Se ressourcer en vacances en baisant version final
Cette année, je suis parti vacances dans le Sud Ouest avec ma famille. Il y avait deux villas qui se partageaient une grande et belle piscine. Nous fßmes donc connaissance avec nos voisins, un couple approchant la soixantaine avec leur petite fille.
Lorsqu'on se retrouvait tous au bord de cette piscine, je ne pouvais m'empĂȘcher de regarder un peu cette femme, Julie, qui Ă©tait plus que bien conservĂ©, elle Ă©tait grande, assez mince, et avec une poitrine de taille normale.
Mais un matin, je décidais de rester seul et de ne pas suivre le reste de ma famille en randonnée. Du coup, en fin de matinée, je m'installais au bord de la piscine histoire de me détendre et de bronzer un peu. Quelques minutes plus tard, je vis Julie me rejoindre tout en étant surprise de me voir.
- Tient, je pensais que vous étiez partis vous aussi ?
- Et non, j'ai préféré rester pour profiter de la piscine.
- Mais le reste de votre famille revient quand ? Me demandait-elle.
- Certainement en milieu d'aprÚs-midi, lui répondis-je.
- Du coup, vous comme moi sommes tranquille pour un moment.
Tout en me disant cela, elle pris un transat pour le placer à proximité de moi alors qu'habituellement, elle s'installait toujours un peu à l'écart et je me demandais ce qu'elle entendait par le fait qu'on était tranquille pour un moment.
- Vous aussi vous ĂȘtes seule ? Lui demandais-je.
- Et oui, mon Ă©poux est parti avec notre petite fille se promener en ville, il y a une fĂȘte foraine de passage. Comme nous sommes entre adulte, cela ne vous dĂ©range pas si j'enlĂšve le haut ?
- Absolument pas, bien au contraire.
- Bien au contraire ? Me dit-elle en souriant.
A ce moment lĂ , je ne savais pas encore si elle souhaiter juste s'amuser un peu en flirtant avec un homme plus jeune ou allait bien plus loin.
- Vous ĂȘtes trĂšs belle, je ne vois donc aucune raison de refuser de vous voir faire du topless.
- Ăa fait du bien de savoir qu'un autre homme vous trouve belle.
Elle enleva le haut de son maillot laissant apparaĂźtre une trĂšs jolie petite poitrine.
- Votre mari ne vous trouve pas belle ? Car dans ce cas, il ne sais pas la chance qu'il a.
- Je suis certaine que vous me dites cela juste par courtoisie.
- Absolument pas, vous ĂȘtes une trĂšs belle femme, c'est sincĂšre. RĂ©torquais-je.
- Et pourtant, je vais vous avouer une chose ça fait des annĂ©es qu'il ne m'a pas fait l'amour. J'ai d'abord pensĂ© qu'il avait une maĂźtresse mais non, mĂȘme pas. Il a juste totalement perdu sa libido.
Pendant qu'elle se confiait, je sentis sa main se poser délicatement sur mon genoux.
- J'imagine que cela ne doit pas ĂȘtre facile, surtout si de votre cotĂ© vous avez encore des envies.
- Je confirme.
- Du coup, pour calmer vos envies, vous vous ĂȘtes pris un amant ?
- Pas tout Ă fait, j'ai finis par m'acheter des jouets.
- Des jouets ? Lui dis-je heureux de sentir sa main remonter petit à petit.
- Pas la peine de vous faire un dessin je pense.
Me dit-elle en souriant alors que mon short de bain commençait Ă se dĂ©former un peu. Je me demandais si elle l'avait dĂ©jĂ remarquĂ©. Mais en mĂȘme temps, je ne faisais rien pour cacher ce trouble qui commençait Ă se dessiner.
- Et vous prendre un amant ne vous a jamais traversé l'esprit ?
- On va dire que je l'ai plus ou moins fait.
- Comment ça plus ou moins ? Lui demandais-je interloqué.
- Dans les jouets que j'ai acheté, il y a un gode ceinture. Et parfois, il arrive qu'une amie vienne à la maison pour jouer à l'homme avec moi mais...
