Elise

Allez, c’est reparti

Elise arrive en pleurant
elle se blottit contre moi, ses larmes coulent sur ma chemise
je la serre doucement dans mes bras
entre deux sanglots, elle m’apprend que son mec vient de la plaquer pour « une salope qui baise mieux
 » et qu’elle est Ă  la rue. Je la rassure en lui proposant de l’hĂ©berger le temps qu’elle trouve un appartement. Cela fait au moins 25 ans qu’on se connait, elle sait que je suis toujours là
je lui sers un cafĂ©. Par chance le modulaire qui hĂ©berge nos bureaux est Ă©loignĂ© de tout et rares sont les personnes Ă  y venir
on y est un peu chez nous. Elle boit son cafĂ© en reniflant et me dĂ©taille l’affaire
j’ai l’habitude, en 25ans elle a du se faire lourder au moins 40 fois, le plus « endurant » ayant dĂ» rester avec elle 18 mois et Ă©tant parti aprĂšs lui avoir vidĂ© le compte en banque
donc j’ai droit aux Ă©ternelles mĂȘme questions :
-qu’est- ce qu’ils ont tous ?
-tous des salauds, je dis pas ça pour toi, toi tu es bien, tu es restĂ© fidĂšle Ă  Marie

Marie c’était mon Ă©pouse, 20 ans d’une vie merveilleuse Ă  ses cĂŽtĂ©s jusqu’à ce qu’un chauffard la fauche sur un passage clouté c’était il y a 3 ans et depuis aucune femme n’a partagĂ© mon lit

Seulement, aujourd’hui, je ne suis pas d’humeur :
-et si pour une fois tu te posais les bonnes questions ?
Elle a beau ĂȘtre ma supĂ©rieure hiĂ©rarchique, j’ai dĂ©cidĂ© de ne pas la mĂ©nager.
-les bonnes questions ?
-tu ne te remets jamais en cause ? c’est toujours les hommes qui ne vont pas, mais regardes Elise, combien d’hommes ont couchĂ©s avec toi qui ont fini par partir ? regardes moi et Marie nous serions toujours ensemble si
.
- oui excuses moi, je me lamente alors que toi tu as perdu ta femme

- LĂ  n’est pas le problĂšme : comment crois-tu que Marie ait fait pour me garder ? Beaucoup de femmes ont essayĂ©es de m’attirer dans leurs lits, mais je suis toujours restĂ© fidĂšle Ă  Marie
sais-tu pourquoi ?
-euh non

- Marie savait ce qu’il faut faire pour retenir un homme dans son lit, visiblement malgrĂ© tous tes diplĂŽmes, tu n’as pas appris cela

Elle me regarda d’un air surpris et regagna son bureau
Nous n’avons parlĂ© que boulot durant tout le reste de la journĂ©e
Elle restait dans son coin, l’air dubitatif.
- Ma proposition tient toujours !
- Pardon ?
- Il est 18h00 je rentre à la maison
que veux-tu manger ce soir ?
- Oh merci David, je n’ai pas trùs faim tu sais
mes affaires les plus indispensables sont dans ma voiture le reste ce salaud les a mis dans un garde-meuble

- Ok tu me suis ?
J’ai concoctĂ© un risotto et le temps qu’il se fasse elle est passĂ©e dans la salle de bain.
Comme chez un vieil ami, ce que je suis d’ailleurs, elle est revenue en nuisette et peignoir, les cheveux enveloppĂ©s dans une serviette.
J’avais servi l’apĂ©ro, le risotto mijotait, nous parlions de tout et de rien. Nous attaquions le 4Ăšme apĂ©ro quand la conversation du matin reprit :
- David, c’est indiscret ce que je vais te demander
comment Marie a-t-elle fait pour te garder ? tu as toujours Ă©tĂ© bel homme, toutes les femmes se retournent sur ton passage et toi je ne t’ai jamais vu faire le moindre Ă©cart

- Marie et moi nous sommes connus jeunes
j’étais son premier
moi j’avais dĂ©jĂ  couchĂ© avec d’autres femmes
dont une amie de ma mĂšre qui m’a appris comment satisfaire les femmes et qui surtout savait comment satisfaire les hommes

- Une femme plus agée ?
- Surtout plus expĂ©rimentĂ©e
quand j’ai rencontrĂ© Marie, j’ai tout de suite su qu’elle Ă©tait la femme de ma vie. J’ai quittĂ© cette femme plus agĂ©e car je voulais me consacrer exclusivement Ă  Marie, tu comprends ?
- Oui, j’ai toujours su que tu Ă©tais un mec bien

