Premier rendez-vous torride
Il venait d'arriver à Douvres, entre Caen et le bord de mer. On était en début de mois de juin, il y avait beaucoup de soleil. Céleste lui avait donné rendez-vous chez elle, en lui disant qu'ils seraient au calme et en précisant qu'elle avait un grand lit. Pendant ces cinq jours depuis leurs premiers amusements, ils s'étaient beaucoup écrit. Ils s'envoyaient pas mal de SMS et de smileys avec un sens un peu coquin.
Il lui avait même apporté des fleurs. Un petit bouquet de roses de couleur rose. Pas rouges ni blanches, il tenait à lui offrir des roses de couleur rose. Il y en avait cinq dans le bouquet. Un nombre impair, comme c'est l'usage, et comme on était cinq jours plus tard, cinq roses c'était tout simplement parfait.
Céleste habitait un appartement, situé dans une grande maison où on avait aménagé plusieurs logements séparés. Le jardin était devenu un petit parking. Il était treize heures trente. La cloche de l'église sonnait. Le jeune homme était à l'heure. Il détestait arriver en retard, et il aimait encore moins faire attendre une belle femme à laquelle il plaisait.
Il arriva devant la porte de l'appartement de Céleste et sonna, il entendit des pas se rapprocher de l'autre côté, vit la clenche s'abaisser.
La porte s'ouvrit sur une Céleste absolument superbe. Elle portait des bas noirs, sous une jolie robe rose qui formait une adorable corolle qui descendait jusqu'au-dessus des genoux. En haut, sa robe offrait un magnifique décolleté. Elle avait mis par-dessus un petit gilet noir, qu'elle avait laissé complètement ouvert. Ses cheveux étaient détachés et délicatement ondulés. Elle portait une petite chaînette avec un pendentif autour du cou, une bague à l'index de la main droite. Ses pieds étaient chaussés de petits escarpins noirs à talons. Elle était éblouissante, et elle lui donnait vraiment très envie.
"Bonjour. Tu es absolument superbe, ma petite Céleste chérie", murmura t-il avant d'entrer et de l'embrasser sur la bouche, sans la langue.
Il venait de se dire qu'il n'avait pourtant pas convenu avec elle de l'emmener aujourd'hui à un mariage, mais il garda cette pensée pour lui.
La jeune femme lui dit bonjour après qu'ils se soient embrassés et lui parla des fleurs. L'homme n'avait pas caché les roses dans son dos pour lui faire la surprise. Elle le remercia en ajoutant que c'était vraiment adorable de sa part. Il lui tendit les roses, et dès qu'il eut les mains libres, il lui caressa l'épaule du bout des doigts.
"Elles sont de la même couleur que ta robe", s'amusa t-il.
"C'est mon côté télépathe, mais tu verras, tu t'y habitueras vite", plaisanta t-elle dans un grand sourire.
Elle l'invita dans le salon, en lui montrant le chemin. Ses talons claquaient doucement sur le carrelage. Il était en train de se demander si elle était passée la première pour lui donner l'occasion d'admirer ses belles fesses et son léger déhanché pendant qu'elle marchait.
L'appartement était lumineux et accueillant. Une impression agréable et chaleureuse s'en dégageait. Le parfum de Céleste embaumait la pièce toute entière. Un parfum fruité. Il faisait parfaitement la différence entre les fragrances florales et les senteurs fruitées. La jeune femme attrapa un vase qui traînait sur un guéridon, se dirigea vers le coin cuisine et le remplit d'eau avant de mettre les fleurs dedans. Elle venait d'avoir un petit geste très élégant pour séparer les fleurs les unes des autres et leur faire prendre un peu d'ampleur au niveau de la partie du bouquet qui dépassait du vase. Elle posa doucement le bouquet sur la table du salon, et le contempla un instant. Dans l'intervalle, ils avaient échangé quelques nouvelles, elle lui avait proposé de boire quelque chose. Il avait répondu qu'il prendrait un café.
Pendant que Céleste regardait les fleurs, il s'était glissé derrière elle et lui tenait délicatement la taille. Il respirait son parfum dans ses cheveux.
"Vous sentez vraiment très bon, mademoiselle."
"Je suis sûre que tu as vraiment très envie de moi", s'amusa t-elle en tournant la tête vers lui.
Le jeune homme lui roula une pelle et lui répondit qu'il avait vraiment très très envie d'elle, en ajoutant qu'il avait imaginé ce moment depuis l'instant où ils s'étaient séparés la dernière fois.
"Vous savez embrasser mieux que ça, cher monsieur", le taquina t-elle en passant la main dans ses cheveux courts.
"Je nous fais un café maintenant ou on attend un peu ?"
Il ne répondit pas tout de suite, mais fit un geste du poignet, comme s'il pointait une baguette magique invisible en direction de la machine à café.
"Maintenant, ma belle, si tu veux bien. Mais je vois que je vais encore devoir m'entraîner un peu, la machine ne s'est pas allumée toute seule", murmura t-il dans un sourire.
Pendant que la machine à café ronflait, ils se roulaient des pelles et se faisaient des câlins. Juste avant que le café ne soit prêt, il était en train de la soulever doucement. Elle s'était accrochée à son cou en éclatant de rire. Puis il la reposa doucement et ils burent un café. Elle lui demanda quelques nouvelles de son travail, le genre de choses qu'il dessinait en ce moment, si il avait des expositions prévues... Ils étaient assis côte à côte dans le canapé, épaule contre épaule, à tel point qu'à un moment elle se retrouva dans ses bras.
