Le temps supplémentaire
Le temps supplémentaire
Juillet 1969, j'ai 20 ans. Je suis à mon travail et depuis quelques jours je fais du temps supplémentaire. Il y avait du travail à faire avant les vacances. Nous somme le vendredi et c'est le dernier jour de travail et enfin les vacances.
Je termine vers 9:30, j'ai travaillé plus de 12 heures et j'ai hâte d'être chez moi. Je suis en face de l'usine et j'attends le bus. À cette heure les bus sont rares et surtout dans le quartier industriel. Ça fait 20 minutes que j'attends et je ne vois pas de bus au loin. Je mets mon pouce en évidence pour faire de l'auto-stop. Il passe quelques voitures et personne n'arrête.
Puis, une voiture arrête, c'est une grosse voiture, une Lincoln si ma mémoire est bonne. La vitre côté passager baisse, je me penche et je vois un type souriant qui me dit;
- Tu vas où?
- Euh! Au métro si c'est votre chemin?
- Embarque!
J'ouvre la lourde portière, je m'assois sur un siège de cuir confortable, il y a une douce musique avec un son riche. Le type a un costume pâle, un teint basané, les cheveux par-dessus les oreilles à la Tom Jones.
- Tu es perdu dans ce coin ci?
- Non! je viens de terminer de travailler... over time! (temps supplémentaire)
- Ah! Fait l'homme.
Un petit silence s'installe et il reprend en disant;
- Je ne veux pas t'insulter... je croyais que tu étais une fille... avec tes cheveux longs et tes jean's serrés!
En effet, j'avais les cheveux longs et même en bas de mes épaules. C'était la mode et j'étais un rocker.
- Oups! J'ai dû vous décevoir?
- Non... tu ne me déçois pas!
Je trouve sa remarque bizarre. Il ouvre la console et il met une cassette dans le radio et j'entends du Led Zeppelin.
- Tu aimes surement ça?
Je souris à l'homme qui doit avoir 35 ans, il est élégant et surement fortuné pour avoir une telle voiture luxueuse.
- Tu as surement une copine... ou plusieurs... un beau gars comme toi?
Je me dis; «étrange question! Ce n'est pas de ses affaires... et puis ce compliment! Était-il homosexuel?»
- Euh! Oui j'ai une copine... et vous?
Il affiche un sourire comme si je l'avais surpris.
- Non! J'ai été marié quelques années, mais ça n'a pas marché!
Me voilà fixé, le gars n'est pas homo et quelque part ça me déçoit. Je ne suis pas homosexuel mais bisexuel. Jeune, j'ai eu un tas d'aventures avec des garçons et des hommes, puis, j'ai découvert la femme, mais j'aime bien coucher avec un homme de temps en temps. L'an passé, à cause d'une grève des transports publics, un homme m'avait embraqué dans sa voiture et j'avais passé la nuit avec. Un silence s'installe et je suis la musique en tapant sur ma cuisse.
- J'aime bien ce genre de musique moi aussi... avec du bon hachich!
- Ouais... c'est vrai avec du bon hash... ou de la mescaline! Que je réponds.
- Tiens donc... j'ai tout ça chez moi... si tu as rien à faire ce soir... on pourrait triper?
- Euh! Ouais... mais je dois aller chez moi... besoin d'une douche... pis, je suis crevé!
- Dommage... tu pourrais te doucher chez moi... écouter de la musique avec ma nouvelle chaîne stéréo... fumer du Colombien et de la bonne mesca!
Je regarde le type, il me semble grand et svelte et bel homme. J'ai le cœur qui bat vite, je trouve ça bizarre qu'un homme invite un jeune homme étranger chez lui. Je me dis; « il doit être homo et il le cache!» À l'époque, l'homosexualité était défendue par la loi, aujourd'hui c'est plus facile, les homosexuels ne se cachent plus, et puis je me dis; «une bonne queue... c'est toujours bon!»
- Tu sais, ne te trompe pas sur mes intentions... je vis seul et je n'aime pas me retrouver dans un club pour passer une soirée... j'aime mieux inviter des amis à la maison... on peut faire ce qui nous tente... triper musique, rire, déconner quoi... tu connais ça non? Moi c'est Phil! Dit-il en me tendant la main!
- Lionel!
- Voilà... on se connaît maintenant! Alors tu en dis quoi?
J'hésite, je ne sais pas si le gars veut juste triper, ce qui était pas mal à la mode à cette époque, ou il voulait une aventure sexuelle. Ma fatigue a disparu avec cette montée d'adrénaline, et je surprends son regard qui reluque mes cuisses.
- D'accord, mais quelques heures... tu vas me conduire chez moi après ou tu payes le taxi!
- Good! Dit-il en souriant de toutes ses dents blanches.
Il change de direction et roule vers le nord, on est silencieux. Je ne sais pas si je suis attiré par lui ou par le bon hachich. À l'époque, j'aimais mieux le hachich que le pot. Le hachich me faisait bien triper et je me sentais bien avec le feeling, j'aimais aussi la mescaline, c'était moins fort que le LSD.
- Tu as faim? Demande-t-il.
- Non merci!
Je suis trop nerveux pour avoir faim.
- Au fait, tu as quel âge?
- Euh! 20 ans... pourquoi?
- Ah! Pour savoir... tu fais plus jeune... je te donnais 17, 18 ans!
- J'ai l'air d'une fille et d'un ado... décidément...
- Mais non! Mais non... moi j'ai 36 ans et ...
- Ah! Tu fais plus vieux! Que je dis à la blague.
On rit, ça détend l'atmosphère et on se met à parler de tout et de rien. Voilà qu'on arrive chez lui, c'est un gros duplex près de la Rivière des Prairies.
- C'est ici... j'occupe le bas et en haut il y a deux logis que je loue... c'était le duplex de mes parents... ils sont décédés malheureusement!
- Ah! Désolé...maladie? Accident? Je demandais cela car je le trouvais jeune pour perdre ses parents.
- Ils étaient vieux et malades... ils m'ont eu sur le tard!
Je ne dis plus rien et je monte des marches de ciment pour arriver à un palier. Il ouvre la porte et j'entre, c'est une grande maison, je vois des portes tout le long d'un passage. Je passe devant un vaste salon richement meublé, je compte 3 chambres à coucher et une grande salle de bain et au bout, une cuisine qui communique avec une salle à dîner.
- Wow! C'est immense ici... moi qui habite un petit 3 1/2 avec ma mère!
- On va descendre en bas!
Il ouvre une porte qui donne sur un escalier et je me retrouve en bas au sous-sol. C'est un grand salon avec bar, deux grands sofas de cuir noir, je marche sur un tapis épais pâle et tout au fond il y a un immense lit sur un podium et juste à côté une porte qui donne sur une salle de bain.
- Wow! C'est toute une salle de jeu ici! Que je fais stupéfait.
- Oui... quand j'ai hérité du duplex, j'ai tout rénové, il y avait une chambre ici, j'ai enlevé les murs pour faire ce grand lit!
Le lit devait faire 5 mètres par 5 mètres, il y avait des tas de coussins et d'oreillers.
- Quand on fait des partys, il y a de place pour tout le monde... attends!
Il allume des lumières qui sont des black lites et des lumières bleues et rouges. Au bar, il y a 3 tabourets, je m'assieds sur un, au mur, il y des bouteilles d'alcool de toute sorte.
- Tu veux un verre?
- Euh! Ok un rum and Coke?
- Dac!
Derrière le bar Phil s'active et il a enlevé son veston, je constate qu'il est un peu plus grand que moi, il a une bonne paire d'épaules et il a un ventre plat. Son visage est ovale avec un nez un peu relevé, il a de belles lèvres bien dessinées. J'avais raison de dire qu'il est bel homme. Il me sert mon verre et il me dit;
- Si tu veux prendre une douche...
- Quoi? Je sens?
- Non! Mais tu disais que tu voulais te doucher!
- Je n'ai pas de vêtement de rechange!
- Je peux tout mettre tes vêtements au lavage... en une heure tout sera propre et sec! Je vais te donner tout ce qu'il te faut pour la douche... et derrière la porte de salle de bain, il y a un peignoir!
