Les 8 fantasmes
Alexis était en couple avec Marie depuis plusieurs années.
Il avait cependant des fantasmes quâil nâa jamais osĂ© avouer Ă Marie.
Quelques jours avant le 29Úme anniversaire, un soir aprÚs manger devant le journal télévisuel Marie demanda alors à Alexis
« Je nâai pas trop dâidĂ©e cette annĂ©e pour ton cadeau, quâest ce qui te ferait plaisir ? »
Il avait une idĂ©e qui lui trottait dans la tĂȘte depuis un bon moment et sauta sur lâoccasion:
« Eh bien au lieu de faire un cadeau traditionnel je te propose un truc: je fais une liste de mes fantasmes, tu en pioches 3 et tu dois rĂ©aliser au moins un dâentre eux. Si vraiment parmi les 3 aucun ne te convient, tu pourras en piocher dâautres mais ce nâest pas le but »
« TrĂšs bien si câest ton souhait ça me convient, en plus pour une fois je nâaurai pas dâargent Ă dĂ©penser ahah »
Alexis acquiesce:
« Exactement, et si certains de mes fantasmes nĂ©cessitent dâacheter des accessoires ce sera Ă mes frais ! »
« Deal ! »
« Deal l »
Alexis Ă©tant excitĂ© Ă lister tous ses fantasmes monta aussitĂŽt Ă lâĂ©tage dans son bureau. Il ouvrit alors un Ă©diteur de texte et tapa les fantasmes suivants:
« Faire lâamour avec une tenue en cuir ou latex »
« Ătre attachĂ© / bĂąillonnĂ© »
« Recevoir la fessée »
« Gode ceinture »
« Plug anal »
« Masturbation avec tes pieds et des bas, puis lécher le sperme »
« Masturbation avec des chaussures en cuir vernies, puis lécher le sperme »
« Mettre tes strings et bas »
Il sâarrĂȘta lĂ en espĂ©rant que certains de ses fantasmes ne lâeffraie pas trop, il ne souhaitait pas que ces fantasmes lâeffraie. Il imprima alors ses 8 fantasmes sur une feuille et rĂ©alisa 8 boules de papiers.
Il descendit aussitĂŽt du bureau et appela Marie qui Ă©tait de se mettre en tenue de nuit.
Il présenta alors les papiers à Marie, à la fois impatient et inquiet de sa réaction, il scrutait le moindre de ses faits et gestes.
Marie piocha alors les 3 papiers et resta stoĂŻque.
Elle termina de lire et lui rend finalement un lĂ©ger sourire, presque coquin comme si les fantasmes pervers de Alexis lâamusait puis elle finit par dire:
« TrĂšs bien jâai ce quâil me faut »
Alexis trĂšs excitĂ© lui demanda alors : « Alors ce sont lesquels ? Tu nâes pas trop choquĂ©e ? Il y en a donc un qui te convient ? »
« Ahah je garde la surprise pour ton anniversaire, je mâoccuperai du matĂ©riel Ă acheter si besoin finalement câest plus drĂŽle comme ça. Par contre je serais curieuse de tous les connaĂźtre »
« Ahah non tu en connais dĂ©jĂ 3 permis les 8 câest dĂ©jĂ pas mal et pour Ă©viter que je triche ou que tu triches nous allons jeter tous les papiers Ă la poubelle et interdit dâaller fouiner !!! »
Il jeta tous les papiers Ă la poubelle, et avait dĂ©jĂ une Ă©rection Ă la simple pensĂ©e dâun de ses fantasmes rĂ©alisĂ©.
Marie remarqua son Ă©rection, ce soir lĂ ils ont alors fait lâamour « vanille ».
Quelques jours plus tard Ă©tait enfin arrivĂ© la date dâanniversaire de Alexis. Il lâattendait avec tellement dâimpatience que les jours prĂ©cĂ©dents lui ont paru une Ă©ternitĂ©.
Marie avait prĂ©parĂ© ce jour lĂ un apĂ©ritif dinatoire avec tout ce quâil faut, le repas Ă©tait animĂ©, il avait lĂ©gĂšrement bu tout les deux mais sans excĂšs.
