Mon cocufiage.

Résumé.
VoilĂ  vingt ans que je traĂźne mes fantasmes.
Cette fois, mon épouse a décidé de franchir le pas et faire de son esclave une vraie lopette cocu.
Aidée de son amie, elle va la livrer pour sa dépravation totale.
C’est un rĂ©cit trĂšs dur, pour les vrais Masochistes.

* * *
VoilĂ  vingt ans, j’avais rĂ©ussi Ă  convertir ma premiĂšre Ă©pouse Ă  la domination.
Vingt ans que je traĂźne mes fantasmes.
Oh, au dĂ©but, c’était plutĂŽt soft.
On avait dĂ©couvert Histoire d’O, le marquis de Sade, et surtout le divin Sacher Masoch.
Les premiers coups de ceinture, la lécher partout, ses petites culottes.
Puis mon premier gode, me fĂ©miniser, l’achat du fouet, les cordes.
Cinq ans de bonheur, jusqu’à ce qu’elle me quitte pour un alcoolique.
Puis je connus Colinette, dont j’étais fol amoureux.
Mais elle était nymphomane, je goûtais souvent le sperme de ses nombreux amants.
Enfin, ce fut Anne, qui devint trĂšs vite MaĂźtresse Wanda.
Greta est la tante de ma femme. Elle a 45 ans. Son mari est Marcel, 49 ans.
Chacun a son esclave : Trou pour Lise, BĂ©a pour Marcel.
Depuis des années, ils sont connus sur le net et dans les clubs comme un couple dominant.
Sur les sites spĂ©cialisĂ©s, ils recrutent facilement des couples d’esclaves.
Ils exigent des liens forts, par exemple mari et femme, frùre et sƓur.
Lettre de motivation. Ils doivent certifier ĂȘtre de vrais masos, et s’engager Ă  tout accepter sans limite. Les postulants doivent prouver qu’ils aiment souffrance, humiliation, obĂ©issance totale.
Peuvent Ă©ventuellement travailler, mais ĂȘtre disponibles le reste du temps.
Greta et Marcel gardent un couple +/- 1 an. Ils les appellent tous Trou et BĂ©a.
Ils acceptent aussi des stagiaires M et F en formation.
Actuellement, ils ont un couple sƓur frùre, 35 et 28 ans.

* * *
Mon cocufiage.

Il y avait peu de diffĂ©rence d’ñge entre sa tante et Anne (mon Ă©pouse), 45 pour Greta, 40 pour Anne.
Lors d’un mariage d’amis communs, Greta et Anne qui avaient un peu bu, se sont fait des confidences. Elles se sont dĂ©couvert leur gout pour la domination. Greta a expliquĂ© qu’avec Marcel, ils dressaient des esclaves. Anne lui a parlĂ© de mes goĂ»ts pour la fĂ©minisation, l’humiliation publique et le fouet, et aussi qu’elle avait des aventures.
Greta lui dit qu’elle connaissait un bel homme qui lui plairait surement, et qui serait un parfait MaĂźtre pour Solange. Et qui habitait pas loin de chez nous. Miam ! fit Anne. Greta lui tĂ©lĂ©phona pour l’inviter Ă  les rejoindre. Elle lui expliqua en quelques mots la situation.
Greta expliqua Ă  Anne que Bob Ă©tait un de leurs amis qui participait de temps en temps aux sĂ©ances de dressage, oĂč il Ă©tait trĂšs dur. Brigitte, sa femme, Ă©tait une esclave parfaitement dressĂ©e.
Alors Greta a demandĂ© si Anne voulait leur montrer Solange en situation. Avec Marcel, ils auraient plaisir Ă  la tester, la dresser et l’humilier. Anne ne demandait pas mieux, elle Ă©tait sĂ»re que ça ma plairait.
Greta nous a invités pour le weekend. Elles ont mis les détails au point, je serais présentée en femelle et livrée comme esclave.
