Ma meilleure amie et une inconnue

Parfois, il suffit de pas grand chose pour passer à côté d'un très bon moment. Le genre de moment qui vous reste gravé en mémoire toute votre vie.
C'est ce qui nous est arrivée à Marion et moi. Toutes les deux, nous sommes meilleures amies depuis la fin de l'école primaire.

On étaient maintenant à la fac et nous avions prise l'habitude d'aller de temps à temps dans un sauna tenu par un ami à Marion. Ce jour là, nous avions en principe un cours assez chiant en fin de matinée mais n'étant absolument pas motivée pour y aller, nous avions convenue d'aller nous détendre dans ce sauna et cela tombait bien car cette heure-ci, nous savions qu'il n'y aurait pas grand monde.

Une fois là-bas et notre maillot enfilé, nous prirent place dans l'un des nombreux jacuzzis du complexe. Étant seul, nous pouvions discuter d'absolument tout sans retenue.

- Alors, ça se passe comment avec l'autre mec de la dernière soirée ? Lui demandais-je

- Bof, c'est déjà fini entre nous.

- Ah bon ? Pourtant il avait l'air de te plaire

- Oui mais il n'y avait aucune étincelle entre nous.

- Par étincelle, tu veux dire au lit ?

- Bien entendu ! J'suis pas sa mère, il peut y aller bien plus fort !

Alors que nous étions entrain de rire toutes les deux, une femme entra dans la pièce. Elle devait avoir dans les 35 ans, et devait avoir des origines maghrébine. C'était le genre de femme qui avait une classe naturelle. Tout en nous regardant, elle finit par aller s’asseoir sur une chaise longue non loin de nous.

- Cette meuf est juste sublime ! Me dit Marion tout en chuchotant.

- C'est vrai qu'elle est jolie. Lui répondis-je en chuchotant également.

- Juste jolie ? Elle est carrément canon !

- Si tu veux, je te laisse avec elle, si tu as envie de te la faire. Lui dis-je en rigolant.

- Ne dis pas n'importe quoi. Déjà de une, je ne suis pas lesbienne, et de deux, si je devais coucher avec une meuf, ça serait toi voyons !

- En tout cas, je ne sais pas si elle nous entend mais elle n'arrête pas de nous regarder. Figes-je remarquer à Marion.

- Non, elle ne peut pas nous entendre, mais c'est vrai qu'elle n'arrête pas de nous fixer. Elle est peut être lesbienne et on lui plaît.

Alors qu'elle me disait cela, l'autre femme dégrafa le haut de son maillot, laissant apparaître une assez grosse poitrine.

- Elle a la même poitrine que toi, je suis jalouse de vous deux ! Me dit Marion toujours en chuchotant.

- Je pense que tu as raison, on l’intéresse, elle se caresse délicatement les seins tout en nous fixant ! Dis-je surprise.

- Elle va finir par m’exciter cette conne.

Tout en me disant ça, Marion retira à son tour le haut de son maillot qu'elle jeta en dehors du jacuzzi.

- Mais tu fais quoi la, Marion ?

- J'ai envie de voir sa réaction pour être fixée !

Sa réaction ne se fit pas attendre, cette femme se leva et enleva le bas de son maillot. Puis, elle se dirigea vers nous et entra dans le jacuzzi. Elle était maintenant en face de nous.

- Bonjour toutes les deux, je m'appelle Sakina.

- Bonjour. Lui dis-je un peu gêné.

- Vous venez souvent ici ? Car c'est la première fois que je vous vois. Nous demanda t-elle.

- On vient de temps en temps. Lui dit Marion, qui avait l'air moins gêné que moi.

On vit alors cette Sakina se rapprocher de nous. J'avais même sa poitrine à quelques centimètre seulement de moi.

- Et toutes les deux, vous êtes juste amies où un peu plus ?

- Non, on est juste amie. Répondis-je.

- Même si on s'est déjà embrassé lors d'une soirée pour répondre à un défis. Rétorqua Marion.

- Intéressant. Dit Sakina en se rapprochant un peu plus de moi.

D'ailleurs, elle c'était mis de sorte que sa poitrine soit au niveau de mon visage. Alors que je ne savais pas quoi faire et que je venais juste de remarquer que cette Sakina se masturbait, Marion poussa ma tête de sorte qu'elle atterrisse sur la poitrine de cette femme.

- Mais que fais-tu ? Demandais-je à Marion alors que Sakina avait un large sourire.

- Tu en meurt d'envie, ne fais pas genre ! Me dit Marion.