Marie était habillée ce soir là avec un t-shirt blanc classique, un short noir en tissu et des collants noir épais. Elle ne portait pas de chaussures, elle les enlÚve trÚs souvent dans la maison. A la fin du repas aprÚs quelques discussions banales, Marie se leva et demanda à Alexis de patienter.
Il compris alors que câĂ©tait sa surprise, ses 8 fantasmes lui passait par la tĂȘte et il tenta de deviner lequel Ă©tait celui quâelle avait choisi.
Elle revient alors avec un masque loup et un sourire coquin:
« Met ce masque je veux que tu te concentres sur les sensations et que tu te laisses guidé par moi »
Alexis eu déjà une forte érection et mis le loup aprÚs avoir acquiescé.
Marie demanda alors:
« Maintenant lÚve toi et suis moi »
Elle pris la main de Alexis pour le guider jusquâĂ la chambre Ă coucher.
Une fois dans la chambre, Marie se positionna dans le dos de Alexis, elle enleva alors son Polo en prenant soin de ne pas enlever le loup par mégarde.
Puis elle commença Ă faire glisser ses mains sur son torse en le caressant et petit Ă petit elle descendit jusqueâĂ lâentrejambe, caressant le pĂ©nis dĂ©jĂ bien dur.
Alexis Ă©tait surexcitĂ© il se demandait comment il allait pouvoir tenir longtemps avec autant dâexcitation.
Marie enleva alors le bouton de son jean, puis la braguette. Elle pouvait caresser alors le pĂ©nis Ă travers le caleçon. Alexis nâavait toujours aucune idĂ©e du fantasme quâelle avait choisi mais peu importe le moment prĂ©sent Ă©tait trop puissant pour quâil puisse y rĂ©flĂ©chir. Elle jouait avec son pĂ©nis en le caressant parfois avec la paume parfois avec un doigt.
AprĂšs un certain temps, elle glissa sa main dans le caleçon, mais elle ne fit toujours pas de geste de masturbation, juste des caresses. Câest exquis, dâavoir toute cette excitation et ĂȘtre simplement touchĂ© caressĂ©, mais câest Ă©galement un supplice.
AprÚs quelques minutes à avoir jouer à caresser le sexe de Alexis, Marie enleva alors son jean ses chaussettes et et enfin caleçon et Alexis se retrouva alors nu comme un ver.
Elle le guida sur le lit et le fit allonger au milieu sur le dos, elle lui pris alors les bras et les positionna en Ă©toile en lui demandant de ne pas bouger. Elle enroula alors le poignet gauche avec un bracelet en cuir noir avec lâintĂ©rieur en velours rouge. Alexis senti la sensation de restreinte, il savait enfin lequel de ses fantasmes allait ĂȘtre rĂ©alisĂ© et lâexcitation monta encore un peu plus.
Le bracelet lui serait le poignet comme il faut, ni trop ni pas assez, il ne pouvait le défaire. Marie passa une corde dans une sangle et attacha la corde à un pied du lit.
Elle rĂ©pĂ©ta les mĂȘmes geste avec le poignet droit.
Alexis avait les bras bien tendu, ainsi il lui Ă©tait impossible de bouger de gauche Ă droite, il avait cependant toujours les jambes libres.
Marie se positionna Ă califourchon sur lui elle lâembrassa langoureusement, puis lorsquâelle sâarrĂȘta elle insĂ©ra de force un bĂąillon boule dans sa bouche. La boule en simili cuir dans la bouche excita encore plus Alexis.
Une fois la sangle du bĂąillon bien serrĂ©e, il ne pouvait extraire la boule que lĂ©gĂšrement et câĂ©tait douloureux il lâaccepta alors et arrĂȘta de se dĂ©battre, aprĂšs tout il adorait ça.
Soudain Marie se leva puis il lâentendit se rendre dans le dressing. Il compris quâelle se changeait elle avait peut-ĂȘtre finalement dĂ©cidĂ© de rĂ©aliser plusieurs de ses fantasmes espĂ©ra-t-il !