Je vais à la salle de bain et il me montre les serviettes et savon. Il ferme la porte, et j'entre sous la douche. J'avais grandement besoin d'une douche, je me sentais sale et collant. Après la douche, j'amasse mes vêtements et je sors. Lui aussi, il est en peignoir et je vois des cheveux mouillés, il avait pris une douche lui aussi et je vois son torse sans poils. Il prend mes vêtements et il va en haut me laissant seul dans l'immense pièce. Il revient et je lui dis;
- Tu as pris une douche toi aussi?
- Euh oui! Je me lave souvent!
Je trouve cela de plus en plus bizarre, il prend une douche, me fait prendre une douche, m'invite, moi qui est un pur étranger, je me plais de croire qu'il est homo.
On cogne nos verres et il dit;
- À l'amitié!
- À l'amitié!
Je prends une gorgée et je lui demande;
- Tu habites seul ici?
- Oui... j'avoue que c'est grand... mais j'aime cette maison... ma sœur n'aime pas!
- Ah tu as une sœur?
- Oui... mais on ne se parle plus!
Sentant que je marche sur un terrain glissant, je lui demande de mon montrer son enceinte acoustique. Les haut-parleurs sont des monstres et il a y sur des tablettes une collection impressionnante de longs-jeux. Il met un disque d'une musique calme style lounge qui n'est pas mon style, mais la qualité du son est vraiment impressionnante. Il sort un petit paquet d'aluminium et il met devant moi un bon carré de haschich.
- Directement de la Colombie! Dit-il avec une petite pipe qu'il a en main.
Nous voilà en train de fumer.
- Mmm! Il est doux! Que je dis.
- Attends de voir l'effet!
Quelques minutes plus tard, je lui dis;
- Whâ! Il gèle!
Il me sourit et il m'invite à m'assoir sur le sofa et on fume encore quelques bouffées. Il met sur la petite table devant nous deux capsules.
- De la mesca? Que je demande.
- Oui Et de la bonne... je te le dis!
Je commence à sentir les effets euphoriques du haschich et je dis;
- Ouf! Je vais être gelé bien dur!
- C'est juste smooth et cool!
Je le regarde et je prends une capsule lui il prend l'autre. On cogne les capsules comme des verres et on les avale. On fume de nouveau et là, je ris pour rien et lui aussi. Il se lève et met un autre disque et c'est du Led Zeppelin, mon groupe préféré. Dans ma tête un peu mélangée je lui demande;
- Qu'est-ce que je fais ici?
- Tu es mon ami maintenant et on va triper!
J'appuie ma nuque sur le dossier du sofa et j'écoute la musique. J'ignore si j'ai dormi ou pas, mais je me sens bien, je plane. J'ouvre les yeux et il à côté de moi, lui aussi la tête appuyée sur le dossier du sofa. Il a les yeux fermés et je pars de nouveau dans ce paradis artificiel. Il avait raison, tout est smooth et cool. Je ne sais pas combien de temps que j'ai plané, mais je sens quelques choses sur ma cuisse. J'ouvre les yeux et il a sa main sur ma cuisse dénudée. Je me demande si je dois lui enlever la main ou pas? Je décide que je ne ferais rien et je m'aperçois que je bande. La mescaline me rend très à fleur de peau pour ne pas dire cochon.
Je repars à planer et je ne sais pas combien de temps encore que j'ai plané presque inconscient. Je sens une douceur humide sur le bout de ma queue qui me ramène à la réalité. J'ouvre les yeux, il est à genoux entre mes cuisses, mon peignoir est ouvert, il y une main qui caresse mon torse et il a ma queue dans sa bouche. Je regarde pour voir si je vois bien et il est en train de me faire une délicieuse fellation. Encore là, je l'enlève pour faire mon insulté? Ou je le laisse faire? J'ai décidé de le laisser faire. Je mets une main dans sa chevelure, j'ondule du bassin et je dis;
- C'est bon... mmmm... tu suces bien!
- Merci! Je n'ai pas pu résister, tu étais tellement bandé!
- Tu... tu es gai toi alors?
- Oui... ça te choque?
- Oui... pas vraiment... je m'en fous... continue à me sucer...mmmm... elle est bonne ta bouche et ta mescaline!
Je relève ma queue et me cale dans le sofa et je lui offre mes couilles qu'il engloutit dans sa bouche. Je fais «hannnn!» et il caresse mes cuisses en me suçant les couilles. Il se relève d'un coup et dit;
- J'ai soif! Tu veux fumer?
Son peignoir est ouvert et j'ai devant mes yeux un corps d'homme presque imberbe avec une seule ligne de poil du nombril et qui conduit à un pubis aux poils taillés et entre les pans du peignoir se tient fièrement un long pénis de 18 centimètres en érection, un membre épais et courbé vers le haut. Des veines gonflées serpentent sur le membre. Son gland fait surement 5 centimètres et bien déployé. Je me redresse, je prends le membre de chair et je dis;
- Wow! Tout un morceau ça! Que je dis en coulissant la douce peau.
Je mets une main entre ses cuisses et je tripote gentiment ses couilles. J'ouvre la bouche et j'avale le gros gland que je suce comme une prune.
- Mmmmm! Tu aimes ça!
- Eh oui... j'aime ça!
- Tu aimes ça depuis longtemps?
- Depuis toujours... et toi? Que je dis en léchant sa queue.
- Aussi... mmmm... tu as une langue de velours!
Je suce cette belle queue à grande bouche ouverte. Ce qui a de bien avec la mescaline, c'est un hallucinogène qui est aussi un relaxant, tout est beau et goûteux, et aussi on n'a pas envie d'éjaculer, du moins, c'est mon cas. Je soulève sa queue et je lèche et suce amoureusement ses couilles.
- Viens on va être mieux au lit! Dit-il en retirant son peignoir.
Il est nu devant moi, et je ne sais pas si c'est l'effet de la drogue, mais je le trouve très beau. Il va au bar et il me donne un verre d'alcool et je ne pourrais pas dire ce que c'était. Je vois ses fesses qui sont rebondies et rondes, imberbes aussi sauf dans la raie. Je prends le verre et je me dirige vers le lit et il me claque une fesse.
- Beau p'tit cul! Fait-il.
Je bois le verre d'un trait, je m'assois au bord du grand lit et il allume la pipe de hachich. Il est assis à côté de moi et au lieu de ma passer la pipe, il prend mon menton et il me souffle la fumée dans la bouche. Son nez touche à mon nez, du bout de la langue, il caresse ma lèvre inférieure, comme s'il voulait connaître ma réaction. Il met sa langue dans ma bouche que je m'empresse de sucer. Nos langues tournoient, le french kiss est langoureux.
Il me couche par le poids de son corps. Il est presque sur moi, il a une cuisse entre les miennes. Puis, il embarque sur moi, j'ouvre les cuisses, nous n'avons pas cessé de nous embrasser, comme si on avait peur de briser ce moment. Mes mains glissent sur son dos et je prends à pleines mains ses fesses dures. Habilement, avec des torsades du bassin, il frotte sa queue sur la mienne. Il déplace sa bouche et il me lèche et suce au creux du cou, ce qui me rend complètement dingue.
Il suce et mordille mes mamelons qui veulent éclater. Il bécote mon ventre et il prend ma queue en main, il bécote mon long prépuce et dit;
- Je n'ai jamais vu un prépuce aussi long! Dit-il en titillant mon bout de prépuce du bout de la langue.
- Tu sembles aimer ça en tout cas!
Il décalotte mon gland et il se le met dans la bouche. Il me suce la queue à grands coups de tête. L'effet de la drogue ou son habileté me font gémir de plaisir. Il a la tête entre mes cuisses relevées, et là, il lèche lentement l'intérieur de mes cuisses du genou aux plies de mes fesses. La baise entre hommes, c'est ça, pas de retenues, pas de tabou, que du plaisir charnel pur.
Il suce mes couilles, je caresse ma queue et je soulève le bassin. Sa langue va directement sur mon anus. Il pénètre mon anus de sa langue et il voit bien que je dilate facilement.
- Mmmm! Tu aimes le plaisir anal toi?
- Hannnn! Ouiii... tous les plaisirs!
Il arrête, me tire le bras et je me retrouve assis et je le regarde comme si je venais de me réveiller.
- Tu dis... tous les plaisirs?
- Mmmouais! Pourquoi?
