un sous-vĂȘtement mais souvent je prĂ©fĂšre m’en passer. Eve se trouva donc brutalement confrontĂ©e Ă  mon sexe, dressĂ© et dur depuis un moment dĂ©ja.

Oohhh!! tu est plein de surprises !! De grosses surprises mĂȘme.je n’aurais jamais pu deviner comment tu es. Quel homme, j’ai vraiment de la chance de te rencontrer. Je vais devoir ĂȘtre Ă  la hauteur.

Eve, allait poser ses mains sur mon sexe quand je la retint.

Dis moi tu n’avais pas une envie particuliĂšre quand on c’est contactĂ©?
Euh oui
Tu n'es plus intéressée?
Oh si mais je voulais te faire du bien, moi aprĂšs.
Non, non, moi je veux te voir, je veux jouer avec toi, te faire gémir, crier, jouir plaine de fois.
Hmmm tu a raison et je vois combien tu a envie dit elle en posant un baiser sur ma queue.

Je l'attirai Ă  moi, et doucement remontait son t-shirt. Apparu un petit soutif trĂšs “ado” Ă  rayures rose et bleue. J’étais surpris de la silhouette que lui donnait cet artifice. Cela suffisait Ă  faire d’elle une ado dĂ©sirable. J’embrassais son cou et doucement promenait ma langue sur sa peau d’une douceur de bĂ©bĂ©. Eve Ă©tait tremblante, sa bouche entrouverte avec les lĂšvres humides Ă  force de passer son bout de langue dessus. Je bandais de plus belle, je la dĂ©sirais follement. J’avais dĂ©nouĂ© la ceinture et fait glisser son jean. Elle m’apparut enfin elle avait les bras croisĂ©s sur sa poitrine, sa petite culotte assortie au soutif ne montrait aucune bosse qui aurait pu mettre le doute Ă  quiconque. Des bas sombres et luisants gainaient ses jambes et ses cuisses. Eve me scrutait comme si elle attendait mon verdict. Je la sentais inquiĂšte de mon silence. En fait j’étais dĂ©contenancĂ© par cette explosion de fĂ©minitĂ©, j’avais face Ă  moi un petit bout de femme, une femme Ă  part entiĂšre.

Que tu es belle !! Tu me rends dingue ma chérie. Regarde toi là. Dis je désignant le grand miroir du dressing.
Elle jeta un Ɠil sur son image et la mienne dans ce miroir. Elle s’approcha de moi et se colla contre moi, passant sa cuisse soyeuse entre mes jambes et encerclant mon cou avec ses bras.

C’est vrai, regarde on est beaux ensemble non?
Si on enlùve le vieux schnock du tableau oui c’est superbe
ArrĂȘtes de dire des conneries!!!
Elle avait assĂ©nĂ© cet ordre en me tapant sur la poitrine avec son poing. Je la poussais sur le lit, elle y tomba les bras en croix. InstallĂ© auprĂšs d'elle, mes mains et ma bouche parcouraient son corps, elle lançait aussi ses mains Ă  la dĂ©couverte du mien, attirĂ©es comme un aimant par ma queue gonflĂ©e de dĂ©sir. Je fis glisser sa petite culotte, je dĂ©couvrais le triangle imberbe de son pubis, ses cuisses encore serrĂ©es, elle donnait l’impression d’ĂȘtre une gamine. Cette idĂ©e me mettait un peu mal Ă  l’aise, j’ai deux filles adorables, me trouver lĂ  auprĂšs de Eve qui faisait tant adolescente, cela faisait de moi un salopard? Non mon dĂ©sir Ă©tait partagĂ©, Eve savait bien ce qu’elle faisait et le faisait en toute conscience. Je poussais son genoux, pour ouvrir ses cuisses, il Ă©tait bien cachĂ© son petit sexe, cachĂ© oui mais tendu et dur. Si petit qu’il se cachait entiĂšrement dans ma main. Quand je le touchais il se plaqua contre son pubis, Eve Ă©tait parcourue d’un long frisson.

Ooooh dit-elle dans un souffle

Ma queue c’était raidie encore plus quand j’avais dĂ©couvert ce petit sexe qui allait recevoir toute mon attention dans l’heure ou les heures Ă  venir. Je caressais du bout des doigts ce petit bout de chair palpitant, Ă  mesure que mes doigts le parcouraient, il se tendait encore plus ses petites couilles qui venaient monter encore plus haut. Eve ondulait, son bassin se mouvait lentement. Une sorte de danse lascive au ralenti. Les yeux mi-clos ses mains me caressent. Je dĂ©couvrais ce corps qu’elle m’offrait. Ma bouche se posa sur son nombril, lĂ©chant ce petit trou, puis je descendis lentement vers l’objet de mon attention. C’est ma joue qui entra en contact avec son petit sexe. Je le sentais vibrer, descendant encore je posais un baiser, puis ma langue le parcouru. Eve poussa un feulement de chatte expressive qui Ă©tait chargĂ© de son dĂ©sir, il Ă©tait l’expression de ce qu’elle ressentait. Ses mains sur mon dos se crispent. Le sexe se tend. DĂ©licatement je le prend entre mes lĂšvres, sans le gober et doucement je dĂ©calotte le gland qui me parait minuscule. La peau coulisse facilement et vient enserrer la base de cette tĂȘte toute rose, je remarque que le frein est trĂšs tendu. Ma langue passe sur cet endroit le plus sensible. C’est comme une dĂ©charge Ă©lectrique.