- Mais quoi ?
Avant de rĂ©pondre, elle dĂ©laissa mon genoux afin de saisir de l'huile solaire pour en mettre dĂ©licatement sur sa poitrine. Je dois dire qu'Ă ce moment prĂ©cis, je ne faisais mĂȘme plus semblant de ne pas mater sa poitrine et la bosse dans mon short Ă©tait plus que visible.
- Ce n'est pas la mĂȘme chose qu'ĂȘtre prise par un vrai pĂ©nis et ça me manque de plus en plus.
Elle glissa sa main droite sur ma cuisse en se rapprochant de ma queue. Bien entendu, elle ne sentit aucune opposition de ma part. Elle continua alors pour enfin arriver sur ma queue, déjà toute raide.
- Quel plaisir de voir cette bosse !
Elle me masturbait délicatement à travers mon maillot de bain.
- D'ailleurs, j'ai l'impression que le votre souhaite me saluer, et ça tombe bien puisque qu'absolument personne ne peut nous gĂȘner !
AprĂšs ses belles paroles, je pris l'initiative de me lever et de retirer mon short pour plongeait dans le plus simple appareil dans la piscine. AprĂšs quelques secondes, elle se leva Ă son tour pour me rejoindre dans l'eau et se dirigea Ă quelques centimĂštre de moi.
- Ce n'est pas juste. Lui dis-je.
- Quoi donc ? Me dit-elle surprise.
- Je suis le seul à avoir enlevé mon maillot.
- J'aime l'idée que vous me mettiez nue.
Ni une ni deux, je dĂ©fis les nĆuds de son bas de maillot. On Ă©tait maintenant tous les deux entiĂšrement nus. Je me rapprochais d'elle pour l'embrasser. Jâattrapais son visage de mes deux mains afin de dĂ©poser un baiser sur sa bouche. Le baiser, simple au dĂ©part, se transforma en un long baiser langoureux oĂč nos langues venaient se mĂȘler avec passion.
AprÚs un certain temps, je me baissais vers ses seins avant de commencer à les embrasser. Ses tétons pointaient comme du granit et je les enveloppais de mes lÚvres, les suçant doucement l'un puis l'autre, c'était tellement bon.
Puis, elle se dirigea vers le bord de la piscine pour s'y asseoir. Une fois bien en place, elle écarta les jambes, tout en me fixant, me dévoilant son sexe trÚs appétissant et sa légÚre toison. J'écartais ses cuisses un peu plus et vint entre elle pour lécher son clitoris, jusqu'à ce qu'il gonfla entre mes lÚvres.
- Oui comme cela, bouffez ma chatte de catin !
Je continuais et elle gĂ©missait maintenant doucement et posa ses mains sur ma tĂȘte, je la lĂ©chais de longues minutes faisant entrer ma langue le plus profond possible afin de goĂ»ter sa mouille.
Puis, je commençais à la doigter, à écarter son sexe de mes doigts avec un, puis deux et enfin trois doigts qui fouillaient son sexe, je la baisais avec mes doigts et elle semblait adorer ça.
- Vient, suivez moi ! Me dit-elle tout à coup.
AprÚs avoir pris nos affaires, nous allùmes chez elle. Une fois à l'intérieur, elle se plaça contre le mur, attendant que je vienne de nouveau m'occuper d'elle, ce que je fis avec un nouveau cunni. Puis, je vins l'embrasser avant qu'elle ne prenne ma main pour m'entraßner dans sa chambre.
- Tient, je ne pensais pas que vous souhaitiez faire l'amour dans le mĂȘme lit oĂč vous allez dormir avec votre mari ce soir.
- ĂĂ l'apprendra Ă ne plus me toucher depuis si longtemps. Et rectification, je ne veux pas faire l'amour avec vous, je veux me faire baiser. Me dit-elle avec un gros sourire.
- Ăa m'excite de vous entendre parler ainsi.
- Alors vous allez ĂȘtre aux anges car malgrĂ© mon Ăąge je suis une salope et je suis en manque de bite.
