épisode 5: l'étudiant soumis

Mercredi matin : Levé à 07h00, je descends vers 08H00 pour le petit déjeuner. MADEMOISELLE DENISE est déjà parti, il ne reste que MADAME ELEONORE qui n’est pas encore levée. Je déjeune tranquillement car les cours commencent à 10h00. J’entends MADAME ELEONORE qui m’appelle, je me dirige vers sa chambre, frappe à sa porte et elle me demande de rentrer. Elle est encore couchée, me fait un beau sourire et me demande si je peux lui apporter son petit déjeuner au lit. Comme j’avais du temps, je lui répondis que c’était possible ce matin, et donc 15 minutes après, son plateau était posé sur le lit. Je referme la porte de sa chambre et monte m’habiller dans la mienne pour partir vers 09h30 à l’école. Quelques mètres avant le portail, mes amis viennent à ma rencontre, Julien et Paul me regarde et Paul me dis « et bien pascalou, tu cache bien ton jeu ». Je leur dit que je ne savais pas du tout qu’elle allait faire ça, et encore moins devant vous, oser m’embrasser en public. Ils me demandent si c’était ma petite amie parisienne car je leurs avaient dit que j’avais mon amie qui était en province. Je ne savais quoi répondre à sa question, j’étais très embarrassé. Je leur ai dit que c’était une amie seulement mais je pense qu’ils ne m’ont pas cru. La journée passe vite, et le soir venu, ce fut MADAME ELEONORE qui m’attendait devant l’école. Je ne savais plus ou me mettre, j’étais gêné de sa présence, surtout avec mes amis avec moi. Elle était au même endroit que sa fille hier, elle était debout, porté un tailleur jupe gris clair, des collant clair et des escarpins noirs à talons haut, avec ses lunettes de soleil, elle était superbe et très classe. Julien en serait presque tombé amoureux rien qu’en la regardant, tellement elle dégageait un charme fou. Elle s’avança vers moi, elle dit bonjour à mes amis en leur serrant la main, se présenta comme la propriétaire de l’appartement qu’elle me louer. Paul fit tout de suite le rapprochement avec la petite annonce à laquelle il avait renoncé à répondre, et était très curieux de savoir en quoi il s’agissait exactement. MADAME ELEONORE me prend ma main et m’entraine vers la maison. J’étais rouge de honte envers mes amis et surtout de Paul qui savait un peu à quoi correspondez l’annonce un peu particulière. Une fois rentré à l’appartement, je m’étais changé, j’avais mis mes talons de 12 cm, ma tenue de soubrette et je descendis rejoindre MAITRESSE ELEONORE et MAITRESSE DENISE qui venait de rentrer. Pas facile de marcher avec les talons, ce qui fit rire MAITRESSE ELEONORE et MAITRESSE DENISE lorsqu’elles me virent arriver vers elles. Je m’agenouille à leurs pieds, ou plutôt devant leurs cuissardes rouges à talons très hauts, et je leurs dit « MAITRESSES je vous appartiens pour la soirée ». MAITRESSE ELEONORE me met un collier autour du coup avec mon prénom, comme pour un chien. MAITRESSE DENISE me demande de m’allonger dos au sol, elle retire son string dentelle noir qu’elle a porté toute la journée avec son odeur très intimes, et me le met dans la bouche. Puis elle vient s’assoir sur mon visage, et je ne vis plus rien, j’avais du mal respirer, seulement par bouche au travers du string car mon nez était en plein sur l’anus et bien collé à lui. Quand à MAITRESSE ELEONORE, elle avait aussi retiré son string rouge, et c’était assise en haut de mes cuisses et me masturber jusqu’à mon premier gémissement, puis s’arrêta, et je sentis mon sexe la pénétrer. Elle était venu se poser sur mon sexe, et avec ses mouvement de monter/descente, elle était en train de me violer. Je jouis très rapidement et je nager dans le bonheur malgré mes difficultés respiratoires, et je sentis quelques gouttes de jouissance coulées directement du sexe de MAITRESSE DENISE dans ma bouche. Je croyais que ces dames avaient