Ouiiiiiiii oh c’est bon gĂ©mit elle.

Avec mes doigts, je redresse dĂ©licatement sa petite queue avant d’arrondir mes lĂšvres et d’aspirer cette petite chose dans ma bouche. A peine ai je descendu mes levres jusqu’a son pubis, prenant tout son petit sexe dans ma bouche que je le sens frĂ©tiller, s’agiter contre ma langue qui le cajole.Les jambes de Eve son agitĂ©e, elle donne de petits coup de pieds dans le vide. Ses mains pĂ©trissent mes Ă©paules ou frottent mon crĂąne, aux cheveux si ras. La gamine gĂ©mit d’une façon si expressive que je ne me pose pas la question prend elle du plaisir. Elle est en transe, elle est ailleurs, mais elle ne changerait pas de place pour un empire. Elle murmure Gui sur tous les tons. Manque de modestie de ma part peut ĂȘtre mais j’adore ce moment. Elle se donne totalement, s’offre Ă  moi. Je sens que Eve est en train de devenir ma petite dĂ©esse. C’est intense de sentir cette gamine en devenir s’offrir comme elle le fait. Je dois rendre ce moment inoubliable, c’est la moindre des choses. Je sais que je vais me couper en quatre pour elle. Si je suis honnĂȘte c’est Ă  cet instant que j’ai compris que nous Ă©tions dĂ©ja bien loin d’une rencontre juste pour le sexe.

Je reviens vers le visage d’Eve, elle a les yeux dans le vague, je caresse ses cheveux, sa joue. Ma main joue avec son sexe, tout doucement, l’éffleurant du bout des doigts, il tresaille sous les caresses. Elle gĂ©mit sans arrĂȘt, soupire, de ma main droite je dessine ses lĂšvres, elle prend mes doigts dans sa bouche et les suces goulument. Ma queue est de plus en plus tendue, et se frotte sur son nombril. Sa main enserre ma queue, me branle doucement.

Oh ta bite elle est belle mon chéri et toute dure
Moi je sens ton clito tout dur, tu aimes que je le caresse?
Oh oui arrĂȘtes pas
Je serre son sexe et mon pouce remonte le long de l’urĂȘtre. Une jolie perle translucide apparaĂźt au sommet de son petit gland. Je la recueille sur le bout de mon doigt. J’approche mon doigt de ses lĂšvres, elle sort sa langue lĂšche cette perle de plaisir.
Goutte çà ma chérie, tu commences à bien mouiller ma petite salope.
oh oui Gui je suis ta salope Ă  toi, tu veux bien?
Oui je te veux, toute à moi toute entiùre. Je ne fais que commencer à m’occuper de toi.
Oh amour prends moi vite, j’ai envie de te sentir.
Patience ma chérie, je vais te faire du bien avant de te prendre.
Oh tu me rends folle, c’est bon,
Je vois qu’elle est prĂȘte , son petit anus palpite, s'ouvre, se ferme, alors que sa petite queue oscille et se plaque sur son ventre quand elle se contracte. Mon oeil habituĂ© Ă  jauger ces choses constate qu'Ă  l"Ă©vidence son petit trou est souvent sollicitĂ©. La facilitĂ© qu’il Ă  Ă  s’écarquiller ainsi que sa forme lĂ©gĂšrement ovoĂŻde, comme une petite chatte est la marque de frĂ©quentes pĂ©nĂ©trations. Je glisse mon visage entre ses cuisses, elles s’écartent largement, ma coquine est souple. Je taquine son petit trou de ma langue, le la pĂ©nĂštre mĂȘme, l’intĂ©rieur de ses cuisses est doux comme un velours. Il n’y a sur son corps pas l’ombre d’un poil, tout juste un petit duvet tout fin sur son pubis si lĂ©ger qu’il faut avoir le nez dessus comme je le suis maintenant pour s’en rendre compte. Quelle belle petite, j’ai une chance incroyable de l’avoir trouvĂ©e. Elle me laisse jouer avec son corps, elle aime mes caresses, rien de plus Ă©vident. Elle m’excite, je prends son sexe entre mes lĂ©vres et je la suce doucement. Bien dĂ©calottĂ©, son gland m’offre les deux petites aspĂ©ritĂ©s, que j’agace du bout de ma langue. Eve se tortille, pousse de petits cris, elle mouille, une grosse perle c’est formĂ©e, elle glisse le long de sa tige . Je rĂ©cupĂ©re ce nectar, j’aime ce goĂ»t un peu salĂ©, douceĂątre et chaud, que son plaisir fait monter dans son sexe. Je ne suis pas mieux qu’elle et je mouille de la mĂȘme maniĂšre, mon gland est mouillĂ©, ma verge gonflĂ©e, les veines sont saillantes. Eve respire de plus en plus fort, et gĂ©mit de plaisir. Je tire sur con sexe qui vient se plaque contre son ventre, avec un claquement sec quand je le laisse sâ€Ă©chapper. Elle tente d’att****r son sexe, je repousse sa main.