Il lui embrassait déjà le cou, écartant un peu du bout des doigts le gilet que Céleste portait, pour lui mettre un peu plus à nu le haut de la poitrine, et lui faire des bisous encore un peu plus bas. Elle le sentait bander contre ses fesses et dans le bas de son dos, elle se tortillait un peu dans ses bras. Elle ôta ses chaussures qui claquèrent une dernière fois contre le carrelage. La demoiselle frottait le mollet du jeune homme avec son pied. Il imaginait la sensation douce de ses bas caressant sa cuisse alors qu'il portait son pantalon et que la jambe de la jeune femme frottait contre le tissu, tout en lui faisant énormément d'effet.
Céleste se sentait tellement bien dans ses bras, il l'embrassait sur la bouche par moments, et d'une certaine manière, ça la rassurait beaucoup. Elle avait l'impression de compter pour lui, pas comme des acteurs dans une vidéo pornographique qui baisent comme des animaux sans jamais échanger la moindre petite attention complice.
"Je mouille déjà, tu me rends folle", chuchota la ravissante libraire, pendant que son partenaire écartait son gilet de l'autre côté, pour laisser Céleste avec les deux épaules dénudées.
Sa robe était maintenue par deux bretelles très fines. Il savait à présent qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, car il n'y avait que deux bretelles qui couraient sur sa peau douce. Le jeune homme l'imagina nue sous sa robe, juste en porte-jarretelles et avec une jolie culotte très affriolante.
"Tu es tellement désirable. Mon sexe est tellement bon quand je bande pour toi, ma petite chérie", lui susurra t-il à l'oreille entre deux petits bisous dans le cou.
Elle adorait les hommes comme lui, les partenaires doux et attentionnés, même si elle lui trouvait un petit côté sauvage. Elle n'avait pas encore fait l'amour avec lui, leur première fois n'en avait pas vraiment été une, mais elle lui devinait un penchant passionné et très entreprenant.
Céleste se releva et enleva son gilet, en regardant le jeune homme qui lui donnait très envie. Elle avait un petit sourire coquin, le fixait dans les yeux en se passant le bout de la langue sur les lèvres. Elle laissa le gilet glisser le long de ses bras et tomber sur le carrelage, puis elle revint tout contre lui, s'asseoir sur ses genoux.
Il jouait déjà avec les bretelles de sa robe en l'embrassant dans le cou, en collant son torse contre le dos de la jeune femme.
"Tu es si impatient de me voir complètement nue, mon chéri ?" lui lança t-elle amusée.
"Et si on faisait l'amour tout habillés?", plaisanta t-il entre deux cascades de petits bisous sur la peau douce de son joli cou.
Il lui caressa la cuisse, puis laissa sa main remonter lentement. Céleste se tortillait sur ses genoux. Elle effleurait la joue de son partenaire avec sa chevelure, le chatouillant délicatement. La main du jeune homme arrivait à présent au niveau de l'entrejambe de la ravissante libraire. Elle sentait ses doigts titiller son vagin. Le bas de sa robe était complètement remonté avec le mouvement de cette main d'homme si ferme et tellement experte.
Ses doigts à lui avaient effleuré le haut de son bas noir échancré de dentelle, puis sa peau douce et son porte-jarretelle, jusqu'à sentir le tissu lisse d'une petite culotte, également échancrée de liserés en dentelle. Il glissa les doigts un peu plus loin entre ses jambes et se rendit compte que le tissu devenait tout fin au niveau du mont de Vénus, et qu'elle ne portait pas une culotte, mais en réalité un adorable petit string avec de la dentelle.
Céleste écartait les cuisses pour lui offrir un accès plus facile à sa petite chatte déjà complètement trempée et débordante de cyprine tiède. Elle caressait son pantalon, au niveau de l'entrejambe, en insistant et en appuyant de plus en plus. Il bandait comme un fou sous ses doigts, pendant qu'il l'embrassait dans le haut du dos et sur la nuque tout en pelotant ses seins. Il trouvait sa poitrine parfaite, et il avait envie de donner à ses seins un immense plaisir.
"Et si j'ouvre ton pantalon, tu m'en empêcheras de nouveau, comme la dernière fois ?"
"Essaie pour voir", lui répondit-il avec amusement, tout en lui caressant la minette du bout des doigts et en malaxant un de ses seins avec son autre main.
Sa petite chatte était en feu, et elle sentait ses tétons complètement durs, tant elle était excitée.
La jeune femme lui ouvrit calmement la braguette. Lorsque la fermeture éclair fut complètement baissée, elle glissa une main dans son pantalon pour jouer avec son sexe et l'exciter encore plus, pendant qu'elle massait son petit clito. Les doigts de la jeune femme caressaient ceux de son partenaire, se rencontraient, se frôlaient. L'entrejambe humide de Céleste semblait à ce moment leur seule vraie préoccupation à tous les deux.
Il fit glisser une des bretelles de la robe le long de l'arrondi de son épaule et sortit doucement un de ses seins. La sensation du tissu qui effleure son mamelon tout dur et excité lui arracha un gémissement de plaisir. Jusque-là, Céleste avait plutôt couiné à mi-voix, savourant les caresses et les baisers du jeune homme, mais elle venait de pousser son premier gémissement.