- Je peux te mettre?
- Mouias! Si tu veux!
Il s'avance et il m'embrasse un peu. Je me défais de lui, car j'ai une question délicate à poser.
- Euh! Je dois... me... doucher... là!
- Mais oui... et moi aussi! Tu vas à la salle de bain en haut et moi en bas!
Je monte l'escalier et à la salle de bain il me remet une poire anale et il part. Depuis que je suis adolescent que je me douche le rectum avant une baise. Mais là, je suis stone et l'eau qui pénètre en moi me rend encore plus cochon. Ça devait faire un an qu'une queue ne m'avait pas pénétrée , certes, parfois je prenais des objets, comme une grosse bouteille de bière. Le goulot doux et froid ouvrait mon anus à me faire jouir, ou, je prenais un long concombre et je pouvais m'amuser avec, là aussi à me faire jouir plusieurs fois.
Je descends et Phil m'attend couché sur le flanc, il me regarde et dis;
- Tu es très beau et très désirable... c'est vrai que tu as une blonde? (Copine)
- Ouais... mon oncle me disait "ce n'est pas parce que tu suces une queue, que ça fait de toi une tapette!"
Phil rit à gorge déployée.
- Un oncle! C'est lui qui t'a débauché?
- Ouep! Un grand-oncle...
- Moi un entraîneur de base-ball... tu aimais ça avec... ton grand-oncle?
- Oui... et toi?
- Évidemment... j'ai toujours su que j'aimais les hommes!
- Mais tu t'es marié quand même?
- Non! Je t'ai menti... je n'ai jamais couché avec une fille!
Je ne dis rien et je constate, que comme moi, il est débandé. Je regarde ma montre et il est 2:00 du matin.
- Tu veux partir?
- Non... ma mère est chez son ami de cœur... personne ne m'attend!
- Tu peux dormir ici si tu veux!
- C'est ce que je vais faire!
- À la bonne heure! Tu veux encore de la mescaline, du speed, du hasch?
-Pourquoi pas un peu de tout... ça fait longtemps que je n'ai pas aussi bien triper... et triper cul! Mais le speed me fait débander par contre!
- Pas le mien... c'est du crystal... rien de comparable... ça va te réveiller!
Je me connaissais pas ce speed. On va au bar, il me verse un cognac je crois, et il fait une ligne sur le bar, on aurait dit des cristaux de verres. Il snif d'un coup une ligne et je snif l'autre. PAM! Ça me secoue le cerveau. Il a entre ses dents une capsule de mescaline, j'ouvre la bouche et il met la capsule dans ma bouche. Je prends l'autre capsule et je fais comme lui, je lui donne avec ma bouche qui s'ensuit un long baiser.
- Je suis très heureux que tu sois ici! Me dit-il.
- Moi aussi... je ne pensais pas que j'étais pour passer toute une nuit avec...
- Une tapette?
- Non avec un bel homme... ça fait longtemps!
- Qui sait? On va peut-être faire de toi une tapette?
- Qui sait?
J'aurais dit n'importe quoi pour continuer mon trip de cul. Je le french de nouveau et je prends sa queue qui grossit dans ma main. Je le tire par la queue pour le conduire au lit.
- Tu vas me raconter ton histoire! Demande-t-il.
- Pas là... plus tard... on va rependre où on en était!
Je me couche sur le dos et je relève les cuisses en les ouvrants au maximum. Il fond sur moi et il met sa tête entre mes cuisses. Je me retourne rapidement.
- Ôôôô! Le beau cul!
Sans attendre, son visage épouse la craque de mes fesses, il lape, lèche et suce mon anus.
- Tu es tout ouvert... petite salope... et je te dis ça avec amour!
Il aurait pu me traiter de putain, de salope, de chienne, de cochonne, ça ne me dérangeait pas, au contraire cela m'excitait. Il continue à me bouffer l'anus et il met sa queue couchée dans ma raie. Il se masturbe avec mes fesses, caresse mon anus avec son gland et il dit;
- C'est trop excitant, je vais jouir en te pénétrant!
- Si tu veux jouir en moi ça ne me dérange pas! Que je lui réponds.
- Je vais garder ça pour le dessert! Donc pas de capote?
- Non pas de capote... j'aime ça nature!
Il se couche sur le dos et dit;
- Un bon 69 ça te dit?
Je le regarde, il est tellement bandé que son gland touche son bas-ventre juste en dessous de son nombril. J'enfourche son visage, il prend mes fesses et engloutit ma queue dans sa bouche. Je prends sa queue qui est dure comme un bâton, j'avale son gland et je l'avale creux dans mon gosier. Très jeune, j'ai appris à sucer à gorge profonde n'ayant plus mes amygdales depuis ma tendre enfance, j'ai découvert que je pouvais avaler une queue au complet sans m'étouffer.
Je l'entends gémir et je sens que nos excitations montent. Je vais et viens rapidement dans sa bouche, sa queue coule du pré-sperme, il va jouir et moi aussi. Voilà qu'il éjacule et c'est abondant et onctueux, ce qui provoque mon éjaculation et il m'avale avec des bruits de dégustations. Son sperme coule dans mon estomac, j'avale chaque rasade goulument. J'adore le sperme, ce n'est pas que c'est bon au goût, c'est excitant de boire le liquide de la jouissance. J'aime mon sperme aussi que je n'hésite pas à le recueillir et à le lécher.
- Tu une véritable ventouse toi! Dit-il la tête entre mes cuisses.
Je ne dis rien et je continue à lécher gentiment son gland pour le sucer délicatement. Sa queue est aussi dure et aussi raide, et là, il me lèche l'anus. L'effet de la mescaline et des autres drogues amplifie les sensations et abaissent toutes barrières. J'ai la tête entre ses cuisses que je relève, il lève le bassin et avec ma langue, je me fraie un chemin dans son poil de raie. Nous voilà comme en boule et on se broute le cul carrément. Il me doigte et je le doigte aussi, je suis en extase devant son cul que je trouve merveilleusement pornographique et beau.
Je ne sais pas combien de temps qu'on a fait ça, mais c'est plutôt inconfortable. On se défait haletant couché tous les deux sur le dos.
- Wow! Tu es vraiment formidable... quelle chance que j'ai!
Je ne dis rien et je caresse son ventre. Le speed ça fait parler, et dans toute relation la communication s'est importante et complémentaire à l'excitation.
- Tu me fais penser à mon neveu... il est aussi cochon que toi! Me révèle-t-il.
- Ah? Tu couches avec ton neveu toi?
- Oui... c'est honteux... mais oui... c'est pour ça que ma sœur ne me parle plus!
- Elle vous à surpris?
- Tu as tout compris... il avait .. ans... alors tu imagines le scandale!
- Pas chanceux... moi on ne s'est jamais fait prendre!
- Avec ton grand-oncle?
- Ouais! Tu vois encore ton neveu?
- Oui... il vient souvent ici... il a 29 ans maintenant!
- Marié?
- Non... il est gai... c'est pour ça que ma sœur me déteste, elle croit que c'est à cause de moi!
Je change de position et je me couche presque sur lui avec une cuisse entre ses cuisses.
- On ne devient pas gai... ou bisexuel... ou hétéro... on est comme ça c'est tout! Que je dis.
- Ouais c'est comme ça... on est ce qu'on est!
- J'aime les femmes... mais quand je suis avec un homme... je suis homosexuel et j'aime ça!
- Oui c'est ce que je constate et c'est gentil ce que tu me dis!
- Il en demeure pas moins que tu es un fife! (pédophile) Que je dis en riant.
Je lui bécote un mamelon que le lèche et suçote.
- Tu m'aurais aimé à .. ans moi aussi!
- Ouais! Tu devais être aguichant?
Je prends sa queue en main qui avait perdu un peu de volume, mais en la caressant elle se gonfle. J'étire mon cou et je rejoins sa bouche que j'embrasse et je lui raconte que j'ai déjà fait de la prostitution dans ma jeunesse. Il me regarde incrédule et dit;
- Vraiment? C'était une question de survie?
- Oui et non... plus pour le plaisir! Que je dis en suçant son gland.
- Une petite guidoune (putain) toi?
- Ouais et j'étais occupé!
- Je n'en doute pas... hé ben!
- J'avais une spécialité... tu veux voir?