Bob arriva dans la demi-heure. Greta fit les prĂ©sentations, ils se plurent tout de suite. En dansant, il comprit vite que Greta ne lui avait pas menti. Anne Ă©tait chaude et lui confirma en quelques mots qu’elle Ă©tait ma MaĂźtresse et lui dĂ©crivit la lopette que j’étais. Un quart d’heure plus tard, ils s’embrassaient Ă  pleine bouche.
Ils rejoignirent Greta, Anne lui dit qu’ils partaient et qu’elle me renvoie.
Greta lui dit à l’oreille qu’elle inviterait aussi Bob pour le weekend.
Pendant ce temps, je parlais avec des amis Ă©loignĂ©s. J’avais pas mal bu et perdu Anne de vue.
Un moment, Greta vint me dire qu’Anne Ă©tait partie de son cĂŽtĂ© et qu’elle me faisait dire de ne pas l’attendre.
Je partis seul. SitĂŽt rentrĂ©, je me mis en tenue pour attendre ma MaĂźtresse. Je bus encore mais proche de la nausĂ©e, je m’endormis dans le canapĂ©. Une paire de gifles me rĂ©veilla, il Ă©tait minuit.
Moi je ne savais rien de tout ce qu’elles s’étaient dit ni de ce qu’elles avaient complotĂ©. Ce n’est que plus tard qu’Anne m’en a racontĂ© un peu.
Le lendemain, Anne téléphona à Greta et lui raconta sa soirée.
Ils s’étaient dĂ©jĂ  bien pelotĂ©s dans la voiture. Chez Bob, Brigitte, toute nue, les accueillit Ă  genoux, les yeux baissĂ©s. Elle Ă©tait couverte de fortes traces de fouet, en particulier sur les seins.
Sans attendre, Bob emmena Anne au lit, une baise d’enfer ! Et Brigitte lui nettoya la chatte. Bob exigea qu’Anne lui montre ses talents de Maütresse sur Brigitte.
À sa demande, Brigitte s’était aussi faite l'esclave de son fils Éric. Elle aimait beaucoup se faire fouetter par ses deux MaĂźtres ensemble, se faire enculer, boire leur pisse.
Le lendemain, c’était dimanche.
Comme chaque matin, en soubrette, je lui apportai le petit dĂ©jeuner au lit. Puis j’allai me lier toute nue aux cordes, espĂ©rant son fouet, sa petite culotte et peut-ĂȘtre un verre de pipi chaud.
Je fus comblĂ©e, Anne ne fouetta bien plus durement qu’à l’habitude.
Elle me dĂ©livra. Puis elle m’a convoquĂ©e au salon et m’a fait lire Ă  haute voix le document oĂč je disais mes envies d’ĂȘtre exposĂ©e Ă  ses amies, et qu’elle prenne un amant pour les servir en esclave.
– Tu rĂȘves ou tu veux vraiment ?
PersuadĂ© qu’elle bluffait, j’ai dit oui.
– MĂ©fies-toi qu’un jour je te prenne au mot.
– C’est mon rĂȘve le plus cher, MaĂźtresse.
Durant la semaine, Anne alla chez Bob chaque jour.
Elle lui montra mes photos, mes textes, fantasmes et contrats.
En mĂȘme temps, ils correspondaient avec Greta et Marcel.
Il s’agissait de mettre au point la cĂ©rĂ©monie de mon cocufiage et la prise de pouvoir de Bob sur moi.
Mais pour me ménager la surprise, elle ne se laissait plus lécher et me privait de sa petite culotte.
Ma semaine fut dure : travaux mĂ©nagers et punitions intensives. J’étais aux anges.
J’aurais dĂ» me douter de quelque chose car quand j’osai lui demander de la lĂ©cher ou au moins sa petite culotte, elle me gifla : « Tu ne le mĂ©rites pas ». De plus, elle sortait dĂšs l’aprĂšs-midi jusqu’au soir, parfois tard.
Le jeudi, elle reprit une des nombreuses dĂ©clarations oĂč je lui dĂ©crivais mes fantasmes, mes envies. Elle l’avait annotĂ©e, corrigĂ©e, mise au pluriel pour ajouter les MaĂźtres.
– Pas un mot. Maintenant, tu vas recopier ce texte 100 fois, puis tu me le rĂ©citeras par cƓur.
