Mes débuts de lopette.

Mon adolescence chahutée…
Déçue de moi, ma mère répétait à qui voulait l’entendre, et à moi surtout, « j’aurais tant voulu une petite fille ». Mon père m’ignorait presque, sauf quand il avait bu, et qu’il devenait coléreux.
Elle m’avait marqué au fer rouge de ses peurs, me menaçant de la maison de correction si je bougeais le petit doigt. Par exemple ne pas s’approcher des filles, de peur des conséquences. Elle envisagea même de m’inscrire dans un navire école.
Le résultat fut une timidité extrême, une recherche d’attentions, une peur de déplaire,
J’étais un jeune désœuvré. Commerçants, mes parents, ne s’occupaient absolument pas de ma scolarité, de mon emploi du temps ni de mes fréquentations. Mais j’avais tout l’argent que je voulais.
Mon caractère reposait essentiellement sur la notion d’obéissance, inconditionnelle, à toute forme d’autorité.
Pour moi, les filles étaient des saintes, intouchables ; je n’imaginais pas qu’elles aient des désirs sexuels. Et la peur des conséquences, de les mettre enceintes.

* * *

Mes débuts.
Un jour, Lucien, le moniteur des jeux, me fit rester après les autres.
Il avait bien 20 ans, costaud, une petite barbe.
Il m’emmena dans les buissons, s’assit.
– Approche.
Il glissa une main sur ma cuisse, remontant sous le vêtement.
Tout de suite il baissa mon short et mon caleçon, m’entoura de ses bras et me prit dans sa bouche. Puis il ouvrit sa braguette et sortit sa bite, énorme.
– Prends-la en mains, allez, branle-moi.
Je ne savais pas. Il m’apprit à me masturber.
Je pris son membre et commençai, mais il me fit pencher, prit ma tête et me força à ouvrir la bouche.
– Allons, suce, m’ordonna-t-il en me branlant.
Je fis de mon mieux mais j’avais peur qu’il n’éjacule.
Comme toujours, j’éjaculai trop vite.
– Pardon Lucien.
Il me gifla, plaqua sa main sur ma bouche et me força à lécher mon sperme.
– Petit con, pour ta punition, tu vas avaler.
Je continuai à le branler tout en suçant son gland. Il me caressait les couilles et força un doigt dans mon petit trou. A ce moment son sperme jaillit. Il tenait fermement ma tête.
– Suce, nom de dieu !
Je fus bien forcé de tout avaler malgré mon dégoût.
– C’est très bien, petit con. Embrasse-moi.
Mais c’était encore pire que sa bite avec sa langue dans ma bouche.
Ce fut pareil le reste de la semaine. Parfois je devais tenir sa bite pendant qu’il pissait.
A la fin de l’année, il fut chassé de l’école, on se perdit de vue.

A l’école, on se donnait de petits coups équivoques sur le pantalon.
Quand j’allais chez un copain, souvent il prenait ma main pour la mettre sur son pantalon, et lui m’ouvrait la braguette, cherchait ma bite sous le caleçon, la sortait, me branlait.
– Allez, prends ma bite, disait-il.
Je le branlais en même temps, mais j’éjaculais trop vite dans mon mouchoir.
Je sus plus tard qu’il parlait de moi aux autres. C’est ainsi que plusieurs m’invitèrent chez eux pour se branler avec moi.

Quelques années plus tard, je roulais dans la campagne quand je croisai Lucien.
– Tiens, p’tit con, t’as une mob maintenant ? Suis-moi.
Il m’emmena à l’orée du bois. On laissa les mobs et je le suivis dans les fougères et les buissons.
Il ne se gêna pas pour me forcer, autoritaire, à la limite brutal. Mais je me laissais faire sans trop réagir.
Ce fut le début de mon parcours de lopette.

