Fabiana (Après notre première nuit)
JE ME REVEILLE A COTE DE FABIANA
Je sentis les doigts de Fabiana glisser le long de mon cou, courir sur ma poitrine pour écarter le léger décolleté de soie sauvage. Ses mains m’enrobèrent avec la douceur dont seule une femme est capable, soupesèrent mes seins dont les pointes s’érigèrent sous la caresse insistante.
L’instant d’après, Fabiana était agenouillé entre mes cuisses, faisait glisser ma jupe et ma culotte le long de mes jambes gainées.
Elle resta un long moment en contemplation devant ma fente épilée, poussa un soupir d’admiration à la vue sans doute de mon clitoris proéminent, puis elle tenta délicatement de m’écarter les fesses. Je changeai de position pour l’y aider, m’avançant sur mon fauteuil. Je tendis les jambes du mieux que je pus et posai les talons de mes escarpins sur le bureau.
Je sentais le souffle chaud et court de Fabiana sur mon sexe en perdition. Les yeux fermés j’imaginais les siens, grands ouverts, découvrant ce décor où les roses et les bruns pâles composaient un délicat tableau dédié à l’amour.
Un doigt téméraire s’aventura entre mes fesses et se posa sur l’anneau des reins aux plis tentateurs, puis deux lèvres humides vinrent embrasser les miennes qui s’embrasèrent aussitôt.
Je ne percevais que ses longs cheveux roux et, de temps à autre, ses grands yeux verts qui se levaient vers moi, guettant mes réactions, tandis que sa langue allait et venait dans mes chairs. Un filet de rosée coulait de mon ventre offert, le majeur de Fabiana s’en empara, s’en vêtit et elle écarta mon diaphragme le plus intime, s’insinuant à tâtons entre mes muqueuses qui, après quelques secondes d’une résistance feinte, l’accompagnèrent dans ses mouvements presque hésitants.
Oubliant toute pudeur, je pris mes fesses à pleines mains, les écartant au mieux, m’offrant sans vergogne au doigt, à la langue, aux lèvres, aux yeux même qui me fouillaient ainsi. Fabiana m’en sut gré qui, perdant toute retenue, enfonça son visage entre mes jambes, me lapant, me suçant, m’écartelant, faisant rouler mon clitoris sous sa gangue de chair gonflée.
Je sentais des ondes de plaisir parcourir mon corps, j’aurais voulu que cette langue qui me fouillait, ce doigt qui m’écartait, ses yeux qui me dévoraient, jamais ne se retirent.
Je repoussai soudain mon amante, avide également de son corps. Je la coinçai contre la table et à mon tour lui ôtai, fébrile, le carré de tissu couleur de levant et le triangle de dentelle blanche qui dissimulaient son intimité. Je découvris, fiévreuse, un magnifique triangle de poils roux qui s’effaçait soudain juste au-dessus d’un sexe glabre aux longues lèvres dentelées et au rostre minuscule, qui sans doute, n’attendait qu’une caresse pour se révéler.
– Mon Amour tu es superbe, murmurai-je en me jetant, bouche entrouverte sur ses lèvres intimes, pressée d’en goûter les saveurs, impatiente d’en humer les fragrances profondes.
Elle avait dû parer l’intérieur de ses cuisses de quelques gouttes de ce merveilleux parfum synonyme de mystère en japonais, j’en reconnus les effluves chyprés, les senteurs veloutées aux subtils accents de bergamote, de rose et de pêche. Je m’enivrai de cette odeur artificielle qui se mêlait à celle, plus subtile, des parfums intimes de Fabiana et d’une légère note de sueur qui m’affola.
J’écartai les ultimes remparts de son sexe, pour m’en aller cueillir une rosée aux sensuelles amertumes qui me piquèrent la langue. Mon nez se fondait dans sa toison tandis que ma langue prenait d’assaut sa vulve, la fouillait, l’explorait, lui tirant de sourds gémissements.
Une minute plus tard, nous étions entièrement nues derrière le bureau, tête-bêche, j’avais sous les yeux un cul magnifique, rond et plein, que je pétrissais comme un boulanger pétrit amoureusement sa pâte. Ma langue paraissait se nourrir de son clitoris désormais gonflé tandis qu’à mon tour, je l’enculai d’un doigt. Elle se tendait vers moi, haletante, s’offrait avec fougue à cette langue qui la savourait, à ce doigt qui l’ouvrait toujours plus profondément.
J’aurais aimé avoir un sexe mâle à cet instant pour pouvoir l’investir de toute ma raideur, pour lui rendre l’hommage sensuel auquel elle aspirait sans doute alors qu’elle tentait de s’empaler toujours plus.