Le vendredi, Anne m’a fait mettre mon plug et habiller en sous-vĂȘtements fĂ©minins sous une minijupe qui laissait voir les jarretelles. Un chemisier transparent sur mon soutien-gorge rembourrĂ© des faux seins. Chaussures Ă  talons, maquillage, perruque et boucles d’oreilles.
De son cotĂ©, elle avait prĂ©parĂ© mon sac de vĂȘtements et jouets (fouets, etc.) ainsi que mon contrat et cette feuille de prĂ©sentation dĂ©crivant mes fantasmes. Et des photos de moi en soubrette et toute nue.
– Tu vas faire un peu la femme en public ! m’a-t-elle seulement dit.
Sans me donner de dĂ©tails, elle m’a ordonnĂ© de conduire. Elle m’indiquait le chemin au fur et Ă  mesure. AprĂšs Âœ heure de route, en silence, nous sommes arrivĂ©es dans la propriĂ©tĂ©.
Greta nous accueillit sur le perron. Elle portait une minirobe d’étĂ© trĂšs dĂ©colletĂ©e.
Je la connaissais Ă  peine pour l’avoir vue peut-ĂȘtre trois fois dans ma vie,
Elle embrassa Anne puis se retourna vers moi.
– Alors, c’est ça Solange ? fit-elle d’un air mĂ©prisant.
Je rougis violement, en jetant un regard désespéré vers Anne qui me sourit, sarcastique.
– Eh oui, c’est ma lopette !
Marcel nous rejoignit, en short, torse nu. À son tour, il embrassa Anne. Puis il me toisa.
– Mmm, on va se rĂ©galer. Elle est docile ?
– Avec moi, oui. Mais elle a encore beaucoup à apprendre.
Greta entraĂźna Anne.
– Viens, je te montre nos esclaves, Trou et BĂ©a, sa grande sƓur.
Ils se tenaient au garde Ă  vous derriĂšre elle.
Trou était un grand gaillard bien baraqué, et surtout bien monté. Il était rasé et nu sauf un et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Une grosse bite pendante. Il se tourna sur ordre pour montrer son gode, une courte queue de chien en caoutchouc noir, dressée haut.
Béa était une forte fille aux gros seins et à la chatte rasée montrant une fente de petite fille. Elle portait également des bracelets de cuir mais aussi un anneau au nez et aux tétons. De dos, elle écarta les fesses pour montrer son gode, une courte queue de fourrure.
Ils portaient tous les deux de belles traces de fouet, BĂ©a mĂȘme sur les seins.
Greta dit un mot Ă  l’oreille de Trou qui m’emmena au fond du jardin. Il me lia entre deux arbres, dos Ă  la propriĂ©tĂ©. De plus, j’avais les yeux bandĂ©s.
Certes, j’en avais rĂȘvĂ©, mais confrontĂ© Ă  la rĂ©alitĂ©, je n’en menais pas large. Je compris pourquoi Anne avait rajoutĂ© les MaĂźtres Ă  mon texte de soumission.
Plusieurs voitures arrivùrent. Puis je sentis les effluves d’un BBQ, j’entendais vaguement le brouhaha et les rires.
Trou revint me chercher. Comme j’avais les yeux bandĂ©s, il me mena par le bras dans une salle de bain, ĂŽta mon bandeau et me dit de retirer ma jupe et ma culotte. Il me fit un lavement. AprĂšs quelques minutes, sous son regard, je pus me vider et me nettoyer. Je dus remettre mon gode et me rhabiller. Il inspecta, ma tenue et ma coiffure puis nous attendĂźmes en silence.
J’étais tendue, j’ignorais ce qui allait arriver. MaĂźtresse m’avait dit que j’allais faire la femme en public. Mais je ne m’attendais pas Ă  ce qu’ils avaient organisĂ©.