* * *

Pierre.
A 16 ans, j’ai donc eu une mob, la toute belle mob sport, rouge !
Ça m’a valu l’intérêt de Pierre, un mec déluré. Il semblait avoir toutes les filles qu’il voulait.
On est devenus très copains. Il avait beaucoup d’ascendant sur moi, toujours passif.
Chez lui, il m’a fait boire. Puis m’a mis la main entre les jambes et m’a demandé si je me branlais beaucoup. Il m’a ordonné de baisser mon pantalon pour montrer ma bite.
– Quelle petite bite ! Regarde la mienne.
C’est vrai que sa bite était beaucoup plus grosse et plus longue que la mienne.
On s’est branlés mutuellement et, comme toujours, j’ai éjaculé presque tout de suite.
Il s’est essuyé la main sur mon ventre pendant que je le continuais. Finalement il a joui sur moi.

– Tu vas me prêter ta mob.
– Si tu veux.
Jamais je n’osais dire non à personne.
J’étais déjà sans en avoir vraiment conscience un passif soumis.
Tout se suite, j’appréciai sa domination.
Pour moi qui étais un enfant perdu dans la vie, c’était rassurant et excitant d’être pris en charge. Il me subjuguait.
Je l’admirais. Son assurance, son aplomb, sa confiance en lui, sur tous les plans il m’était supérieur.
Il était inventif et je ne savais jamais ce qui allait se passer.

Comme j’allais aux cours en mob, il me dit de passer d’abord chez lui. Là il enfourchait ma mob, me conduisait à l’école et il profitait de ma mob toute la journée. Quand il me ramenait chez lui, il exigeait que je me couche tout nu, s’agenouillait au dessus de moi et après m’avoir branlé, se masturbait. Son sperme jaillissait fort jusqu’à ma poitrine. Il exigeait que je m’enduise les seins de son sperme et que je lèche ma main. Il s’avança alors, s’agenouilla sur moi pour se faire nettoyer dans ma bouche, frotter ses couilles sur mon visage en m’ordonnant de les lécher.
Il me fait raconter mes autres expériences. Je lui dis que j’ai été au bois avec Lucien et qu’on s’est masturbé. Qu’il m’a sucé puis il m’a obligé à le sucer aussi.

* * *

Ma demande incessante, mon espoir toujours déçu, était qu’il me montre une fille nue.
Pour ce jeu de dupe… je me mettais entièrement à sa merci.
Un jour je lui demandai :
– Je n’ai jamais vu de fille toute nue.
– Je parie que tu n’en as même jamais embrassé ?
– Non Pierre.
– Je vais t’apprendre. Il m’embrasse, avec la langue.
– Voilà, tu sauras maintenant.
– Tu ne veux pas me montrer une de tes amies ?
– Je veux bien, mais pour ça, tu dois m’obéir pendant… un mois.
– Tu sais bien que je ferai tout ce que tu voudras.
– Mais je ne veux pas de discussions. Quand je te commande quelque chose, tu obéis tout de suite sans poser de question. C’est compris, tapette ?
– Oui Pierre, si tu veux.
– Maintenant à genoux. Tu vas me sucer et avaler mon jus, compris ?
Ça me dégoutait encore mais je lui obéis. Il, tenait ma tête pour me forcer à avaler. Bien entendu, ça devint l’habitude. Il n’avait qu’un mot à dire et je m’agenouillais pour le branler dans ma bouche.

