Premiers émois à la piscine
18 ans, vacances d’été perdues dans les Landes avec ma proche famille. Rien à faire, dans ce petit centre de vacances, un étang, une piscine et du vélo. Quand tu as 18 ans et que tes hormones travaillent, ce n’est pas l’endroit idéal. Seule jeune adulte sur place, je range bien profond mes désirs, et me consacre uniquement à dessiner durant ces 15 jours.
La veille de partir, je me décide à aller à la piscine pour la dernière fois, j’aime y aller très tôt le matin, je peux faire des longueurs sans avoir quelqu’un qui me gène dans mon activité. Arrivée sur place, la piscine est ouverte mais pas de trace du maitre nageur, je passe devant les cabines, distraitement mon regard est attiré par une ombre et je le vois en train de se changer. Le rouge me monte rapidement aux joues, et je me cache derrière une porte afin de pouvoir continuer à le mater. C’est un bel homme athlétique, d’environ 30 ans, musclé comme le sont les nageurs, avec un torse glabre et une queue magnifique. Moi et mes quelques expériences sexuelles pathétiques dignes des amourettes adolescentes, nous nous retrouvons toutes chamboulées par cette vision. J’attends qu’il finisse de se changer pour pouvoir apparaître. Il s’installe sur sa chaise haute et je fais mon apparition, nous nous saluons et je pars faire mes longueurs. Une fois terminé, je quitte la piscine et rentre au gite. Je prends mon feutre, mon carnet de dessin et passe ma matinée à dessiner sa queue sous tous les angles. Comme une obsession.
Midi arrive, toute la famille se réunit pour un dernier repas au restaurant et une dernière visite ensemble, je prétexte un mal au ventre et reste dans ma chambre à me masturber frénétiquement pendant un bon moment.
Vers 14 heures, l’orage gronde je jette un œil vers la piscine en contrebas de la colline et je vois qu’elle se vide du fait de la météo. Je prends le peu de courage que je pouvais avoir à cet âge, à deux mains et retourne là bas. Le lieu est désert, pas de maître nageur à l’horizon, dommage j’avais bien envie de le dessiner afin d’avoir un souvenir autre que sa queue sur mes carnets. Je pose mes affaires à l’abri dans un box et plonge avant que ça ferme pour cause de météo capricieuse.
Au bout de quelques longueurs, je l’aperçois de nouveau, assis dans le box réservé au maitre nageur, le regard plongé dans un livre. Mon cœur ne fait qu’un bond quand je comprends qu’il a pris mon carnet de dessins. Je deviens livide, je n’ose sortir de l’eau, mais il va bien le falloir étant donné que l’orage approche. Je ne sais où me mettre, j’envisage un instant de lui abandonner mon carnet mais j’ai tout mon travail de cet été dessus que je dois remettre à la rentrée. Je prends mes affaires et la tête basse m’approche de lui en murmurant que je souhaite reprendre mon cahier.
« - Je ne savais pas qu’en plus d’être une très bonne nageuse, tu dessinais aussi bien Maud.
- Comment connais-tu mon nom ?
- Je me renseigne sur les personnes qui viennent à ma piscine.
- Je peux reprendre mon carnet ?
- Tu dessines vraiment très bien, mais j’ai été surpris par tes dernières pages, ça n’a rien à voir avec les premières. Quel tournant intéressant ! »
Mes joues s’empourprent, je bredouille quelque chose et n’ose le regarder dans les yeux.
« - Ton inspiration date de ce matin, après m’avoir surpris j’en suis sur », je reste bouche bée, moi qui pensais être discrète.
« - T’en fais pas, tu ne m’as pas surpris en train de me changer, c’était calculé, je savais que tu viendrais comme tous les matins, et ça fait 15 jours que je tente par tous les moyens d’attirer ton attention, mais rien n’y faisait. Mon exhibition du matin, était ma dernière carte à jouer. »
Je reste toujours sans mots, jusqu’à ce que mon regard s’accroche à son maillot, je vois sa queue enfler sous le nylon. Ce petit pervers a tout calculé.