BĂ©a vint nous chercher. Trou me poussa fermement vers le salon. Un gros spot m’éblouit. Je distinguai cependant qu’une douzaine de personnes Ă©taient lĂ  Ă  me regarder. Il y avait des gens que je connaissais de vue. Je sus plus tard que c’étaient des amis de Bob de notre voisinage. Trou, BĂ©a et Brigitte se tenaient debout au fond de la piĂšce. Marcel avait installĂ© sa camĂ©ra.
Je rougis, baissant les yeux.
– Je vous prĂ©sente Solange, annonça Anne. C’est mon esclave, une lopette. Elle m’a avouĂ© que, tout en ayant les hommes en horreur, elle rĂȘvait secrĂštement, d’ĂȘtre dressĂ©e et contrainte de les servir. C’est pourquoi aujourd’hui ce seront surtout les mĂąles qui seront son ordinaire. Mais les dames ne seront pas oubliĂ©es. Elle va maintenant se prĂ©senter. On t’écoute, Solange.
Jusqu’à ce matin, j’avais cru naĂŻvement qu’Anne voulait simplement satisfaire mes besoins en durcissant notre jeu, mais toujours en privĂ©. Je n’avais pas imaginĂ© qu’elle le ferait vraiment. Mais cette fois c’était la rĂ©alitĂ©, j’allais devoir exposer mes turpitudes devant un public.
Confuse, je balbutiai le texte que j’avais appris par cƓur.
Maßtresse, Maßtres, Solange se présente à vous.
C’est une esclave dans l’ñme, une femelle par vocation.
Elle a un besoin impĂ©rieux d’ĂȘtre cruellement fouettĂ©e chaque jour.
D’ĂȘtre giflĂ©e Ă  tour de bras avec ou sans raison, pour l’humilier.
Comme femme de ménage, elle est paresseuse, il faut la punir durement.
Elle veut ĂȘtre la bonne Ă  tout faire et l'esclave sexuelle de MaĂźtresse et de son amant.
Elle aime beaucoup la pisse des dames, il faut lui imposer celle des hommes.
Comme femelle, elle serait plutĂŽt lesbienne, elle a les hommes en horreur.
C’est pourquoi elle a besoin d’un vrai Maütre autoritaire et impitoyable pour la dresser en fille.
Typique de Solange, c’est que si elle a plein de fantasmes, elle renĂącle souvent Ă  les exĂ©cuter. C’est pourquoi il est essentiel pour les MaĂźtres de savoir la contraindre par la force.
En bref, elle espÚre beaucoup de fouet, de gifles, de torture des tétons et des couilles.
Beaucoup de pisse et de sperme Ă  avaler,
Beaucoup de grosses bites dans sa bouche et dans son cul.
Beaucoup de chattes, de culs et de couilles à lécher.
Beaucoup de petites culottes crasseuses Ă  sucer.
MaĂźtre, n’hĂ©sitez pas Ă  ĂȘtre brutal, il faut qu’elle apprenne Ă  accepter et Ă  aimer la bite.
– Vous voyez, fit Anne, qu’il serait dommage de ne pas exploiter d’aussi bonnes dispositions.
Je la regardai : elle Ă©tait assise Ă  cĂŽtĂ© d’un grand mĂąle. Ils se tenaient par l’épaule et il avait la main entre les cuisses de ma femme. J’écarquillai les yeux, ne voulant pas croire ce que je voyais. Mais elle enfonça le clou.
– Solange, voici Bob, c’est mon amant et maintenant ton Maütre. Approche, à genoux pour saluer ton Maütre.
J’obĂ©is, dĂ©sespĂ©rĂ©, en bredouillant.
– Je vous salue, Maütre Bob.
Il me prit le menton et me fixa dans les yeux avec un sourire diabolique.
– Bonjour ma petite Solange ! On va bien s’entendre tous les trois, n’est-ce pas ?
– Oui Maütre Bob.
– Et bien, commence par te dĂ©shabiller.
Je jetai un Ɠil vers ma Maütresse.
– Allons, obĂ©is. Et gare Ă  toi si tu me fais honte !
Je me relevai et commençai à déboutonner mon chemisier. Quelques participants commencÚrent à filmer et à photographier. Je laissai tomber ma jupe.
– Tourne-toi lentement ! dit quelqu’un. Je fis un tour pour me montrer.