* * *

Enculé.
On buvait beaucoup aussi et j’étais vite saoul.
– Tu sais que tu es devenu une tapette ? Un de ces jours, je vais t’enculer.
– Je ne veux pas, s'il te plaît Pierre.
– Quand on est une tapette, on ferme sa gueule et on obéit.
Il me fit coucher tout nu dans sa baignoire et me pissa sur le sexe et le ventre, puis envoya son jet vers mon visage.
– Ouvre la bouche, tapette.
J’avalai quelques gorgées de sa pisse.
– C’est bien, tu deviens une bonne petite pute. Tu peux te branler maintenant.
– Alors Pierre, quand est-ce que tu vas me montrer une fille toute nue ?
– Quand je dirai que tu le mérites. Pour ça, il faudra que je t’encule. Tu vas commencer par te foutre des trucs dans le cul.
– Quoi ? Quels trucs tu veux que je mette dans le cul ?
– Sais pas. Commence par une carotte. Oui, demain quand tu viendras, je veux que tu aies ta carotte dans le cul, compris ?
– Oui Pierre, si tu veux.
– Tu te la mettras ce soir pour dormir. Demain matin, quand tu auras chié, tu la remettras pour venir ici.
Le lendemain, ça me faisait mal, surtout pour m’asseoir sur ma selle. Je lui ai montré mes fesses.
– C’est bien, ma petite pute. Tu vas la garder toute la journée.
Il me conduisit à l’école. Je marchais en serrant les fesses, comme l’enculé que j’étais.
L’après-midi, il revint me prendre. Je me doutais de ce qui m’attendait.
– A poil, à quatre pattes. Retire-la à moitié, renfonce-la, encore. Ça suffit, enlève-la. Debout, penche-toi.
Il s’enduisit de vaseline et poussa sa bite dans mon cul, puis se mit à aller et venir.
– C’est bon, putain ? Dis-le.
– Oui Pierre, c’est bon.
– T’es ma pute maintenant !
– Oui mais tu m’as promis…
– Ta gueule tapette, fit-il en me claquant les fesses.

Il prit l’habitude de m’enculer. Il n’avait pas besoin de commander : sitôt dans sa chambre, je me mettais tout nu. Soit à genoux pour ouvrir sa braguette, soit à quatre pattes en m’écartant les fesses. Et toujours cette obligation de le nettoyer dans ma bouche. Au début ça m’écœurait mais je m’étais si bien habitué que ça m’aurait manqué.
De moi-même, j’écartais les fesses pour qu’il me pénètre, à quatre pattes ou debout, penché sur la table. Je lui dis que j’aimais quand il me malaxait les seins et même qu’il me pince les tétons. Il comprit vite que j’aimais aussi être physiquement malmenée.
Alors il eut l’idée de m’attacher.
Je l’aidai pour installer des crampons. Je me mettais en place pour qu’il me lie, les bras écartés, parfois les yeux bandés. Il me branlait alors tout en excitant mes tétons. J’éjaculais toujours trop vite. Pour m’apprendre à me retenir, il m’avait branlé lentement. Mais mon sperme jaillit et salit son pantalon. Il me gifla pour la première fois.
– Petite salope, regarde ce que tu as fait !
– Pardon.
– Tu vas m’en payer un nouveau.
– Oui Pierre.

* * *

– Puisque tu veux voir des dessous de femme, tiens, tu peux sentir la petite culotte de ma mère. Lèche-la !
J’obéis. Ça sentait fort, la pisse.
– J’ai envie d’avoir ta bite entre mes fesses. Mais je t’interdis de jouir.
Je ne sus pas me retenir.
– Tu as joui quand même ? Tu vas me lécher ton jus sur mon cul.
– Non ça je ne veux pas.
– Alors je dois te punir.
J’avais aimé être attachée. Aussi j’en vins à lui demander :
– Lie-moi !
Il me lie sur le lit, tout écarté aux 4 coins. Puis s’assoit sur ma bouche.
– Lèche mon cul.
– Non.
Il me tient les couilles et commence à serrer.
– Aie ! Arrête.
– Lèche ou je te les écrase.
J’obéis. Il tient ses fesses écartées.
– Fais entrer ta langue.
Il fait durer. Je recommence à bander.
– Ah ça t’excite de lécher mon cul, hein salope !

* * *

Un autre jour, tandis que je suis encore lié, il me fait boire de l’alcool puis sort une minute et revient avec Lucien. J’ai peur.
Lucien vient m’embrasser.
– Avec la langue, petite pute !
Il att**** mes couilles, me pince un téton.
–Tu veux l’enculer ou tu préfère qu’il te suce ? demande Pierre.
– Je vais l’enculer. Fais-toi sucer en même temps.
Il baisse son pantalon. Sa bite se dresse, énorme.
– Non, s'il te plaît Lucien, tu es trop gros, tu vas me faire mal.
Pierre me gifle.
– Toi, ta greule. Vas-y, fait Pierre. Elle a l’habitude avec moi.
Lucien me fait pencher, écarter les jambes et ouvre mes fesses. Il promène son gland sur mon cul. Pierre me prend la tête et m’enfourne sa bite tandis que Lucien force sa bite dans mon trou. J’ai mal mais mes gémissements sont étouffés avec la bite de Pierre. Il se met à limer. A chaque poussée, la bite entre plus profondément et celle de Pierre arrive au fond de ma gorge. Ça dure bien 5 minutes avant qu’ils n’éjaculent ensemble. Quand j’ai bien sucé Pierre, Lucien se retire et vient à son tour se faire nettoyer. Il y a des traces de merde. C’est dégueulasse mais je n’ose pas désobéir.