- Et là , vous avez envie de quoi ?
- Votre jeune bite dans ma bouche de vieille salope.
- Criez-le !
- De me faire baiser par votre belle bite !
- Elle est Ă vous.
Elle approcha doucement son visage et déposa un bisou sur le bout de mon gland comme pour me faire languir. Je me mordais les lÚvres en la regardant me grignoter. Elle commença enfin à me sucer. Julie le faisait tellement bien que je commençais à douter du fait que cela faisait des années qu'elle ne l'avait pas fait. Et si c'était vrai, alors je ne comprenais absolument pas comment son mari pouvait ne pas profiter du talent de sa femme !
En effet, elle arrivait Ă tourner sa langue tout autour de ma bite, tout en lâaspirant et en faisant des va-et-vient de mes testicules jusquâĂ mon gland et elle nâĂ©tait clairement pas prĂȘte Ă sâarrĂȘter. Elle me suçait la pine jusquâĂ lâos, et jâadorais ça comme jamais ! Puis au bout d'un certain temps, elle dĂ©laissa mon pĂ©nis pour s'occuper de mes testicules lâune aprĂšs lâautre avant de se lever de sorte que nos visages soit cĂŽte Ă cĂŽte.
- Prenez-moi !
- Je n'ai pas bien entendu.
- Je suis Ă vous, je veux votre bite en moi.
J'adorais entendre cette femme se lĂącher ainsi.
- Vous ĂȘtes ma chienne ?
- Oui Monsieur, je suis votre petite chienne !
- Mettez-vous en levrette alors.
ImmĂ©diatement, Julie se mise en position sur le lit. Je posais mon gland sur lâentrĂ©e rosĂ©e de sa vulve et immĂ©diatement, elle s'empala d'elle mĂȘme avant que je ne commence les va-et-vient ! Elle poussait de petits bruits stridents alors que j'accĂ©lĂ©rais de plus en plus la cadence.
- Vous aimez ?
- Oui, continuez de me baiser !
- Qui ĂȘtes vous ?
- Votre salope, votre pute, votre chienne !
Sur ses mots je redoublais de vigueur, mes coups se faisait plus fort, je sentais mes couilles taper contre ses fesses.
- n'hésitez pas à me donner quelques fessés, j'adore ça ! Me dit-elle
Pas la peine de me le dire deux fois ! Je continuais de la pénétrer tout en lui assénant de grosses claques sur ses fesses. Son cul tout blanc tressautait sous mes coups et sa peau gardait la marque rouge de ma main alors qu'elle criait de plus en plus fort tout en me demandant de continuer tandis que je sentais mes testicules trempées par sa mouille.
D'ailleurs, elle coulait tellement que ça commençait Ă sentir la mouille dans toute la chambre. Cela me mettais dans un Ă©tat de transe totale, et je la pĂ©nĂ©trais encore plus violemment pendant plusieurs minutes. Puis, Je sentis que je nâallais pas tarder Ă jouir, ce qu'elle remarqua elle aussi.
- Vous allez bientÎt jouir ? Me demanda t-elle.
- Oui.
- Alors faites-le sur mon visage !
- Vous voulez mon jus ?
- Oui, monsieur...
- Alors vous allez ĂȘtre servi !
Elle se plaça devant moi Ă genoux, alors que j'avais la bite pleine de sa mouille, jâavais du mal Ă la tenir et Ă me branler fort, tellement elle glissait.
- Nettoyez moi !
Elle obĂ©issait immĂ©diatement et engloba mon sexe. Quâest-ce que câĂ©tait bon ! Elle aspira mon gland quelques secondes. Puis, je me branlais Ă quelques centimĂštre de son visage avant d'Ă©jaculer une trĂšs grosse quantitĂ© de sperme. Au fur et Ă mesure que jâĂ©jaculais, elle me repris en bouche afin d'avaler mes derniĂšres gouttes tandis que je beuglais comme un fout tellement le plaisir Ă©tait intense.