– La culotte ! dit un autre.
Je baissai le petit vĂȘtement. Une femme s’approcha pour prendre une photo en gros plan.
J’îtai le soutien-gorge et les faux seins, dĂ©grafai les bas et me dĂ©chaussai pour enlever les bas nylons et le porte-jarretelles. J’étais toute nue.
Des remarques jaillirent : Elle n’est pas trĂšs marquĂ©e pour une esclave !
– Chaque chose en son temps, fit Anne. Vous ne serez pas déçus. Puis se tournant vers moi, elle me fĂ©licita.
– C’est bien, ma grande ! Maintenant, tu vas te masturber, je sais que tu profiteras mieux de la suite.
La garce ! Elle savait ce qu’elle faisait en m’imposant ça. Et c’est moi qui le lui avais appris. Je pris ma nouille entre deux doigts et tentai de bander, sans succùs. Anne releva sa jupe.
– Regarde ma petite culotte, ça t’aidera !
En imaginant la lĂ©cher, j’arrivai Ă  un dĂ©but d’érection et finis par Ă©jaculer quelques gouttes, sous l’objectif des camĂ©ras. Les gens applaudirent.
– Allons Solange !
Je léchai le sperme au creux de ma main.
– C’est bien, ma grande, c’est trùs bien ! Maintenant, prends la position, on va te fouetter !
Jambes Ă©cartĂ©es, mains Ă  la nuque, les yeux fermĂ©s, j’attendis.
D’habitude, j’adore ĂȘtre fouettĂ©e. Mais depuis que je lui ai expliquĂ© combien le fouet m’était pĂ©nible quand mon excitation est tombĂ©e aprĂšs Ă©jaculation, j’y ai droit Ă  chaque fois. Mais aprĂšs, je cours devant le miroir, fiĂšre des traces.
– Mesdames, Messieurs, je vais vous montrer comment je dresse une lopette.
C’était Bob. J’ouvris les yeux. Je frĂ©mis : Bob et Anne tenaient chacun un fouet.
Il me cingla les seins, les hanches le bas ventre (je paniquais pour mes couilles). Enfin, il visa l’intĂ©rieur des cuisses, lĂ  oĂč ça fait trĂšs mal. En mĂȘme temps, ma MaĂźtresse me fouettait des Ă©paules aux fesses.
Lorsqu’enfin ce fut terminĂ©, je devais remercier.
– Merci Maütresse Wanda, merci Maütre Bob.
– Montre-nous ce que tu fais avec ton gode, fit il.
La honte suprĂȘme. Je me mis Ă  quatre pattes, exposant mes fesses et fis sortir et rentrer plusieurs fois l’outil.
– Tu aimerais une belle queue ? demanda Bob.
– Je ne sais pas, Maütre Bob.
– Mais
 c’est qu’elle est pucelle, la petite fille ! Approche, commence par frotter ton visage sur mon pantalon. Tu sens ce qui est dedans ? Il se leva.
– Maintenant ouvre la braguette
 Lùche mes couilles
 ouvre la bouche.
Il me tenait par les oreilles. Je fus bien obligĂ©e, il se poussa jusqu’à ma gorge. J’étais Ă  la fois dĂ©goĂ»tĂ©e et avide, allez comprendre ! Anne lui glissa un mot Ă  l’oreille.
– Ah, c’est vrai, il paraüt que tu adores la pisse, attends un peu. Le liquide arriva, un jet puissant, chaud et amer.
– Et surtout n’en perds pas une goutte ! J’avalai, les lùvres aspirant sa bite.
– C’était bon, Solange ?
Je toussai, ayant avalé un peu de travers.
– De toutes façons, il faudra t’y habituer, tu n’as pas le choix. Allez, tu vas faire la fille maintenant. Retire ton gode.
Il me fit pencher, m’appuyer sur les bras. Pendant qu’il introduisait son Ă©norme engin dans mon cul, Anne s’accroupit devant moi, plongeant les yeux dans les miens.
– C’est bon Solange ? Tu te sens femelle maintenant ?