Laisse moi faire mon ange, laisse moi te donner du plaisir.
Ohhh c’est bon Gui c’est bon viens j’ai envie de toi viens.
Je sens qu’elle ne tardera pas Ă  jouir, je veux la faire jouir avant de la possĂ©der. J’ai envie de la possĂ©der, envie de la prendre, de concrĂ©tiser ce que je ressens, qu’elle soit Ă  moi. Mes doigts vont et viennent sur ce petit sexe si dur, ses couilles font le yoyo montent et descendent, se plaquent Ă  la base de son sexe, tandis que son petit trou se serre. Elle se mouille de plus en plus, elle coule lentement sur mes doigts. Elle a glissĂ© ses mains sous son soutif et caresse ses petits tĂ©tons qui me sont encore inconnus pour le moment. Eve ondule son bassin rythme ma caresse, le rythme est de plus en plus hachĂ©, le compas de ses cuisses s'ouvre et se ferme en cadence. Sous mes doigts je sens sa queue qui s’agite, comme douĂ©e d’une vie propre. Puis c’est soudain, elle se tĂ©tanise, ses musvles des cuisses saillants sont bandĂ©s, son sexe crache un premier jet avec force, qui vien mourrir sur sa poitrine et son cou, un autre Ă©clabousse ses joues, sa bouche, son front. Un autre encore se perd dans ses cheveux puis quatre fois elle gicle des douzaines de gouttelettes qui constellent sa peau de tĂąches brillantes dans la lumiĂšre. Elle a criĂ© trĂšs fort, tout son ĂȘtre tremble.

Oh c’est bon , c’est bon!! Encore fais moi jouir encore.
Nous y voilĂ , Eve avait un dĂ©sir prĂ©cis et j’allais lui donner ce qu’elle voulait. Je caresse sa queue qui reste dure, je me suis penchĂ© sur son visage et nos lĂšvres partagent le sperme qu’elle Ă  copieusement dispensĂ© sur son visage, je lĂšche son cou, rĂ©cupĂ©rant une belle quantitĂ© de son jus que je viens dĂ©poser sur sa langue. Elle suce la mienne pour rĂ©cupĂ©rer tout son foutre. Je continue Ă  la branler un peu plus fort cette fois, elle grimace un instant et je sens que la caresse est trĂšs forte, presque trop mĂȘme. Puis elle reprend ses gĂ©missements. son petit sexe durcit encore, je suis incapable de recaloter le gland. Heureusement , son jus est restĂ© sur sa queue et rapidement je masse sa tige qui se couvre d’une Ă©mulsion blanche. Ses couilles sont contre sa tige, elles ne descendent plus. De mon autre main je les caresse, puis je descends mes doigts, caresse et masse son petit trou, je lui fait lĂ©cher mes doigts Je pĂ©nĂštre un doigt dans son petit cul, rapidement rejoint par un second. Je masse vers le haut cherchant la prostate que je trouve facilement. InstantanĂ©ment elle se met Ă  couler de plus belle. Elle ondule, comme un reptile.. 2 doigts en elle, je masse Ă©galement avec mon pouce la zone qui est au-dessus de sa prostate. La pince de mes doigts et de mon pouce attaque cette glande des deux cĂŽtĂ©s. Ceux qui ont eu droit Ă  ce traitement savent combien c’est bon. Les autres demandez Ă  votre copine ou copain de le faire je vous promet un orgasme vraiment gĂ©nial.

En assez peu de temps, Eve est au bord de l’explosion de nouveau.

ChĂ©ri c’est fort, c’est bon oh ouiii encore, oui lĂ  vas y continue.

