Amande, mon plaisir doré

Une amie de longue date que je surnommai pisseuse. Surnom donné pour je ne sais quelle occasion mais qui est resté entre nous. En fait, je l’appelle ainsi uniquement lorsque je souhaite la taquiner. C’était durant une longue soirée d’hiver. Nous avions pour habitude de passer du temps ensemble. Nous cultivons notre amitié par ce biais. A ces occasions, nous avons coutume d’oublier notre vie familiale, celle de tous les jours, pour nous livrer l’un à l’autre, avouer nos péchés et envies respectives. Amande est son prénom, une personne aussi croquante que le fruit, agréable tant physiquement qu’intellectuellement. Nous avions toujours une bouteille de bon vin lors de ces longues conversations.
Ce soir là était particulier. Je fêtais un heureux évènement dans ma vie professionnelle et je réservais donc cette bouteille pour ma soirée avec Amande. J’arrivais au point de rendez vous que nous nous étions fixés. J’avais opté pour un rendez vous grand luxe. Arrivez dans la chambre d’hôtel, Amande était surprise. Je lui expliquais pourquoi et partager ainsi une partie de mon bonheur. Elle se laissa entrainer dans cette suite avec jacuzzi. Elle avait pris son bikini pour l’occasion et elle comprenait mieux ma demande maintenant.

J’ouvris le magnum de champagne que l’on m’avait offert plutôt dans la journée, sortis 2 flûtes afin de fêter cela avec mon amie. Elle était déjà revêtue de son bikini et dans le jacuzzi à m’attendre. Je lui fis la remarque qu’elle ne perdait pas de temps et actionna les bulles du jacuzzi. Je déposai la bouteille à coté et fis de même, lui servis une première flute et nous trinquâmes.

La soirée commença comme à l’accoutumé, tranquillement, à discuter de tout et rien dans un premier temps. Le problème est que, pour nous, le tout et rien englobe aussi les sujets intimes et certains tabous que nous avons mais envers les autres, pas entre nous. Ce qui n’est pas un problème en soi. Nous profitions ainsi du luxe de la chambre d’hôtel, du champagne mais aussi la bouteille de vin qu’Amande avait ramené.

Nous étions entrainés par le flot de nos histoires et n’avons même pas songé un instant à commander à manger. Les fines bulles nous montèrent rapidement à la tête et étions rapidement gays. Je commençais donc à la taquiner lorsqu’elle me raconta 2, 3 de ces péripéties et son surnom de pisseuse refit surface. Elle souriait toujours à entendre ce surnom et j’aime ce sourire. Nous continuâmes ainsi pendant un moment. Jusqu’au moment où, se laissant entrainer par la gaieté. Elle s’approcha de moi et ses confidences se firent de plus en plus intimes. C’était un coté d’elle que je ne connaissais pas. Elle m’avouait certains de ces fantasmes qui sortait des sentiers battus. Connaissant la personne, je n’en fus pas choqué. Je fis de même. Nous nous aperçûmes que nous partagions certaines de nos envies, inavouées jusqu’alors. Je me rapprocha d’elle à mon tour et la pris affectueusement dans mes bras. Notre flot de parole était ininterrompu. Je lui resservis un nouveau verre et il semblerait que ce dernier soit le déclencheur de la suite des évènements imprévisibles jusqu’à maintenant tant notre relation était forte, et l’ai encore aujourd’hui bien heureusement.