Lorsquâelle revint, ses pas Ă©taient accompagnĂ©s de bruit de talons. Alexis imagina des escarpins noir vernis mais le son Ă©tait trop lourd pour que ce soit des talons aiguilles.
Tout dâun coup Marie Ă©tait revenue Ă ses cĂŽtĂ©s par la droite, elle sâallongea Ă cĂŽtĂ© de lui, lui fit quelques baisers sur la joue puis lui lĂ©cha les lĂšvres supĂ©rieurs collĂ©es au bĂąillon.
La respiration de Alexis Ă©tait dâautant plus forte quâil Ă©tait obligĂ© de respirer par le nez Ă cause du bĂąillon. Elle posa sa jambe droite sur celle de Alexis, il ressenti alors la froideur du cuir, elle avait enfilĂ© un pantalon en cuir moulant. Elle commence Ă frotter sa jambe contre la jambe de Alexis en faisant des va et viens le long de sa cuisse.
Lors dâun va et vient Alexis senti une chaussure vernie toucher son pied. CâĂ©tait une bottine noire vernie avec un talon carrĂ© transparent de quelques centimĂštres.
Marie glissa alors Ă lâoreille de Alexis:
« Dâhabitude je tiens mes promesses mais lĂ jâĂ©tais beaucoup trop curieuse, jâai rĂ©cupĂ©rĂ© les papiers de tes fantasmes dans la poubelle »
Alexis qui ne pouvait rĂ©pondre avec le bĂąillon se contenta dâun « mmmhfff » qui signifiait rien du tout si ce nâest quâil Ă©tait encore plus excitĂ©.
Marie commença Ă caresser Alexis avec ses jambes de plus en plus proche de son pĂ©nis jusqueâĂ le toucher. Alexis qui Ă©tait au summum de son excitation sentait quâil nâallait pas faire long feu et pourtant il souhaiterait que ce moment dure une Ă©ternitĂ©.
Marie commença à frotter le pénis avec sa jambe de plus en plus fort, puis elle remonta encore sa jambe pour le caresser avec ses chaussures.
NâĂ©tant pas Ă lâaise sur le cĂŽtĂ©, elle modifia sa position de maniĂšre Ă se retrouver assise derriĂšre le visage de Alexis, la tĂȘte de celui-ci reposant sur son vagin couvert par son pantalon en cuir. Puis elle pris son pĂ©nis entre ses chaussures et commença des va-et-vient exquis.
Les va-et-vient Ă©tait ponctuĂ©s de coupures oĂč elle modifiait la prise du pĂ©nis, parfois elle passait Ă des simples caresses. Alors que Marie effectuait un va-et-vient, la bottine gauche statique positionnĂ©e en dessous le pĂ©nis et reposant sur le ventre avec le talon lĂ©gĂšrement rentrĂ© dans le ventre, la bottine droite sâoccupait quand Ă elle des va-et-vient avec la semelle, Alexis ne pouvait plus se retenir, il jouit alors comme il nâavait jamais jouit⊠malgrĂ© lui. Heureux dâatteindre cette jouissance, malheureux de ne pas avoir pu la contenir plus longtemps.
Le sperme coula sur les bottines de Marie et sur le ventre de Alexis.
Marie Îta alors le loup et le bùillon de la bouche de Alexis qui avait une quantité de salive énorme en bouche.
Alexis pouvait alors voir Ă nouveau, il avait les yeux Ă©carquiller.
Marie se déplaça précautionneusement sur le cÎté pour éviter de tùcher le lit avec plein de sperme. Il la vit alors nue en haut avec son pantalon de cuir et ses bottines noires avec le sperme coulant dessus.
Elle rapprocha alors les bottines de son visage et lui ordonna
« lÚche »
Alexis obéi sans brocher, il nettoya les bottines avec grand soin et avala son propre sperme.
Elle lui fĂźt alors:
« Je mâattendais pas Ă ce que ça se termine si tĂŽt !!! MĂȘme si câest ton anniversaire jâespĂ©rai un peu de plaisir pour moi. Ne crois pas que tu vas tâen tirer comme ça »
Elle nâen avait donc pas terminĂ© avec luiâŠ
Il avait cependant des fantasmes quâil nâa jamais osĂ© avouer Ă Marie.
