Mon cocufiage.
Résumé.
VoilĂ vingt ans que je traĂźne mes fantasmes.
Cette fois, mon épouse a décidé de franchir le pas et faire de son esclave une vraie lopette cocu.
Aidée de son amie, elle va la livrer pour sa dépravation totale.
Câest un rĂ©cit trĂšs dur, pour les vrais Masochistes.
* * *
VoilĂ vingt ans, jâavais rĂ©ussi Ă convertir ma premiĂšre Ă©pouse Ă la domination.
Vingt ans que je traĂźne mes fantasmes.
Oh, au dĂ©but, câĂ©tait plutĂŽt soft.
On avait dĂ©couvert Histoire dâO, le marquis de Sade, et surtout le divin Sacher Masoch.
Les premiers coups de ceinture, la lécher partout, ses petites culottes.
Puis mon premier gode, me fĂ©miniser, lâachat du fouet, les cordes.
Cinq ans de bonheur, jusquâĂ ce quâelle me quitte pour un alcoolique.
Puis je connus Colinette, dont jâĂ©tais fol amoureux.
Mais elle était nymphomane, je goûtais souvent le sperme de ses nombreux amants.
Enfin, ce fut Anne, qui devint trĂšs vite MaĂźtresse Wanda.
Greta est la tante de ma femme. Elle a 45 ans. Son mari est Marcel, 49 ans.
Chacun a son esclave : Trou pour Lise, BĂ©a pour Marcel.
Depuis des années, ils sont connus sur le net et dans les clubs comme un couple dominant.
Sur les sites spĂ©cialisĂ©s, ils recrutent facilement des couples dâesclaves.
Ils exigent des liens forts, par exemple mari et femme, frĂšre et sĆur.
Lettre de motivation. Ils doivent certifier ĂȘtre de vrais masos, et sâengager Ă tout accepter sans limite. Les postulants doivent prouver quâils aiment souffrance, humiliation, obĂ©issance totale.
Peuvent Ă©ventuellement travailler, mais ĂȘtre disponibles le reste du temps.
Greta et Marcel gardent un couple +/- 1 an. Ils les appellent tous Trou et BĂ©a.
Ils acceptent aussi des stagiaires M et F en formation.
Actuellement, ils ont un couple sĆur frĂšre, 35 et 28 ans.
* * *
Mon cocufiage.
Il y avait peu de diffĂ©rence dâĂąge entre sa tante et Anne (mon Ă©pouse), 45 pour Greta, 40 pour Anne.
Lors dâun mariage dâamis communs, Greta et Anne qui avaient un peu bu, se sont fait des confidences. Elles se sont dĂ©couvert leur gout pour la domination. Greta a expliquĂ© quâavec Marcel, ils dressaient des esclaves. Anne lui a parlĂ© de mes goĂ»ts pour la fĂ©minisation, lâhumiliation publique et le fouet, et aussi quâelle avait des aventures.
Greta lui dit quâelle connaissait un bel homme qui lui plairait surement, et qui serait un parfait MaĂźtre pour Solange. Et qui habitait pas loin de chez nous. Miam ! fit Anne. Greta lui tĂ©lĂ©phona pour lâinviter Ă les rejoindre. Elle lui expliqua en quelques mots la situation.
Greta expliqua Ă Anne que Bob Ă©tait un de leurs amis qui participait de temps en temps aux sĂ©ances de dressage, oĂč il Ă©tait trĂšs dur. Brigitte, sa femme, Ă©tait une esclave parfaitement dressĂ©e.
Alors Greta a demandĂ© si Anne voulait leur montrer Solange en situation. Avec Marcel, ils auraient plaisir Ă la tester, la dresser et lâhumilier. Anne ne demandait pas mieux, elle Ă©tait sĂ»re que ça ma plairait.
Greta nous a invités pour le weekend. Elles ont mis les détails au point, je serais présentée en femelle et livrée comme esclave.
Bob arriva dans la demi-heure. Greta fit les prĂ©sentations, ils se plurent tout de suite. En dansant, il comprit vite que Greta ne lui avait pas menti. Anne Ă©tait chaude et lui confirma en quelques mots quâelle Ă©tait ma MaĂźtresse et lui dĂ©crivit la lopette que jâĂ©tais. Un quart dâheure plus tard, ils sâembrassaient Ă pleine bouche.
Ils rejoignirent Greta, Anne lui dit quâils partaient et quâelle me renvoie.
Greta lui dit Ă lâoreille quâelle inviterait aussi Bob pour le weekend.
Pendant ce temps, je parlais avec des amis Ă©loignĂ©s. Jâavais pas mal bu et perdu Anne de vue.
Un moment, Greta vint me dire quâAnne Ă©tait partie de son cĂŽtĂ© et quâelle me faisait dire de ne pas lâattendre.
Je partis seul. SitĂŽt rentrĂ©, je me mis en tenue pour attendre ma MaĂźtresse. Je bus encore mais proche de la nausĂ©e, je mâendormis dans le canapĂ©. Une paire de gifles me rĂ©veilla, il Ă©tait minuit.
Moi je ne savais rien de tout ce quâelles sâĂ©taient dit ni de ce quâelles avaient complotĂ©. Ce nâest que plus tard quâAnne mâen a racontĂ© un peu.
Le lendemain, Anne téléphona à Greta et lui raconta sa soirée.
Ils sâĂ©taient dĂ©jĂ bien pelotĂ©s dans la voiture. Chez Bob, Brigitte, toute nue, les accueillit Ă genoux, les yeux baissĂ©s. Elle Ă©tait couverte de fortes traces de fouet, en particulier sur les seins.
Sans attendre, Bob emmena Anne au lit, une baise dâenfer ! Et Brigitte lui nettoya la chatte. Bob exigea quâAnne lui montre ses talents de MaĂźtresse sur Brigitte.
Ă sa demande, Brigitte sâĂ©tait aussi faite l'esclave de son fils Ăric. Elle aimait beaucoup se faire fouetter par ses deux MaĂźtres ensemble, se faire enculer, boire leur pisse.
