Les culottes sales !!!

J’ai un gros pĂȘchĂ© mignon : j’adore les sous-vĂȘtements fĂ©minins, surtout ceux qui ont Ă©tĂ© portĂ©s !
Quel bonheur, Ă  mon sens, de sentir l’odeur de la chatte de la nana. Ça me fait bien bander. J’en profite pour me branler. DĂ©jĂ  Ă  l’adolescence, j’avais l’habitude d’aller voler les petites culottes de mes petites voisines qui sĂ©chaient sur les fils Ă  linge. Elles Ă©taient propres. Mais j’aimais imaginer le coton du fond toucher leurs petites minous. Il m’arrivait de les enfiler et de me caresser avec.

Je vais vous raconter certaines histoires de culottes qui me sont arrivées. Les prénoms des nanas ne sont pas les vrais
.

Les sous-vĂȘtements de Virginie.
J’ai une amie qui habitait la mĂȘme ville que moi. On avait une vingtaine d’annĂ©e. J’étais mariĂ© et elle Ă©tait cĂ©libataire, avec juste quelques histoires de cul par-ci par-lĂ . Elle est brune, yeux marrons, corpulence fine. Quand elle partait en vacances, elle nous confiait les clĂ©s de son petit pavillon, pour aller voir si tout aller bien. Un jour oĂč je venais de m’engueuler avec ma femme, pour calmer mes nerfs, je suis aller faire un tour. J’avais pris le trousseau de clĂ© de Virginie. Je suis rentrĂ© chez elle et je me suis dirigĂ© dans sa chambre. J’ai trouvĂ© son tiroir Ă  sous-vĂȘtements. Il y en avait tout plein, de toutes les couleurs, en dentelle, en coton
 ExcitĂ© de les avoir en main, j’ai virĂ© mon jean et mon boxer. J’avais la queue Ă  l’air chez mon amie, dans sa chambre. Je me suis glissĂ© dans son lit, et j’ai frottĂ© ma queue sur le drap housse. Ensuite, je suis revenu Ă  mon trĂ©sor. J’ai regardĂ© chaque culotte, caressĂ© le fond. Et je les ai enfilĂ©. Toute ! Tout en caressant ma queue bien dure. Elle avait beaucoup de mal Ă  logĂ© Ă  l’intĂ©rieur. Ça dĂ©passĂ© Ă  chaque fois. Il n’y avait pas que des culottes. Il y avait des strings. PremiĂšre fois oĂč j’avais une ficelle dans le cul. J’ai kiffé ! Et bien cachĂ© dans le tiroir j’ai trouvĂ© un joli string ficelle noir. Un tout petit string de salope. Je l’ai mis. Une toute petite ficelle dans ma raie, et ma queue qui ne pouvait pas du tout rentrer dans le petit triangle de satin. J’en ai aussi profitĂ© pour tripoter et essayer quelques sous-tif
 J’étais tellement excitĂ© que je me suis dirigĂ© vers la paniĂšre Ă  linges sales, la queue Ă  l’air, bien dure. J’ai fouillĂ© et trouvĂ© ce que je cherchais : une culotte, violette et noire. Mes couleurs de sous-vĂȘtements prĂ©fĂ©rĂ©es en plus. Je sentais le sang battre dans ma queue. J’admire ma trouvaille. Le fond portait des traces de sa chatte, de ses pertes vaginales. J’ai senti. Que c’était bon. Merveilleuse odeur de moule !!! Je suis remontĂ© dans sa chambre avec cette culotte sale, toujours avec le petit string noir de salope sur le cul, la queue sortie. J’ai choppĂ© une petite culotte propre que j’ai posĂ©e sur le lit, le fond bien en Ă©vidence. J’ai plaquĂ© le fond de la culotte sale sous mon nez et respirer Ă  plein poumon les rĂ©sidus de sa fĂ©minitĂ©. Et je me suis branlĂ© jusqu’à Ă©jaculer sur la culotte propre ! Je m’imaginais sa chatte, la lui lĂ©cher en mode 69, et balancer mon sperme bien au fond de son vagin au si doux parfum.
J’ai repliĂ© la culotte qui a reçu mon joui et je l’ai remise dans son tiroir. M’imaginant qu’un jour, mon jus sĂ©chĂ© ira au contact de sa chatte. J’ai tout repliĂ© et tout ranger.
Elle Ă©tait partie pendant deux semaines. J’ai bien Ă©videmment eu l’occasion de retourner recommencer. Je n’ai pas pu retrouver la mĂȘme sensation que la premiĂšre fois quand je sentais la culotte sale
 Quand je l’ai revue, je me suis demandĂ© quelle culotte elle portait. Celle oĂč j’ai joui ? Un string ? Le string de salope ? Le souvenir de l’odeur de son fond culotte me revenait, et je bandais. J’avais envie de l’allonger sur le lit, de lui baisser son slip et d’aller bouffer sa chatte pour avoir la merveilleuse odeur en direct