Comme la premiĂšre fois l’explosion est soudaine, c’est fort, Eve pousse un hurlement de libĂ©ration, elle gicle plus fort encore que la premiĂšre fois, plus longuement aussi. Cela semble ne pas vouloir s’arrĂȘter. C’est magnifique de la voir perdre les pĂ©dales comme elle le fait. Son plaisir est intense, ses yeux se rĂ©vulsent. Elle Ă  du mal Ă  retrouver sa respiration, elle retombe presque inerte fauchĂ©e par son plaisir. Eve est constellĂ©e de tĂąches humides, les draps, la tĂȘte de lit noir laquĂ© est couverte de coulures laiteuses. Elle Ă  Ă©parpillĂ© son plaisir, j’ai sur la peau plein de gouttelettes. J’ai toujours mes doigts qui caressent son sexe. J’ai ĂŽtĂ© les doigts qui ont occupĂ© son anus. Je pensais voir son sexe, se replier pour un peu de repos, mais non elle est toujours dure.

Tu bande encore petite salope tu en veux encore? Dis moi
Oh oui chĂ©ri, continue, continue encore c’est tellement bon.

J’ai moi aussi la queue tendue, je coule aussi, un long fil translucide pend au bout de ma queue, Eve le remarque et le prend avec ses doigts avant de le poser sur sa langue et de lĂ©cher ses doigts.
Je continue Ă  m’occuper de ce petit sexe infatigable. Elle rĂ©agit beaucoup, petit saut de carpe quand la caresse est un peu forte sur son gland, frissons, ses mains agrippant les draps et dĂ©montent le lit. J'accĂ©lĂšre, ralentit, serre plus ou moins sa petite tige. Eve semble toujours Ă  deux doigts d’un orgasme.

Plus fort !! encore, plus vite ahhh c’est bon comme çà
Elle guide mes caresses. Plus le temps passe, plus je suis excitĂ©, plus j’ai envie de la prendre. J’ai peu de fois dĂ©sirĂ© autant une partenaire que ce soir. Eve cramponne ma main tandis que je monte et descend sur sa queue, j’ai mouillĂ© ma main de salive pour glisser sur son sexe. Je la vois grimacer, s’arc bouter, presque Ă©chapper Ă  ma main

Plus vite!!! plus fort fais moi cracher salaud
Elle devient vulgaire, j'aime ça. J'accĂ©lĂšre ma branlette, tout en serrant sa queue. Ma main est pleine d’écume blanche. Son petit gland est presque violacĂ© et gonflĂ© . ses couilles ont disparu dans son ventre tellement elle sont serrĂ©es au bas de son sexe. CrispĂ©es sur ma main, ses menottes serrent, me griffent le poignet. AppuyĂ©es sur les talons et les Ă©paules elle se tend comme un arc, en criant comme une folle

Ouii Ouii Ouii fort!!! Vide moi !!! encore encore

Elle jouit encore une fois violemment, abondamment, d'un jus transparent comme de l’eau, j’entends les flocs sur les draps, sur la moquette, sur la tĂȘte de lit, sur son visage, ma main, mon poignet sont trempĂ©s. Encore une fois elle baptise la piĂšce.

Eve tend les mains vers moi, Ă©carte le cuisses et me dit :

Viens mon amour, viens , prend moi je veux te sentir, viens remplir mon cul
Petite chienne tu en veux vraiment, je vais te défoncer le cul tu vas voir.

Je suis au diapason avec elle, je sais que j’ai utilisĂ© les bons mots, le ton qu’elle attendait. Elle est en confiance avec moi, elle se lĂąche. Je m’installe et pose ma queue contre son Ɠillet palpitant, il est mouillĂ©, mon gland aussi il dĂ©gorge de plaisir. Je place le creux de ses genoux, dans celui de mes coudes. Je pousse en basculant en avant, je pose ma bouche sur la sienne, elle m’embrasse fougueusement, un coup de rein, mon gland la pĂ©nĂštre puis doucement je me laisse glisser en elle. J’avais peur de lui faire mal, mais ma grosse queue glisse avec aisance dans son petit cul. Mes couilles claquent contre ses fesses. Je ressors totalement de son anus, puis je reviens Ă  fond en un seul coup de rein. Elle se cambre.

Oh c’est gros je te sens bien !! vas y chĂ©ri baise ta petite pute.. dis je suis ta pute
Oui tu es ma petite pute à moi, ma chienne. Je te défonces et je te viderais encore.

Ses jambes sont croisĂ©es sur mes reins, elles impriment leur rythme, elle me force Ă  aller loin en elle. accrochĂ©e Ă  mon cou, elle se cambre . Ma queue est massĂ©e par ses muscles . Son petit gabarit ne laissait pas augurer de cette vigueur. Je ne sais plus si je la baise ou si elle me baise. Peu importe, je suis lĂ  oĂč je veux ĂȘtre. Je contemple son visage, mon dieu quelle est belle, il n’y a plus que ce petit bout de femme Ă©chevelĂ©e, s’offrant Ă  moi totalement, je lis son plaisir sur son visage. Je vois sa main chercher son sexe et se mettre Ă  le branler avec force. Elle vient de jouir trois fois en 40 minutes et elle s’astique de nouveau, elle est increvable.
Je donne de grands coups de reins, à chaque pénétration elle pousse un cri de plaisir. La sueur commence à coller ses cheveux sur son visage, sa peau est de plus en plus luisante. Elle se donne totalement. Mes mains sous ses fesses je la soutiens à hauteur de ma queue. Elle se branle avec frénésie, son sexe est aussi dur que quand nous avons commencé, son gland est rouge tant il est sollicité. Mes couilles claquent contre ses fesses.