Le lendemain, câĂ©tait dimanche.
Comme chaque matin, en soubrette, je lui apportai le petit dĂ©jeuner au lit. Puis jâallai me lier toute nue aux cordes, espĂ©rant son fouet, sa petite culotte et peut-ĂȘtre un verre de pipi chaud.
Je fus comblĂ©e, Anne ne fouetta bien plus durement quâĂ lâhabitude.
Elle me dĂ©livra. Puis elle mâa convoquĂ©e au salon et mâa fait lire Ă haute voix le document oĂč je disais mes envies dâĂȘtre exposĂ©e Ă ses amies, et quâelle prenne un amant pour les servir en esclave.
â Tu rĂȘves ou tu veux vraiment ?
PersuadĂ© quâelle bluffait, jâai dit oui.
â MĂ©fies-toi quâun jour je te prenne au mot.
â Câest mon rĂȘve le plus cher, MaĂźtresse.
Durant la semaine, Anne alla chez Bob chaque jour.
Elle lui montra mes photos, mes textes, fantasmes et contrats.
En mĂȘme temps, ils correspondaient avec Greta et Marcel.
Il sâagissait de mettre au point la cĂ©rĂ©monie de mon cocufiage et la prise de pouvoir de Bob sur moi.
Mais pour me ménager la surprise, elle ne se laissait plus lécher et me privait de sa petite culotte.
Ma semaine fut dure : travaux mĂ©nagers et punitions intensives. JâĂ©tais aux anges.
Jâaurais dĂ» me douter de quelque chose car quand jâosai lui demander de la lĂ©cher ou au moins sa petite culotte, elle me gifla : « Tu ne le mĂ©rites pas ». De plus, elle sortait dĂšs lâaprĂšs-midi jusquâau soir, parfois tard.
Le jeudi, elle reprit une des nombreuses dĂ©clarations oĂč je lui dĂ©crivais mes fantasmes, mes envies. Elle lâavait annotĂ©e, corrigĂ©e, mise au pluriel pour ajouter les MaĂźtres.
â Pas un mot. Maintenant, tu vas recopier ce texte 100 fois, puis tu me le rĂ©citeras par cĆur.
Le vendredi, Anne mâa fait mettre mon plug et habiller en sous-vĂȘtements fĂ©minins sous une minijupe qui laissait voir les jarretelles. Un chemisier transparent sur mon soutien-gorge rembourrĂ© des faux seins. Chaussures Ă talons, maquillage, perruque et boucles dâoreilles.
De son cotĂ©, elle avait prĂ©parĂ© mon sac de vĂȘtements et jouets (fouets, etc.) ainsi que mon contrat et cette feuille de prĂ©sentation dĂ©crivant mes fantasmes. Et des photos de moi en soubrette et toute nue.
â Tu vas faire un peu la femme en public ! mâa-t-elle seulement dit.
Sans me donner de dĂ©tails, elle mâa ordonnĂ© de conduire. Elle mâindiquait le chemin au fur et Ă mesure. AprĂšs Âœ heure de route, en silence, nous sommes arrivĂ©es dans la propriĂ©tĂ©.
Greta nous accueillit sur le perron. Elle portait une minirobe dâĂ©tĂ© trĂšs dĂ©colletĂ©e.
Je la connaissais Ă peine pour lâavoir vue peut-ĂȘtre trois fois dans ma vie,
Elle embrassa Anne puis se retourna vers moi.
â Alors, câest ça Solange ? fit-elle dâun air mĂ©prisant.
Je rougis violement, en jetant un regard désespéré vers Anne qui me sourit, sarcastique.
â Eh oui, câest ma lopette !
Marcel nous rejoignit, en short, torse nu. Ă son tour, il embrassa Anne. Puis il me toisa.
â Mmm, on va se rĂ©galer. Elle est docile ?
â Avec moi, oui. Mais elle a encore beaucoup Ă apprendre.
Greta entraĂźna Anne.
â Viens, je te montre nos esclaves, Trou et BĂ©a, sa grande sĆur.
Ils se tenaient au garde Ă vous derriĂšre elle.
Trou était un grand gaillard bien baraqué, et surtout bien monté. Il était rasé et nu sauf un et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Une grosse bite pendante. Il se tourna sur ordre pour montrer son gode, une courte queue de chien en caoutchouc noir, dressée haut.
Béa était une forte fille aux gros seins et à la chatte rasée montrant une fente de petite fille. Elle portait également des bracelets de cuir mais aussi un anneau au nez et aux tétons. De dos, elle écarta les fesses pour montrer son gode, une courte queue de fourrure.
Ils portaient tous les deux de belles traces de fouet, BĂ©a mĂȘme sur les seins.
Greta dit un mot Ă lâoreille de Trou qui mâemmena au fond du jardin. Il me lia entre deux arbres, dos Ă la propriĂ©tĂ©. De plus, jâavais les yeux bandĂ©s.
Certes, jâen avais rĂȘvĂ©, mais confrontĂ© Ă la rĂ©alitĂ©, je nâen menais pas large. Je compris pourquoi Anne avait rajoutĂ© les MaĂźtres Ă mon texte de soumission.
Plusieurs voitures arrivĂšrent. Puis je sentis les effluves dâun BBQ, jâentendais vaguement le brouhaha et les rires.
Trou revint me chercher. Comme jâavais les yeux bandĂ©s, il me mena par le bras dans une salle de bain, ĂŽta mon bandeau et me dit de retirer ma jupe et ma culotte. Il me fit un lavement. AprĂšs quelques minutes, sous son regard, je pus me vider et me nettoyer. Je dus remettre mon gode et me rhabiller. Il inspecta, ma tenue et ma coiffure puis nous attendĂźmes en silence.
JâĂ©tais tendue, jâignorais ce qui allait arriver. MaĂźtresse mâavait dit que jâallais faire la femme en public. Mais je ne mâattendais pas Ă ce quâils avaient organisĂ©.