Le boxer rouge de Marie.
Pendant un Ă©tĂ© oĂč j’étais en vacances, seul car divorcĂ©, une amie est venue me rejoindre quelques jours pour s’aĂ©rer l’esprit. Bien qu’en couple, elle Ă©tait venue seule en voiture. ArrivĂ©e en fin de matinĂ©e, elle portait un jean. Elle se changea pour se mettre en jupe. La jupe Ă©tait courte, j’ai pu apercevoir le joli tissu de couleur rouge recouvrant sa petite chatte.
Je suis un obsĂ©dĂ©, mais pas un salaud, et je n’ai pas profitĂ© de la situation pour tenter de la sauter. On a fait chambre Ă  part dans le mobilhome. En allant me coucher dans la seconde chambre, je me suis aperçu qu’elle avait mis les vĂȘtements du jour dans un sac, laissĂ© dans la salle de bain. Une fois couchĂ©, j’ai attendu un bon moment, histoire d’ĂȘtre sĂ»r qu’elle dorme. Je suis allĂ© dans la salle de bain, examinĂ© le contenu du sac. Pas Ă©vident, d’y voir clair juste Ă  la lueur de la lune au travers de la fenĂȘtre. Il y avait le t-shirt, la jupe, le jean, le sous-tif du jour
 et un boxer. Rouge. Celui que j’avais vu le midi, celui au contact de sa petite chatte. Je l’embarque et retourne me coucher. Rien qu’au contact du nylon de son boxer dans ma main, ma queue commença Ă  se relever dans mon caleçon. A la lueur de la torche mon portable j’examine d’abord le boxer. Tout simple, d’un beau rouge excitant, en nylon. Le fond portait une trĂšs lĂ©gĂšre trace de chatte. Mais un parfum ! Un sublime parfum de chatte. Je me suis branlĂ© en me dĂ©lectant de l’odeur. J’avais envie d’aller la rejoindre dans sa chambre et de lui bouffer le minou. AprĂšs avoir joui, j’ai replacĂ© mon trĂ©sor dans le fond du sac.
Comme pour ma pote Virginie, ça m’a fait bizarre le lendemain matin quand elle s’est levĂ©e et qu’elle est venue me faire une bise pour me dire bonjour. J’avais l’odeur de sa petite moule bien ancrĂ©e dans mes souvenirs.
Elle est restĂ©e 5 jours avec moi. Tous les soirs, elle laissait ses fringues dans ce sac. Et tous les soirs, j’allais chercher le sous-vĂȘtement du jour. Elle ne portait que des boxers. Par contre, j’en profitait pour embarquer le boxer rouge. Je virais mon caleçon et enfilais le boxer rouge. C’était agrĂ©able de ressentir la douceur du nylon sur mon cul. Le troisiĂšme soir, en plus du boxer rouge que j’enfilais comme chaque soir, du boxer portĂ© du jour, je prenais un autre boxer pour jouir dedans. Pour Ă©taler mon sperme lĂ  oĂč sa chatte Ă©tait en contact


