Mémoires d'une chienne - 1

Mémoires d'une chienne - 1

Difficile de commencer. Depuis un moment déjà, il m'arrive parfois de considérer coucher sur papier (virtuel...) mon "histoire". Ou plutôt documenter, à travers quelques anecdotes, mon évolution - d'un jeune garçon curieux découvrant le plaisir avec un ami à, dix ans plus tard, une chienne assumée tirant plaisir de n'être qu'un objet sexuel servant de vide couilles à de jeunes hétéros en rut.
Cette histoire est avant tout pour moi, mais si malgré tout vous avez envie de parcourir ce récit - bonne lecture !

J'ai 33 ans. Grand, masculin. En couple hétéro. Me considérant d'ailleurs comme hétéro - n'ayant jamais eu de sentiments ou d'attirance pour autre chose qu'une jolie femme.
Et pourtant, il y a quelques minutes, la porte d'entrée de l'appartement s'est refermée derrière un jeune inconnu, sortant le coeur léger et les couilles vides en me laissant couvert de sperme et le cul ravagé - je suis une chienne.
Double vie paradoxale : gars 'normal' aux yeux du monde, et heureux ainsi, mais également salope occasionnelle cherchant des bites sur internet lorsque l'envie survient.

Je n'ai plus guère d'illusions lors de ces rencontres: je connais ma place et mon rôle. Je ne m'offusque plus d'être considéré comme un bout de viande, comme un trou à pénétrer - c'est ouvertement ce que je suis et ce que j'aime. Le sperme est devenu une récompense - plus il y en a, plus je me sens 'bonne'.

Ce garçon qui part de chez moi est intéressant en ce qu'il représente la plupart de mes rencontres récentes : jeune (20aine), 'super hétéro' dominant et aimant humilier. Seul mon gros cul l'intéresse - aussi à chaque fois me demande t'il de cacher mon visage.
Le scénario est habituel désormais : un tshirt en mode "ninja/niqab" noué autour de la tête, ne laissant voir que mes yeux, un legging de fille moulant mes fesses, je l'attend dans l'obscurité.

Il entre généralement sans un mot, me regarde sans cacher son mépris, se contentant d'un signe de tête. Je me tourne alors et marche devant lui dans le couloir conduisant à la petite chambre, conscient de ses yeux rivés sur ma cambrure. C'est toujours sans un mot qu'une fois arrivée à la chambre je baisse le legging, me cambre et me "met en position" sur le lit - fesses en l'air, impudique, prête à être prise. Par habitude, je prends généralement soin de me "préparer" un peu avant son arrivée - un peu de lubrifiant, quelques doigts, ou simplement de la salive. Je suis donc prête à servir. Il m'a parfois demandé de me doigter devant lui, me crachant sur les fesses et me demandant d'étaler.

Aujourd'hui il était pressé - plusieurs jours sans sexe ou simplement chaud, j'ai senti sa queue brulante déjà dressée contre mes fesses dès que nous sommes entrés dans la chambre. La capote a été placée en une fraction de seconde sur sa queue tendue, et j'ai compris en le regardant que j'allais prendre cher - il a terminé de me retourner, a fait glisser le legging plus bas sur mes jambes, et dans un même mouvement a placé sa main sur ma nuque et a poussé avec sa queue. La position était parfaite, et mon cul accueillant : il est entré d'un coup, totalement. Sa main sur ma nuque m'empêchant de "fuir" et de me dérober à ses coups de butoir.
Comme d'habitude, il m'a baisé sans pitié, durement, faisant entrer et sortir sa queue en totalité - rendant mon anus béant.
Comme souvent il m'a insulté - me traitant de sale pute, de salope, de "sale blanche", et autres insultes (je présume) en arabe. Il y a longtemps que j'ai appris à aimer être traitée ainsi.

Sa queue s'est vite tendue - générant en moi un mélange de soulagement et de légère frustration en même temps. Il a copieusement explosé sur mon dos et mes fesses dans un grand râle, me couvrant un peu plus jet après jet. Froidement, il s'est essuyé, a remis sa queue dans son pantalon, et m'a tendu la capote.

Au son de la porte qui claque, je me suis retrouvé seul, toujours a quatre pattes sur le lit, contemplant dans le mirroir mon cul totalement ouvert (une pièce de deux euros aurait facilement pu entrer) et mon corps poisseux de sperme. Comme parfois après m'être bien fait baiser 'hard' - je me suis masturbé, jouissant en contemplant le "carnage" et stimulé par l'odeur de foutre et l'excitation de la situation.

C'est une fois dans la douche que m'est venu à l'esprit le souvenir de mes premières fois, de ce moi du passé choqué par l'idée de faire ça avec un garçon, dégouté par le premier gars qui a demandé à jouir sur mon visage, offensé par le premier qui me traita de petite salope (un doux nom comparé à ce que j'entends depuis) ou par le premier qui me demanda si je voulais qu'il me fasse "tourner" à ses potes. C'est à ce moment que j'ai décidé que cette fois, j'allais commencer à écrire mon "évolution".
Published by Zimask
4 years ago
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Zimask Publisher 3 years ago
Probablement qu'il s'imagine une femelle, oui :smile: Tant mieux si ça marche comme ça.
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chouksam 3 years ago
il doit penser au cul de ta soeur en te niquant
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