JEUNESSE.

SOUVENIR de JEUNESSE.

Ma premiÚre fois avec un garçon.
C'est Ă  la piscine, lors du cours de natation en fin de journĂ©e d’école.
Le professeur nous permettait de rester plus longtemps que prévu car nous pouvions retourner ensuite chez nous.
Je devais avoir 12 ou 13 ans.
Comme nous devions passer Ă  la douche avant de rejoindre nos cabines.
Je rentrai donc avec un copain dans le local de douche.
Il n'y avait qu'une place de libre et mon copain me dit de venir avec lui.
Nous étions tournés vers le mur comme cela personne ne pouvait nous voir.
La douche Ă©tait Ă©troite.
Mon copain étant collé contre moi me pelota, l'air de rien, d'abord un peu les fesses sur le maillot tout en jouant.
De mon cÎté je sentais que ma bite commençait à se raidir dans mon slip de bain comme le matin quand je me lÚve.
Puis, mon copain sans se gĂȘner passa sa main devant moi sur mon maillot et m'empoigna le paquet.
De l'autre, il prit ma main et l'attira derriĂšre moi pour que je lui tĂąte le maillot Ă©galement.
Au touché, je sentais que sa bite pointait déjà vers l'avant dans son maillot.
Il me souffla dans l'oreille :
- « J'ai envie de te branler et que tu me branles. Tu l'as déjà fait ? »
Ma réponse fut toute simple
- « Non et toi ? »
Il continua.
- « Oui presque tous les jours dans mon lit, mais j'ai envie de voir ta bite qui jute en mĂȘme temps que la mienne. Vient-on va dans une cabine ensemble. »
Comme ce fut dit ce fut fait.
On se retrouve dans une cabine ayant Ă©tĂ© reprendre nos vĂȘtements au vestiaire.
À peine la porte refermĂ©e, il se colle Ă  nouveau contre moi sa main se retrouvant sur mon maillot Ă  hauteur de mon pĂ©nis caressant dĂ©licatement mon paquet.
Ma bite qui avait débandée durant le trajet se relÚve directement sous la caresse par-dessus le tissu reformant une belle bosse.
Je sens contre mes fesses mon copain qui frotte son Ă©rection contre mes fesses.
Avant d'avoir pu faire un geste, je sens que mon maillot s’écarte doucement et que sa main se trouve dĂ©jĂ  sur ma queue dans mon maillot.
Comme dans la douche, je passe ma main derriĂšre moi et caresse la bosse dans son maillot.
Je sens une bite bien raide et dure.
Elle me semble aussi grande que la mienne.
À cette Ă©poque, la nature avait dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  faire son Ɠuvre.
J’avais dĂ©jĂ  Ă  ce moment une bite d’une douzaine de centimĂštre qui dĂ©calottait sans problĂšme.
Mon copain me souffle doucement afin que l’on ne nous entende pas :
- « Mince alors t'en as une belle queue. Et tu bande comme un champion. »
Je sens alors qu’il fait glisser les deux cĂŽtĂ©s de mon maillot et celui-ci tombe Ă  mes pieds.
Une fois mon maillot tombé, il me fait se retourner vers lui.
Je me trouve maintenant devant avec ma verge bien raide, droite, le gland débordant légÚrement de mon prépuce.
De son cÎté, Tout excité et fixant toujours ma bite, il baisse doucement son maillot en me disant :
- « Ma bite est un peu plus petite que la tienne mais elle est bien dure. Regarde. »
Et pour la premiĂšre fois, Je vois une queue un rien plus petite que la mienne mais bien aussi grosse.
Tout en me regardant, il prend sa queue entre le pouce et l'index et fait coulisser le prépuce vers l'arriÚre découvrant son gland.
Celui-ci est en forme de pointe avec le méat largement découpé.
Sur le bout, suinte une petite goutte de jus transparent.
Je fais de mĂȘme pour lui montrer mon gland en forme d’olive et totalement diffĂ©rent du sien, ensuite je remonte mon prĂ©puce laissant uniquement dĂ©passer un peu mon gland.
Curieux, il tend sa main vers moi et la pose sur ma tige en me caressant doucement.
Il me décalotte lentement.
Il remonte mon prépuce un peu et me décalotte de nouveau, à ce moment ma premiÚre goutte de jus transparent apparait.
Jusqu'à présent je n'y avais pas fait attention.
Nous sommes donc face Ă  face assez proche l'un de l'autre.
Je suis super excité par ce premier contact d'une main étrangÚre sur ma queue.
Elle durci plus encore.
De son autre main libre mon copain, également excité au plus haut point, astique maintenant sa bite dans un aller-retour assez rapide.
Et tout Ă  coup, lĂąchant ma bite et avec un grand soupir mon copain lĂąche :
- « Regarde je vais gicler. »
À ce moment un jet de liquide blanc sort par la petite ouverture au bout de son gland en m'arrosant littĂ©ralement le ventre.
Plusieurs autres jets suivent tous atterrissent sur mon bas ventre.
Je vois mon copain qui respire assez fort pour récupérer de l'effort fourni.
Il me souffle alors :
- « A toi maintenant, tu as vu comment tu dois faire. Montre-moi comment tu jutes avec ta grande queue. »
Je prends donc ma bite, tout comme il a fait, entre le pouce et l'index.
J'entame un lent mouvement de va et vient tout en fixant mon copain qui suit le mouvement de mes deux doigts sur ma queue.
Je ressens dans mon ventre comme une envie de pisser.
Ma queue se durcis encore un peu et une goutte de jus transparent sort Ă  nouveau de mon gland en forme d'olive.
Mon copain impatient me susurre :
- « Vas-y jute, astique plus fort et plus vite, ça va venir ne te retiens pas arrose moi. »
Je continue mon va et vient Ă  mon rythme.
Je vois qu’il joue à nouveau avec sa bite et que celle-ci commence tout doucement à redurcir.
De mon cÎté, tout d'un coup, je sens dans ma queue une sensation étrange que je ne connais pas.
Je lĂąche un gros soupir et un premier jet de sperme Ă©pais sort de mon gland arrosant le bas-ventre de mon copain.
C’est la premiĂšre fois que je vois rĂ©ellement mon jus sortir de ma queue avec autant de puissance.
J’ai dĂ©jĂ  bien Ă©jaculĂ© mais jamais de visu, toujours dans un linge.
Continue Ă  te branler me dit mon copain pour vider toute ta jute.
Je continue donc lĂąchant un second jet encore plus puissant que le premier.
Je continue et plusieurs giclées sortent arrosant totalement le bas ventre et la queue de mon copain.
De son cÎté sa bite est à nouveau raide et il commence à nouveau à branler sa queue avec ma liqueur comme lubrifiant.
- « Qu'est-ce que tu as lùché, je n'en ai jamais vu autant. Regarde je vais lùcher à nouveau. »
Il se branle à un rythme accéléré.
Il ne lui faut que quelques instants et il relĂąche Ă  nouveau deux jets de foutre blanc qui s’étale sur le sol.
Il me dit alors :
- « On devrait recommencer, mais pas ici, tu n'as qu'à venir un aprÚs-midi chez moi quand mes parents sont partis travailler. »
Comme je suis curieux je lui réponds que oui.
Nous nous essuyons et nous rhabillons.
Nous quittons la piscine tout heureux, et pour ma part d'avoir fait une nouvelle découverte.
Published by drd74
3 years ago
Comments
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jacbisex59
jacbisex59 3 years ago
TrÚs excitant et bien raconté
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