* * *

Un jour, il me montra un soutien-gorge, une petite culotte, un porte-jarretelles et des bas nylons qu’il avait demandés à une de ses amies.
– Allez, tapette, puisque je t’encule comme une fille, je veux que tu t’habille en fille quand tu viens chez moi.
A genoux entre ses jambes, je le suce. Il prend une petite culotte de sa mère et jute dessus.
– Lèche…

Je fais ce qu’il faut pour être puni. Par exemple, je n’ai pas d’argent qu’il puisse voler dans mon portefeuille.
Alors Pierre me lie tout nu les mains dans le dos ou à la nuque.
Un jour sa mère est entrée dans la chambre.
– Qu’est-ce qu’il fait là tout nu, celui-là ?
– Il est puni !
– Mais c’est une culotte à moi dans sa bouche ?
– Il adore sucer tes culottes. Surtout quand je me branle dedans.
– Je vois.

* * *

Dans les bois.
Un soir, Pierre m’a convoqué. Quand j’arrive, je vois la mob de Lucien. Bon, qu’est-ce qui m’attend encore…
Je dois laisser ma mob à Pierre et m’asseoir derrière Lucien.
On arrive à une clairière dans la sablière abandonnée. Il y a plein de genévriers et d’orties autour.
– A poil, tapette.
C’est Pierre qui donne les ordres. Je laisse mes vêtements en tas.
Chacun m’encule à son tour tandis que je suce l’autre. Quand ils ont joui, Lucien me suce.
Pierre m’ordonne :
– Couche-toi.
Ils sont de chaque côté.
– Pisse-toi dessus !
Je dirige le jet sur mon ventre, presque jusqu’à ma poitrine.
Maintenant ils me pissent dessus, et ils terminent sur mes vêtements.
Comme mes vêtements sont trempés de pisse, Pierre rentre avec Lucien et je récupère ma mob. Je prends une douche tout habillé.

Cette scène se représenta à plusieurs reprises.
Avec parfois des variantes, Pierre me pissait dans le cul pendant que Lucien me pissait en bouche.


* * *

Un après-midi, Pierre m’emmène au bois. Il me fait déshabiller tout nu et m’attache entre deux arbres, jambes et bras écartés. Il m’embrasse, m’agace les tétons, me branle un peu puis s’en va.
Au bout d’un moment, j’entends des voix, il revient avec Lucien et toute la bande, une dizaine de filles et garçons.
– Regardez, voici tapette ! fait Pierre.
Je suis horriblement gênée. Les filles pouffent, les garçons ricanent.
– Allez les filles, qui veut s’amuser ?
Des mains se promènent sur moi, on me branle.
– Qui veut lui donner grand coup de pied dans les couilles ?
– L’une des filles s’avance et me donne un coup léger.
– Plus fort, dit Pierre, elle aime ça !
Une autre fille s’enhardit et m’envoie un coup terrible. Je me tords.
– Tapette aime se faire enculer, fait Lucien qui joint l’acte à la parole.
Finalement, à l’invitation de Lucien, quelques garçons me pissent dessus.
Des filles applaudissent. Certaines ont l’air dégoutées.
Quand le groupe s’en va, je suis au bord des larmes.
– Vous êtes des salauds !
En me branlant pour me consoler, Pierre me dit qu’il voulait que tout le monde sache qui je suis maintenant.
Depuis, en rue, lorsque j’en croise l’un ou l’une de la bande, on me traite de tapette à voix haute. Un garçon me crache à la figure.