BĂ©a vint nous chercher. Trou me poussa fermement vers le salon. Un gros spot mâĂ©blouit. Je distinguai cependant quâune douzaine de personnes Ă©taient lĂ Ă me regarder. Il y avait des gens que je connaissais de vue. Je sus plus tard que câĂ©taient des amis de Bob de notre voisinage. Trou, BĂ©a et Brigitte se tenaient debout au fond de la piĂšce. Marcel avait installĂ© sa camĂ©ra.
Je rougis, baissant les yeux.
â Je vous prĂ©sente Solange, annonça Anne. Câest mon esclave, une lopette. Elle mâa avouĂ© que, tout en ayant les hommes en horreur, elle rĂȘvait secrĂštement, dâĂȘtre dressĂ©e et contrainte de les servir. Câest pourquoi aujourdâhui ce seront surtout les mĂąles qui seront son ordinaire. Mais les dames ne seront pas oubliĂ©es. Elle va maintenant se prĂ©senter. On tâĂ©coute, Solange.
JusquâĂ ce matin, jâavais cru naĂŻvement quâAnne voulait simplement satisfaire mes besoins en durcissant notre jeu, mais toujours en privĂ©. Je nâavais pas imaginĂ© quâelle le ferait vraiment. Mais cette fois câĂ©tait la rĂ©alitĂ©, jâallais devoir exposer mes turpitudes devant un public.
Confuse, je balbutiai le texte que jâavais appris par cĆur.
Maßtresse, Maßtres, Solange se présente à vous.
Câest une esclave dans lâĂąme, une femelle par vocation.
Elle a un besoin impĂ©rieux dâĂȘtre cruellement fouettĂ©e chaque jour.
DâĂȘtre giflĂ©e Ă tour de bras avec ou sans raison, pour lâhumilier.
Comme femme de ménage, elle est paresseuse, il faut la punir durement.
Elle veut ĂȘtre la bonne Ă tout faire et l'esclave sexuelle de MaĂźtresse et de son amant.
Elle aime beaucoup la pisse des dames, il faut lui imposer celle des hommes.
Comme femelle, elle serait plutĂŽt lesbienne, elle a les hommes en horreur.
Câest pourquoi elle a besoin dâun vrai MaĂźtre autoritaire et impitoyable pour la dresser en fille.
Typique de Solange, câest que si elle a plein de fantasmes, elle renĂącle souvent Ă les exĂ©cuter. Câest pourquoi il est essentiel pour les MaĂźtres de savoir la contraindre par la force.
En bref, elle espÚre beaucoup de fouet, de gifles, de torture des tétons et des couilles.
Beaucoup de pisse et de sperme Ă avaler,
Beaucoup de grosses bites dans sa bouche et dans son cul.
Beaucoup de chattes, de culs et de couilles à lécher.
Beaucoup de petites culottes crasseuses Ă sucer.
MaĂźtre, nâhĂ©sitez pas Ă ĂȘtre brutal, il faut quâelle apprenne Ă accepter et Ă aimer la bite.
â Vous voyez, fit Anne, quâil serait dommage de ne pas exploiter dâaussi bonnes dispositions.
Je la regardai : elle Ă©tait assise Ă cĂŽtĂ© dâun grand mĂąle. Ils se tenaient par lâĂ©paule et il avait la main entre les cuisses de ma femme. JâĂ©carquillai les yeux, ne voulant pas croire ce que je voyais. Mais elle enfonça le clou.
â Solange, voici Bob, câest mon amant et maintenant ton MaĂźtre. Approche, Ă genoux pour saluer ton MaĂźtre.
JâobĂ©is, dĂ©sespĂ©rĂ©, en bredouillant.
â Je vous salue, MaĂźtre Bob.
Il me prit le menton et me fixa dans les yeux avec un sourire diabolique.
â Bonjour ma petite Solange ! On va bien sâentendre tous les trois, nâest-ce pas ?
â Oui MaĂźtre Bob.
â Et bien, commence par te dĂ©shabiller.
Je jetai un Ćil vers ma MaĂźtresse.
â Allons, obĂ©is. Et gare Ă toi si tu me fais honte !
Je me relevai et commençai à déboutonner mon chemisier. Quelques participants commencÚrent à filmer et à photographier. Je laissai tomber ma jupe.
â Tourne-toi lentement ! dit quelquâun. Je fis un tour pour me montrer.
â La culotte ! dit un autre.
Je baissai le petit vĂȘtement. Une femme sâapprocha pour prendre une photo en gros plan.
JâĂŽtai le soutien-gorge et les faux seins, dĂ©grafai les bas et me dĂ©chaussai pour enlever les bas nylons et le porte-jarretelles. JâĂ©tais toute nue.
Des remarques jaillirent : Elle nâest pas trĂšs marquĂ©e pour une esclave !
â Chaque chose en son temps, fit Anne. Vous ne serez pas déçus. Puis se tournant vers moi, elle me fĂ©licita.
â Câest bien, ma grande ! Maintenant, tu vas te masturber, je sais que tu profiteras mieux de la suite.
La garce ! Elle savait ce quâelle faisait en mâimposant ça. Et câest moi qui le lui avais appris. Je pris ma nouille entre deux doigts et tentai de bander, sans succĂšs. Anne releva sa jupe.
â Regarde ma petite culotte, ça tâaidera !
En imaginant la lĂ©cher, jâarrivai Ă un dĂ©but dâĂ©rection et finis par Ă©jaculer quelques gouttes, sous lâobjectif des camĂ©ras. Les gens applaudirent.
â Allons Solange !
Je léchai le sperme au creux de ma main.
â Câest bien, ma grande, câest trĂšs bien ! Maintenant, prends la position, on va te fouetter !
Jambes Ă©cartĂ©es, mains Ă la nuque, les yeux fermĂ©s, jâattendis.
Dâhabitude, jâadore ĂȘtre fouettĂ©e. Mais depuis que je lui ai expliquĂ© combien le fouet mâĂ©tait pĂ©nible quand mon excitation est tombĂ©e aprĂšs Ă©jaculation, jây ai droit Ă chaque fois. Mais aprĂšs, je cours devant le miroir, fiĂšre des traces.