Il pelotait son sein à pleine paume, il jouait avec, serrant les doigts dessus, le pressant avec douceur et fermeté. Il caressait le petit minou de la jeune femme de plus en plus vite. Elle était en train de se dire que si il avait été en train de la prendre avec son sexe, au rythme des va et vient qu'il déployait pour faire déborder de bonheur sa petite chatte, elle n'aurait pas tenu bien longtemps avant de jouir fort sur sa queue.
La belle jeune femme avait très envie de le sentir en elle, elle constatait avec sa main à quel point elle lui faisait de l'effet, elle était très impatiente de recevoir son sexe complètement tendu dans son temple d'amour.
La jeune et jolie libraire se leva et quitta ses genoux un peu à contrecœur. Elle lui prit les mains pour l'inviter à se lever en lui demandant de venir dans sa chambre. Il se leva et profita du fait de se retrouver face à elle pour lui rouler une pelle en la tenant par la taille. Il enroulait sa langue avec passion autour de celle de Céleste, et il lui caressait la cuisse, tout en la pressant contre lui. Il plaça la main sous le genou de la jeune femme pour lui mettre une jambe en équerre.
"Décidément, tu es incorrigible. Allez, viens dans ma chambre."
Ils traversèrent le salon pour passer une porte et se retrouver dans la chambre de la jeune femme. Elle en bas, sans chaussures avec un sein sortant de sa robe, et lui la chemise à moitié sortie du pantalon et la braguette ouverte.
Un grand lit rouge occupait la majeure partie de la pièce. Les murs étaient blancs et gris clair, le mobilier noir et moderne. La pièce était décorée, mais il n'y avait pas beaucoup de choses qui traînaient, pas comme chez lui, pas comme dans une chambre de petite fille.
Céleste profita de se retrouver debout et momentanément libérée des étreintes de son amant pour faire glisser la seconde bretelle de sa robe. Le vêtement tomba sur la moquette de la chambre dans un bruit de tissu qui glisse et se froisse en touchant le sol. Il vit que son string était rose et que la dentelle aux échancrures était noire. Le porte-jarretelle de la jeune femme était également fait de dentelle noire.
Il enleva ses souliers sans même se baisser pour les délacer, en les ôtant au niveau du talon avant de sortir tout l'avant du pied, puis il ouvrit le bouton de son pantalon. Il bandait bien fort en regardant la petite libraire, il avait envie de la rendre aussi brûlante qu'une étoile et de la prendre avec passion jusqu'à l'orgasme.
Elle venait de s'étendre sur le lit, tournant la tête vers lui et se caressant doucement la chatte, en enfonçant un peu le tissu trempé dans sa fente ouverte et dégoulinante de mouille. Il la rejoint sans rien dire et se mit à quatre pattes au-dessus d'elle, commençant à lui lécher et lui embrasser les seins pendant qu'elle se faisait mouiller en se caressant. Il sentait ses doigts dans ses cheveux, pendant qu'il lui mangeait un téton à pleine bouche, tout en pelotant son autre sein à pleine paume. Elle raffolait de recevoir autant de plaisir au niveau de la poitrine, elle sentait une chaleur excitante partir de ses seins et envahir progressivement tout son corps, pendant qu'elle se massait le clito et le vagin de plus en plus vite. Elle lui caressait le sexe en passant la main sur son caleçon, lui serrait la bite en enroulant ses doigts autour du tissu, le branlait en gémissant de plaisir.
Le jeune homme était maintenant appuyé sur les genoux et sur le coude, alors qu'une de ses mains jouiat avec un des seins de Céleste, et que son autre main lui titillait la minette. Il était à califourchon au-dessus d'une de ses cuisses, et se branlait sur sa peau douce, encore en caleçon. Penché sur sa poitrine, il lui suçait et lui léchait toujours un sein. Ses tétons étaient tellement gonflés par l'excitation qu'ils auraient pu exploser dans l'instant qui suivait. Il explorait sa petite chatte ruisselante avec deux doigts, de plus en plus fort et de plus en plus loin. La demoiselle gémissait comme une folle, lui demandant de continuer, lui disant régulièrement à quel point c'était bon, en réclamant encore.
Elle était en train d'ouvrir sa chemise, de déboutonner les boutons un par un, entre deux moments d'intense plaisir. Il sentait sa petite minette aspirer ses doigts, déborder de mouille, l'entendait clapoter au gré des va et vient.
D'un coup il se redressa et lui enleva son string couvert de mouille tiède et collante, la regardant dans les yeux. Elle avait complètement ouvert sa chemise, et elle se redressait un peu pour lui baisser son caleçon. Il lui avait mangé la poitrine et doigté la minette sur le lit pendant un très long moment, une demi-heure, trois quarts d'heure, peut-être un peu plus. Céleste lui adressait des petits sourires coquins, des petits regards complices, attendant manifestement avec impatience l'instant où elle sentirait son membre la pénétrer et s'installer entre ses cuisses couvertes de cyprine.
"Je vais te chevaucher, mon chéri", lui dit-elle doucement.
La jeune femme le laissa enlever sa chemise et prendre sa place, allongé sur le dos, et se mit à genoux au-dessus de lui après lui avoir complètement ôté son caleçon. Elle le regardait bander bien fort, elle adorait sa queue et elle trouvait qu'il avait un très joli gland, que le désir rendait rouge et gonflé. Elle faisait des mouvements de bassin, frottant les lèvres de sa chatte humide sur sa queue tendue.