- Mais oui!
Je lui demande du lubrifiant et j'enduis sa queue de lubrifiant et je me graisse la raie en me doigtant le rectum devant lui. Mes gestes sont lents, je suis stone littéralement. J'embarque à cheval sur lui, en tenant sa queue, je place son gland sur mon anus. Lentement sa queue entre en moi, c'est bon et je me lamente. Puis, il est au fond de moi et je le regarde en souriant, je roule des hanches et du bassin lentement. Il fait «haaaa!»
- Mais tu as toute ma queue en toi?
Je continue ma roulade du bas du corps et ses mains caressent mon corps et il me pince gentiment les mamelons. Je me redresse lentement et sa queue sort de moi. Toujours avec des gestes lents, je me retourne, j'enfourche son visage pour être en 69. Avant même qu'il me suce, j'ai sa queue au fond de ma bouche. Je le suce un peu et je m'avance et je mets mes fesses près de sa queue. Il comprend et il tient sa queue à sa base et il voit mes fesses qui s'emparent de sa queue.
J'ai les mains sur ses tibias et pas des ondulations du bassin, je fornique sa queue. Il me tient par les fesses et m'encourage à me défoncer sur son pieu de chair. Sa queue en moi me transporte dans le monde de la volupté. Je me défais de lui et je prends de nouveau sa queue en bouche que je lèche et suce amoureusement. Il se redresse et il prend ma nuque et il me colle un long baiser. Il fait;
-Wow!
Je m'avance et je m'encule moi-même. Il me regarde onduler et je ferme les yeux. Je monte et descend sur son manche de chair, j'ondule de plus en plus vite, sa queue dans mes entrailles me rend fou. Ma queue va fendre tellement que je suis bandé, il me tient par les côtés de fesses. Je me tortille tellement sur sa queue que je veux l'arracher. Puis, comme ça m'arrive souvent, je jouis de la prostate et j'éjacule d'un puissant orgasme sans me toucher la queue.
J'ai la bouche ouverte, la tête renversée et je crie ma jouissance. l'excitation est à son comble pour lui aussi et il éjacule dans ma chair. C'est quelques secondes sont mémorables, je sens sa chaleur en moi et ça me rend hystérique que je tombe sur lui pour finir de jouir. La tempête de jouissance se calme. Je me redresse et il semble revenir à lui. Je me lève de lui et sa queue sort lentement de mon rectum, les fluides tombent sur son bas-ventre et son sexe.
Je place à genoux à côté de lui et je lèche sa queue mouillée de mes effluves, je suce son gland qui a perdu du volume, je lèche le corps de sa queue jusqu'aux couilles qui sont molles. Je suce le sperme qui a dans son poil, il ne dit rien, il me caresse une fesse comme pour m'encourager à continuer. J'ai la bouche chargée de sperme et de jus, j'avance mon visage vers le sien, et il ouvre la bouche, je laisse tomber le jus et ma salive, je colle mes lèvres aux siennes. Ce n'était pas la première fois qu'il faisait cela.
- Ouf! Tu es... surprenant... je suis vidé! Dit-il
Je me couche sur le flanc avec une cuisse entre ses cuisses, la drogue se dissipe et là il me parle de lui et ça fait bla... bla... dans mes oreilles et je tombe endormi le visage sur sa poitrine. L'odeur du café me réveille, il est assis sur le lit et il me fait humer le café sous mon nez. Je me réveille avec du sable dans les yeux.
- Bien dormi? Me demande-t-il.
- Euh ouais! Il est quelle heure?
- Près de midi!
- Quoi? Midi!
- Oui... je t'ai laissé dormir... je me suis douché et j'ai même préparé un petit déjeuner!
Il me met un plateau sur mes cuisses, il y a des toasts avec confiture. Je pose le plateau et je me lève pour aller aux toilettes, je me lève et je ne cache pas mon érection matinale. Il me regarde amusé, je remarque qu'il porte qu'un boxer. En revenant, il me fait signe d'approcher de lui, ma queue est pendante mais un peu gonflée. Il me prend par les côtés de fesses , je suis debout en face de lui qui est assit sur le lit, et là, il bécote et lèche mon bas-ventre.
- Tu ne veux pas que je me douche là? Je me sens sale et collant!
- Mmmm non! Tu sens et tu goûtes le sexe! fait-il en humant ma queue.
- Arrête! Tu vas me faire bander... voilà! Je suis bandé!
Il lèche ma queue et mes couilles en caressant mes cuisses. Il avale ma queue en faisant un long «mmmmmmm!» Il me suce et j'ai le gland sensible mais c'est bon.
- Arrête tu vas me faire jouir!
Il n'arrête pas de me sucer, j'ondule du bassin, c'est clair qu'il veut mon sperme. Je fais «hannnnnnn!» Et je jouis dans sa bouche, il m'avale avec des «mmmmm! Slurppp! Que c'est bon!» Il laisse ma queue en bécotant mes couilles. Je ne veux pas le laisser sans jouir, je me place à quatre pattes comme une chienne en chaleur. Il retire son boxer et il est en parfaite érection, il embarque à genoux dans le lit et dit;
- Comme tu es généreux! Dit-il en embrassant mes fesses.
Il lèche ma raie d'un long coup de langue.
- Mmmm tu goûtes le bon cul! Fait-il en me léchant l'anus.
Il me met du lubrifiant en me doigtant gentiment le trou qui est sensible. Puis, il appuie son gland sur ma fente anale, avec ma main, je tiens une de mes joues de fesse écartée, et c'est moi qui recule sur son gland et je le fais pénétrer en moi. Je sens son bas-ventre sur mes fesses, il est totalement en moi. C'est moi va et vient lentement sur le cylindre de chair, il a ses mains sur mes fesses et il dit;
- Tu as vraiment un beau cul!
- Han! Han! Merci... le tien est beau aussi!
Il ne dit rien et il commence à me forniquer plus fort, son bas-ventre claque sur mes fesses. Ma queue molle va par en avant et par en arrière et elle coule éclaboussant mon ventre et mes cuisses.
- Han! Han! Ouiiiiii! C'est bon... tu fourres bien mon salaud! Que je dis.
- Belle petite guidoune (pute) Je vais venir dans ton petit cul de cochonne!
- Han! Han! Non dans ma bouche... viens dans ma bouche!
Il me donne de violents coups et il crie;« MAINTENANT!» Je me retourne promptement et j'embouche sa queue gluante, il fait; « HAAAAA!» Je reçois un jet de sperme sur mon palais et une série d'autres petits jets qui emplissent ma bouche de sperme chaud. Il prend mon menton et dit;
- Montre voir!
J'ouvre la bouche et je lui montre tout le sperme que j'ai dans la bouche, je ferme la bouche, je pince mes lèvres et j'avale, j'ouvre la bouche et je tire la langue. Il sourit et je continue à lécher son gland.
- Tu devais avoir du succès toi jeune?
Je ne dis rien et je continue à sucer son gland qui se dégonfle. Puis, il vient me donner un french kiss que j'apprécie car il me suce la langue comme pour se goûter. Je prends mon café et les toasts. Et là, il me dit;
Dans 2 semaines, ça va être le dernier samedi du mois... et à chaque dernier samedi du mois... j'ai des amis qui viennent ici... et mon neveu que je t'ai parlé... c'est pour ça le grand lit... parfois on est 5 ou 6... des gars de mon âge... sauf mon neveu. Si tu aimes les trips de cul... tu seras servie... mais là... je ne sais pas combien de mes amis sont en ville... mais mon neveu sera ici c'est certain... je t'invite!
Je suis perplexe, une orgie de gars, ça me fait peur mais à la fois ça m'excite.
- Je... je vais y penser... je ne te promets rien... ma blonde (copine) va vouloir sortir et baiser...
- Tu peux l'amener ici ha! HA! HA! Non je blague!
Je suis dans sa voiture et il me donne un papier, il y a son adresse et son numéro de téléphone.
- Tu appelles quand tu veux... j'ai passé une très... non... une extraordinaire soirée et nuit! Merci beaucoup!
- C'est moi qui te remercie... et pour moi aussi ça été une très belle soirée... et une belle nuit!
Je suis devant chez moi, je le salue de la main et je regarde sa grosse voiture s'éloigner. Vais-je accepter de le revoir?