« - Je présume qu’elle te plait, étant donné que tu l’as dessinée sous de nombreuses coutures.
- Oui… Bredouillais-je
- Tu en veux plus ? »
Mes grands yeux s’écarquillent, mais mon courage me reprends et je le rejoins dans son box. Il referme la porte derrière moi, se colle contre mon dos et fait glisser ses mains tout le long de mon corps, m’embrassant dans le cou. Ma peau frémit sous ses caresses et baisers, il défait le lien de mon haut de maillot, laissant apparaître ma poitrine déjà généreuse. Il prends mes seins dans ses mains et les malaxe fort, tout en pinçant mes tétons. Je n’ai pas l’habitude de ça dans mes précédents échanges avec le sexe masculin, je suis surprise de la brutalité de la chose, mais en même temps c’est loin de me déplaire. Il se colle de plus en plus contre mon cul, sa queue toute dure dépasse de son maillot et il la frotte entre ma raie, il crache dessus afin de la faire glisser plus facilement. Je sens mon entrejambe se mouiller de plus en plus par ma cyprine, j’ai de plus en plus envie de lui et lui fait savoir.
Une main sur ma gorge, l’autre descendant le long de mon ventre vers mon bas de maillot, un premier lien défait, le second vient rapidement et me voilà nue. Le voilà dans mon intimité, caressant doucement mon petit bouton, ses doigts s’aventurant plus loin au fond de moi « Mais c’est que tu es toute mouillée, il ne t’aura pas fallu longtemps pour être excitée », ses doigts allant en moi de plus en plus vite, je gémis à ne plus en pouvoir et tiens à peine sur mes pieds. Il retire subitement sa main et porte ses doigts à la bouche. Je reste tétanisée, jamais un de mes petits copains n’auraient osé. Sa main posée sur ma gorge, remonte sur ma mâchoire pour l’incliner et il m’embrasse à pleine bouche afin de partager le goût de ma chatte.
« Retournes toi que je puisse mieux te regarder». Je m’écarte pour qu’il ait une vue d’ensemble. Il en profite pour retirer son maillot, sa queue semble énorme et est si bien dressée, je ne peux la quitter des yeux. Il me demande de m’étendre sur le dos sur son bureau. Je l’écoute sagement et fais tout ce qu’il me demande de faire. Il cale une serviette dans mon dos « tu vas bien regarder tout ce que je vais te faire », se met de nouveau face à mon entrejambe, relève mes jambes sur ses épaules tout en me fixant de son beau regard noir, il glisse un doigt dans ma chatte et me branle de plus en plus fort, en massant mon clito au passage, je jouis comme jamais (d’ailleurs jamais aucun homme ne m’avait fait jouir avant lui), tellement que son bureau est trempé et le sol est dans le même état. Sa bouche ne tarde pas à remplacer ses doigts, il mordille mon clito, l’aspire le lèche, lui faisant subir des tas d’attaques délicieuses. Je le regarde faire, et je me sens de nouveau partir, avoir cette image de cet homme en train de me donner autant de plaisir, me fait frissonner et jouir de nouveau. Je peine à reprendre mon souffle, mais il ne me laisse pas me reprendre pour autant.
La seconde d’après, il a déjà glissé une capote sur sa queue, m’att**** par les hanches et me cale contre le mur, une de mes jambes au sol et l’autre à hauteur de son épaule, et il me prends dans cette position. Exit les parties de jambe à l’air qui se résumaient à un missionnaire de quelques minutes avec si j’avais de la chance une levrette même pas claquée, je ne vais plus vouloir en entendre parler après tout ça !