â Mesdames, Messieurs, je vais vous montrer comment je dresse une lopette.
CâĂ©tait Bob. Jâouvris les yeux. Je frĂ©mis : Bob et Anne tenaient chacun un fouet.
Il me cingla les seins, les hanches le bas ventre (je paniquais pour mes couilles). Enfin, il visa lâintĂ©rieur des cuisses, lĂ oĂč ça fait trĂšs mal. En mĂȘme temps, ma MaĂźtresse me fouettait des Ă©paules aux fesses.
Lorsquâenfin ce fut terminĂ©, je devais remercier.
â Merci MaĂźtresse Wanda, merci MaĂźtre Bob.
â Montre-nous ce que tu fais avec ton gode, fit il.
La honte suprĂȘme. Je me mis Ă quatre pattes, exposant mes fesses et fis sortir et rentrer plusieurs fois lâoutil.
â Tu aimerais une belle queue ? demanda Bob.
â Je ne sais pas, MaĂźtre Bob.
â Mais⊠câest quâelle est pucelle, la petite fille ! Approche, commence par frotter ton visage sur mon pantalon. Tu sens ce qui est dedans ? Il se leva.
â Maintenant ouvre la braguette⊠LĂšche mes couilles⊠ouvre la bouche.
Il me tenait par les oreilles. Je fus bien obligĂ©e, il se poussa jusquâĂ ma gorge. JâĂ©tais Ă la fois dĂ©goĂ»tĂ©e et avide, allez comprendre ! Anne lui glissa un mot Ă lâoreille.
â Ah, câest vrai, il paraĂźt que tu adores la pisse, attends un peu. Le liquide arriva, un jet puissant, chaud et amer.
â Et surtout nâen perds pas une goutte ! Jâavalai, les lĂšvres aspirant sa bite.
â CâĂ©tait bon, Solange ?
Je toussai, ayant avalé un peu de travers.
â De toutes façons, il faudra tây habituer, tu nâas pas le choix. Allez, tu vas faire la fille maintenant. Retire ton gode.
Il me fit pencher, mâappuyer sur les bras. Pendant quâil introduisait son Ă©norme engin dans mon cul, Anne sâaccroupit devant moi, plongeant les yeux dans les miens.
â Câest bon Solange ? Tu te sens femelle maintenant ?
Au bord des larmes, je dis â Oui MaĂźtresse.
Bob me limait lentement, en profondeur. Les gens sâĂ©taient approchĂ©s pour mieux voir et filmer.
â Je peux ? demanda un homme.
â Bien sĂ»r, fit Anne. Elle lui laissa la place et il mâenfourna sa bite en bouche.
â Suce, salope ! Je fis de mon mieux mais il se retira et me gifla.
â Mieux que ça, bonne Ă rien ! Je parvins Ă le satisfaire et reçus la giclĂ©e de sperme. Mais il restait lĂ , je fus forcĂ©e de le sucer jusquâĂ ce quâil dĂ©bande et dus avaler le sperme gluant. Ă ce moment, Bob Ă©jacula.
â Viens nettoyer ton MaĂźtre. Je repris la bite poisseuse Ă peine sortie de mon cul et mâefforçai de la sucer.
â Trou, viens ici. Il savait ce quâil avait Ă faire et recueillit le sperme qui dĂ©gouttait de mon anus. Puis Bob me força Ă lâembrasser pour recevoir mon sperme de la bouche de Trou.
â VoilĂ , Mesdames, Messieurs, la femelle est dĂ©pucelĂ©e, fit Bob, triomphant.
Chacun reprit sa place. Mais les invités semblaient attendre autre chose.
Bob reprit la parole.
â Solange, comme tu es dĂ©sormais mon esclave, je vais te marquer.
CâĂ©tait un de mes fantasmes dâĂȘtre marquĂ©e au fer, mais Anne ne lâavait jamais fait.
Marcel apporta les outils, une lampe Ă souder et un gros tournevis. FrĂ©missante de peur, je fus liĂ©e sur la table. Bob fit quelques marques au stylo sur mon bas ventre. Puis, muni dâun cutter, il commença Ă me faire une petite entaille.
â Vous voyez, expliqua-t-il, jâouvre le derme. Puis je vais appliquer le fer dans lâentaille, ça lui fera une scarification permanente. La flamme ronflait, je tremblais. Il appliqua la lame rougie du tournevis quelques secondes. CâĂ©tait supportable. Il fit cinq fois lâopĂ©ration. Puis on me libĂ©ra. Une dame me donna un petit miroir et je pus voir la forme dâun S (en police digitale).
â De temps en temps, je tâajouterai une lettre, Solange.
â Merci MaĂźtre Bob.
Pendant que Trou et BĂ©a servaient Ă boire, Brigitte restait en position dâesclave, la chatte et les tĂ©tons offerts Ă tous les attouchements, Ă touts les sĂ©vices.
â Maintenant que tu es une vraie femelle, dit Anne, tu vas montrer que tu aimes la bite.
Durant lâaprĂšs-midi, elle mâamena devant chaque homme dont je dus ouvrir la braguette et leur montrer mes nouveaux talents de pute, bonne suceuse et vide couilles. Deux des hommes, gays, se firent embrasser Ă pleine bouche et exigĂšrent de mâenculer.
plusieurs femmes demandĂšrent Ă utiliser les toilettes. Anne me fit allonger au sol et lâune aprĂšs lâautre me fit cadeau de sa pisse.
à la fin de la cérémonie, Anne me fit recopier un nouveau contrat.
Je mây dĂ©clarai esclave dĂ©finitif de ma femme Anne âMaĂźtresse Wandaâ et de mon MaĂźtre Bob, son amant, et je leur cĂ©dais mes biens.
Je datai, signai, puis mes Maßtres, puis tous les participants comme témoins.
Maßtre Bob prit des rendez-vous pour me louer comme esclave sexuelle à des pervers, Maßtresse Wanda pour me louer comme femme de ménage bonne à tout faire à des couples.