- Peut-ĂȘtre pas si bien que cela
j’ai « façonnĂ© » Marie
elle a tout appris avec moi, mais surtout elle a Ă©pousĂ© mes fantasmes
elle s’est soumise Ă  tous mes dĂ©sirs 
bien sĂ»r je crois qu’elle y prenait du plaisir, elle n’était pas une esclave sexuelle, souvent c’était mĂȘme elle qui prenait l’initiative

- elle a eu bien de la chance

- non elle a fait ce qu’il fallait !
- mais enfin y’en a marre ! c’est quoi faire ce qu’il faut ?
elle Ă©tait toute rouge de s’ĂȘtre ainsi Ă©nervĂ©e

- tu veux vraiment le savoir ? quand tu suces ton mec, tu fais comment ?
elle me regardait avec des yeux ronds d’étonnement :
-ben je
euh
c’est pas facile, je

Etait-ce l’alcool, le fait de la voir ainsi dĂ©semparĂ©e, mon abstinence forcĂ©e, je ne sais pas mais je lui dis :
-montres moi comment tu fais et je vais te dire ce qui cloche !
Je m’attendais Ă  une gifle, un verre au visage, mais au lieu de cela, elle s’agenouilla devant moi et entreprit d’ouvrir la braguette de mon pantalon
je l’aidais
.elle Ă©tait maladroite tellement elle Ă©tait nerveuse
je me mis debout

- mets tes mains derriùre ton dos, je veux que tu me suces pas que tu me branles

elle obtempĂ©ra
du coup, l’ivresse n’aidant pas, se mouvements Ă©taient accentuĂ©s et ma verge bien bandĂ©e lui tapait au fond de la gorge provoquant chez elle des hauts le cƓur 

-joues avec ta langue sur le méat
-LĂšches le long de la hampe
Docilement, elle s’exĂ©cutait
son peignoir s’était ouvert et j’avais retirĂ© la serviette de ses cheveux.
C’est une belle femme, les seins sont petits mais fermes, elle a un beau visage et son corps est harmonieux

-je vais te prendre

Je lui maintiens les mains derriĂšre le dos en la forçant Ă  s’incliner
son front touche le tapis. Je me poste derriĂšre elle en faisant remonter sa nuisette jusqu’aux Ă©paules
je verrai ses seins balloter sous mes coups de boutoir
elle ne dit rien
je passe un doigt sur sa chatte touffue
elle mouille abondamment
je glisse un doigt dans son vagin, elle se contracte un peu mais laisse faire
je glisse un deuxiĂšme doigt, son cul part lĂ©gĂšrement Ă  la rencontre des doigts inquisiteurs
je joue un peu Ă  l’intĂ©rieur de sa chatte
elle commence Ă  soupirer d’aise. Des gargouillis se font entendre. Je place mon sexe Ă  l’entrĂ©e de son puit et pousse doucement. Ma bite se fraye un passage facilement. Je lui agrippe les hanches et entreprends mon va et vient
elle mouille vraiment beaucoup
je la lime pourtant en douceur mais elle inonde le tapis
j’adore
soudain dans un spasme qui manque m’expulser de sa chatte elle s’effondre sur le tapis ne poussant un long cri de jouissance

Je la remonte en glissant mes bras sous son ventre et profitant de sa passivitĂ©, je pose ma bite sur son Ɠillet et pousse
elle Ă©touffe un cri. Je force un peu, son cul est Ă  moi
j’enfonce progressivement ma queue dans son rectum
elle gĂ©mit
je ne l’écoute pas, je commence Ă  la limer, j’accentue l’amplitude de mon mouvement
ses gĂ©missements se sont tus. Je la lime de plus en plus fort. Elle pousse de petits cris de plaisir quand dans un rĂąle je jouis en elle
je fais encore quelque va et vient dans son fondement avant de ressortir.
-mets-toi Ă  quatre pattes
Elle obéit
-suces moi !
Elle obéit

- voilĂ  tu as quelques bases maintenant pour garder un homme dans ton lit
Elle couvres mon sexe de petits baisers
- merci, merci
dis demain tu m’apprendras d’autres « bases » 
le risotto est cramĂ©, mais c’est Ă©gal : je crois qu’Elise est une bonne « recrue »
Je dois l’avouer, elle m’a scotchĂ© :