C’est bon c’est bon encore baise moi fort crie t elle.
Branle ton clito petite salope, tu sens bien ma queue lĂ 
Oui Gui plus fort, plus fort!!
Je laboure son cul, je sors totalement elle reste grande ouverte, je replonge en elle. Son petit trou, n’a de petit que le nom. Eve est Ă©carquillĂ©e ouverte Je suis sur que je pourrais y mettre ma main. Je ne veux pas brĂ»ler les Ă©tapes. Je suis noyĂ© dans un rĂ©el plaisir, le sien et le mien qui se conjuguent. Je ne pensais pas avoir autant de sensations avec elle quand nous avons dĂ©cidĂ© de nous rencontrer. Je la laisse reposer sur le lit, me penche vers elle, je trouve sa bouche, ses yeux sont grands ouverts, ils sont incandescents, ses lĂšvres tremblent. Sa bouche est ouverte elle tire sa langue vers moi, sans rĂ©flĂ©chir je crache sur sa langue dans sa bouche. Elle a une expression extatique, lĂ©chant ma salive sur ses lĂšvres, elle Ă  un gros frisson. Je crois que j’ai touchĂ© un point faible, malgrĂ© son vĂ©cu ou a cause de lui elle aime ĂȘtre humiliĂ©e.

Ouiiiiii Encore.. je suis ta salope, ta pute dis le chéri
Tu est ma salope, ma pute, ma chienne. Tu es Ă  moi.. Ouvre ta gueules putain.

Elle ouvre sa bouche, son regard me transperce, elle attend que je recommence. Je crache Ă  nouveau, elle frĂ©mit. Je lĂąche un gros je te salive sur son visage et avec ma main lui Ă©tale sur le nez, les joues. Sa langue lĂšche ma main. Elle est comme transfigurĂ©e, un masque d'extase est posĂ© sur ses traits. Plus femelle qu’elle Ă  cet instant c’est impossible. Tout çà Ă  fait monter mon excitation au plus haut point. Au trĂ©fonds de moi je sens ce picotement, cette vibration qui annonce l’orage. Elle doit le voir sur mon visage car elle me dit

Viens, chéri viens jouis dans mon cul, emplis moi, gicle mon chéri je te veux
Ouvre toi salope je vais t’inonder, je vais
.

Incapable de finir ma phrase, je me plante au fond de son ventre, je sens le foutre qui se rue dans ma queue, c’est incroyable comme on sent la montĂ©e le long de l’urĂȘtre. Mon sexe gonfle et je jouis en poussant encore plus loin en elle. Je dĂ©verse une ondĂ©e puissante, plusieurs saccades lui remplissent le cul de mon sperme Ă©pais et chaud.
J’ai Ă©tĂ© trĂšs dĂ©monstratif, j’ai criĂ©, gueulĂ© quand j’ai joui. Elle est pendue Ă  mon cou me couvrant de baisers.

Oh c’est bon mon chĂ©ri, tu est merveilleux c’est si bon avec toi. Tu baise comme un dieu
Je n’ai jamais eu droit Ă  autant de superlatifs, son enthousiasme fait plaisir Ă  voir. Au moins je suis sĂ»r qu’elle Ă  aimĂ©. Elle Ă  toujours sa main qui s’agite sur sa queue toujours raide.

Aides moi chéri, finis moi fais moi cracher encore
Doucement, tu te mets dans un état, ma chérie.
S’il te plaĂźt, je t’en supplie , fort trĂšs fort mĂȘme si tu me fais mal.
Elle semble dĂ©sespĂ©rĂ©e, elle veut encore tirer du jus de sa petite queue qui est certes toujours aussi bandĂ©e, mais je me demande ce qu’elle peut encore donner aprĂšs tout çà en si peu de temps. Je la branle, avec frĂ©nĂ©sie, je lĂšche son gland, je trouve tous les artifices que je connais pour arriver Ă  ce qu’elle jouisse enfin. J’y passe pas loin d’une demi heure. Parfois elle semble sur le point de jouir mais elle manque cet instant oĂč tout se concrĂ©tise, si on est pas au rendez vous, il faut refaire tout le parcours. Je sens de plus en plus distinctement qu’elle souffre vraiment , je voudrais arrĂȘter mais elle m’exhorte de continuer. Je ne peux visiblement pas la laisser comme ça. Je force les choses, je la regarde droit dans les yeux, elle me jette un regard de supplique. Je la gifle brutalement.