"J'ai tellement envie de te sentir tout autour de mon sexe, ma petite Céleste adorée. Je sais que tu en meurs d'envie."
Un instant, elle parut gênée, elle s'arrêta presque de remuer sur son membre.
"Tu veux bien regarder dans le tiroir à ta droite, s'il te plait ?" lui demanda t-elle à mi-voix.
Il ouvrit le tiroir de la table de chevet, regarda le contenu et remarqua quelques préservatifs dans leur emballage brillant. Il en prit un et referma le tiroir.
"Cela ne te gêne pas ?" lui demanda t-elle après une brève hésitation.
"Mais non, pas du tout, j'en avais apporté aussi. Si tu veux bien...", lui répondit-il en lui tendant le sachet.
Céleste déchira lentement l'emballage, sortit le préservatif de sa pochette, puis décolla doucement son entrejambe du membre dur et tendu. Elle prit son sexe dans sa main et plaça la capote au bout de son gland, puis la déroula le long de sa queue en le branlant. Il lui caressait les épaules et les seins, décrivant des petits cercles autour de ses tétons avec le bout de ses doigts.
A présent elle allait mouiller sur toute la longueur de son sexe, non plus sur sa main, elle allait le sentir en elle jusqu'à l'orgasme, jusqu'à ce qu'il jouisse avec elle. La jeune femme se plaça juste au niveau de son sexe, rentra le gland tout gonflé dans sa petite chatte. Elle poussa un petit cri de plaisir et d'envie, puis finit de s'empaler sur son membre. Il lui caressait les cuisses, sentant le nylon de ses bas noirs et la dentelle contre sa main, lui pelotait les fesses. Il faisait des mouvements de bassin de bas en haut et de haut en bas, accompagnant ses mouvements à elle, pour que la jeune femme ne se retrouve pas à tout faire toute seule. Ils étaient en sueur, l'odeur de la mouille se mêlait aux senteurs du parfum de Céleste. Ses seins s'agitaient pendant qu'elle dansait sur son sexe. Il lui donnait une bonne fessée de temps en temps, ce qui lui arrachait à chaque fois un petit cri différent des gémissements qu'elle poussait maintenant sans s'arrêter.
"Ta petite chatte est si bonne quand elle se serre tout autour de moi, ma petite perle", chuchota t-il entre deux respirations fortes et profondes.
"J'ai envie de te faire jouir, je te promets que tu vas venir dans ma chatte, comme un petit coquin."
Elle sentit plusieurs fessées s'abattre sur ses fesses. Il tira le haut de son corps vers lui pour l'embrasser. La jeune femme ralentit le rythme de ses va et vient, maintenant qu'elle était penchée sur lui. Ils se roulèrent plusieurs pelles.
Puis il la repoussa doucement en arrière, en malaxant ses seins. Elle s'empalait sur sa queue encore plus vite, sentant qu'elle allait bientôt jouir. Son petit minou commençait à se contracter, elle mouillait comme une folle, lui mettait plein de cyprine tiède sur le ventre.
"Je viens, prends-moi plus fort, baise-moi !"
Elle râlait, elle gémissait, s'agitant sur sa queue, contractant ses cuisses couvertes de cyprine scintillante.
Céleste ne tarda pas à avoir un orgasme en le chevauchant. Le bas de son corps était secoué de tremblements. Elle reprenait tout juste ses esprits, encore noyée de plaisir et débordante de mouille.
"Et toi, mon chéri ?"
Il lui demanda de s'allonger sur le dos en lui souriant. Elle quitta un instant son sexe bien dur. Le préservatif qui le recouvrait était brillant de mouille. Il se mit au-dessus d'elle pour la prendre en position du missionnaire.
Le jeune homme revint dan sa petite chatte d'un coup, pendant qu'elle écartait les cuisses. Il la prenait avec force, donnait tout, plongeant son sexe tout au fond de la minette de sa partenaire, jusqu'au bas-ventre. Le sperme lui remontait de plus en plus haut dans la verge. Encore quelques coups de boutoir et il jouit à son tour. Céleste continuait à gémir d'une voix forte, savourant chaque coup de rein.
Il l'avait prévenue juste avant d'éjaculer. Après la première giclée, il fit encore des va et vient puissants pour venir complètement et se vider. Il avait encore eu d'autres giclées, continuait à fourrer sa petite chatte, ralentissant le rythme progressivement pour que leur plaisir ne prenne pas fin d'un seul coup. Il se pencha sur elle et l'embrassa en ressortant. Il lui caressait la joue, passait les doigts dans ses cheveux en lui suçant le bout de la langue.
"Tu as aimé ?" lui demanda t-elle dans un sourire.
"Beaucoup... beaucoup... beaucoup... beaucoup... beaucoup."
Il déposait un petit bisou sur ses lèvres entre chaque mot.
"J'espère qu'on va se revoir", lança t-il. Il avait plus pensé à haute voix que posé la question.
"Oh oui, et même tout plein de fois si tu en as envie."
"C'est vrai ?" demanda t-il en passant le bout d'un doigt sur les lèvres de sa jolie bouche illuminée d'un sourire.
Elle fit oui de la tête sans dire un mot, et donna un petit coup de langue sur son doigt qui écartait légèrement ses lèvres.