Le string de MĂ©gane
Je suis parti en week-end avec une bande de pote. Le soir, MĂ©gane sort de la salle de bain en peignoir tout en s’essuyant les cheveux. Elle me dit que je peux y aller. Qu’elle rangera ses affaires aprĂšs mon passage, quand elle ira se sĂ©cher les cheveux. Dans la salle de bain, je vois son maillot de bain posĂ© sur le sĂšche-serviette. MĂ©gane est une jolie blonde vĂ©nitienne. Je me fout Ă  poil, et j’enfile le bas de son maillot de bain deux piĂšces. Je m’excite en me caressant au travers. Je bande
 Sur le plan de toilette, je vois qu’elle avait pliĂ© son leggings qu’elle avait portĂ© le jour mĂȘme. Je le soulĂšve et trouve le sous-tif blanc en dentelle. Je le sens. Il dĂ©gagais juste son parfum. Je sors ma queue du maillot de bain et me branle en embrassant et lĂ©chant l’intĂ©rieur des bonnets du sous-tif. Je soulĂšve le t-shirt, mais je ne trouve rien d’autre. Je dĂ©plie un peu le leggings et je tombe sur son string. Un string de sport de couleur noire, le genre complĂ©ment invisible sous un leggings. Je regarde le fond : rempli de perte vaginale. Une belle Ă©paisseur. Je me suis demandĂ© si elle n’avait pas Ă©tĂ© excitĂ©e dans la journĂ©e et mouiller son string. Qu’est-ce qu’il sentait bon !!! la meilleure odeur que j’ai eu. J’ai retirĂ© le maillot de bain et je l’ai placĂ© pour recevoir ma semence. J’ai secouĂ© ma queue pendant que je me rĂ©galais de l’odeur de sa moule baveuse. J’ai balancĂ© mon joui. Pour ne pas me faire gauler, j’ai essuyĂ© son maillot de bain avec du PQ. J’ai franchement hĂ©sitĂ© Ă  glisser ce string dans ma poche pour m’en faire un nain-nain pour la nuit. Mais bon, ça aurait pu ĂȘtre louche qu’elle ne le retrouve pas aprĂšs mon passage



Je ne peux pas m’empĂȘcher dĂšs que je peux d’aller soit faire un tour dans le tiroir Ă  sous-vĂȘtements ou dans la paniĂšre Ă  linges sales des nanas chez qui je vais. Faut juste une chose : qu’elle me plaise sexuellement, qu’elle soit mignonne. Je ne sais pas combien j’ai pu en renifler des fonds de culottes sales, mais y’en a eu pas mal. J’ai mĂȘme eu une fois, un collant. La pote venait juste de se changer. Le collant Ă©tait encore chaud ! Il n’y avait pas d’odeur de cul ou de chatte, mais une bonne odeur de pieds. Je dois dire que, que ce n’est pas totalement dĂ©sagrĂ©able non plus de se branler en reniflant l’odeur de pieds d’un collant. Par contre, ce coup-lĂ , je suis reparti avec le collant dans la poche. Je l’ai reniflĂ© pendant quelques soirs. Malheureusement, au bout de quelques jours, il n’y avait plus l’odeur de ses pieds. A chaque fois que je la vois, j’ai une petite Ă©rection. Surtout quand je constate qu’elle porte un collant. Je crĂšve d’envie de lui demander de me donner sa culotte, que je connaisse l’odeur de sa chatte, car ça je ne le sais pas encore, et son collant pour l’odeur de ses pieds. J’imagine d’avance comme je serai excitĂ© si j’alternais l’odeur de sa chatte et de ses pieds. Et aller comble du fantasme : jouir dans son sous-tif

Published by KiMle69
4 years ago
Comments
1
Please or to post comments
Hairyredhead
Hairyredhead 1 year ago
Bandante les histoires! surtout celle du string de MĂ©gane ou il y a toute la panoplie fĂ©tichiste: maillot, string, soutif, legging. Cela m’a rendu tout raide! 
Reply