Et elle n'avait pas tort ! Du coup, je décidais de lâcher prise en léchant cette magnifique poitrine. Pendant que je me régalais à lécher les tétons de Sakina, Marion dégrafa le haut de mon maillot avant de me rejoindre. Sakina avait maintenant deux bouches pour lui lécher ses deux tétons qui durcissaient de plus en plus sous nos coups de langue.

Au bout d'un certain temps, nos langues se rapprochèrent et Sakina ''prit'' nos têtes afin de les rapprocher. Le message était clair. Du coup, pour la deuxième fois de nos vies, on s'embrassa Marion et moi. Sauf que cette fois, le baiser était plus qu'intense. Je ressenti comme une décharge électrique. Alors que nos langues dansaient l'une avec l'autre, nos mains parcouraient nos corps bouillonnants. Je n'avais jamais ressenti ça et surtout pour une fille. Je sentais le regard de Sakina nous observer avec envie.

Elle finit par nous rejoindre dans un étonnant mais très agréable baiser à trois où toutes les langues se mélangeaient. Puis, c'était à mon tour d'avoir les bouches de deux femmes sur mes seins. La sensation était plus qu'agréable, j'étais de plus en plus excité.

Sakina finit par relever sa tête et tout en m'embrassant de nouveau, elle me demanda d'aller m’asseoir sur sa chaise longue. Une fois cela fait, elle m'écarta les jambes, se mise à genoux devant moi afin de commencer à me lécher. D'abord doucement en insistant sur mon clitoris puis ensuite avec plus de puissance.

Elle m'écartait les lèvres avec deux de ses doigts et avec son autre main, elle commença par rentrer un doigt dans mon vagin en même temps qu'elle me léchait.
C'était une sensation merveilleuse, elle était si expérimentée, elle savait exactement quoi faire et quand. Pendant ce temps, Marion vînt vers moi pour m'embrasser. Très vite, je finis par atteindre un puissant orgasme.

Me laissant reprendre mon souffle et mes esprits, Marion s’allongea alors sur son tapis et écarta ses cuisses. Sakina engouffra sa tête dans cette chatte offerte alors que Marion ondulait sous les coups de langue, se cambrait, et gémissait tout comme moi quelques instant plus tôt.
Je décidais alors de rendre l'appareil à Sakina. Je me plaçais derrière elle et glissais ma bouche sur son sexe qui était trempé. Puis je pénétrais son intimité avec deux doigts, j'étais en transe. Après quelques minutes, ce fut autour de Sakina d'avoir un orgasme.

- Merci ma puce, se fut un régal. Maintenant, faites un 69 toutes les deux. Me dit Sakina.

Sans aucune hésitation de nos parts, on se plaça toutes les deux en position. Sans perdre plus de temps, je léchais avec application le petit abricot de ma meilleure amie de toujours avant de fourrer ma langue dans son minou. Ainsi, ma langue la pénétrait tandis qu’elle me doigtait avec un peu plus de rudesse. Nos corps ondulaient au rythme des pénétrations.

Je devenais folle de désir. J’étais proche d'un nouvel l’orgasme tandis qu'elle continuait de me lécher encore et encore alors que ses doigts me fouillaient en même temps. De son côte, Sakina se masturbait avec ardeur devant se spectacle. Les doigts de Marion dans ma chatte accéléraient le rythme me faisant jouir ! Reprenant vite mes esprits cette fois-ci, je continuais mon cunni tandis que Sakina nous avait rejoint. Elle étala de sa mouille sur l’entrée de l'anus de Marion avant d'y glisser un doigt.

Elle mouillait, c’était incroyable. Elle s’empalait sur les doigts de Sakina et je sentais qu’elle allait bientôt jouir. Alors j’enfonçais également mes doigts dans sa chatte, le plus profondément possible, tout en lui bouffant son clito. Son cul bougeait de plus en plus vite et elle m’étouffait presque avec sa chatte sur mon visage. Soudain elle criait de plaisir comme jamais.

Après avoir repris toutes nos esprits, Sakina s'avança vers moi pour m'embrasser tendrement tout en me remerciant pour ce très bon moment. Puis elle se dirigea vers Marion et lui dit :

- Tu avais raison, ton amie est incroyable, merci d'avoir organisé ça.

- Quoi ? Vous vous connaissez ? Demandais-je très surprise.

- Oui, on s'est vue ici quelques fois avec Sakina, elle m'a dragué et j'ai succombé. Mes meilleurs orgasmes, c'est grâce à elle. Du coup, je fantasmais sur un plan à trois avec toi.

- Vu le moment magique qu'on vient de passer, je ne peux pas t'en vouloir !