Juillet 1969, j'ai 20 ans. Je suis à mon travail et depuis quelques jours je fais du temps supplémentaire. Il y avait du travail à faire avant les vacances. Nous somme le vendredi et c'est le dernier jour de travail et enfin les vacances.
Je termine vers 9:30, j'ai travaillé plus de 12 heures et j'ai hâte d'être chez moi. Je suis en face de l'usine et j'attends le bus. À cette heure les bus sont rares et surtout dans le quartier industriel. Ça fait 20 minutes que j'attends et je ne vois pas de bus au loin. Je mets mon pouce en évidence pour faire de l'auto-stop. Il passe quelques voitures et personne n'arrête.
Puis, une voiture arrête, c'est une grosse voiture, une Lincoln si ma mémoire est bonne. La vitre côté passager baisse, je me penche et je vois un type souriant qui me dit;
- Tu vas où?
- Euh! Au métro si c'est votre chemin?
- Embarque!
J'ouvre la lourde portière, je m'assois sur un siège de cuir confortable, il y a une douce musique avec un son riche. Le type a un costume pâle, un teint basané, les cheveux par-dessus les oreilles à la Tom Jones.
- Tu es perdu dans ce coin ci?
- Non! je viens de terminer de travailler... over time! (temps supplémentaire)
- Ah! Fait l'homme.
Un petit silence s'installe et il reprend en disant;
- Je ne veux pas t'insulter... je croyais que tu étais une fille... avec tes cheveux longs et tes jean's serrés!
En effet, j'avais les cheveux longs et même en bas de mes épaules. C'était la mode et j'étais un rocker.
- Oups! J'ai dû vous décevoir?
- Non... tu ne me déçois pas!
Je trouve sa remarque bizarre. Il ouvre la console et il met une cassette dans le radio et j'entends du Led Zeppelin.
- Tu aimes surement ça?
Je souris à l'homme qui doit avoir 35 ans, il est élégant et surement fortuné pour avoir une telle voiture luxueuse.
- Tu as surement une copine... ou plusieurs... un beau gars comme toi?
Je me dis; «étrange question! Ce n'est pas de ses affaires... et puis ce compliment! Était-il homosexuel?»
- Euh! Oui j'ai une copine... et vous?
Il affiche un sourire comme si je l'avais surpris.
- Non! J'ai été marié quelques années, mais ça n'a pas marché!
Me voilà fixé, le gars n'est pas homo et quelque part ça me déçoit. Je ne suis pas homosexuel mais bisexuel. Jeune, j'ai eu un tas d'aventures avec des garçons et des hommes, puis, j'ai découvert la femme, mais j'aime bien coucher avec un homme de temps en temps. L'an passé, à cause d'une grève des transports publics, un homme m'avait embraqué dans sa voiture et j'avais passé la nuit avec. Un silence s'installe et je suis la musique en tapant sur ma cuisse.
- J'aime bien ce genre de musique moi aussi... avec du bon hachich!
- Ouais... c'est vrai avec du bon hash... ou de la mescaline! Que je réponds.
- Tiens donc... j'ai tout ça chez moi... si tu as rien à faire ce soir... on pourrait triper?
- Euh! Ouais... mais je dois aller chez moi... besoin d'une douche... pis, je suis crevé!
- Dommage... tu pourrais te doucher chez moi... écouter de la musique avec ma nouvelle chaîne stéréo... fumer du Colombien et de la bonne mesca!
Je regarde le type, il me semble grand et svelte et bel homme. J'ai le cœur qui bat vite, je trouve ça bizarre qu'un homme invite un jeune homme étranger chez lui. Je me dis; « il doit être homo et il le cache!» À l'époque, l'homosexualité était défendue par la loi, aujourd'hui c'est plus facile, les homosexuels ne se cachent plus, et puis je me dis; «une bonne queue... c'est toujours bon!»
- Tu sais, ne te trompe pas sur mes intentions... je vis seul et je n'aime pas me retrouver dans un club pour passer une soirée... j'aime mieux inviter des amis à la maison... on peut faire ce qui nous tente... triper musique, rire, déconner quoi... tu connais ça non? Moi c'est Phil! Dit-il en me tendant la main!
- Lionel!
- Voilà... on se connaît maintenant! Alors tu en dis quoi?
J'hésite, je ne sais pas si le gars veut juste triper, ce qui était pas mal à la mode à cette époque, ou il voulait une aventure sexuelle. Ma fatigue a disparu avec cette montée d'adrénaline, et je surprends son regard qui reluque mes cuisses.
- D'accord, mais quelques heures... tu vas me conduire chez moi après ou tu payes le taxi!
- Good! Dit-il en souriant de toutes ses dents blanches.
Il change de direction et roule vers le nord, on est silencieux. Je ne sais pas si je suis attiré par lui ou par le bon hachich. À l'époque, j'aimais mieux le hachich que le pot. Le hachich me faisait bien triper et je me sentais bien avec le feeling, j'aimais aussi la mescaline, c'était moins fort que le LSD.
- Tu as faim? Demande-t-il.
- Non merci!
Je suis trop nerveux pour avoir faim.
- Au fait, tu as quel âge?
- Euh! 20 ans... pourquoi?
- Ah! Pour savoir... tu fais plus jeune... je te donnais 17, 18 ans!
- J'ai l'air d'une fille et d'un ado... décidément...
- Mais non! Mais non... moi j'ai 36 ans et ...
- Ah! Tu fais plus vieux! Que je dis à la blague.
On rit, ça détend l'atmosphère et on se met à parler de tout et de rien. Voilà qu'on arrive chez lui, c'est un gros duplex près de la Rivière des Prairies.
- C'est ici... j'occupe le bas et en haut il y a deux logis que je loue... c'était le duplex de mes parents... ils sont décédés malheureusement!
- Ah! Désolé...maladie? Accident? Je demandais cela car je le trouvais jeune pour perdre ses parents.
- Ils étaient vieux et malades... ils m'ont eu sur le tard!
Je ne dis plus rien et je monte des marches de ciment pour arriver à un palier. Il ouvre la porte et j'entre, c'est une grande maison, je vois des portes tout le long d'un passage. Je passe devant un vaste salon richement meublé, je compte 3 chambres à coucher et une grande salle de bain et au bout, une cuisine qui communique avec une salle à dîner.
- Wow! C'est immense ici... moi qui habite un petit 3 1/2 avec ma mère!
- On va descendre en bas!
Il ouvre une porte qui donne sur un escalier et je me retrouve en bas au sous-sol. C'est un grand salon avec bar, deux grands sofas de cuir noir, je marche sur un tapis épais pâle et tout au fond il y a un immense lit sur un podium et juste à côté une porte qui donne sur une salle de bain.
- Wow! C'est toute une salle de jeu ici! Que je fais stupéfait.
- Oui... quand j'ai hérité du duplex, j'ai tout rénové, il y avait une chambre ici, j'ai enlevé les murs pour faire ce grand lit!
Le lit devait faire 5 mètres par 5 mètres, il y avait des tas de coussins et d'oreillers.
- Quand on fait des partys, il y a de place pour tout le monde... attends!
Il allume des lumières qui sont des black lites et des lumières bleues et rouges. Au bar, il y a 3 tabourets, je m'assieds sur un, au mur, il y des bouteilles d'alcool de toute sorte.
- Tu veux un verre?
- Euh! Ok un rum and Coke?
- Dac!
Derrière le bar Phil s'active et il a enlevé son veston, je constate qu'il est un peu plus grand que moi, il a une bonne paire d'épaules et il a un ventre plat. Son visage est ovale avec un nez un peu relevé, il a de belles lèvres bien dessinées. J'avais raison de dire qu'il est bel homme. Il me sert mon verre et il me dit;
- Si tu veux prendre une douche...
- Quoi? Je sens?
- Non! Mais tu disais que tu voulais te doucher!
- Je n'ai pas de vêtement de rechange!
- Je peux tout mettre tes vêtements au lavage... en une heure tout sera propre et sec! Je vais te donner tout ce qu'il te faut pour la douche... et derrière la porte de salle de bain, il y a un peignoir!