A SUIVRE
Je sentis les doigts de Fabiana glisser le long de mon cou, courir sur ma poitrine pour écarter le léger décolleté de soie sauvage. Ses mains m’enrobèrent avec la douceur dont seule une femme est capable, soupesèrent mes seins dont les pointes s’érigèrent sous la caresse insistante.
L’instant d’après, Fabiana était agenouillé entre mes cuisses, faisait glisser ma jupe et ma culotte le long de mes jambes gainées.
Elle resta un long moment en contemplation devant ma fente épilée, poussa un soupir d’admiration à la vue sans doute de mon clitoris proéminent, puis elle tenta délicatement de m’écarter les fesses. Je changeai de position pour l’y aider, m’avançant sur mon fauteuil. Je tendis les jambes du mieux que je pus et posai les talons de mes escarpins sur le bureau.
Je sentais le souffle chaud et court de Fabiana sur mon sexe en perdition. Les yeux fermés j’imaginais les siens, grands ouverts, découvrant ce décor où les roses et les bruns pâles composaient un délicat tableau dédié à l’amour.
Un doigt téméraire s’aventura entre mes fesses et se posa sur l’anneau des reins aux plis tentateurs, puis deux lèvres humides vinrent embrasser les miennes qui s’embrasèrent aussitôt.
Je ne percevais que ses longs cheveux roux et, de temps à autre, ses grands yeux verts qui se levaient vers moi, guettant mes réactions, tandis que sa langue allait et venait dans mes chairs. Un filet de rosée coulait de mon ventre offert, le majeur de Fabiana s’en empara, s’en vêtit et elle écarta mon diaphragme le plus intime, s’insinuant à tâtons entre mes muqueuses qui, après quelques secondes d’une résistance feinte, l’accompagnèrent dans ses mouvements presque hésitants.
Oubliant toute pudeur, je pris mes fesses à pleines mains, les écartant au mieux, m’offrant sans vergogne au doigt, à la langue, aux lèvres, aux yeux même qui me fouillaient ainsi. Fabiana m’en sut gré qui, perdant toute retenue, enfonça son visage entre mes jambes, me lapant, me suçant, m’écartelant, faisant rouler mon clitoris sous sa gangue de chair gonflée.
Je sentais des ondes de plaisir parcourir mon corps, j’aurais voulu que cette langue qui me fouillait, ce doigt qui m’écartait, ses yeux qui me dévoraient, jamais ne se retirent.
Je repoussai soudain mon amante, avide également de son corps. Je la coinçai contre la table et à mon tour lui ôtai, fébrile, le carré de tissu couleur de levant et le triangle de dentelle blanche qui dissimulaient son intimité. Je découvris, fiévreuse, un magnifique triangle de poils roux qui s’effaçait soudain juste au-dessus d’un sexe glabre aux longues lèvres dentelées et au rostre minuscule, qui sans doute, n’attendait qu’une caresse pour se révéler.
– Mon Amour tu es superbe, murmurai-je en me jetant, bouche entrouverte sur ses lèvres intimes, pressée d’en goûter les saveurs, impatiente d’en humer les fragrances profondes.
Elle avait dû parer l’intérieur de ses cuisses de quelques gouttes de ce merveilleux parfum synonyme de mystère en japonais, j’en reconnus les effluves chyprés, les senteurs veloutées aux subtils accents de bergamote, de rose et de pêche. Je m’enivrai de cette odeur artificielle qui se mêlait à celle, plus subtile, des parfums intimes de Fabiana et d’une légère note de sueur qui m’affola.
J’écartai les ultimes remparts de son sexe, pour m’en aller cueillir une rosée aux sensuelles amertumes qui me piquèrent la langue. Mon nez se fondait dans sa toison tandis que ma langue prenait d’assaut sa vulve, la fouillait, l’explorait, lui tirant de sourds gémissements.
Une minute plus tard, nous étions entièrement nues derrière le bureau, tête-bêche, j’avais sous les yeux un cul magnifique, rond et plein, que je pétrissais comme un boulanger pétrit amoureusement sa pâte. Ma langue paraissait se nourrir de son clitoris désormais gonflé tandis qu’à mon tour, je l’enculai d’un doigt. Elle se tendait vers moi, haletante, s’offrait avec fougue à cette langue qui la savourait, à ce doigt qui l’ouvrait toujours plus profondément.
J’aurais aimé avoir un sexe mâle à cet instant pour pouvoir l’investir de toute ma raideur, pour lui rendre l’hommage sensuel auquel elle aspirait sans doute alors qu’elle tentait de s’empaler toujours plus.
A SUIVRE
3 years ago