AprĂšs cette magnifique aventure, nous fĂźmes comme si rien ne c'Ă©tait passĂ© pour le restant du sĂ©jour mais on ne pouvait s'empĂȘcher d'avoir un petit sourire Ă chaque fois que nos regards se croisaient.
Lorsqu'on se retrouvait tous au bord de cette piscine, je ne pouvais m'empĂȘcher de regarder un peu cette femme, Julie, qui Ă©tait plus que bien conservĂ©, elle Ă©tait grande, assez mince, et avec une poitrine de taille normale.
Mais un matin, je décidais de rester seul et de ne pas suivre le reste de ma famille en randonnée. Du coup, en fin de matinée, je m'installais au bord de la piscine histoire de me détendre et de bronzer un peu. Quelques minutes plus tard, je vis Julie me rejoindre tout en étant surprise de me voir.
- Tient, je pensais que vous étiez partis vous aussi ?
- Et non, j'ai préféré rester pour profiter de la piscine.
- Mais le reste de votre famille revient quand ? Me demandait-elle.
- Certainement en milieu d'aprÚs-midi, lui répondis-je.
- Du coup, vous comme moi sommes tranquille pour un moment.
Tout en me disant cela, elle pris un transat pour le placer à proximité de moi alors qu'habituellement, elle s'installait toujours un peu à l'écart et je me demandais ce qu'elle entendait par le fait qu'on était tranquille pour un moment.
- Vous aussi vous ĂȘtes seule ? Lui demandais-je.
- Et oui, mon Ă©poux est parti avec notre petite fille se promener en ville, il y a une fĂȘte foraine de passage. Comme nous sommes entre adulte, cela ne vous dĂ©range pas si j'enlĂšve le haut ?
- Absolument pas, bien au contraire.
- Bien au contraire ? Me dit-elle en souriant.
A ce moment lĂ , je ne savais pas encore si elle souhaiter juste s'amuser un peu en flirtant avec un homme plus jeune ou allait bien plus loin.
- Vous ĂȘtes trĂšs belle, je ne vois donc aucune raison de refuser de vous voir faire du topless.
- Ăa fait du bien de savoir qu'un autre homme vous trouve belle.
Elle enleva le haut de son maillot laissant apparaĂźtre une trĂšs jolie petite poitrine.
- Votre mari ne vous trouve pas belle ? Car dans ce cas, il ne sais pas la chance qu'il a.
- Je suis certaine que vous me dites cela juste par courtoisie.
- Absolument pas, vous ĂȘtes une trĂšs belle femme, c'est sincĂšre. RĂ©torquais-je.
- Et pourtant, je vais vous avouer une chose ça fait des annĂ©es qu'il ne m'a pas fait l'amour. J'ai d'abord pensĂ© qu'il avait une maĂźtresse mais non, mĂȘme pas. Il a juste totalement perdu sa libido.
Pendant qu'elle se confiait, je sentis sa main se poser délicatement sur mon genoux.
- J'imagine que cela ne doit pas ĂȘtre facile, surtout si de votre cotĂ© vous avez encore des envies.
- Je confirme.
- Du coup, pour calmer vos envies, vous vous ĂȘtes pris un amant ?
- Pas tout Ă fait, j'ai finis par m'acheter des jouets.
- Des jouets ? Lui dis-je heureux de sentir sa main remonter petit à petit.
- Pas la peine de vous faire un dessin je pense.
Me dit-elle en souriant alors que mon short de bain commençait Ă se dĂ©former un peu. Je me demandais si elle l'avait dĂ©jĂ remarquĂ©. Mais en mĂȘme temps, je ne faisais rien pour cacher ce trouble qui commençait Ă se dessiner.
- Et vous prendre un amant ne vous a jamais traversé l'esprit ?
- On va dire que je l'ai plus ou moins fait.
- Comment ça plus ou moins ? Lui demandais-je interloqué.
- Dans les jouets que j'ai acheté, il y a un gode ceinture. Et parfois, il arrive qu'une amie vienne à la maison pour jouer à l'homme avec moi mais...
- Mais quoi ?