Mais ceci est une autre histoireâŠ
VoilĂ vingt ans que je traĂźne mes fantasmes.
Cette fois, mon épouse a décidé de franchir le pas et faire de son esclave une vraie lopette cocu.
Aidée de son amie, elle va la livrer pour sa dépravation totale.
Câest un rĂ©cit trĂšs dur, pour les vrais Masochistes.
* * *
VoilĂ vingt ans, jâavais rĂ©ussi Ă convertir ma premiĂšre Ă©pouse Ă la domination.
Vingt ans que je traĂźne mes fantasmes.
Oh, au dĂ©but, câĂ©tait plutĂŽt soft.
On avait dĂ©couvert Histoire dâO, le marquis de Sade, et surtout le divin Sacher Masoch.
Les premiers coups de ceinture, la lécher partout, ses petites culottes.
Puis mon premier gode, me fĂ©miniser, lâachat du fouet, les cordes.
Cinq ans de bonheur, jusquâĂ ce quâelle me quitte pour un alcoolique.
Puis je connus Colinette, dont jâĂ©tais fol amoureux.
Mais elle était nymphomane, je goûtais souvent le sperme de ses nombreux amants.
Enfin, ce fut Anne, qui devint trĂšs vite MaĂźtresse Wanda.
Greta est la tante de ma femme. Elle a 45 ans. Son mari est Marcel, 49 ans.
Chacun a son esclave : Trou pour Lise, BĂ©a pour Marcel.
Depuis des années, ils sont connus sur le net et dans les clubs comme un couple dominant.
Sur les sites spĂ©cialisĂ©s, ils recrutent facilement des couples dâesclaves.
Ils exigent des liens forts, par exemple mari et femme, frĂšre et sĆur.
Lettre de motivation. Ils doivent certifier ĂȘtre de vrais masos, et sâengager Ă tout accepter sans limite. Les postulants doivent prouver quâils aiment souffrance, humiliation, obĂ©issance totale.
Peuvent Ă©ventuellement travailler, mais ĂȘtre disponibles le reste du temps.
Greta et Marcel gardent un couple +/- 1 an. Ils les appellent tous Trou et BĂ©a.
Ils acceptent aussi des stagiaires M et F en formation.
Actuellement, ils ont un couple sĆur frĂšre, 35 et 28 ans.
* * *
Mon cocufiage.
Il y avait peu de diffĂ©rence dâĂąge entre sa tante et Anne (mon Ă©pouse), 45 pour Greta, 40 pour Anne.
Lors dâun mariage dâamis communs, Greta et Anne qui avaient un peu bu, se sont fait des confidences. Elles se sont dĂ©couvert leur gout pour la domination. Greta a expliquĂ© quâavec Marcel, ils dressaient des esclaves. Anne lui a parlĂ© de mes goĂ»ts pour la fĂ©minisation, lâhumiliation publique et le fouet, et aussi quâelle avait des aventures.
Greta lui dit quâelle connaissait un bel homme qui lui plairait surement, et qui serait un parfait MaĂźtre pour Solange. Et qui habitait pas loin de chez nous. Miam ! fit Anne. Greta lui tĂ©lĂ©phona pour lâinviter Ă les rejoindre. Elle lui expliqua en quelques mots la situation.
Greta expliqua Ă Anne que Bob Ă©tait un de leurs amis qui participait de temps en temps aux sĂ©ances de dressage, oĂč il Ă©tait trĂšs dur. Brigitte, sa femme, Ă©tait une esclave parfaitement dressĂ©e.
Alors Greta a demandĂ© si Anne voulait leur montrer Solange en situation. Avec Marcel, ils auraient plaisir Ă la tester, la dresser et lâhumilier. Anne ne demandait pas mieux, elle Ă©tait sĂ»re que ça ma plairait.
Greta nous a invités pour le weekend. Elles ont mis les détails au point, je serais présentée en femelle et livrée comme esclave.
Bob arriva dans la demi-heure. Greta fit les prĂ©sentations, ils se plurent tout de suite. En dansant, il comprit vite que Greta ne lui avait pas menti. Anne Ă©tait chaude et lui confirma en quelques mots quâelle Ă©tait ma MaĂźtresse et lui dĂ©crivit la lopette que jâĂ©tais. Un quart dâheure plus tard, ils sâembrassaient Ă pleine bouche.
Ils rejoignirent Greta, Anne lui dit quâils partaient et quâelle me renvoie.
Greta lui dit Ă lâoreille quâelle inviterait aussi Bob pour le weekend.
Pendant ce temps, je parlais avec des amis Ă©loignĂ©s. Jâavais pas mal bu et perdu Anne de vue.
Un moment, Greta vint me dire quâAnne Ă©tait partie de son cĂŽtĂ© et quâelle me faisait dire de ne pas lâattendre.
Je partis seul. SitĂŽt rentrĂ©, je me mis en tenue pour attendre ma MaĂźtresse. Je bus encore mais proche de la nausĂ©e, je mâendormis dans le canapĂ©. Une paire de gifles me rĂ©veilla, il Ă©tait minuit.
Moi je ne savais rien de tout ce quâelles sâĂ©taient dit ni de ce quâelles avaient complotĂ©. Ce nâest que plus tard quâAnne mâen a racontĂ© un peu.
Le lendemain, Anne téléphona à Greta et lui raconta sa soirée.
Ils sâĂ©taient dĂ©jĂ bien pelotĂ©s dans la voiture. Chez Bob, Brigitte, toute nue, les accueillit Ă genoux, les yeux baissĂ©s. Elle Ă©tait couverte de fortes traces de fouet, en particulier sur les seins.
Sans attendre, Bob emmena Anne au lit, une baise dâenfer ! Et Brigitte lui nettoya la chatte. Bob exigea quâAnne lui montre ses talents de MaĂźtresse sur Brigitte.
Ă sa demande, Brigitte sâĂ©tait aussi faite l'esclave de son fils Ăric. Elle aimait beaucoup se faire fouetter par ses deux MaĂźtres ensemble, se faire enculer, boire leur pisse.