Mais tu vas cracher salope!!! allez, donne moi ton jus!!

Elle me scrute d’un air Ă©tonnĂ© et satisfait. Je sens son sexe qui saute sous mes doigts

Allez putain, donne toi .. donne toi.. mouille ma main..
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Fortttttttttttttt

Cette fois elle jouit, Ă  peine quelques gouttes lui tombent sur le ventre. Je lĂšche son gland rougeoyant. Elle saut comme une carpe, son sexe est tellement sensible, elle ne supporte plus que je le touche.

Je m’allonge sur le lit, prĂšs de Eve, elle se rapproche de moi, se blottit contre ma poitrine. Ses yeux rieurs dĂ©sormais me regardent, je dirais amoureusement. Sa main crasse mon front, ma joue, ses doigts dessinent mes lĂšvres. Elle Ă  le souffle court, je lĂ©che le bout de ses petits doigts, pour y retrouver le gout de son sexe.
Nous sommes dans un moment de grĂące, nos corps ont exultĂ© plus que de raison, on ne sait plus parler que par gestes cĂąlins, amoureux. Dans ma tĂȘte j’essaye d’analyser ce qui m’arrive. Je suis bien loin d’une rencontre pour la baise. Je ne veux pas me l’avouer car c’est trop compliquĂ©, mais Eve vient de mettre un coup de pied dans mon cƓur et investit les lieux. Elle a tout pour me plaire, une libido totalement dĂ©bridĂ©e, une sorte de folie qui l’incite Ă  dĂ©passer les frontiĂšres, c’est adorable mais ça peut se rĂ©vĂ©ler dangereux. J’imagine ce qui pourrait lui arriver avec un autre que moi. Si elle se lance dans ce type d’excĂšs avec un mec fragile ou qui n’a pas les pieds sur terre, elle pourrait avoir de sacrĂ©s problĂšmes. DĂ©jĂ  lĂ  je regrette certains mots que j’ai prononcĂ©s, je regrette de l’avoir giflĂ©e mĂȘme si le rĂ©sultat est lĂ . Lui cracher au visage Ă©tait ce bien nĂ©cessaire. Je l’ai fait aussi Ă©goĂŻstement pour mon plaisir. Je ne me sens pas fier de tout çà. Puis je me dit que si je regrette ces choses, c’est qu’elle Ă  une rĂ©elle importance pour moi. La petite clochette d’alarme tinte dans mon crĂąne, comme en opĂ©ration quand je sens confusĂ©ment les emmerdes qui arrivent. Mais quelles jolies emmerdes.

Je ne vais pas vous infliger le reste de la journĂ©e AprĂšs un peu de repos, nous avons remis ça, elle a jouĂ© encore au moins 6 ou 7 fois la plupart du temps sans une goutte de foutre, mais avec des orgasmes plus forts Ă  chaque fois. J’ai pris son petit cul 4 ou 5 fois avant qu’elle ne termine sur une pipe phĂ©nomĂ©nale qu’elle rĂ©clamait depuis un moment.

La fin de journĂ©e nous trouva bien fatiguĂ©s tous les deux. J’ai toujours la forme certes mais j’ai aussi mon Ăąge et lĂ  je pense que j’avais puisĂ© dans des rĂ©serves insoupçonnĂ©es. Dans les moments de calme je n’ai cessĂ© de penser Ă  l’avenir, j’ai dĂ©cidĂ© unilatĂ©ralement certaines choses.

Eve ma chĂ©rie, quelle journĂ©e, j’en veux bien d'autres comme ça et toi?
Oh oui Gui c’est super, j’avais jamais vĂ©cu çà. Pour toi je suis une femme, je l’ai senti tout le temps. Mais tu vois il me manque des choses.
Non il ne te manque rien, il te faut de la patience et de l’aide. Veux-tu que je t’aide?
M’aider? Tu peux faire quoi? et puis je suis juste un coup en passant. On se reverra?
Écoutes ma chĂ©rie, j’ai pensĂ© Ă  ça tout le long de la journĂ©e.
Tu réussis à penser en baisant comme çà? Tu est vraiment spécial toi!!
Ne te moque pas !!
Non je t’adore dit elle en m’embrassant tendrement.
DĂ©jĂ  ma belle, tu dis quoi de cet appartement? il te plait?
Ah oui je kiffe grave c’est trop beau.
Pour l’instant il sera à toi, je pourrais venir voir ma petite Eve quand elle voudra.
T’es dingue!! tu dĂ©connes !! Te moques pas de moi fit-elle l’air renfrognĂ©.
Je ne me moque pas de toi, je suis sérieux. Regardes moi
Elle leva les yeux, puis planta son regard dans le mien.