Avant de rĂ©pondre, elle dĂ©laissa mon genoux afin de saisir de l'huile solaire pour en mettre dĂ©licatement sur sa poitrine. Je dois dire qu'Ă ce moment prĂ©cis, je ne faisais mĂȘme plus semblant de ne pas mater sa poitrine et la bosse dans mon short Ă©tait plus que visible.
- Ce n'est pas la mĂȘme chose qu'ĂȘtre prise par un vrai pĂ©nis et ça me manque de plus en plus.
Elle glissa sa main droite sur ma cuisse en se rapprochant de ma queue. Bien entendu, elle ne sentit aucune opposition de ma part. Elle continua alors pour enfin arriver sur ma queue, déjà toute raide.
- Quel plaisir de voir cette bosse !
Elle me masturbait délicatement à travers mon maillot de bain.
- D'ailleurs, j'ai l'impression que le votre souhaite me saluer, et ça tombe bien puisque qu'absolument personne ne peut nous gĂȘner !
AprĂšs ses belles paroles, je pris l'initiative de me lever et de retirer mon short pour plongeait dans le plus simple appareil dans la piscine. AprĂšs quelques secondes, elle se leva Ă son tour pour me rejoindre dans l'eau et se dirigea Ă quelques centimĂštre de moi.
- Ce n'est pas juste. Lui dis-je.
- Quoi donc ? Me dit-elle surprise.
- Je suis le seul à avoir enlevé mon maillot.
- J'aime l'idée que vous me mettiez nue.
Ni une ni deux, je dĂ©fis les nĆuds de son bas de maillot. On Ă©tait maintenant tous les deux entiĂšrement nus. Je me rapprochais d'elle pour l'embrasser. Jâattrapais son visage de mes deux mains afin de dĂ©poser un baiser sur sa bouche. Le baiser, simple au dĂ©part, se transforma en un long baiser langoureux oĂč nos langues venaient se mĂȘler avec passion.
AprÚs un certain temps, je me baissais vers ses seins avant de commencer à les embrasser. Ses tétons pointaient comme du granit et je les enveloppais de mes lÚvres, les suçant doucement l'un puis l'autre, c'était tellement bon.
Puis, elle se dirigea vers le bord de la piscine pour s'y asseoir. Une fois bien en place, elle écarta les jambes, tout en me fixant, me dévoilant son sexe trÚs appétissant et sa légÚre toison. J'écartais ses cuisses un peu plus et vint entre elle pour lécher son clitoris, jusqu'à ce qu'il gonfla entre mes lÚvres.
- Oui comme cela, bouffez ma chatte de catin !
Je continuais et elle gĂ©missait maintenant doucement et posa ses mains sur ma tĂȘte, je la lĂ©chais de longues minutes faisant entrer ma langue le plus profond possible afin de goĂ»ter sa mouille.
Puis, je commençais à la doigter, à écarter son sexe de mes doigts avec un, puis deux et enfin trois doigts qui fouillaient son sexe, je la baisais avec mes doigts et elle semblait adorer ça.
- Vient, suivez moi ! Me dit-elle tout à coup.
AprÚs avoir pris nos affaires, nous allùmes chez elle. Une fois à l'intérieur, elle se plaça contre le mur, attendant que je vienne de nouveau m'occuper d'elle, ce que je fis avec un nouveau cunni. Puis, je vins l'embrasser avant qu'elle ne prenne ma main pour m'entraßner dans sa chambre.
- Tient, je ne pensais pas que vous souhaitiez faire l'amour dans le mĂȘme lit oĂč vous allez dormir avec votre mari ce soir.
- ĂĂ l'apprendra Ă ne plus me toucher depuis si longtemps. Et rectification, je ne veux pas faire l'amour avec vous, je veux me faire baiser. Me dit-elle avec un gros sourire.
- Ăa m'excite de vous entendre parler ainsi.
- Alors vous allez ĂȘtre aux anges car malgrĂ© mon Ăąge je suis une salope et je suis en manque de bite.
- Et là , vous avez envie de quoi ?
- Votre jeune bite dans ma bouche de vieille salope.
- Criez-le !
- De me faire baiser par votre belle bite !