Ils se firent des câlins et restèrent enlacés de longs moments, s'embrassaient, se caressaient.
Ils prirent une douche tiède ensemble, s'amusant encore un peu. L'après-midi avait filé à une vitesse folle.
Il lui avait même apporté des fleurs. Un petit bouquet de roses de couleur rose. Pas rouges ni blanches, il tenait à lui offrir des roses de couleur rose. Il y en avait cinq dans le bouquet. Un nombre impair, comme c'est l'usage, et comme on était cinq jours plus tard, cinq roses c'était tout simplement parfait.
Céleste habitait un appartement, situé dans une grande maison où on avait aménagé plusieurs logements séparés. Le jardin était devenu un petit parking. Il était treize heures trente. La cloche de l'église sonnait. Le jeune homme était à l'heure. Il détestait arriver en retard, et il aimait encore moins faire attendre une belle femme à laquelle il plaisait.
Il arriva devant la porte de l'appartement de Céleste et sonna, il entendit des pas se rapprocher de l'autre côté, vit la clenche s'abaisser.
La porte s'ouvrit sur une Céleste absolument superbe. Elle portait des bas noirs, sous une jolie robe rose qui formait une adorable corolle qui descendait jusqu'au-dessus des genoux. En haut, sa robe offrait un magnifique décolleté. Elle avait mis par-dessus un petit gilet noir, qu'elle avait laissé complètement ouvert. Ses cheveux étaient détachés et délicatement ondulés. Elle portait une petite chaînette avec un pendentif autour du cou, une bague à l'index de la main droite. Ses pieds étaient chaussés de petits escarpins noirs à talons. Elle était éblouissante, et elle lui donnait vraiment très envie.
"Bonjour. Tu es absolument superbe, ma petite Céleste chérie", murmura t-il avant d'entrer et de l'embrasser sur la bouche, sans la langue.
Il venait de se dire qu'il n'avait pourtant pas convenu avec elle de l'emmener aujourd'hui à un mariage, mais il garda cette pensée pour lui.
La jeune femme lui dit bonjour après qu'ils se soient embrassés et lui parla des fleurs. L'homme n'avait pas caché les roses dans son dos pour lui faire la surprise. Elle le remercia en ajoutant que c'était vraiment adorable de sa part. Il lui tendit les roses, et dès qu'il eut les mains libres, il lui caressa l'épaule du bout des doigts.
"Elles sont de la même couleur que ta robe", s'amusa t-il.
"C'est mon côté télépathe, mais tu verras, tu t'y habitueras vite", plaisanta t-elle dans un grand sourire.
Elle l'invita dans le salon, en lui montrant le chemin. Ses talons claquaient doucement sur le carrelage. Il était en train de se demander si elle était passée la première pour lui donner l'occasion d'admirer ses belles fesses et son léger déhanché pendant qu'elle marchait.
L'appartement était lumineux et accueillant. Une impression agréable et chaleureuse s'en dégageait. Le parfum de Céleste embaumait la pièce toute entière. Un parfum fruité. Il faisait parfaitement la différence entre les fragrances florales et les senteurs fruitées. La jeune femme attrapa un vase qui traînait sur un guéridon, se dirigea vers le coin cuisine et le remplit d'eau avant de mettre les fleurs dedans. Elle venait d'avoir un petit geste très élégant pour séparer les fleurs les unes des autres et leur faire prendre un peu d'ampleur au niveau de la partie du bouquet qui dépassait du vase. Elle posa doucement le bouquet sur la table du salon, et le contempla un instant. Dans l'intervalle, ils avaient échangé quelques nouvelles, elle lui avait proposé de boire quelque chose. Il avait répondu qu'il prendrait un café.
Pendant que Céleste regardait les fleurs, il s'était glissé derrière elle et lui tenait délicatement la taille. Il respirait son parfum dans ses cheveux.
"Vous sentez vraiment très bon, mademoiselle."
"Je suis sûre que tu as vraiment très envie de moi", s'amusa t-elle en tournant la tête vers lui.
Le jeune homme lui roula une pelle et lui répondit qu'il avait vraiment très très envie d'elle, en ajoutant qu'il avait imaginé ce moment depuis l'instant où ils s'étaient séparés la dernière fois.
"Vous savez embrasser mieux que ça, cher monsieur", le taquina t-elle en passant la main dans ses cheveux courts.
"Je nous fais un café maintenant ou on attend un peu ?"
Il ne répondit pas tout de suite, mais fit un geste du poignet, comme s'il pointait une baguette magique invisible en direction de la machine à café.
"Maintenant, ma belle, si tu veux bien. Mais je vois que je vais encore devoir m'entraîner un peu, la machine ne s'est pas allumée toute seule", murmura t-il dans un sourire.
Pendant que la machine à café ronflait, ils se roulaient des pelles et se faisaient des câlins. Juste avant que le café ne soit prêt, il était en train de la soulever doucement. Elle s'était accrochée à son cou en éclatant de rire. Puis il la reposa doucement et ils burent un café. Elle lui demanda quelques nouvelles de son travail, le genre de choses qu'il dessinait en ce moment, si il avait des expositions prévues... Ils étaient assis côte à côte dans le canapé, épaule contre épaule, à tel point qu'à un moment elle se retrouva dans ses bras.