Le lendemain, câĂ©tait dimanche.
Comme chaque matin, en soubrette, je lui apportai le petit dĂ©jeuner au lit. Puis jâallai me lier toute nue aux cordes, espĂ©rant son fouet, sa petite culotte et peut-ĂȘtre un verre de pipi chaud.
Je fus comblĂ©e, Anne ne fouetta bien plus durement quâĂ lâhabitude.
Elle me dĂ©livra. Puis elle mâa convoquĂ©e au salon et mâa fait lire Ă haute voix le document oĂč je disais mes envies dâĂȘtre exposĂ©e Ă ses amies, et quâelle prenne un amant pour les servir en esclave.
â Tu rĂȘves ou tu veux vraiment ?
PersuadĂ© quâelle bluffait, jâai dit oui.
â MĂ©fies-toi quâun jour je te prenne au mot.
â Câest mon rĂȘve le plus cher, MaĂźtresse.
Durant la semaine, Anne alla chez Bob chaque jour.
Elle lui montra mes photos, mes textes, fantasmes et contrats.
En mĂȘme temps, ils correspondaient avec Greta et Marcel.
Il sâagissait de mettre au point la cĂ©rĂ©monie de mon cocufiage et la prise de pouvoir de Bob sur moi.
Mais pour me ménager la surprise, elle ne se laissait plus lécher et me privait de sa petite culotte.
Ma semaine fut dure : travaux mĂ©nagers et punitions intensives. JâĂ©tais aux anges.
Jâaurais dĂ» me douter de quelque chose car quand jâosai lui demander de la lĂ©cher ou au moins sa petite culotte, elle me gifla : « Tu ne le mĂ©rites pas ». De plus, elle sortait dĂšs lâaprĂšs-midi jusquâau soir, parfois tard.
Le jeudi, elle reprit une des nombreuses dĂ©clarations oĂč je lui dĂ©crivais mes fantasmes, mes envies. Elle lâavait annotĂ©e, corrigĂ©e, mise au pluriel pour ajouter les MaĂźtres.
â Pas un mot. Maintenant, tu vas recopier ce texte 100 fois, puis tu me le rĂ©citeras par cĆur.
Le vendredi, Anne mâa fait mettre mon plug et habiller en sous-vĂȘtements fĂ©minins sous une minijupe qui laissait voir les jarretelles. Un chemisier transparent sur mon soutien-gorge rembourrĂ© des faux seins. Chaussures Ă talons, maquillage, perruque et boucles dâoreilles.
De son cotĂ©, elle avait prĂ©parĂ© mon sac de vĂȘtements et jouets (fouets, etc.) ainsi que mon contrat et cette feuille de prĂ©sentation dĂ©crivant mes fantasmes. Et des photos de moi en soubrette et toute nue.
â Tu vas faire un peu la femme en public ! mâa-t-elle seulement dit.
Sans me donner de dĂ©tails, elle mâa ordonnĂ© de conduire. Elle mâindiquait le chemin au fur et Ă mesure. AprĂšs Âœ heure de route, en silence, nous sommes arrivĂ©es dans la propriĂ©tĂ©.
Greta nous accueillit sur le perron. Elle portait une minirobe dâĂ©tĂ© trĂšs dĂ©colletĂ©e.
Je la connaissais Ă peine pour lâavoir vue peut-ĂȘtre trois fois dans ma vie,
Elle embrassa Anne puis se retourna vers moi.
â Alors, câest ça Solange ? fit-elle dâun air mĂ©prisant.
Je rougis violement, en jetant un regard désespéré vers Anne qui me sourit, sarcastique.
â Eh oui, câest ma lopette !
Marcel nous rejoignit, en short, torse nu. Ă son tour, il embrassa Anne. Puis il me toisa.
â Mmm, on va se rĂ©galer. Elle est docile ?
â Avec moi, oui. Mais elle a encore beaucoup Ă apprendre.
Greta entraĂźna Anne.
â Viens, je te montre nos esclaves, Trou et BĂ©a, sa grande sĆur.
Ils se tenaient au garde Ă vous derriĂšre elle.
Trou était un grand gaillard bien baraqué, et surtout bien monté. Il était rasé et nu sauf un et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Une grosse bite pendante. Il se tourna sur ordre pour montrer son gode, une courte queue de chien en caoutchouc noir, dressée haut.
Béa était une forte fille aux gros seins et à la chatte rasée montrant une fente de petite fille. Elle portait également des bracelets de cuir mais aussi un anneau au nez et aux tétons. De dos, elle écarta les fesses pour montrer son gode, une courte queue de fourrure.
Ils portaient tous les deux de belles traces de fouet, BĂ©a mĂȘme sur les seins.
Greta dit un mot Ă lâoreille de Trou qui mâemmena au fond du jardin. Il me lia entre deux arbres, dos Ă la propriĂ©tĂ©. De plus, jâavais les yeux bandĂ©s.
Certes, jâen avais rĂȘvĂ©, mais confrontĂ© Ă la rĂ©alitĂ©, je nâen menais pas large. Je compris pourquoi Anne avait rajoutĂ© les MaĂźtres Ă mon texte de soumission.
Plusieurs voitures arrivĂšrent. Puis je sentis les effluves dâun BBQ, jâentendais vaguement le brouhaha et les rires.
Trou revint me chercher. Comme jâavais les yeux bandĂ©s, il me mena par le bras dans une salle de bain, ĂŽta mon bandeau et me dit de retirer ma jupe et ma culotte. Il me fit un lavement. AprĂšs quelques minutes, sous son regard, je pus me vider et me nettoyer. Je dus remettre mon gode et me rhabiller. Il inspecta, ma tenue et ma coiffure puis nous attendĂźmes en silence.
JâĂ©tais tendue, jâignorais ce qui allait arriver. MaĂźtresse mâavait dit que jâallais faire la femme en public. Mais je ne mâattendais pas Ă ce quâils avaient organisĂ©.