Elle a voulu que je l’encule 4 fois durant la nuit...elle me suçait longuement, en suivant mes directives puis elle se positionnait pour une levrette, je la baisais, elle jouissait en mouillant abondamment puis implorait que je l’encule
je la pilonnai donc sauvagement, la tenant par les cheveux, lui claquant les fesses franchement et la traitant de salope juste bonne Ă  se faire enculer
ça la faisait encore plus jouir et mouiller. La vue du flot de foutre coulant de son cul me faisait bander rapidement ce qui semble-t-il dĂ©clenchait en elle l’envie de recommencer


Je finis par m’effondrer repus de fatigue
On a beau dire, on a plus 20 ans


Le lendemain elle dormait nue Ă  cĂŽtĂ© de moi quand je m’éveillais
je devais dĂ©mĂ©nager un copain qui divorçait. Je lui indiquai sur un petit mot qu’elle pouvait profiter de la maison

Le déménagement terminé, je rentrais.

Elle avait enfilĂ© un de mes T-shirt ce qui semblait constituer ses seuls vĂȘtements
comme je m’approchais d’elle, elle se tourna, me gratifia d’un grand sourire et ouvrit ma braguette
elle s’appliqua Ă  me prodiguer une fellation divine. Elle ne maitrisait pas encore tout Ă  fait l’art de la gorge profonde mais cela viendrait
quand elle eut avaler la derniĂšre goutte et bien nettoyĂ© mon manche, elle me dit :

- Je suppose que ce dĂ©mĂ©nagement t’a affamĂ©

C’était le cas, elle avait mitonnĂ© un filet mignon et ouvert une bouteille de Saint Chinian


Tout en dégustant son repas, elle me dit :

- Veux-tu bien de moi comme ta soumise ?

- Tu sais ce que cela implique ?

- Sans doute pas tout, mais cela m’est Ă©gal
elle rougit. Tu sais je n’ai jamais joui comme cette nuit
c’était si bon
pourtant tu sais j’ai dĂ©jĂ  sucĂ© pas mal d’autres mecs, certains m’ont enculĂ© aussi, mais jamais je n’avais atteint l’orgasme ainsi
j’ai visionnĂ© des vidĂ©os qui Ă©taient dans le meuble TV, c’est ce que je veux


- Il n’y a pas de retour possible aprùs, tu le sais


- Je me doute et d’ailleurs pour te faire plaisir j’ai fait ça :

Elle souleva le T-Shirt : elle s’était intĂ©gralement Ă©pilĂ©e et avait inscrit au marqueur sur son ventre : SOUMISE ELISE

- ça te plairait que je me fasse tatouer ça ?

- Nous n’en sommes pas là
ce n’est pas une dĂ©cision Ă  prendre Ă  la lĂ©gĂšre


- tu ne veux pas de moi, je ne te plais pas ? Je sais que je ne suis pas Ă  la hauteur de Marie, je ne veux pas la remplacer, je veux juste ĂȘtre Elise, ta soumise, tu comprends ?

Les sanglots de sa voix m’émurent


- Ça ne te sera pas toujours facile
Marie a pris beaucoup sur elle pour atteindre ce niveau de soumission, mais soit, j’accepte de relever le dĂ©fi
je te prends Ă  l'essai comme soumise


Elle se jeta sur moi en me couvrant de baisers, on aurait dit une gamine de 20ans
elle pleurait en bafouillant des mercis
l’apprentissage pouvait commencer
j’allais chercher 2 pinces Ă  linge. Un modĂšle en inox au ressort trĂšs fort
elle les regarda interloquĂ©e, puis compris
elle retint sa respiration mais lorsque les mĂąchoires se refermĂšrent sur son tĂȘton, je vis poindre une larme


- ça va?

Elle opina doucement de la tĂȘte :

- Oui, c’est ce que tu aimes donc c’est ce que je 


Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase : la 2Ăšme pince Ă©tait en place


Nous avions toute la nuit devant nous pour lui donner un aperçu de ce qu’allait devenir sa vie

Published by josyldo
4 years ago
Comments
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ccandau
ccandau 4 months ago
quel superbe récit 
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##deleted_125009556
Est-ce notre préoccupation de retenir un homme? Un de perdu Dix de trouvés...
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filoufax
TrĂšs bien, j’aime les rĂ©cits erotiques anssi que les plus trash 
.cool
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