Mes escapades Parisiennes,
Mes escapades parisiennes,
Lors de mes nombreux déplacements professionnels sur Paris, je ne manque jamais d'aller voir mon amie.
Sabrina est une transsexuelle cubaine que je connais depuis plusieurs mois.
Avec elle, je peux lâcher prise en toute confiance et vivre mes fantasmes.
Je fais partie de ses amis et amants qui lui donnent la possibilité de rester dans la capitale en l'aidant financièrement.
Aujourd'hui, je me fais une joie de passer la soirée et la nuit avec elle.
C'est avec un bonheur sans cesse renouvelé que je m'apprête à consacrer du temps à ma transformation.
Dans ma chambre d'hôtel, je commence par me déshabiller et m'enduire le corps de ma crème dépilatoire.
Quelques minutes plus tard, je me rince sous la douche en traquant avec mon rasoir les derniers poils sur ma queue et la raie de mes fesses.
Je ne résiste pas à l'envie de caresser mon sexe pour sentir la peau douce et satinée de mes bourses épilées.
Désirant avoir la chatte bien propre, je sacrifie à la corvée du lavement en prenant un microlax.
Ensuite, je m'assois devant mon miroir en appliquant avec un art consommé mascara, fard à paupières, rouge à lèvres, fond de teint en terminant par la pose de mes faux cils.
Je coupe aussi mes ongles de pieds pour éviter de filer mes bas cervin avant d'appliquer dessus un vernis rouge.
Face à la glace, j'ajuste avec précision sur ma tête ma perruque mi courte châtain clair.
Poursuivant ma métamorphose, je me glisse dans ma guêpière ivoire ornée de dentelles marron du plus bel effet.
Puis, je place mes volumineux seins en silicone dans mes bonnets 105/D qui me renvoient l'image d'une fille crédible et attirante.
J'achète toute ma lingerie sur les sites internet anglais car je trouve de superbes culottes fendues, des nuisettes, des robes sissy en satin, d'excitantes combinaisons et gaines ouvertes vintage ainsi que des porte jarretelles glamour à huit et dix attaches et des serres taille qui me font craquer.
En prévision des ébats qui m'attendent chez Sabrina, j'enfonce mon bijou anal dans mes fesses pour m'assouplir la chatte.
La vue de son socle en laiton orné d'un saphir bleu Siam produit toujours beaucoup d'effet chez elle.
J'adore porter ce rosebud Julian Snelling mesurant 6 cm de diamètre que je sens vivre en moi tout au long de la journée.
Je remonte ensuite sur mes hanches une culotte ouverte afin que mon jouet puisse bouger librement dans ma chatte en marchant.
Pour mettre mes jambes en valeur, j'accroche très haut sur mes cuisses mes luxueux bas cervin à six paires de jarretelles.
Je pense également à mettre ma cage de chasteté pour m'interdire toute érection et rester plus concentrée sur mon plaisir anal.
Ainsi harnachée, je ne résiste pas à l'envie de prendre des poses suggestives devant la glace en sentant le désir monter dans le creux de mes reins.
Puis, j'enfile la jupe de mon tailleur en vérifiant qu'elle pose bien sur mes hanches.
Elle s'arrête bien au-dessus du genou en me moulant les fesses.
Mon haut est plus sage, c'est une veste de couleur crème qui fait ressortir la couleur châtain clair de mes cheveux.
Mes bas noirs et mes escarpins complètent ma tenue en affinant ma silhouette.
L'appartement de Sabrina étant proche de mon hôtel, je décide de la rejoindre à pieds.
Dehors, la nuit commence à tomber.
Après des années d'entraînement, j'arrive à marcher sans difficulté avec mes escarpins.
C'est un vrai plaisir pour moi d'entendre le bruit cadencé de mes talons aiguilles sur l'asphalte.
Comme les femmes, je fais des petits pas en croisant les jambes et je cambre mes reins pour faire ressortir ma croupe en serrant les fesses.