Et le voilà entrer doucement en moi, laissant ma chatte prendre entièrement possession de sa superbe verge. Il me regarde dans les yeux et s’inquiète de savoir si tout va bien, je lui souffle de se taire et de continuer comme il a commencé, avec cette douce brutalité que je découvre pour la première fois. Il débute par de doux coups de rein, puis de plus en plus fort, de plus en plus loin, mes jambes tremblent de désir, mes seins sont tendus d’excitation, je n’en peux plus mes deux précédents orgasmes m’ont épuisé mais j’en veux encore plus.
Tout en me baisant, il s’assoit sur une chaise je me retrouve à califourchon sur lui, le sentant au plus profond de moi. C’est à moi de lui prouver que mes coups de rein sont tout aussi bons que les siens. Et me voilà à bouger mes hanches au rythme de sa queue, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Ses mains sur mon cul me donnent la cadence à à suivre. Je me sens venir pour une troisième fois, il m’encourage de tout son cœur, ses paroles m’entrainent de nouveau au 7° ciel.
3 orgasmes en une seule session ! Mais comment cela est-il possible, me voici en train de découvrir que finalement les hommes aussi peuvent me faire jouir et que je n’étais pas contrainte à vie de le faire par moi même.
Il se retire, et me demande s’il peut jouir sur mon cul, je le regarde perplexe mais jusqu’à présent je lui ai fait confiance et je n’ai eu que plaisir. Il me retourne, me prends debout en levrette, après 3 coups au fond de moi, il se retire, arrache la capote et je sens son sperme bien chaud arriver par à-coups sur mes fesses et glisser doucement le long de mes jambes. Il att**** une serviette et m’essuie comme un homme bien éduqué.
Il me retourne, s’assoit sur la chaise et me fait asseoir sur ses genoux, me prends dans les bras et me demande comment je vais, s’il n’a pas été trop brusque. Je lui confesse que j’ai adoré et que désormais, je ne verrais plus mes relations de la même façon. Il m’embrasse longuement. Dehors l’orage gronde de plus belle, la pluie tombe fort. « Je ne vais pas te laisser partir par ce temps, tu vas rester un peu plus, et puis j’ai encore d’autres choses à te faire découvrir »…
Merci à cet homme qui m’a fait découvrir que l’orgasme c’est à deux qu’il se partage, qu’on peut allier sexe violent avec tendresse et fut à l’origine de mon goût pour les hommes plus murs.
La veille de partir, je me décide à aller à la piscine pour la dernière fois, j’aime y aller très tôt le matin, je peux faire des longueurs sans avoir quelqu’un qui me gène dans mon activité. Arrivée sur place, la piscine est ouverte mais pas de trace du maitre nageur, je passe devant les cabines, distraitement mon regard est attiré par une ombre et je le vois en train de se changer. Le rouge me monte rapidement aux joues, et je me cache derrière une porte afin de pouvoir continuer à le mater. C’est un bel homme athlétique, d’environ 30 ans, musclé comme le sont les nageurs, avec un torse glabre et une queue magnifique. Moi et mes quelques expériences sexuelles pathétiques dignes des amourettes adolescentes, nous nous retrouvons toutes chamboulées par cette vision. J’attends qu’il finisse de se changer pour pouvoir apparaître. Il s’installe sur sa chaise haute et je fais mon apparition, nous nous saluons et je pars faire mes longueurs. Une fois terminé, je quitte la piscine et rentre au gite. Je prends mon feutre, mon carnet de dessin et passe ma matinée à dessiner sa queue sous tous les angles. Comme une obsession.
Midi arrive, toute la famille se réunit pour un dernier repas au restaurant et une dernière visite ensemble, je prétexte un mal au ventre et reste dans ma chambre à me masturber frénétiquement pendant un bon moment.
Vers 14 heures, l’orage gronde je jette un œil vers la piscine en contrebas de la colline et je vois qu’elle se vide du fait de la météo. Je prends le peu de courage que je pouvais avoir à cet âge, à deux mains et retourne là bas. Le lieu est désert, pas de maître nageur à l’horizon, dommage j’avais bien envie de le dessiner afin d’avoir un souvenir autre que sa queue sur mes carnets. Je pose mes affaires à l’abri dans un box et plonge avant que ça ferme pour cause de météo capricieuse.