AprĂšs ça tu crois que je peux me moquer de toi? J’ai eu avec toi un plaisir que j’ai rarement. Pour parler comme toi je te kiffe comme un malade. Ça me fait mĂȘme peur. Tu sais je suis mariĂš et je ne quitterais jamais ma femme mais je peux partager mon attention entre vous deux Tu crois que tu pourrais accepter çà?
Je crois que tu es un mec Ă©trange, je sens que tu es sincĂšre mais tout çà est fou quand mĂȘme. Tu est amoureux??
Je ne sais pas ma belle, je sais pas, c’est tout neuf, je sais que j’ai besoin de savoir que demain ou aprĂšs demain je pourrais ĂȘtre avec toi. Tu as besoin d’aide non?
Pourquoi? Je me dĂ©brouille seule tu sais, c’est pas reluisant mais je fais ce que je veux.
Oui tu gagnes un peu d’argent en te vendant, tu dĂ©pense beaucoup pour fumer de la merde et te piquer maintenant tu me l’a montrĂ© n’oublies pas. Tu veux que je sois insensible Ă  ça.
Mais tu n'es pas là pour t’occuper de moi! On est là pour baiser c’est tout.
Non c’est pas tout, pourquoi tu es comme ça? Je ne veux pas te mettre en cage, je ne veux pas t’obliger, je veux aider. Aider un petit bout de femme qui me touche, que j’apprĂ©cies.
Tu es gentil, c’est sĂ»r, pourquoi t’emmerder avec moi, on se retrouve si tu veux me baiser c’est tout. Je t’apporterais que des emmerdes.
Tu es vraiment tĂȘtue, tu me diras ça te va bien.J’aimes plutĂŽt çà. Tu sais bien que si tu veux rĂ©ussir ta transition çà va demander de l’argent, du suivi. Je sais que tu fais ce que tu peux mais si je t’aides ça ira mieux. Moi je peux me le permettre, c’est pas l’argent qui me manque, tu t’en doutes, l’appartement la il est Ă  moi mais l’immeuble aussi est Ă  moi les autres appartements sont louĂ©s. Des comme çà j’en ai plusieurs. Ne pense pas ĂȘtre une charge, surtout ne pense pas que je veux t’acheter. Si demain tu ne veux plus me voir ça me fera mal je pense mais je ne trahirais pas ma promesse, je t’aiderais jusqu’au bout, quoi que tu veuilles faire.
Tout ça pour moi? Tu es complĂštement fou !! je ne vaut pas çà, je suis quoi? une pute mĂȘme pas femme qui se fait dĂ©monter pour du fric, pour le plaisir avec toi mais je suis quand mĂȘme pas grand chose, je mĂ©rites pas que tu t’intĂ©resse Ă  moi. Tu es con tu veux me revendre plus tard?
ArrĂȘtez ça!! ArrĂȘtes tu te fais mal , tu me fais mal dis je en attrapant ses poignets.

Elle se dĂ©bat un instant, Ă©clate en sanglots et se jette dans mes bras, je l’enlace sans rien dire et je caresse ses cheveux. Cette fois j’ai les larmes aux yeux, je la sens si mal dans sa peau. J’ai peur de l’avoir trop brusquĂ©e.

Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi tu me fais ça? Ă  vouloir me sauver ou je sais pas quoi. je suis rien pour toi, juste un coup en passant, Tu me dois rien. On a passĂ© un super moment c’est tout.
Pourquoi? J’ai envie de t’aider de pas te perdre, je le sens au fond de moi j’ai pas d’explication, amoureux? peut-ĂȘtre, j’en sais rien. Mais je veux que tu sois heureuse. Tu as assez souffert, je peux le faire, je peux te sortir de tout çà, te faire vivre ton rĂȘve Je le fais autant pour toi que pour moi je crois. C’est pas logique, j’ai besoin de le faire, je dois le faire. Tu n'es pas croyante? moi si ne ris pas je suis certain de devoir ĂȘtre lĂ  pour toi.
Mais, mais tu est marié et ta femme elle va finir par le savoir.
Ne t’inquiĂ©tes pas de çà, ma femme sais que je devais te rencontrer, elle et moi on se dit tout. Elle sait toujours, si je fais une rencontre, on a toujours vĂ©cu comme ça, avant elle serait mĂȘme venue avec moi. Mais comme elle se trouve trop grosse et moche maintenant pour ces choses lĂ , elle me laisse vivre ma vie sur ce plan.
Dingue !! tu es vraiment un martien !! Je ne savais pas que les martiens faisaient aussi bien l’amour, je crois que tu ne m’a pas baisĂ©e mais fait l’amour. Je me trompe?
Non tu a parfaitement raison, je te respecte trop pour ça. Je suis peut ĂȘtre compliquĂ© mais tu ne me comprends pas si mal ma jolie.
Elle m’embrasse , dĂ©pose des baisers partout sur mon visage, me caresse la poitrine, pose sa joue contre mon sein.