La bouteille étant dans mon dos, elle vint vers moi puis se positionna fasse à moi. Elle s’assit sur moi et me pris entre ses jambes. Elle prit son verre ainsi et me regarda dans les yeux tout en me parlant. Je n’y voyais rien de mal. Elle descendit son verre d’un trait, se pencha pour se servir à nouveau. Puis son surnom ressorti. Serait-ce d’un fait exprès mais inconscient au vu de la position dans laquelle nous étions ? Elle me glissa à l’oreille que l’une de ces envies, de ces fantasmes était la douche dorée. Je la regardais sans rien dire mais il est fort possible que mon regard en disait trop. Elle rapprocha son bassin un peu plus de moi. Puis elle revint à mon oreille. Je sentis dans l’eau un très léger courant chaud. Elle me demanda si je l’avais senti. Je lui dis oui. Elle me regarda puis d’un coup m’embrassa. Je me laissais porter par l’action et par cette envie réciproque. Elle s’arrêta puis me demanda si j’avais aimé. Je lui avoua que oui, que j’aimerai recommencer. Nous nous sommes allés ainsi à nous embrasser. Les baisers devinrent de plus en plus longs et bons.

Nous sommes sortis du jacuzzi. Nous primes la direction de la douche. Je me fis un plaisir de l’y emmener dans mes bras avec quelques bisous qui se perdaient dans le cou, les épaules et les joues. Elle me fit face, me regarda et me demanda de la déshabiller. Je me collai à elle, l’embrassai et défis le haut de son bikini, il tomba au sol. Puis doucement, mes mains voyageaient dans son dos pour arriver sur ses fesses. Je me baissais mon corps doucement, tout en embrassant le sien. Je me retrouvai à genoux devant elle. Elle me regardait faire. Je baissais doucement le bas de son bikini et découvris ainsi l’intimité de son mont de vénus. Agréable à la caresse de mes lèvres, je me surprenais à prendre plaisir à l’embrasser ici et connaitre son intimité. Une fois le bas enlever, elle écarta un jambe. J’allais embrasser son rubis de plaisir quand elle m’arrêta. Elle me demanda de la regarder. Je ne comprenais pas. J’allais me relever lorsqu’elle me stoppa. Elle voulait que je reste ainsi tout en la regardant. C’est ainsi que c’est arrivé. Je sentis couler sur moi un liquide chaud. D’abord quelques gouttes puis un petit jet. Surprise puis délectation, ce furent les 2 états d’esprit, les 2 sentiments que j’ai éprouvé à ce moment. L’un court pour m’amener à l’autre dans lequel je me perdais et une excitation plus forte s’est fait ressentir dans mon bas ventre. Une fois terminé, je me laissais aller à embrasser son clitoris encore mouillé. Je me relevai pour embrasser ses lèvres et la serrer contre moi. Tout humide que j’étais, elle ne me rejeta pas bien au contraire. Elle me demanda de lui rendre ce qu’elle venait de m’offrir. Elle s’agenouilla à son tour. Je me laissai donc aller à lui offrir aussi une douche dorée pour notre plus grand plaisir. Elle prit mon sexe dans sa bouche. Commença une fellation ainsi, à genoux. C’était si bon d’être dans sa bouche. Elle aspirait mon sexe et je me laissais aller cette caresse buccale. Je fus étonné de m’entendre gémir de plaisir. Elle se releva puis m’embrassa à nouveau. Nous étions trempés de ce nectar. « C’est malin » me dit elle dans un sourire coquin. « Mais ainsi tu sais pourquoi tu pourras m’appeler pisseuse » ajouta-t-elle. Je la pris dans mes bras, la serra fort contre moi. Nous primes la douche ainsi à se laver l’un l’autre.