Je vais à la salle de bain et il me montre les serviettes et savon. Il ferme la porte, et j'entre sous la douche. J'avais grandement besoin d'une douche, je me sentais sale et collant. Après la douche, j'amasse mes vêtements et je sors. Lui aussi, il est en peignoir et je vois des cheveux mouillés, il avait pris une douche lui aussi et je vois son torse sans poils. Il prend mes vêtements et il va en haut me laissant seul dans l'immense pièce. Il revient et je lui dis;
- Tu as pris une douche toi aussi?
- Euh oui! Je me lave souvent!
Je trouve cela de plus en plus bizarre, il prend une douche, me fait prendre une douche, m'invite, moi qui est un pur étranger, je me plais de croire qu'il est homo.
On cogne nos verres et il dit;
- À l'amitié!
- À l'amitié!
Je prends une gorgée et je lui demande;
- Tu habites seul ici?
- Oui... j'avoue que c'est grand... mais j'aime cette maison... ma sœur n'aime pas!
- Ah tu as une sœur?
- Oui... mais on ne se parle plus!
Sentant que je marche sur un terrain glissant, je lui demande de mon montrer son enceinte acoustique. Les haut-parleurs sont des monstres et il a y sur des tablettes une collection impressionnante de longs-jeux. Il met un disque d'une musique calme style lounge qui n'est pas mon style, mais la qualité du son est vraiment impressionnante. Il sort un petit paquet d'aluminium et il met devant moi un bon carré de haschich.
- Directement de la Colombie! Dit-il avec une petite pipe qu'il a en main.
Nous voilà en train de fumer.
- Mmm! Il est doux! Que je dis.
- Attends de voir l'effet!
Quelques minutes plus tard, je lui dis;
- Whâ! Il gèle!
Il me sourit et il m'invite à m'assoir sur le sofa et on fume encore quelques bouffées. Il met sur la petite table devant nous deux capsules.
- De la mesca? Que je demande.
- Oui Et de la bonne... je te le dis!
Je commence à sentir les effets euphoriques du haschich et je dis;
- Ouf! Je vais être gelé bien dur!
- C'est juste smooth et cool!
Je le regarde et je prends une capsule lui il prend l'autre. On cogne les capsules comme des verres et on les avale. On fume de nouveau et là, je ris pour rien et lui aussi. Il se lève et met un autre disque et c'est du Led Zeppelin, mon groupe préféré. Dans ma tête un peu mélangée je lui demande;
- Qu'est-ce que je fais ici?
- Tu es mon ami maintenant et on va triper!
J'appuie ma nuque sur le dossier du sofa et j'écoute la musique. J'ignore si j'ai dormi ou pas, mais je me sens bien, je plane. J'ouvre les yeux et il à côté de moi, lui aussi la tête appuyée sur le dossier du sofa. Il a les yeux fermés et je pars de nouveau dans ce paradis artificiel. Il avait raison, tout est smooth et cool. Je ne sais pas combien de temps que j'ai plané, mais je sens quelques choses sur ma cuisse. J'ouvre les yeux et il a sa main sur ma cuisse dénudée. Je me demande si je dois lui enlever la main ou pas? Je décide que je ne ferais rien et je m'aperçois que je bande. La mescaline me rend très à fleur de peau pour ne pas dire cochon.
Je repars à planer et je ne sais pas combien de temps encore que j'ai plané presque inconscient. Je sens une douceur humide sur le bout de ma queue qui me ramène à la réalité. J'ouvre les yeux, il est à genoux entre mes cuisses, mon peignoir est ouvert, il y une main qui caresse mon torse et il a ma queue dans sa bouche. Je regarde pour voir si je vois bien et il est en train de me faire une délicieuse fellation. Encore là, je l'enlève pour faire mon insulté? Ou je le laisse faire? J'ai décidé de le laisser faire. Je mets une main dans sa chevelure, j'ondule du bassin et je dis;
- C'est bon... mmmm... tu suces bien!
- Merci! Je n'ai pas pu résister, tu étais tellement bandé!
- Tu... tu es gai toi alors?
- Oui... ça te choque?
- Oui... pas vraiment... je m'en fous... continue à me sucer...mmmm... elle est bonne ta bouche et ta mescaline!
Je relève ma queue et me cale dans le sofa et je lui offre mes couilles qu'il engloutit dans sa bouche. Je fais «hannnn!» et il caresse mes cuisses en me suçant les couilles. Il se relève d'un coup et dit;
- J'ai soif! Tu veux fumer?
Son peignoir est ouvert et j'ai devant mes yeux un corps d'homme presque imberbe avec une seule ligne de poil du nombril et qui conduit à un pubis aux poils taillés et entre les pans du peignoir se tient fièrement un long pénis de 18 centimètres en érection, un membre épais et courbé vers le haut. Des veines gonflées serpentent sur le membre. Son gland fait surement 5 centimètres et bien déployé. Je me redresse, je prends le membre de chair et je dis;
- Wow! Tout un morceau ça! Que je dis en coulissant la douce peau.
Je mets une main entre ses cuisses et je tripote gentiment ses couilles. J'ouvre la bouche et j'avale le gros gland que je suce comme une prune.
- Mmmmm! Tu aimes ça!
- Eh oui... j'aime ça!
- Tu aimes ça depuis longtemps?
- Depuis toujours... et toi? Que je dis en léchant sa queue.
- Aussi... mmmm... tu as une langue de velours!
Je suce cette belle queue à grande bouche ouverte. Ce qui a de bien avec la mescaline, c'est un hallucinogène qui est aussi un relaxant, tout est beau et goûteux, et aussi on n'a pas envie d'éjaculer, du moins, c'est mon cas. Je soulève sa queue et je lèche et suce amoureusement ses couilles.
- Viens on va être mieux au lit! Dit-il en retirant son peignoir.
Il est nu devant moi, et je ne sais pas si c'est l'effet de la drogue, mais je le trouve très beau. Il va au bar et il me donne un verre d'alcool et je ne pourrais pas dire ce que c'était. Je vois ses fesses qui sont rebondies et rondes, imberbes aussi sauf dans la raie. Je prends le verre et je me dirige vers le lit et il me claque une fesse.
- Beau p'tit cul! Fait-il.
Je bois le verre d'un trait, je m'assois au bord du grand lit et il allume la pipe de hachich. Il est assis à côté de moi et au lieu de ma passer la pipe, il prend mon menton et il me souffle la fumée dans la bouche. Son nez touche à mon nez, du bout de la langue, il caresse ma lèvre inférieure, comme s'il voulait connaître ma réaction. Il met sa langue dans ma bouche que je m'empresse de sucer. Nos langues tournoient, le french kiss est langoureux.
Il me couche par le poids de son corps. Il est presque sur moi, il a une cuisse entre les miennes. Puis, il embarque sur moi, j'ouvre les cuisses, nous n'avons pas cessé de nous embrasser, comme si on avait peur de briser ce moment. Mes mains glissent sur son dos et je prends à pleines mains ses fesses dures. Habilement, avec des torsades du bassin, il frotte sa queue sur la mienne. Il déplace sa bouche et il me lèche et suce au creux du cou, ce qui me rend complètement dingue.
Il suce et mordille mes mamelons qui veulent éclater. Il bécote mon ventre et il prend ma queue en main, il bécote mon long prépuce et dit;
- Je n'ai jamais vu un prépuce aussi long! Dit-il en titillant mon bout de prépuce du bout de la langue.
- Tu sembles aimer ça en tout cas!
Il décalotte mon gland et il se le met dans la bouche. Il me suce la queue à grands coups de tête. L'effet de la drogue ou son habileté me font gémir de plaisir. Il a la tête entre mes cuisses relevées, et là, il lèche lentement l'intérieur de mes cuisses du genou aux plies de mes fesses. La baise entre hommes, c'est ça, pas de retenues, pas de tabou, que du plaisir charnel pur.
Il suce mes couilles, je caresse ma queue et je soulève le bassin. Sa langue va directement sur mon anus. Il pénètre mon anus de sa langue et il voit bien que je dilate facilement.
- Mmmm! Tu aimes le plaisir anal toi?
- Hannnn! Ouiii... tous les plaisirs!
Il arrête, me tire le bras et je me retrouve assis et je le regarde comme si je venais de me réveiller.
- Tu dis... tous les plaisirs?
- Mmmouais! Pourquoi?
- Je peux te mettre?