Je n’en reviens pas de trouver un homme comme toi, j’aurais jamais pu mĂȘme en rĂȘver.
Continue de rĂȘver alors, accepte ce que je propose. On ira voir un psy, un bon mĂ©decin pour toi, tu m’a dit que tu avais commencĂ© un traitement. J’ai lu qu’il y avait plein de produits de merde dans ce domaine et qu’il pouvaient poser des problĂšmes. Pour moi mĂȘme actuellement tu est parfaite, j’aime comme tu est, je crois que je l’ai prouvĂ©. Mais c’est toi qui doit dire ce que tu veux et comment tu veux ĂȘtre. Ne te casse plus la tĂȘte pour les choses matĂ©rielles.
je vais dire un truc qui va peut-ĂȘtre te faire bizarre . Je vois aussi en toi une troisiĂšme fille. Tu es juste un peu plus jeune que la seconde.
C’est totalement pervers çà !!! Tu me baises et tu me considĂšres comme ta fille..tu a de drĂŽles d’idĂ©es, je sais ce que çà donne quand les pĂšres ont envie de certaines choses tu l’a oubliĂ©?
NON !! dit pas ça !! jamais je n’ai eu ce genre de pensĂ©es!!
J’en suis sĂ»re, ça ne va pas avec toi, tu es plutĂŽt un Saint Bernard on dirait. J’aime bien ces gros chiens tous gentils. Tu es mon saint Bernard?
Si tu veux, je mettrai un tonneau de rhum autour de mon cou la prochaine fois.
Alors, tu acceptes ce que je te propose?
Pour le moment oui mais on devrait reparler de tout ça c'est trop dingue.
Veux-tu que je reste avec toi cette nuit?
Et ta femme?
Je lui passe un coup de fil, et on reste lĂ  tous les deux. On va se commander Ă  manger, tu n'as pas faim?
Si aprÚs tout çà je meurs de faim.
Je la serrait contre moi, prenant sa bouche dans un baiser trĂšs tendre, qu’elle rendait avec entrain, je caressais sa peau nue, j’avais encore envie d’elle et elle avais encore envie de moi. Cela s'est vĂ©rifiĂ© toute la nuit ensuite.


VoilĂ  comment Ă  commencĂ© cette aventure, qui dure encore et qui durera longtemps j’espĂšre. Pardon de dĂ©livrer autant de sentiments personnels, mais c’est indissociable de la partie erotique, pronographique mĂȘme de cette histoire autobiographique dont je suis fier.
Published by vieuxmachin
3 years ago
Comments
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Lisa-Al
Lisa-Al 3 years ago
Comment parler aprĂšs ce que je viens de lire.

J'en ai encore les larmes qui coulent. Comment fais tu pour avoir des choses aussi hard entremĂȘlĂ©es de sentiments aussi forts. Tu me touches vraiment Eve a une chance extraordinaire de tomber sur toi. J'ai du mal Ă  dire ce que je ressens, Tu la prend sous ton aile, comme çà sur un coup de tĂȘte, il semble que çà dure encore donc le coup de tĂȘte est rĂ©ussi. Tu sais que j'ai une Ă©norme envie de rencontrer une trans, tu me confortes dans cette recherche. LĂ  je parle de ton rĂ©cit pas de nos Ă©changes entre nous. Eve est adorable tu le dit toi mĂȘme. Je pense qu'avec ce qu'elle a dĂ©jĂ  vĂ©cu, que tu lui tende la main comme çà c'est vraiment chevaleresque je trouve. Si tous les hommes Ă©taient comme toi, se serait un rĂȘve.
Tout ton texte depuis le dĂ©but est magnifique, je trouve que tes sentiments passent au travers des mots. Moi je le lis comme çà, tu doit ĂȘtre trĂšs amoureux d'elle, moi je le ressent au travers de chacun de ttes mots, de la façon dont tu parles d'elle. Je suis certaine que tu va faire son bonheur, tout çà  en prĂ©servant ta femme, lĂ  bravo. Votre couple doit ĂȘtre indestructible, ta femme Marie est une sainte , elle te laisse libre de vivre une sexualitĂ© qui lui pose problĂšme Ă  elle pour une question d'image si j'ai tout compris
J'ai hùte qu'on se parle de vive voix et si çà peut se faire qu'on se rencontre, j'avoues je suis curieuse de parler avec un tel phénomÚne. Pourrais tu me réconcilier avec ma vision des hommes?? Ma copine ne va pas apprécier çà.

Bisous Ă  vous tous, Ă  bientot
LIsa
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