fini, mais pas du tout, elles ont inversées les rôles, j’avais le string de MAITRESSE ELEONORE dans ma bouche, mon nez bien enfoncé dans son anus et MAITRESSE DENISE était en train de me violer comme sa mère. Cela dura bien plus longtemps qu’avec sa maman, je ne pouvais plus jouir, et MAITRESSE DENISE était dans une excitation très forte, elle me pinçait les tétons très fort avec ses ongles à chacun de ses gémissements jusqu'à ce qu’elle jouisse. J’étais épuisé comme si j’avais couru un marathon. Les deux femmes se lèvent et me demandent de leurs servir le repas. Ce soir, je n’avais pas le droit de manger à table, MAITRESSE ELEONORE avait posé une gamelle de chien entre ses cuissardes et je devais manger à 4 pattes avec les mains menottées dans le dos. Pas facile du tout, en plus je n’arrivais pas à couper avec mes dents les gros morceaux. Il en fut de même pour boire, il y avait une autre gamelle entre les cuissardes de MAITRESSE DENISE dans laquelle l’équivalent d’un verre de vin avait été mis. Une fois terminé, MAITRESSE ELEONORE me demanda de venir vers elle pour me frotter le museau, comme à un chien. Je passais le reste de la soirée en leur servant de repose pieds et bien sur MAITRESSE ELEONORE en profita pour me masturber avec ses semelles des cuissardes et bien sur elle me fit à nouveau jouir. Il était 23h30 quand je retirai mes escarpins avec un mal aux pieds et aux chevilles, puis retira mon tablier de soubrette et quand j’allais me coucher, j’entendis frapper à ma porte. J’ouvre et MAITRESSE DENISE me donne une superbe gifle à m’en décrocher la mâchoire. Je porte ma main sur ma joue, fait une grimace sous la douleur, elle me prend les épaules et me pousse sur mon lit. Et moi dit elle, je n’ai pas eu le droit de te faire jouir avec mes cuissardes, heinnnn, pourquoi !!! je ne comprenais pas ce qu’elle voulait, elle se sentait peut être frustrée d’avoir eu que ma tête à ses pieds alors que sa maman avait mon sexe et s’amusez beaucoup avec jusqu'à ce que je jouisse sous ses semelles. Tu vas me le payer cher me dit elle. Elle me retire mon caleçon, prend mon sexe un peu raidis par cette mésaventure, commence une fellation, puis me mord très fortement le bout du zizi. Je hurle de douleur mais elle ne lâche rien, bien au contraire, elle enfonce en plus ses ongles longs dans mes testicules, la douleur est insoutenable, je débande aussitôt dans sa bouche, je me contorsionne sous la douleur. Elle retire mon sexe bien rougit par la pression de ses dents et on y voit largement l’emplacement de ses dents sur mon zizi tellement elle à mordu très fort, même quelques petites gouttes de sang sorte de l’urètre, elle a du couper un petit vaisseau sanguin. J’avais horriblement mal, je la supplie de me laisser tranquille, j’étais épuisé et vidé, je tenais à peine debout et je devais me levé à 07h00 et il était déjà presque minuit. J’étais encore allongé sur le lit, elle vient sur moi à califourchon sur mon ventre, me pince fortement mes tétons avec ses ongles et me dit « la prochaine fois c’est moi qui aura ton sexe à mes pieds sinon je te promets que je te l’arrache avec mes dents ». D’un seul coup, je pris peur, elle était très furieuse et je la croyais vraiment quand elle m’a dit ca. Elle posa sa main droite à nouveau sur mon sexe, la serra très fort, je sursautai sous la pression et me dit « souvient toi de ca ». Elle se lava et sortie. Que d’émotion pour un seul soir. Je me suis couché avec l’impression d’avoir mon sexe dans un étau tellement il me faisait mal. Quand je me suis levé dans la nuit pour allais pisser, quelques gouttes de sang sont sortis avant l’urine
Published by noravost
4 years ago
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fycusdore
fycusdore 4 years ago
genial...
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