Quelques jours avant le 29Úme anniversaire, un soir aprÚs manger devant le journal télévisuel Marie demanda alors à Alexis
« Je nâai pas trop dâidĂ©e cette annĂ©e pour ton cadeau, quâest ce qui te ferait plaisir ? »
Il avait une idĂ©e qui lui trottait dans la tĂȘte depuis un bon moment et sauta sur lâoccasion:
« Eh bien au lieu de faire un cadeau traditionnel je te propose un truc: je fais une liste de mes fantasmes, tu en pioches 3 et tu dois rĂ©aliser au moins un dâentre eux. Si vraiment parmi les 3 aucun ne te convient, tu pourras en piocher dâautres mais ce nâest pas le but »
« TrĂšs bien si câest ton souhait ça me convient, en plus pour une fois je nâaurai pas dâargent Ă dĂ©penser ahah »
Alexis acquiesce:
« Exactement, et si certains de mes fantasmes nĂ©cessitent dâacheter des accessoires ce sera Ă mes frais ! »
« Deal ! »
« Deal l »
Alexis Ă©tant excitĂ© Ă lister tous ses fantasmes monta aussitĂŽt Ă lâĂ©tage dans son bureau. Il ouvrit alors un Ă©diteur de texte et tapa les fantasmes suivants:
« Faire lâamour avec une tenue en cuir ou latex »
« Ătre attachĂ© / bĂąillonnĂ© »
« Recevoir la fessée »
« Gode ceinture »
« Plug anal »
« Masturbation avec tes pieds et des bas, puis lécher le sperme »
« Masturbation avec des chaussures en cuir vernies, puis lécher le sperme »
« Mettre tes strings et bas »
Il sâarrĂȘta lĂ en espĂ©rant que certains de ses fantasmes ne lâeffraie pas trop, il ne souhaitait pas que ces fantasmes lâeffraie. Il imprima alors ses 8 fantasmes sur une feuille et rĂ©alisa 8 boules de papiers.
Il descendit aussitĂŽt du bureau et appela Marie qui Ă©tait de se mettre en tenue de nuit.
Il présenta alors les papiers à Marie, à la fois impatient et inquiet de sa réaction, il scrutait le moindre de ses faits et gestes.
Marie piocha alors les 3 papiers et resta stoĂŻque.
Elle termina de lire et lui rend finalement un lĂ©ger sourire, presque coquin comme si les fantasmes pervers de Alexis lâamusait puis elle finit par dire:
« TrĂšs bien jâai ce quâil me faut »
Alexis trĂšs excitĂ© lui demanda alors : « Alors ce sont lesquels ? Tu nâes pas trop choquĂ©e ? Il y en a donc un qui te convient ? »
« Ahah je garde la surprise pour ton anniversaire, je mâoccuperai du matĂ©riel Ă acheter si besoin finalement câest plus drĂŽle comme ça. Par contre je serais curieuse de tous les connaĂźtre »
« Ahah non tu en connais dĂ©jĂ 3 permis les 8 câest dĂ©jĂ pas mal et pour Ă©viter que je triche ou que tu triches nous allons jeter tous les papiers Ă la poubelle et interdit dâaller fouiner !!! »
Il jeta tous les papiers Ă la poubelle, et avait dĂ©jĂ une Ă©rection Ă la simple pensĂ©e dâun de ses fantasmes rĂ©alisĂ©.
Marie remarqua son Ă©rection, ce soir lĂ ils ont alors fait lâamour « vanille ».
Quelques jours plus tard Ă©tait enfin arrivĂ© la date dâanniversaire de Alexis. Il lâattendait avec tellement dâimpatience que les jours prĂ©cĂ©dents lui ont paru une Ă©ternitĂ©.
Marie avait prĂ©parĂ© ce jour lĂ un apĂ©ritif dinatoire avec tout ce quâil faut, le repas Ă©tait animĂ©, il avait lĂ©gĂšrement bu tout les deux mais sans excĂšs.