- Mouias! Si tu veux!
Il s'avance et il m'embrasse un peu. Je me défais de lui, car j'ai une question délicate à poser.
- Euh! Je dois... me... doucher... là!
- Mais oui... et moi aussi! Tu vas à la salle de bain en haut et moi en bas!
Je monte l'escalier et à la salle de bain il me remet une poire anale et il part. Depuis que je suis adolescent que je me douche le rectum avant une baise. Mais là, je suis stone et l'eau qui pénètre en moi me rend encore plus cochon. Ça devait faire un an qu'une queue ne m'avait pas pénétrée , certes, parfois je prenais des objets, comme une grosse bouteille de bière. Le goulot doux et froid ouvrait mon anus à me faire jouir, ou, je prenais un long concombre et je pouvais m'amuser avec, là aussi à me faire jouir plusieurs fois.
Je descends et Phil m'attend couché sur le flanc, il me regarde et dis;
- Tu es très beau et très désirable... c'est vrai que tu as une blonde? (Copine)
- Ouais... mon oncle me disait "ce n'est pas parce que tu suces une queue, que ça fait de toi une tapette!"
Phil rit à gorge déployée.
- Un oncle! C'est lui qui t'a débauché?
- Ouep! Un grand-oncle...
- Moi un entraîneur de base-ball... tu aimais ça avec... ton grand-oncle?
- Oui... et toi?
- Évidemment... j'ai toujours su que j'aimais les hommes!
- Mais tu t'es marié quand même?
- Non! Je t'ai menti... je n'ai jamais couché avec une fille!
Je ne dis rien et je constate, que comme moi, il est débandé. Je regarde ma montre et il est 2:00 du matin.
- Tu veux partir?
- Non... ma mère est chez son ami de cœur... personne ne m'attend!
- Tu peux dormir ici si tu veux!
- C'est ce que je vais faire!
- À la bonne heure! Tu veux encore de la mescaline, du speed, du hasch?
-Pourquoi pas un peu de tout... ça fait longtemps que je n'ai pas aussi bien triper... et triper cul! Mais le speed me fait débander par contre!
- Pas le mien... c'est du crystal... rien de comparable... ça va te réveiller!
Je me connaissais pas ce speed. On va au bar, il me verse un cognac je crois, et il fait une ligne sur le bar, on aurait dit des cristaux de verres. Il snif d'un coup une ligne et je snif l'autre. PAM! Ça me secoue le cerveau. Il a entre ses dents une capsule de mescaline, j'ouvre la bouche et il met la capsule dans ma bouche. Je prends l'autre capsule et je fais comme lui, je lui donne avec ma bouche qui s'ensuit un long baiser.
- Je suis très heureux que tu sois ici! Me dit-il.
- Moi aussi... je ne pensais pas que j'étais pour passer toute une nuit avec...
- Une tapette?
- Non avec un bel homme... ça fait longtemps!
- Qui sait? On va peut-être faire de toi une tapette?
- Qui sait?
J'aurais dit n'importe quoi pour continuer mon trip de cul. Je le french de nouveau et je prends sa queue qui grossit dans ma main. Je le tire par la queue pour le conduire au lit.
- Tu vas me raconter ton histoire! Demande-t-il.
- Pas là... plus tard... on va rependre où on en était!
Je me couche sur le dos et je relève les cuisses en les ouvrants au maximum. Il fond sur moi et il met sa tête entre mes cuisses. Je me retourne rapidement.
- Ôôôô! Le beau cul!
Sans attendre, son visage épouse la craque de mes fesses, il lape, lèche et suce mon anus.
- Tu es tout ouvert... petite salope... et je te dis ça avec amour!
Il aurait pu me traiter de putain, de salope, de chienne, de cochonne, ça ne me dérangeait pas, au contraire cela m'excitait. Il continue à me bouffer l'anus et il met sa queue couchée dans ma raie. Il se masturbe avec mes fesses, caresse mon anus avec son gland et il dit;
- C'est trop excitant, je vais jouir en te pénétrant!
- Si tu veux jouir en moi ça ne me dérange pas! Que je lui réponds.
- Je vais garder ça pour le dessert! Donc pas de capote?
- Non pas de capote... j'aime ça nature!
Il se couche sur le dos et dit;
- Un bon 69 ça te dit?
Je le regarde, il est tellement bandé que son gland touche son bas-ventre juste en dessous de son nombril. J'enfourche son visage, il prend mes fesses et engloutit ma queue dans sa bouche. Je prends sa queue qui est dure comme un bâton, j'avale son gland et je l'avale creux dans mon gosier. Très jeune, j'ai appris à sucer à gorge profonde n'ayant plus mes amygdales depuis ma tendre enfance, j'ai découvert que je pouvais avaler une queue au complet sans m'étouffer.
Je l'entends gémir et je sens que nos excitations montent. Je vais et viens rapidement dans sa bouche, sa queue coule du pré-sperme, il va jouir et moi aussi. Voilà qu'il éjacule et c'est abondant et onctueux, ce qui provoque mon éjaculation et il m'avale avec des bruits de dégustations. Son sperme coule dans mon estomac, j'avale chaque rasade goulument. J'adore le sperme, ce n'est pas que c'est bon au goût, c'est excitant de boire le liquide de la jouissance. J'aime mon sperme aussi que je n'hésite pas à le recueillir et à le lécher.
- Tu une véritable ventouse toi! Dit-il la tête entre mes cuisses.
Je ne dis rien et je continue à lécher gentiment son gland pour le sucer délicatement. Sa queue est aussi dure et aussi raide, et là, il me lèche l'anus. L'effet de la mescaline et des autres drogues amplifie les sensations et abaissent toutes barrières. J'ai la tête entre ses cuisses que je relève, il lève le bassin et avec ma langue, je me fraie un chemin dans son poil de raie. Nous voilà comme en boule et on se broute le cul carrément. Il me doigte et je le doigte aussi, je suis en extase devant son cul que je trouve merveilleusement pornographique et beau.
Je ne sais pas combien de temps qu'on a fait ça, mais c'est plutôt inconfortable. On se défait haletant couché tous les deux sur le dos.
- Wow! Tu es vraiment formidable... quelle chance que j'ai!
Je ne dis rien et je caresse son ventre. Le speed ça fait parler, et dans toute relation la communication s'est importante et complémentaire à l'excitation.
- Tu me fais penser à mon neveu... il est aussi cochon que toi! Me révèle-t-il.
- Ah? Tu couches avec ton neveu toi?
- Oui... c'est honteux... mais oui... c'est pour ça que ma sœur ne me parle plus!
- Elle vous à surpris?
- Tu as tout compris... il avait .. ans... alors tu imagines le scandale!
- Pas chanceux... moi on ne s'est jamais fait prendre!
- Avec ton grand-oncle?
- Ouais! Tu vois encore ton neveu?
- Oui... il vient souvent ici... il a 29 ans maintenant!
- Marié?
- Non... il est gai... c'est pour ça que ma sœur me déteste, elle croit que c'est à cause de moi!
Je change de position et je me couche presque sur lui avec une cuisse entre ses cuisses.
- On ne devient pas gai... ou bisexuel... ou hétéro... on est comme ça c'est tout! Que je dis.
- Ouais c'est comme ça... on est ce qu'on est!
- J'aime les femmes... mais quand je suis avec un homme... je suis homosexuel et j'aime ça!
- Oui c'est ce que je constate et c'est gentil ce que tu me dis!
- Il en demeure pas moins que tu es un fife! (pédophile) Que je dis en riant.
Je lui bécote un mamelon que le lèche et suçote.
- Tu m'aurais aimé à .. ans moi aussi!
- Ouais! Tu devais être aguichant?
Je prends sa queue en main qui avait perdu un peu de volume, mais en la caressant elle se gonfle. J'étire mon cou et je rejoins sa bouche que j'embrasse et je lui raconte que j'ai déjà fait de la prostitution dans ma jeunesse. Il me regarde incrédule et dit;
- Vraiment? C'était une question de survie?
- Oui et non... plus pour le plaisir! Que je dis en suçant son gland.
- Une petite guidoune (putain) toi?
- Ouais et j'étais occupé!
- Je n'en doute pas... hé ben!
- J'avais une spécialité... tu veux voir?
- Mais oui!