Au bord des larmes, je dis – Oui Maütresse.
Bob me limait lentement, en profondeur. Les gens s’étaient approchĂ©s pour mieux voir et filmer.
– Je peux ? demanda un homme.
– Bien sĂ»r, fit Anne. Elle lui laissa la place et il m’enfourna sa bite en bouche.
– Suce, salope ! Je fis de mon mieux mais il se retira et me gifla.
– Mieux que ça, bonne Ă  rien ! Je parvins Ă  le satisfaire et reçus la giclĂ©e de sperme. Mais il restait lĂ , je fus forcĂ©e de le sucer jusqu’à ce qu’il dĂ©bande et dus avaler le sperme gluant. À ce moment, Bob Ă©jacula.
– Viens nettoyer ton Maütre. Je repris la bite poisseuse à peine sortie de mon cul et m’efforçai de la sucer.
– Trou, viens ici. Il savait ce qu’il avait Ă  faire et recueillit le sperme qui dĂ©gouttait de mon anus. Puis Bob me força Ă  l’embrasser pour recevoir mon sperme de la bouche de Trou.
– VoilĂ , Mesdames, Messieurs, la femelle est dĂ©pucelĂ©e, fit Bob, triomphant.
Chacun reprit sa place. Mais les invités semblaient attendre autre chose.
Bob reprit la parole.
– Solange, comme tu es dĂ©sormais mon esclave, je vais te marquer.
C’était un de mes fantasmes d’ĂȘtre marquĂ©e au fer, mais Anne ne l’avait jamais fait.
Marcel apporta les outils, une lampe Ă  souder et un gros tournevis. FrĂ©missante de peur, je fus liĂ©e sur la table. Bob fit quelques marques au stylo sur mon bas ventre. Puis, muni d’un cutter, il commença Ă  me faire une petite entaille.
– Vous voyez, expliqua-t-il, j’ouvre le derme. Puis je vais appliquer le fer dans l’entaille, ça lui fera une scarification permanente. La flamme ronflait, je tremblais. Il appliqua la lame rougie du tournevis quelques secondes. C’était supportable. Il fit cinq fois l’opĂ©ration. Puis on me libĂ©ra. Une dame me donna un petit miroir et je pus voir la forme d’un S (en police digitale).
– De temps en temps, je t’ajouterai une lettre, Solange.
– Merci Maütre Bob.
Pendant que Trou et BĂ©a servaient Ă  boire, Brigitte restait en position d’esclave, la chatte et les tĂ©tons offerts Ă  tous les attouchements, Ă  touts les sĂ©vices.
– Maintenant que tu es une vraie femelle, dit Anne, tu vas montrer que tu aimes la bite.
Durant l’aprùs-midi, elle m’amena devant chaque homme dont je dus ouvrir la braguette et leur montrer mes nouveaux talents de pute, bonne suceuse et vide couilles. Deux des hommes, gays, se firent embrasser à pleine bouche et exigùrent de m’enculer.
plusieurs femmes demandùrent à utiliser les toilettes. Anne me fit allonger au sol et l’une aprùs l’autre me fit cadeau de sa pisse.
À la fin de la cĂ©rĂ©monie, Anne me fit recopier un nouveau contrat.
Je m’y dĂ©clarai esclave dĂ©finitif de ma femme Anne ‘MaĂźtresse Wanda’ et de mon MaĂźtre Bob, son amant, et je leur cĂ©dais mes biens.
Je datai, signai, puis mes Maßtres, puis tous les participants comme témoins.
Maßtre Bob prit des rendez-vous pour me louer comme esclave sexuelle à des pervers, Maßtresse Wanda pour me louer comme femme de ménage bonne à tout faire à des couples.

Mais ceci est une autre histoire

Published by OdetteMaso
4 years ago
Comments
5
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line51 2 years ago
TrĂšs belle situation....hummmm j'aimerai ĂȘtre cet esclave
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apijo54 3 years ago
dur!
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Cyrsoumis 3 years ago
Superbe
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encage57
encage57 3 years ago
magnifique
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putesclave
putesclave 4 years ago
vivement cette autre histoire
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