Marie était habillée ce soir là avec un t-shirt blanc classique, un short noir en tissu et des collants noir épais. Elle ne portait pas de chaussures, elle les enlÚve trÚs souvent dans la maison. A la fin du repas aprÚs quelques discussions banales, Marie se leva et demanda à Alexis de patienter.
Il compris alors que câĂ©tait sa surprise, ses 8 fantasmes lui passait par la tĂȘte et il tenta de deviner lequel Ă©tait celui quâelle avait choisi.
Elle revient alors avec un masque loup et un sourire coquin:
« Met ce masque je veux que tu te concentres sur les sensations et que tu te laisses guidé par moi »
Alexis eu déjà une forte érection et mis le loup aprÚs avoir acquiescé.
Marie demanda alors:
« Maintenant lÚve toi et suis moi »
Elle pris la main de Alexis pour le guider jusquâĂ la chambre Ă coucher.
Une fois dans la chambre, Marie se positionna dans le dos de Alexis, elle enleva alors son Polo en prenant soin de ne pas enlever le loup par mégarde.
Puis elle commença Ă faire glisser ses mains sur son torse en le caressant et petit Ă petit elle descendit jusqueâĂ lâentrejambe, caressant le pĂ©nis dĂ©jĂ bien dur.
Alexis Ă©tait surexcitĂ© il se demandait comment il allait pouvoir tenir longtemps avec autant dâexcitation.
Marie enleva alors le bouton de son jean, puis la braguette. Elle pouvait caresser alors le pĂ©nis Ă travers le caleçon. Alexis nâavait toujours aucune idĂ©e du fantasme quâelle avait choisi mais peu importe le moment prĂ©sent Ă©tait trop puissant pour quâil puisse y rĂ©flĂ©chir. Elle jouait avec son pĂ©nis en le caressant parfois avec la paume parfois avec un doigt.
AprĂšs un certain temps, elle glissa sa main dans le caleçon, mais elle ne fit toujours pas de geste de masturbation, juste des caresses. Câest exquis, dâavoir toute cette excitation et ĂȘtre simplement touchĂ© caressĂ©, mais câest Ă©galement un supplice.
AprÚs quelques minutes à avoir jouer à caresser le sexe de Alexis, Marie enleva alors son jean ses chaussettes et et enfin caleçon et Alexis se retrouva alors nu comme un ver.
Elle le guida sur le lit et le fit allonger au milieu sur le dos, elle lui pris alors les bras et les positionna en Ă©toile en lui demandant de ne pas bouger. Elle enroula alors le poignet gauche avec un bracelet en cuir noir avec lâintĂ©rieur en velours rouge. Alexis senti la sensation de restreinte, il savait enfin lequel de ses fantasmes allait ĂȘtre rĂ©alisĂ© et lâexcitation monta encore un peu plus.
Le bracelet lui serait le poignet comme il faut, ni trop ni pas assez, il ne pouvait le défaire. Marie passa une corde dans une sangle et attacha la corde à un pied du lit.
Elle rĂ©pĂ©ta les mĂȘmes geste avec le poignet droit.
Alexis avait les bras bien tendu, ainsi il lui Ă©tait impossible de bouger de gauche Ă droite, il avait cependant toujours les jambes libres.
Marie se positionna Ă califourchon sur lui elle lâembrassa langoureusement, puis lorsquâelle sâarrĂȘta elle insĂ©ra de force un bĂąillon boule dans sa bouche. La boule en simili cuir dans la bouche excita encore plus Alexis.
Une fois la sangle du bĂąillon bien serrĂ©e, il ne pouvait extraire la boule que lĂ©gĂšrement et câĂ©tait douloureux il lâaccepta alors et arrĂȘta de se dĂ©battre, aprĂšs tout il adorait ça.
Soudain Marie se leva puis il lâentendit se rendre dans le dressing. Il compris quâelle se changeait elle avait peut-ĂȘtre finalement dĂ©cidĂ© de rĂ©aliser plusieurs de ses fantasmes espĂ©ra-t-il !