Je lui demande du lubrifiant et j'enduis sa queue de lubrifiant et je me graisse la raie en me doigtant le rectum devant lui. Mes gestes sont lents, je suis stone littéralement. J'embarque à cheval sur lui, en tenant sa queue, je place son gland sur mon anus. Lentement sa queue entre en moi, c'est bon et je me lamente. Puis, il est au fond de moi et je le regarde en souriant, je roule des hanches et du bassin lentement. Il fait «haaaa!»
- Mais tu as toute ma queue en toi?
Je continue ma roulade du bas du corps et ses mains caressent mon corps et il me pince gentiment les mamelons. Je me redresse lentement et sa queue sort de moi. Toujours avec des gestes lents, je me retourne, j'enfourche son visage pour être en 69. Avant même qu'il me suce, j'ai sa queue au fond de ma bouche. Je le suce un peu et je m'avance et je mets mes fesses près de sa queue. Il comprend et il tient sa queue à sa base et il voit mes fesses qui s'emparent de sa queue.
J'ai les mains sur ses tibias et pas des ondulations du bassin, je fornique sa queue. Il me tient par les fesses et m'encourage à me défoncer sur son pieu de chair. Sa queue en moi me transporte dans le monde de la volupté. Je me défais de lui et je prends de nouveau sa queue en bouche que je lèche et suce amoureusement. Il se redresse et il prend ma nuque et il me colle un long baiser. Il fait;
-Wow!
Je m'avance et je m'encule moi-même. Il me regarde onduler et je ferme les yeux. Je monte et descend sur son manche de chair, j'ondule de plus en plus vite, sa queue dans mes entrailles me rend fou. Ma queue va fendre tellement que je suis bandé, il me tient par les côtés de fesses. Je me tortille tellement sur sa queue que je veux l'arracher. Puis, comme ça m'arrive souvent, je jouis de la prostate et j'éjacule d'un puissant orgasme sans me toucher la queue.
J'ai la bouche ouverte, la tête renversée et je crie ma jouissance. l'excitation est à son comble pour lui aussi et il éjacule dans ma chair. C'est quelques secondes sont mémorables, je sens sa chaleur en moi et ça me rend hystérique que je tombe sur lui pour finir de jouir. La tempête de jouissance se calme. Je me redresse et il semble revenir à lui. Je me lève de lui et sa queue sort lentement de mon rectum, les fluides tombent sur son bas-ventre et son sexe.
Je place à genoux à côté de lui et je lèche sa queue mouillée de mes effluves, je suce son gland qui a perdu du volume, je lèche le corps de sa queue jusqu'aux couilles qui sont molles. Je suce le sperme qui a dans son poil, il ne dit rien, il me caresse une fesse comme pour m'encourager à continuer. J'ai la bouche chargée de sperme et de jus, j'avance mon visage vers le sien, et il ouvre la bouche, je laisse tomber le jus et ma salive, je colle mes lèvres aux siennes. Ce n'était pas la première fois qu'il faisait cela.
- Ouf! Tu es... surprenant... je suis vidé! Dit-il
Je me couche sur le flanc avec une cuisse entre ses cuisses, la drogue se dissipe et là il me parle de lui et ça fait bla... bla... dans mes oreilles et je tombe endormi le visage sur sa poitrine. L'odeur du café me réveille, il est assis sur le lit et il me fait humer le café sous mon nez. Je me réveille avec du sable dans les yeux.
- Bien dormi? Me demande-t-il.
- Euh ouais! Il est quelle heure?
- Près de midi!
- Quoi? Midi!
- Oui... je t'ai laissé dormir... je me suis douché et j'ai même préparé un petit déjeuner!
Il me met un plateau sur mes cuisses, il y a des toasts avec confiture. Je pose le plateau et je me lève pour aller aux toilettes, je me lève et je ne cache pas mon érection matinale. Il me regarde amusé, je remarque qu'il porte qu'un boxer. En revenant, il me fait signe d'approcher de lui, ma queue est pendante mais un peu gonflée. Il me prend par les côtés de fesses , je suis debout en face de lui qui est assit sur le lit, et là, il bécote et lèche mon bas-ventre.
- Tu ne veux pas que je me douche là? Je me sens sale et collant!
- Mmmm non! Tu sens et tu goûtes le sexe! fait-il en humant ma queue.
- Arrête! Tu vas me faire bander... voilà! Je suis bandé!
Il lèche ma queue et mes couilles en caressant mes cuisses. Il avale ma queue en faisant un long «mmmmmmm!» Il me suce et j'ai le gland sensible mais c'est bon.
- Arrête tu vas me faire jouir!
Il n'arrête pas de me sucer, j'ondule du bassin, c'est clair qu'il veut mon sperme. Je fais «hannnnnnn!» Et je jouis dans sa bouche, il m'avale avec des «mmmmm! Slurppp! Que c'est bon!» Il laisse ma queue en bécotant mes couilles. Je ne veux pas le laisser sans jouir, je me place à quatre pattes comme une chienne en chaleur. Il retire son boxer et il est en parfaite érection, il embarque à genoux dans le lit et dit;
- Comme tu es généreux! Dit-il en embrassant mes fesses.
Il lèche ma raie d'un long coup de langue.
- Mmmm tu goûtes le bon cul! Fait-il en me léchant l'anus.
Il me met du lubrifiant en me doigtant gentiment le trou qui est sensible. Puis, il appuie son gland sur ma fente anale, avec ma main, je tiens une de mes joues de fesse écartée, et c'est moi qui recule sur son gland et je le fais pénétrer en moi. Je sens son bas-ventre sur mes fesses, il est totalement en moi. C'est moi va et vient lentement sur le cylindre de chair, il a ses mains sur mes fesses et il dit;
- Tu as vraiment un beau cul!
- Han! Han! Merci... le tien est beau aussi!
Il ne dit rien et il commence à me forniquer plus fort, son bas-ventre claque sur mes fesses. Ma queue molle va par en avant et par en arrière et elle coule éclaboussant mon ventre et mes cuisses.
- Han! Han! Ouiiiiii! C'est bon... tu fourres bien mon salaud! Que je dis.
- Belle petite guidoune (pute) Je vais venir dans ton petit cul de cochonne!
- Han! Han! Non dans ma bouche... viens dans ma bouche!
Il me donne de violents coups et il crie;« MAINTENANT!» Je me retourne promptement et j'embouche sa queue gluante, il fait; « HAAAAA!» Je reçois un jet de sperme sur mon palais et une série d'autres petits jets qui emplissent ma bouche de sperme chaud. Il prend mon menton et dit;
- Montre voir!
J'ouvre la bouche et je lui montre tout le sperme que j'ai dans la bouche, je ferme la bouche, je pince mes lèvres et j'avale, j'ouvre la bouche et je tire la langue. Il sourit et je continue à lécher son gland.
- Tu devais avoir du succès toi jeune?
Je ne dis rien et je continue à sucer son gland qui se dégonfle. Puis, il vient me donner un french kiss que j'apprécie car il me suce la langue comme pour se goûter. Je prends mon café et les toasts. Et là, il me dit;
Dans 2 semaines, ça va être le dernier samedi du mois... et à chaque dernier samedi du mois... j'ai des amis qui viennent ici... et mon neveu que je t'ai parlé... c'est pour ça le grand lit... parfois on est 5 ou 6... des gars de mon âge... sauf mon neveu. Si tu aimes les trips de cul... tu seras servie... mais là... je ne sais pas combien de mes amis sont en ville... mais mon neveu sera ici c'est certain... je t'invite!
Je suis perplexe, une orgie de gars, ça me fait peur mais à la fois ça m'excite.
- Je... je vais y penser... je ne te promets rien... ma blonde (copine) va vouloir sortir et baiser...
- Tu peux l'amener ici ha! HA! HA! Non je blague!
Je suis dans sa voiture et il me donne un papier, il y a son adresse et son numéro de téléphone.
- Tu appelles quand tu veux... j'ai passé une très... non... une extraordinaire soirée et nuit! Merci beaucoup!
- C'est moi qui te remercie... et pour moi aussi ça été une très belle soirée... et une belle nuit!
Je suis devant chez moi, je le salue de la main et je regarde sa grosse voiture s'éloigner. Vais-je accepter de le revoir?
3 years ago