Il lui embrassait déjà le cou, écartant un peu du bout des doigts le gilet que Céleste portait, pour lui mettre un peu plus à nu le haut de la poitrine, et lui faire des bisous encore un peu plus bas. Elle le sentait bander contre ses fesses et dans le bas de son dos, elle se tortillait un peu dans ses bras. Elle ôta ses chaussures qui claquèrent une dernière fois contre le carrelage. La demoiselle frottait le mollet du jeune homme avec son pied. Il imaginait la sensation douce de ses bas caressant sa cuisse alors qu'il portait son pantalon et que la jambe de la jeune femme frottait contre le tissu, tout en lui faisant énormément d'effet.
Céleste se sentait tellement bien dans ses bras, il l'embrassait sur la bouche par moments, et d'une certaine manière, ça la rassurait beaucoup. Elle avait l'impression de compter pour lui, pas comme des acteurs dans une vidéo pornographique qui baisent comme des animaux sans jamais échanger la moindre petite attention complice.
"Je mouille déjà, tu me rends folle", chuchota la ravissante libraire, pendant que son partenaire écartait son gilet de l'autre côté, pour laisser Céleste avec les deux épaules dénudées.
Sa robe était maintenue par deux bretelles très fines. Il savait à présent qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, car il n'y avait que deux bretelles qui couraient sur sa peau douce. Le jeune homme l'imagina nue sous sa robe, juste en porte-jarretelles et avec une jolie culotte très affriolante.
"Tu es tellement désirable. Mon sexe est tellement bon quand je bande pour toi, ma petite chérie", lui susurra t-il à l'oreille entre deux petits bisous dans le cou.
Elle adorait les hommes comme lui, les partenaires doux et attentionnés, même si elle lui trouvait un petit côté sauvage. Elle n'avait pas encore fait l'amour avec lui, leur première fois n'en avait pas vraiment été une, mais elle lui devinait un penchant passionné et très entreprenant.
Céleste se releva et enleva son gilet, en regardant le jeune homme qui lui donnait très envie. Elle avait un petit sourire coquin, le fixait dans les yeux en se passant le bout de la langue sur les lèvres. Elle laissa le gilet glisser le long de ses bras et tomber sur le carrelage, puis elle revint tout contre lui, s'asseoir sur ses genoux.
Il jouait déjà avec les bretelles de sa robe en l'embrassant dans le cou, en collant son torse contre le dos de la jeune femme.
"Tu es si impatient de me voir complètement nue, mon chéri ?" lui lança t-elle amusée.
"Et si on faisait l'amour tout habillés?", plaisanta t-il entre deux cascades de petits bisous sur la peau douce de son joli cou.
Il lui caressa la cuisse, puis laissa sa main remonter lentement. Céleste se tortillait sur ses genoux. Elle effleurait la joue de son partenaire avec sa chevelure, le chatouillant délicatement. La main du jeune homme arrivait à présent au niveau de l'entrejambe de la ravissante libraire. Elle sentait ses doigts titiller son vagin. Le bas de sa robe était complètement remonté avec le mouvement de cette main d'homme si ferme et tellement experte.
Ses doigts à lui avaient effleuré le haut de son bas noir échancré de dentelle, puis sa peau douce et son porte-jarretelle, jusqu'à sentir le tissu lisse d'une petite culotte, également échancrée de liserés en dentelle. Il glissa les doigts un peu plus loin entre ses jambes et se rendit compte que le tissu devenait tout fin au niveau du mont de Vénus, et qu'elle ne portait pas une culotte, mais en réalité un adorable petit string avec de la dentelle.
Céleste écartait les cuisses pour lui offrir un accès plus facile à sa petite chatte déjà complètement trempée et débordante de cyprine tiède. Elle caressait son pantalon, au niveau de l'entrejambe, en insistant et en appuyant de plus en plus. Il bandait comme un fou sous ses doigts, pendant qu'il l'embrassait dans le haut du dos et sur la nuque tout en pelotant ses seins. Il trouvait sa poitrine parfaite, et il avait envie de donner à ses seins un immense plaisir.
"Et si j'ouvre ton pantalon, tu m'en empêcheras de nouveau, comme la dernière fois ?"
"Essaie pour voir", lui répondit-il avec amusement, tout en lui caressant la minette du bout des doigts et en malaxant un de ses seins avec son autre main.
Sa petite chatte était en feu, et elle sentait ses tétons complètement durs, tant elle était excitée.
La jeune femme lui ouvrit calmement la braguette. Lorsque la fermeture éclair fut complètement baissée, elle glissa une main dans son pantalon pour jouer avec son sexe et l'exciter encore plus, pendant qu'elle massait son petit clito. Les doigts de la jeune femme caressaient ceux de son partenaire, se rencontraient, se frôlaient. L'entrejambe humide de Céleste semblait à ce moment leur seule vraie préoccupation à tous les deux.
Il fit glisser une des bretelles de la robe le long de l'arrondi de son épaule et sortit doucement un de ses seins. La sensation du tissu qui effleure son mamelon tout dur et excité lui arracha un gémissement de plaisir. Jusque-là, Céleste avait plutôt couiné à mi-voix, savourant les caresses et les baisers du jeune homme, mais elle venait de pousser son premier gémissement.