Lorsquâelle revint, ses pas Ă©taient accompagnĂ©s de bruit de talons. Alexis imagina des escarpins noir vernis mais le son Ă©tait trop lourd pour que ce soit des talons aiguilles.
Tout dâun coup Marie Ă©tait revenue Ă ses cĂŽtĂ©s par la droite, elle sâallongea Ă cĂŽtĂ© de lui, lui fit quelques baisers sur la joue puis lui lĂ©cha les lĂšvres supĂ©rieurs collĂ©es au bĂąillon.
La respiration de Alexis Ă©tait dâautant plus forte quâil Ă©tait obligĂ© de respirer par le nez Ă cause du bĂąillon. Elle posa sa jambe droite sur celle de Alexis, il ressenti alors la froideur du cuir, elle avait enfilĂ© un pantalon en cuir moulant. Elle commence Ă frotter sa jambe contre la jambe de Alexis en faisant des va et viens le long de sa cuisse.
Lors dâun va et vient Alexis senti une chaussure vernie toucher son pied. CâĂ©tait une bottine noire vernie avec un talon carrĂ© transparent de quelques centimĂštres.
Marie glissa alors Ă lâoreille de Alexis:
« Dâhabitude je tiens mes promesses mais lĂ jâĂ©tais beaucoup trop curieuse, jâai rĂ©cupĂ©rĂ© les papiers de tes fantasmes dans la poubelle »
Alexis qui ne pouvait rĂ©pondre avec le bĂąillon se contenta dâun « mmmhfff » qui signifiait rien du tout si ce nâest quâil Ă©tait encore plus excitĂ©.
Marie commença Ă caresser Alexis avec ses jambes de plus en plus proche de son pĂ©nis jusqueâĂ le toucher. Alexis qui Ă©tait au summum de son excitation sentait quâil nâallait pas faire long feu et pourtant il souhaiterait que ce moment dure une Ă©ternitĂ©.
Marie commença à frotter le pénis avec sa jambe de plus en plus fort, puis elle remonta encore sa jambe pour le caresser avec ses chaussures.
NâĂ©tant pas Ă lâaise sur le cĂŽtĂ©, elle modifia sa position de maniĂšre Ă se retrouver assise derriĂšre le visage de Alexis, la tĂȘte de celui-ci reposant sur son vagin couvert par son pantalon en cuir. Puis elle pris son pĂ©nis entre ses chaussures et commença des va-et-vient exquis.
Les va-et-vient Ă©tait ponctuĂ©s de coupures oĂč elle modifiait la prise du pĂ©nis, parfois elle passait Ă des simples caresses. Alors que Marie effectuait un va-et-vient, la bottine gauche statique positionnĂ©e en dessous le pĂ©nis et reposant sur le ventre avec le talon lĂ©gĂšrement rentrĂ© dans le ventre, la bottine droite sâoccupait quand Ă elle des va-et-vient avec la semelle, Alexis ne pouvait plus se retenir, il jouit alors comme il nâavait jamais jouit⊠malgrĂ© lui. Heureux dâatteindre cette jouissance, malheureux de ne pas avoir pu la contenir plus longtemps.
Le sperme coula sur les bottines de Marie et sur le ventre de Alexis.
Marie Îta alors le loup et le bùillon de la bouche de Alexis qui avait une quantité de salive énorme en bouche.
Alexis pouvait alors voir Ă nouveau, il avait les yeux Ă©carquiller.
Marie se déplaça précautionneusement sur le cÎté pour éviter de tùcher le lit avec plein de sperme. Il la vit alors nue en haut avec son pantalon de cuir et ses bottines noires avec le sperme coulant dessus.
Elle rapprocha alors les bottines de son visage et lui ordonna
« lÚche »
Alexis obéi sans brocher, il nettoya les bottines avec grand soin et avala son propre sperme.
Elle lui fĂźt alors:
« Je mâattendais pas Ă ce que ça se termine si tĂŽt !!! MĂȘme si câest ton anniversaire jâespĂ©rai un peu de plaisir pour moi. Ne crois pas que tu vas tâen tirer comme ça »
Elle nâen avait donc pas terminĂ© avec luiâŠ
3 years ago