De retour dans la chambre, j’ouvris la bouteille de vin. Elle revint l’air gêné. Je lui demandais pourquoi cet air. Elle me dit qu’elle se sentait un peu honteuse d’avoir été si loin avec moi. Je m’approchai d’elle, lui tendis un verre de vin. Je l’embrassai en réponse. « Bien au contraire, c’était bon. Laissons nous aller plutôt. J’en ai envie autant que toi. » Elle me regarda et me suivit jusqu’au lit. Elle but puis s’allongea à cote de moi. Nous avions remis nos sous-vêtements. Nous nous embrassâmes à nouveau, encore et encore. Nos mains caressaient nos corps. Je lui dégrafai son soutien-gorge que je mis par terre. Je passai au-dessus d’elle puis embrassai ses seins. Je continuais à les lécher et m’attardai sur les tétons. Elle écarta doucement les jambes, mon corps glissa entre. J’appuyais mon bas ventre contre le sien. Nos corps se mirent en mouvement sous l’effet excitant d’un baiser langoureux. Nous échangeâmes nos places. Son shorty glissa jusqu’à ses chevilles puis se perdit au sol. Elle m’enjamba ainsi. S’arrêta de m’embrasser puis descendit doucement pour sucer à nouveau. Je mis mes mains sur sa tête, elle me regardait en même temps. Je ferma les yeux. Elle s’arrêta puis vint au-dessus de moi mais dans la position du 69. Elle m’offrit ainsi toutes ses sources de plaisir. Son odeur intime m’envahit, mes sens étaient importés. Je me mis à caresser son sexe avec ma langue. M’attardant d’abord sur son clitoris, je l’entendis gémir. Mes mains caressaient ses fesses, encore hésitantes cause de la méconnaissance de ma partenaire. Elle se relevé un peu, son sexe était posé sur ma bouche. Elle appuyait et bougeait doucement son bassin. Mon excitation si fit plus dure. Je me sentis agréablement dominé par elle. Je me mis à me caresser en même temps. Je savais son regard posé sur moi. Je me laissais aller ainsi. Elle descendit son buste et pris le relai. Elle passa sur le côté et se mit sur le dos. Je vins de nouveau entre ses jambes, mon sexe collé contre le sien. Je l’embrassais, mon sexe commença à glisser doucement en elle. Je me mis à faire de petit va et vient. Et de plus en plus long, aller plus en elle. Je pris un grand plaisir. Elle me serra fort dans ses bras, gémir sous mon mouvement. Ses mains se perdaient sur mon dos. Je m’arrêtai. Elle se mit à 4 pattes. J’embrassai son dos, ses fesses. Je les caressais avec ma langue. Sous l’effet de cette douceur, elle s’est mis à plus cambrer son corps. Je me positionnais derrière elle mon sexe en avant pour la prendre. Je présenta mon sexe contre le sien et il glissa facilement en elle. Je mis mes mains sur ses hanches et commença ainsi des va et vient. Un de mes doigt se posa entre ses fesses ce qui lui apporta plus de plaisir. Je lui fis ainsi l’amour, longuement et tendrement. Elle était docile, se laissait faire. Je sentis mon orgasme arrivé et elle aussi. Elle me demanda de me laisser en elle, qu’elle voulait le sentir au plus profond de son sexe. Je me laissa donc aller ainsi au plaisir et à l’orgasme. Je m’allongea sur le côté. Elle me regarda puis me fit une fellation, très courte. Je ne comprenais pas pourquoi. Elle me regarda puis m’embrassa. Je la regardais surpris. Aimes-tu me demanda-t-elle. Elle avait un gout un peu salé mais pas désagréable. Je répondis que oui. Alors embrasse mon sexe de ta langue me répondit elle. Tu en auras encore. Elle se remit en 69, me présenta son sexe à ma bouche et l’appuya dessus. J’étais un peu réfractaire au début puis me laissa aller au doux gout de son sexe mélangé au mien. Mes caresses étaient timides puis cette timidité disparaissait petit à petit. Je léchais son sexe puis suçais son clito. Elle eut son orgasme ainsi. Elle avait relevé un peu le buste puis cambrer son corps. Elle gémissait de plus en plus fort. Ce fut un moment délicieux et inoubliable. Elle revint m’embrasser. Puis s’allonger à mes côtés. Nous avons passé la nuit ainsi ensemble nu l’un contre l’autre.

Au beau matin, nous avons dû reprendre nos chemins. Notre relation est devenue plus intime depuis et chaque qui passe il me tarde de la revoir, de profiter d’elle.
Published by marc8878
4 years ago
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