Il pelotait son sein à pleine paume, il jouait avec, serrant les doigts dessus, le pressant avec douceur et fermeté. Il caressait le petit minou de la jeune femme de plus en plus vite. Elle était en train de se dire que si il avait été en train de la prendre avec son sexe, au rythme des va et vient qu'il déployait pour faire déborder de bonheur sa petite chatte, elle n'aurait pas tenu bien longtemps avant de jouir fort sur sa queue.
La belle jeune femme avait très envie de le sentir en elle, elle constatait avec sa main à quel point elle lui faisait de l'effet, elle était très impatiente de recevoir son sexe complètement tendu dans son temple d'amour.
La jeune et jolie libraire se leva et quitta ses genoux un peu à contrecœur. Elle lui prit les mains pour l'inviter à se lever en lui demandant de venir dans sa chambre. Il se leva et profita du fait de se retrouver face à elle pour lui rouler une pelle en la tenant par la taille. Il enroulait sa langue avec passion autour de celle de Céleste, et il lui caressait la cuisse, tout en la pressant contre lui. Il plaça la main sous le genou de la jeune femme pour lui mettre une jambe en équerre.
"Décidément, tu es incorrigible. Allez, viens dans ma chambre."
Ils traversèrent le salon pour passer une porte et se retrouver dans la chambre de la jeune femme. Elle en bas, sans chaussures avec un sein sortant de sa robe, et lui la chemise à moitié sortie du pantalon et la braguette ouverte.
Un grand lit rouge occupait la majeure partie de la pièce. Les murs étaient blancs et gris clair, le mobilier noir et moderne. La pièce était décorée, mais il n'y avait pas beaucoup de choses qui traînaient, pas comme chez lui, pas comme dans une chambre de petite fille.
Céleste profita de se retrouver debout et momentanément libérée des étreintes de son amant pour faire glisser la seconde bretelle de sa robe. Le vêtement tomba sur la moquette de la chambre dans un bruit de tissu qui glisse et se froisse en touchant le sol. Il vit que son string était rose et que la dentelle aux échancrures était noire. Le porte-jarretelle de la jeune femme était également fait de dentelle noire.
Il enleva ses souliers sans même se baisser pour les délacer, en les ôtant au niveau du talon avant de sortir tout l'avant du pied, puis il ouvrit le bouton de son pantalon. Il bandait bien fort en regardant la petite libraire, il avait envie de la rendre aussi brûlante qu'une étoile et de la prendre avec passion jusqu'à l'orgasme.
Elle venait de s'étendre sur le lit, tournant la tête vers lui et se caressant doucement la chatte, en enfonçant un peu le tissu trempé dans sa fente ouverte et dégoulinante de mouille. Il la rejoint sans rien dire et se mit à quatre pattes au-dessus d'elle, commençant à lui lécher et lui embrasser les seins pendant qu'elle se faisait mouiller en se caressant. Il sentait ses doigts dans ses cheveux, pendant qu'il lui mangeait un téton à pleine bouche, tout en pelotant son autre sein à pleine paume. Elle raffolait de recevoir autant de plaisir au niveau de la poitrine, elle sentait une chaleur excitante partir de ses seins et envahir progressivement tout son corps, pendant qu'elle se massait le clito et le vagin de plus en plus vite. Elle lui caressait le sexe en passant la main sur son caleçon, lui serrait la bite en enroulant ses doigts autour du tissu, le branlait en gémissant de plaisir.
Le jeune homme était maintenant appuyé sur les genoux et sur le coude, alors qu'une de ses mains jouiat avec un des seins de Céleste, et que son autre main lui titillait la minette. Il était à califourchon au-dessus d'une de ses cuisses, et se branlait sur sa peau douce, encore en caleçon. Penché sur sa poitrine, il lui suçait et lui léchait toujours un sein. Ses tétons étaient tellement gonflés par l'excitation qu'ils auraient pu exploser dans l'instant qui suivait. Il explorait sa petite chatte ruisselante avec deux doigts, de plus en plus fort et de plus en plus loin. La demoiselle gémissait comme une folle, lui demandant de continuer, lui disant régulièrement à quel point c'était bon, en réclamant encore.
Elle était en train d'ouvrir sa chemise, de déboutonner les boutons un par un, entre deux moments d'intense plaisir. Il sentait sa petite minette aspirer ses doigts, déborder de mouille, l'entendait clapoter au gré des va et vient.
D'un coup il se redressa et lui enleva son string couvert de mouille tiède et collante, la regardant dans les yeux. Elle avait complètement ouvert sa chemise, et elle se redressait un peu pour lui baisser son caleçon. Il lui avait mangé la poitrine et doigté la minette sur le lit pendant un très long moment, une demi-heure, trois quarts d'heure, peut-être un peu plus. Céleste lui adressait des petits sourires coquins, des petits regards complices, attendant manifestement avec impatience l'instant où elle sentirait son membre la pénétrer et s'installer entre ses cuisses couvertes de cyprine.
"Je vais te chevaucher, mon chéri", lui dit-elle doucement.
La jeune femme le laissa enlever sa chemise et prendre sa place, allongé sur le dos, et se mit à genoux au-dessus de lui après lui avoir complètement ôté son caleçon. Elle le regardait bander bien fort, elle adorait sa queue et elle trouvait qu'il avait un très joli gland, que le désir rendait rouge et gonflé. Elle faisait des mouvements de bassin, frottant les lèvres de sa chatte humide sur sa queue tendue.
"J'ai tellement envie de te sentir tout autour de mon sexe, ma petite Céleste adorée. Je sais que tu en meurs d'envie."