Au bout de quelques longueurs, je l’aperçois de nouveau, assis dans le box réservé au maitre nageur, le regard plongé dans un livre. Mon cœur ne fait qu’un bond quand je comprends qu’il a pris mon carnet de dessins. Je deviens livide, je n’ose sortir de l’eau, mais il va bien le falloir étant donné que l’orage approche. Je ne sais où me mettre, j’envisage un instant de lui abandonner mon carnet mais j’ai tout mon travail de cet été dessus que je dois remettre à la rentrée. Je prends mes affaires et la tête basse m’approche de lui en murmurant que je souhaite reprendre mon cahier.
« - Je ne savais pas qu’en plus d’être une très bonne nageuse, tu dessinais aussi bien Maud.
- Comment connais-tu mon nom ?
- Je me renseigne sur les personnes qui viennent à ma piscine.
- Je peux reprendre mon carnet ?
- Tu dessines vraiment très bien, mais j’ai été surpris par tes dernières pages, ça n’a rien à voir avec les premières. Quel tournant intéressant ! »
Mes joues s’empourprent, je bredouille quelque chose et n’ose le regarder dans les yeux.
« - Ton inspiration date de ce matin, après m’avoir surpris j’en suis sur », je reste bouche bée, moi qui pensais être discrète.
« - T’en fais pas, tu ne m’as pas surpris en train de me changer, c’était calculé, je savais que tu viendrais comme tous les matins, et ça fait 15 jours que je tente par tous les moyens d’attirer ton attention, mais rien n’y faisait. Mon exhibition du matin, était ma dernière carte à jouer. »
Je reste toujours sans mots, jusqu’à ce que mon regard s’accroche à son maillot, je vois sa queue enfler sous le nylon. Ce petit pervers a tout calculé.
« - Je présume qu’elle te plait, étant donné que tu l’as dessinée sous de nombreuses coutures.
- Oui… Bredouillais-je
- Tu en veux plus ? »
Mes grands yeux s’écarquillent, mais mon courage me reprends et je le rejoins dans son box. Il referme la porte derrière moi, se colle contre mon dos et fait glisser ses mains tout le long de mon corps, m’embrassant dans le cou. Ma peau frémit sous ses caresses et baisers, il défait le lien de mon haut de maillot, laissant apparaître ma poitrine déjà généreuse. Il prends mes seins dans ses mains et les malaxe fort, tout en pinçant mes tétons. Je n’ai pas l’habitude de ça dans mes précédents échanges avec le sexe masculin, je suis surprise de la brutalité de la chose, mais en même temps c’est loin de me déplaire. Il se colle de plus en plus contre mon cul, sa queue toute dure dépasse de son maillot et il la frotte entre ma raie, il crache dessus afin de la faire glisser plus facilement. Je sens mon entrejambe se mouiller de plus en plus par ma cyprine, j’ai de plus en plus envie de lui et lui fait savoir.
Une main sur ma gorge, l’autre descendant le long de mon ventre vers mon bas de maillot, un premier lien défait, le second vient rapidement et me voilà nue. Le voilà dans mon intimité, caressant doucement mon petit bouton, ses doigts s’aventurant plus loin au fond de moi « Mais c’est que tu es toute mouillée, il ne t’aura pas fallu longtemps pour être excitée », ses doigts allant en moi de plus en plus vite, je gémis à ne plus en pouvoir et tiens à peine sur mes pieds. Il retire subitement sa main et porte ses doigts à la bouche. Je reste tétanisée, jamais un de mes petits copains n’auraient osé. Sa main posée sur ma gorge, remonte sur ma mâchoire pour l’incliner et il m’embrasse à pleine bouche afin de partager le goût de ma chatte.