- Elle est Ă vous.
Elle approcha doucement son visage et déposa un bisou sur le bout de mon gland comme pour me faire languir. Je me mordais les lÚvres en la regardant me grignoter. Elle commença enfin à me sucer. Julie le faisait tellement bien que je commençais à douter du fait que cela faisait des années qu'elle ne l'avait pas fait. Et si c'était vrai, alors je ne comprenais absolument pas comment son mari pouvait ne pas profiter du talent de sa femme !
En effet, elle arrivait Ă tourner sa langue tout autour de ma bite, tout en lâaspirant et en faisant des va-et-vient de mes testicules jusquâĂ mon gland et elle nâĂ©tait clairement pas prĂȘte Ă sâarrĂȘter. Elle me suçait la pine jusquâĂ lâos, et jâadorais ça comme jamais ! Puis au bout d'un certain temps, elle dĂ©laissa mon pĂ©nis pour s'occuper de mes testicules lâune aprĂšs lâautre avant de se lever de sorte que nos visages soit cĂŽte Ă cĂŽte.
- Prenez-moi !
- Je n'ai pas bien entendu.
- Je suis Ă vous, je veux votre bite en moi.
J'adorais entendre cette femme se lĂącher ainsi.
- Vous ĂȘtes ma chienne ?
- Oui Monsieur, je suis votre petite chienne !
- Mettez-vous en levrette alors.
ImmĂ©diatement, Julie se mise en position sur le lit. Je posais mon gland sur lâentrĂ©e rosĂ©e de sa vulve et immĂ©diatement, elle s'empala d'elle mĂȘme avant que je ne commence les va-et-vient ! Elle poussait de petits bruits stridents alors que j'accĂ©lĂ©rais de plus en plus la cadence.
- Vous aimez ?
- Oui, continuez de me baiser !
- Qui ĂȘtes vous ?
- Votre salope, votre pute, votre chienne !
Sur ses mots je redoublais de vigueur, mes coups se faisait plus fort, je sentais mes couilles taper contre ses fesses.
- n'hésitez pas à me donner quelques fessés, j'adore ça ! Me dit-elle
Pas la peine de me le dire deux fois ! Je continuais de la pénétrer tout en lui assénant de grosses claques sur ses fesses. Son cul tout blanc tressautait sous mes coups et sa peau gardait la marque rouge de ma main alors qu'elle criait de plus en plus fort tout en me demandant de continuer tandis que je sentais mes testicules trempées par sa mouille.
D'ailleurs, elle coulait tellement que ça commençait Ă sentir la mouille dans toute la chambre. Cela me mettais dans un Ă©tat de transe totale, et je la pĂ©nĂ©trais encore plus violemment pendant plusieurs minutes. Puis, Je sentis que je nâallais pas tarder Ă jouir, ce qu'elle remarqua elle aussi.
- Vous allez bientÎt jouir ? Me demanda t-elle.
- Oui.
- Alors faites-le sur mon visage !
- Vous voulez mon jus ?
- Oui, monsieur...
- Alors vous allez ĂȘtre servi !
Elle se plaça devant moi Ă genoux, alors que j'avais la bite pleine de sa mouille, jâavais du mal Ă la tenir et Ă me branler fort, tellement elle glissait.
- Nettoyez moi !
Elle obĂ©issait immĂ©diatement et engloba mon sexe. Quâest-ce que câĂ©tait bon ! Elle aspira mon gland quelques secondes. Puis, je me branlais Ă quelques centimĂštre de son visage avant d'Ă©jaculer une trĂšs grosse quantitĂ© de sperme. Au fur et Ă mesure que jâĂ©jaculais, elle me repris en bouche afin d'avaler mes derniĂšres gouttes tandis que je beuglais comme un fout tellement le plaisir Ă©tait intense.
AprĂšs cette magnifique aventure, nous fĂźmes comme si rien ne c'Ă©tait passĂ© pour le restant du sĂ©jour mais on ne pouvait s'empĂȘcher d'avoir un petit sourire Ă chaque fois que nos regards se croisaient.
3 years ago