Un instant, elle parut gênée, elle s'arrêta presque de remuer sur son membre.
"Tu veux bien regarder dans le tiroir à ta droite, s'il te plait ?" lui demanda t-elle à mi-voix.
Il ouvrit le tiroir de la table de chevet, regarda le contenu et remarqua quelques préservatifs dans leur emballage brillant. Il en prit un et referma le tiroir.
"Cela ne te gêne pas ?" lui demanda t-elle après une brève hésitation.
"Mais non, pas du tout, j'en avais apporté aussi. Si tu veux bien...", lui répondit-il en lui tendant le sachet.
Céleste déchira lentement l'emballage, sortit le préservatif de sa pochette, puis décolla doucement son entrejambe du membre dur et tendu. Elle prit son sexe dans sa main et plaça la capote au bout de son gland, puis la déroula le long de sa queue en le branlant. Il lui caressait les épaules et les seins, décrivant des petits cercles autour de ses tétons avec le bout de ses doigts.
A présent elle allait mouiller sur toute la longueur de son sexe, non plus sur sa main, elle allait le sentir en elle jusqu'à l'orgasme, jusqu'à ce qu'il jouisse avec elle. La jeune femme se plaça juste au niveau de son sexe, rentra le gland tout gonflé dans sa petite chatte. Elle poussa un petit cri de plaisir et d'envie, puis finit de s'empaler sur son membre. Il lui caressait les cuisses, sentant le nylon de ses bas noirs et la dentelle contre sa main, lui pelotait les fesses. Il faisait des mouvements de bassin de bas en haut et de haut en bas, accompagnant ses mouvements à elle, pour que la jeune femme ne se retrouve pas à tout faire toute seule. Ils étaient en sueur, l'odeur de la mouille se mêlait aux senteurs du parfum de Céleste. Ses seins s'agitaient pendant qu'elle dansait sur son sexe. Il lui donnait une bonne fessée de temps en temps, ce qui lui arrachait à chaque fois un petit cri différent des gémissements qu'elle poussait maintenant sans s'arrêter.
"Ta petite chatte est si bonne quand elle se serre tout autour de moi, ma petite perle", chuchota t-il entre deux respirations fortes et profondes.
"J'ai envie de te faire jouir, je te promets que tu vas venir dans ma chatte, comme un petit coquin."
Elle sentit plusieurs fessées s'abattre sur ses fesses. Il tira le haut de son corps vers lui pour l'embrasser. La jeune femme ralentit le rythme de ses va et vient, maintenant qu'elle était penchée sur lui. Ils se roulèrent plusieurs pelles.
Puis il la repoussa doucement en arrière, en malaxant ses seins. Elle s'empalait sur sa queue encore plus vite, sentant qu'elle allait bientôt jouir. Son petit minou commençait à se contracter, elle mouillait comme une folle, lui mettait plein de cyprine tiède sur le ventre.
"Je viens, prends-moi plus fort, baise-moi !"
Elle râlait, elle gémissait, s'agitant sur sa queue, contractant ses cuisses couvertes de cyprine scintillante.
Céleste ne tarda pas à avoir un orgasme en le chevauchant. Le bas de son corps était secoué de tremblements. Elle reprenait tout juste ses esprits, encore noyée de plaisir et débordante de mouille.
"Et toi, mon chéri ?"
Il lui demanda de s'allonger sur le dos en lui souriant. Elle quitta un instant son sexe bien dur. Le préservatif qui le recouvrait était brillant de mouille. Il se mit au-dessus d'elle pour la prendre en position du missionnaire.
Le jeune homme revint dan sa petite chatte d'un coup, pendant qu'elle écartait les cuisses. Il la prenait avec force, donnait tout, plongeant son sexe tout au fond de la minette de sa partenaire, jusqu'au bas-ventre. Le sperme lui remontait de plus en plus haut dans la verge. Encore quelques coups de boutoir et il jouit à son tour. Céleste continuait à gémir d'une voix forte, savourant chaque coup de rein.
Il l'avait prévenue juste avant d'éjaculer. Après la première giclée, il fit encore des va et vient puissants pour venir complètement et se vider. Il avait encore eu d'autres giclées, continuait à fourrer sa petite chatte, ralentissant le rythme progressivement pour que leur plaisir ne prenne pas fin d'un seul coup. Il se pencha sur elle et l'embrassa en ressortant. Il lui caressait la joue, passait les doigts dans ses cheveux en lui suçant le bout de la langue.
"Tu as aimé ?" lui demanda t-elle dans un sourire.
"Beaucoup... beaucoup... beaucoup... beaucoup... beaucoup."
Il déposait un petit bisou sur ses lèvres entre chaque mot.
"J'espère qu'on va se revoir", lança t-il. Il avait plus pensé à haute voix que posé la question.
"Oh oui, et même tout plein de fois si tu en as envie."
"C'est vrai ?" demanda t-il en passant le bout d'un doigt sur les lèvres de sa jolie bouche illuminée d'un sourire.
Elle fit oui de la tête sans dire un mot, et donna un petit coup de langue sur son doigt qui écartait légèrement ses lèvres.
Ils se firent des câlins et restèrent enlacés de longs moments, s'embrassaient, se caressaient.
Ils prirent une douche tiède ensemble, s'amusant encore un peu. L'après-midi avait filé à une vitesse folle.
4 years ago