« Retournes toi que je puisse mieux te regarder». Je m’écarte pour qu’il ait une vue d’ensemble. Il en profite pour retirer son maillot, sa queue semble énorme et est si bien dressée, je ne peux la quitter des yeux. Il me demande de m’étendre sur le dos sur son bureau. Je l’écoute sagement et fais tout ce qu’il me demande de faire. Il cale une serviette dans mon dos « tu vas bien regarder tout ce que je vais te faire », se met de nouveau face à mon entrejambe, relève mes jambes sur ses épaules tout en me fixant de son beau regard noir, il glisse un doigt dans ma chatte et me branle de plus en plus fort, en massant mon clito au passage, je jouis comme jamais (d’ailleurs jamais aucun homme ne m’avait fait jouir avant lui), tellement que son bureau est trempé et le sol est dans le même état. Sa bouche ne tarde pas à remplacer ses doigts, il mordille mon clito, l’aspire le lèche, lui faisant subir des tas d’attaques délicieuses. Je le regarde faire, et je me sens de nouveau partir, avoir cette image de cet homme en train de me donner autant de plaisir, me fait frissonner et jouir de nouveau. Je peine à reprendre mon souffle, mais il ne me laisse pas me reprendre pour autant.
La seconde d’après, il a déjà glissé une capote sur sa queue, m’att**** par les hanches et me cale contre le mur, une de mes jambes au sol et l’autre à hauteur de son épaule, et il me prends dans cette position. Exit les parties de jambe à l’air qui se résumaient à un missionnaire de quelques minutes avec si j’avais de la chance une levrette même pas claquée, je ne vais plus vouloir en entendre parler après tout ça !
Et le voilà entrer doucement en moi, laissant ma chatte prendre entièrement possession de sa superbe verge. Il me regarde dans les yeux et s’inquiète de savoir si tout va bien, je lui souffle de se taire et de continuer comme il a commencé, avec cette douce brutalité que je découvre pour la première fois. Il débute par de doux coups de rein, puis de plus en plus fort, de plus en plus loin, mes jambes tremblent de désir, mes seins sont tendus d’excitation, je n’en peux plus mes deux précédents orgasmes m’ont épuisé mais j’en veux encore plus.
Tout en me baisant, il s’assoit sur une chaise je me retrouve à califourchon sur lui, le sentant au plus profond de moi. C’est à moi de lui prouver que mes coups de rein sont tout aussi bons que les siens. Et me voilà à bouger mes hanches au rythme de sa queue, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Ses mains sur mon cul me donnent la cadence à à suivre. Je me sens venir pour une troisième fois, il m’encourage de tout son cœur, ses paroles m’entrainent de nouveau au 7° ciel.
3 orgasmes en une seule session ! Mais comment cela est-il possible, me voici en train de découvrir que finalement les hommes aussi peuvent me faire jouir et que je n’étais pas contrainte à vie de le faire par moi même.
Il se retire, et me demande s’il peut jouir sur mon cul, je le regarde perplexe mais jusqu’à présent je lui ai fait confiance et je n’ai eu que plaisir. Il me retourne, me prends debout en levrette, après 3 coups au fond de moi, il se retire, arrache la capote et je sens son sperme bien chaud arriver par à-coups sur mes fesses et glisser doucement le long de mes jambes. Il att**** une serviette et m’essuie comme un homme bien éduqué.
Il me retourne, s’assoit sur la chaise et me fait asseoir sur ses genoux, me prends dans les bras et me demande comment je vais, s’il n’a pas été trop brusque. Je lui confesse que j’ai adoré et que désormais, je ne verrais plus mes relations de la même façon. Il m’embrasse longuement. Dehors l’orage gronde de plus belle, la pluie tombe fort. « Je ne vais pas te laisser partir par ce temps, tu vas rester un peu plus, et puis j’ai encore d’autres choses à te faire découvrir »…
Merci à cet homme qui m’a fait découvrir que l’orgasme c’est à deux qu’il se partage, qu’on peut allier sexe violent avec tendresse et fut à l’origine de mon goût pour les hommes plus murs.
3 years ago