BĂ©a vint nous chercher. Trou me poussa fermement vers le salon. Un gros spot mâĂ©blouit. Je distinguai cependant quâune douzaine de personnes Ă©taient lĂ Ă me regarder. Il y avait des gens que je connaissais de vue. Je sus plus tard que câĂ©taient des amis de Bob de notre voisinage. Trou, BĂ©a et Brigitte se tenaient debout au fond de la piĂšce. Marcel avait installĂ© sa camĂ©ra.
Je rougis, baissant les yeux.
â Je vous prĂ©sente Solange, annonça Anne. Câest mon esclave, une lopette. Elle mâa avouĂ© que, tout en ayant les hommes en horreur, elle rĂȘvait secrĂštement, dâĂȘtre dressĂ©e et contrainte de les servir. Câest pourquoi aujourdâhui ce seront surtout les mĂąles qui seront son ordinaire. Mais les dames ne seront pas oubliĂ©es. Elle va maintenant se prĂ©senter. On tâĂ©coute, Solange.
JusquâĂ ce matin, jâavais cru naĂŻvement quâAnne voulait simplement satisfaire mes besoins en durcissant notre jeu, mais toujours en privĂ©. Je nâavais pas imaginĂ© quâelle le ferait vraiment. Mais cette fois câĂ©tait la rĂ©alitĂ©, jâallais devoir exposer mes turpitudes devant un public.
Confuse, je balbutiai le texte que jâavais appris par cĆur.
Maßtresse, Maßtres, Solange se présente à vous.
Câest une esclave dans lâĂąme, une femelle par vocation.
Elle a un besoin impĂ©rieux dâĂȘtre cruellement fouettĂ©e chaque jour.
DâĂȘtre giflĂ©e Ă tour de bras avec ou sans raison, pour lâhumilier.
Comme femme de ménage, elle est paresseuse, il faut la punir durement.
Elle veut ĂȘtre la bonne Ă tout faire et l'esclave sexuelle de MaĂźtresse et de son amant.
Elle aime beaucoup la pisse des dames, il faut lui imposer celle des hommes.
Comme femelle, elle serait plutĂŽt lesbienne, elle a les hommes en horreur.
Câest pourquoi elle a besoin dâun vrai MaĂźtre autoritaire et impitoyable pour la dresser en fille.
Typique de Solange, câest que si elle a plein de fantasmes, elle renĂącle souvent Ă les exĂ©cuter. Câest pourquoi il est essentiel pour les MaĂźtres de savoir la contraindre par la force.
En bref, elle espÚre beaucoup de fouet, de gifles, de torture des tétons et des couilles.
Beaucoup de pisse et de sperme Ă avaler,
Beaucoup de grosses bites dans sa bouche et dans son cul.
Beaucoup de chattes, de culs et de couilles à lécher.
Beaucoup de petites culottes crasseuses Ă sucer.
MaĂźtre, nâhĂ©sitez pas Ă ĂȘtre brutal, il faut quâelle apprenne Ă accepter et Ă aimer la bite.
â Vous voyez, fit Anne, quâil serait dommage de ne pas exploiter dâaussi bonnes dispositions.
Je la regardai : elle Ă©tait assise Ă cĂŽtĂ© dâun grand mĂąle. Ils se tenaient par lâĂ©paule et il avait la main entre les cuisses de ma femme. JâĂ©carquillai les yeux, ne voulant pas croire ce que je voyais. Mais elle enfonça le clou.
â Solange, voici Bob, câest mon amant et maintenant ton MaĂźtre. Approche, Ă genoux pour saluer ton MaĂźtre.
JâobĂ©is, dĂ©sespĂ©rĂ©, en bredouillant.
â Je vous salue, MaĂźtre Bob.
Il me prit le menton et me fixa dans les yeux avec un sourire diabolique.
â Bonjour ma petite Solange ! On va bien sâentendre tous les trois, nâest-ce pas ?
â Oui MaĂźtre Bob.
â Et bien, commence par te dĂ©shabiller.
Je jetai un Ćil vers ma MaĂźtresse.
â Allons, obĂ©is. Et gare Ă toi si tu me fais honte !
Je me relevai et commençai à déboutonner mon chemisier. Quelques participants commencÚrent à filmer et à photographier. Je laissai tomber ma jupe.
â Tourne-toi lentement ! dit quelquâun. Je fis un tour pour me montrer.
â La culotte ! dit un autre.
Je baissai le petit vĂȘtement. Une femme sâapprocha pour prendre une photo en gros plan.
JâĂŽtai le soutien-gorge et les faux seins, dĂ©grafai les bas et me dĂ©chaussai pour enlever les bas nylons et le porte-jarretelles. JâĂ©tais toute nue.
Des remarques jaillirent : Elle nâest pas trĂšs marquĂ©e pour une esclave !
â Chaque chose en son temps, fit Anne. Vous ne serez pas déçus. Puis se tournant vers moi, elle me fĂ©licita.
â Câest bien, ma grande ! Maintenant, tu vas te masturber, je sais que tu profiteras mieux de la suite.
La garce ! Elle savait ce quâelle faisait en mâimposant ça. Et câest moi qui le lui avais appris. Je pris ma nouille entre deux doigts et tentai de bander, sans succĂšs. Anne releva sa jupe.
â Regarde ma petite culotte, ça tâaidera !
En imaginant la lĂ©cher, jâarrivai Ă un dĂ©but dâĂ©rection et finis par Ă©jaculer quelques gouttes, sous lâobjectif des camĂ©ras. Les gens applaudirent.
â Allons Solange !
Je léchai le sperme au creux de ma main.
â Câest bien, ma grande, câest trĂšs bien ! Maintenant, prends la position, on va te fouetter !
Jambes Ă©cartĂ©es, mains Ă la nuque, les yeux fermĂ©s, jâattendis.
Dâhabitude, jâadore ĂȘtre fouettĂ©e. Mais depuis que je lui ai expliquĂ© combien le fouet mâĂ©tait pĂ©nible quand mon excitation est tombĂ©e aprĂšs Ă©jaculation, jây ai droit Ă chaque fois. Mais aprĂšs, je cours devant le miroir, fiĂšre des traces.