* * *
Les filles.
Un jour, il me fait boire de l’alcool. Quand je suis éméché, il me fait habiller en fille et remettre mon pantalon et ma chemise. Puis il me fait entrer au salon. À mon insu, il a invité la bande. Ils sont assis en buvant de la bière et m’attendent.
– Vous connaissez tapette, elle va nous faire un striptease, annonce-t-il. Allez tapette, montre-nous.
Comme je reste empotée, il incite :
– Allez les filles, déshabillez-la.
L’une commence par ma chemise, une autre ouvre mon pantalon. Je suis en dessous féminins. Fous rires !
– Surprise, fait Pierre.
Il se place derrière moi et fait lentement glisser ma culotte. Ma petite bite pend lamentablement.
– Allez, les filles, faites-le bander, montrez vos petites culottes.
L’une après l’autre elles soulèvent leur jupe.
Je peux voir leurs cuisses nues au dessus des bas nylons et les petites culottes. Ma bite a un léger frémissement. Il encourage une fille qui se décide à me prendre en mains.
Mais ça ne va pas plus loin cette fois.

* * *

Aujourd’hui Pierre m’a promis de me montrer une fille. Il me lie tout nu, bras écartés.
Souvent il me laisse ainsi une heure.
Quand il revient, Monique l’accompagne, c’est une fille très délurée.
Elle rit de me voir tout nu.
– Tu veux le branler ?
– Hé, non, sa bite est trop petite !
Pierre soulève mon bandeau. Il place Monique devant lui, elle tourne la tête pour l’embrasser. Elle tient sa bite sortie de la braguette. Il glisse une main sous son chemisier pour lui peloter un sein. Je peux juste voir son ventre. Puis il descend, soulève le bord de la jupe qu’il remonte jusqu’à me faire voir furtivement l’amorce d’une jarretelle.
– Regarde, il bande !
Je voudrais en voir plus, et surtout me branler.
– Ça suffit !
Il me replace le bandeau. Je les entends.
– Déshabille-toi.
Il vient me fait sentir la petite culotte. Je passe la langue pour lécher mais il me gifle.
– Sage, tapette.
J’entends le lit grincer. Elle gémit.
– C’est bon, continue !
Au bout d’un moment, ils jouissent bruyamment.
Il a dû lui nettoyer la chatte avec sa culotte car il vient me mettre le tissu en bouche.
– Regarde comme elle aime ça, le sperme, cette tapette !
– Je vois. Une vraie pute. Elle devrait s’habiller en fille.
– Ça c’est une idée.
Il me fait passer les jambes pour enfiler la culotte. Comme je bande mou, tout rentre.
– Ah oui, pas mal. Bon, rhabille-toi, on s’en va.
On m’enlève la culotte. Je voudrais quand même voir Monique toute nue comme il m’a promis.
– Pierre, s'il te plaît…
– Tu en as vu assez pour aujourd’hui.
– Au revoir tapette, grande fille ! fait Monique.
Un moment après, Pierre revient me détacher. Il s’assied et fume une cigarette.
– Tu peux te branler.
Au moment d’éjaculer, je lui demande un mouchoir.
– Tu n’as qu’à juter dans ta main et lécher !

* * *
Lucien, plus âgé, expérimenté, conseille Pierre pour mon dressage.
Il recommande l’alcool pour me faire céder facilement.
Et les photos pour le tenir.
Pierre m’a obligé d’acheter un polaroid et dix boites de films.
Un jour, il me montre des photos, des Polaroid, où je suis tout nu ou en dessous féminins.
– Quand tu as pris ça ?
– Quand t’avais bu, connasse. Et si tu me désobéis, je les montre à tout le monde à ton école.
Plus tard, il exige un vrai appareil photo et des films couleur, dont je devais aller chercher les épreuves chez le photographe.

* * *

Finalement, il m’aura bien eu, je n’aurai jamais vu de fille toute nue.
Published by OdetteMaso
4 years ago
Comments
1
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Pourduvrai 4 years ago
Sacré aventure.
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