â Mesdames, Messieurs, je vais vous montrer comment je dresse une lopette.
CâĂ©tait Bob. Jâouvris les yeux. Je frĂ©mis : Bob et Anne tenaient chacun un fouet.
Il me cingla les seins, les hanches le bas ventre (je paniquais pour mes couilles). Enfin, il visa lâintĂ©rieur des cuisses, lĂ oĂč ça fait trĂšs mal. En mĂȘme temps, ma MaĂźtresse me fouettait des Ă©paules aux fesses.
Lorsquâenfin ce fut terminĂ©, je devais remercier.
â Merci MaĂźtresse Wanda, merci MaĂźtre Bob.
â Montre-nous ce que tu fais avec ton gode, fit il.
La honte suprĂȘme. Je me mis Ă quatre pattes, exposant mes fesses et fis sortir et rentrer plusieurs fois lâoutil.
â Tu aimerais une belle queue ? demanda Bob.
â Je ne sais pas, MaĂźtre Bob.
â Mais⊠câest quâelle est pucelle, la petite fille ! Approche, commence par frotter ton visage sur mon pantalon. Tu sens ce qui est dedans ? Il se leva.
â Maintenant ouvre la braguette⊠LĂšche mes couilles⊠ouvre la bouche.
Il me tenait par les oreilles. Je fus bien obligĂ©e, il se poussa jusquâĂ ma gorge. JâĂ©tais Ă la fois dĂ©goĂ»tĂ©e et avide, allez comprendre ! Anne lui glissa un mot Ă lâoreille.
â Ah, câest vrai, il paraĂźt que tu adores la pisse, attends un peu. Le liquide arriva, un jet puissant, chaud et amer.
â Et surtout nâen perds pas une goutte ! Jâavalai, les lĂšvres aspirant sa bite.
â CâĂ©tait bon, Solange ?
Je toussai, ayant avalé un peu de travers.
â De toutes façons, il faudra tây habituer, tu nâas pas le choix. Allez, tu vas faire la fille maintenant. Retire ton gode.
Il me fit pencher, mâappuyer sur les bras. Pendant quâil introduisait son Ă©norme engin dans mon cul, Anne sâaccroupit devant moi, plongeant les yeux dans les miens.
â Câest bon Solange ? Tu te sens femelle maintenant ?
Au bord des larmes, je dis â Oui MaĂźtresse.
Bob me limait lentement, en profondeur. Les gens sâĂ©taient approchĂ©s pour mieux voir et filmer.
â Je peux ? demanda un homme.
â Bien sĂ»r, fit Anne. Elle lui laissa la place et il mâenfourna sa bite en bouche.
â Suce, salope ! Je fis de mon mieux mais il se retira et me gifla.
â Mieux que ça, bonne Ă rien ! Je parvins Ă le satisfaire et reçus la giclĂ©e de sperme. Mais il restait lĂ , je fus forcĂ©e de le sucer jusquâĂ ce quâil dĂ©bande et dus avaler le sperme gluant. Ă ce moment, Bob Ă©jacula.
â Viens nettoyer ton MaĂźtre. Je repris la bite poisseuse Ă peine sortie de mon cul et mâefforçai de la sucer.
â Trou, viens ici. Il savait ce quâil avait Ă faire et recueillit le sperme qui dĂ©gouttait de mon anus. Puis Bob me força Ă lâembrasser pour recevoir mon sperme de la bouche de Trou.
â VoilĂ , Mesdames, Messieurs, la femelle est dĂ©pucelĂ©e, fit Bob, triomphant.
Chacun reprit sa place. Mais les invités semblaient attendre autre chose.
Bob reprit la parole.
â Solange, comme tu es dĂ©sormais mon esclave, je vais te marquer.
CâĂ©tait un de mes fantasmes dâĂȘtre marquĂ©e au fer, mais Anne ne lâavait jamais fait.
Marcel apporta les outils, une lampe Ă souder et un gros tournevis. FrĂ©missante de peur, je fus liĂ©e sur la table. Bob fit quelques marques au stylo sur mon bas ventre. Puis, muni dâun cutter, il commença Ă me faire une petite entaille.
â Vous voyez, expliqua-t-il, jâouvre le derme. Puis je vais appliquer le fer dans lâentaille, ça lui fera une scarification permanente. La flamme ronflait, je tremblais. Il appliqua la lame rougie du tournevis quelques secondes. CâĂ©tait supportable. Il fit cinq fois lâopĂ©ration. Puis on me libĂ©ra. Une dame me donna un petit miroir et je pus voir la forme dâun S (en police digitale).
â De temps en temps, je tâajouterai une lettre, Solange.
â Merci MaĂźtre Bob.
Pendant que Trou et BĂ©a servaient Ă boire, Brigitte restait en position dâesclave, la chatte et les tĂ©tons offerts Ă tous les attouchements, Ă touts les sĂ©vices.
â Maintenant que tu es une vraie femelle, dit Anne, tu vas montrer que tu aimes la bite.
Durant lâaprĂšs-midi, elle mâamena devant chaque homme dont je dus ouvrir la braguette et leur montrer mes nouveaux talents de pute, bonne suceuse et vide couilles. Deux des hommes, gays, se firent embrasser Ă pleine bouche et exigĂšrent de mâenculer.
plusieurs femmes demandĂšrent Ă utiliser les toilettes. Anne me fit allonger au sol et lâune aprĂšs lâautre me fit cadeau de sa pisse.
à la fin de la cérémonie, Anne me fit recopier un nouveau contrat.
Je mây dĂ©clarai esclave dĂ©finitif de ma femme Anne âMaĂźtresse Wandaâ et de mon MaĂźtre Bob, son amant, et je leur cĂ©dais mes biens.
Je datai, signai, puis mes Maßtres, puis tous les participants comme témoins.
Maßtre Bob prit des rendez-vous pour me louer comme esclave sexuelle à des pervers, Maßtresse Wanda pour me louer comme femme de ménage bonne à tout faire à des couples.
Mais ceci est une autre histoireâŠ
4 years ago