Au cours du trajet, je sens vivre en moi mon rosebud qui me donne d'agréables sensations dans le bas ventre.
Son poids de 600gr a tendance à le faire sortir de mes fesses.
Je dois donc contracter régulièrement mes muscles intimes pour le faire remonter dans mon puits d'amour ce qui accroît mon plaisir lorsqu'il vient me presser la prostate.
La peur de le voir glisser de ma culotte ouverte et tomber sur le trottoir m'excite fortement les sens.
En marchant, j'aime sentir les frottements sensuels de mes bas nylon sur mes cuisses.
Je croise beaucoup de monde sur le boulevard Rivoli et quelques passants me dévisagent avec insistance à cause de ma grande taille en s'interrogeant visiblement sur mon état civil.
Je tente de faire illusion en faisant ressortir mes seins tout en accentuant légèrement le balancement de mes hanches initié par mes escarpins.
Arrivant à l'immeuble de Sabrina, je prends l'ascenseur qui me mène au troisième étage où je sonne à sa porte.
Elle m'ouvre, revêtue d'un superbe déshabillé d'une blancheur éclatante qui met sa peau bronzée en valeur.
Ses traits fins et son corps de liane ne laisse planer aucun doute sur sa féminité.
Seule, sa lingerie arachnéenne trahit la présence de son sexe d'ébène.
J'aime sa queue qui m'excite par sa grosseur car c'est pour moi le gage d'un plaisir assuré.
Son gland épais se prolonge d'une hampe qui s'élargit jusqu'à sa racine pour me donner davantage de plaisir.
La porte à peine refermée, elle me saisit par la taille en m'embrassant à pleine bouche.
Je sens sa queue durcie se coller contre ma cuisse.
Prenant l'initiative, elle glisse sa main sous ma jupe et dans l'ouverture de ma culotte fendue pour caresser mon sexe tout en me malaxant les fesses avec l'autre.
La découverte de ma cage de chasteté et de mon rosebud lui donne l'envie d'aller plus loin.
Elle me prend par la main en m’entraînant dans sa chambre.
Un voile mauve couvre les fenêtres mais une lumière tamisée me laisse entrevoir un grand lit circulaire trônant au centre de la pièce.
Sans perdre un instant, je tourne le dos à Sabrina pour qu'elle ouvre la fermeture éclair de ma jupe qui tombe à mes pieds.
En quelques secondes, je ne porte plus que ma guêpière, mes bas et mes escarpins.
J'attends debout, les yeux baissés et les bras croisés sur ma poitrine pendant qu'elle tourne autour de moi en me dévorant du regard.
Puis, elle enlève à son tour son déshabillé.
Je la trouve très belle et sensuelle juchée sur ses haut talons avec sa longue chevelure brune qui descend en cascade sur ses épaules.
Son corps est sanglé dans un corset d'un blanc immaculé.
Le contraste de ses seins splendides et de sa queue massive qui se balance lourdement entre ses cuisses au rythme de ses pas, m'enflamment les sens.
Sabrina vient se mettre derrière moi en faisant coulisser son sexe dans la raie de mes fesses.
Puis, elle accroche ses mains à mes hanches et presse son bassin contre ma croupe en mimant le coït qui m'attend.
Peu après, elle m'allonge sur son lit en remontant sournoisement sa main jusqu'à la lisière de mes bas.
M'enlaçant avec fougue, elle plaque ses seins contre ma poitrine tout en frottant ses cuisses gaînées de nylon contre les miennes.
Je sens sa queue gonflée de désir se presser contre mon ventre.
Elle en profite pour retirer mon bijou anal de mes fesses.
- Tu mérites mieux ma belle, me dit-elle en sortant un gode de dessous son oreiller.
Elle me le montre sous tous les angles ce qui ne manque pas de m'impressionner.
Il a tout d'un vrai pénis sauf sa taille démesurée.
Je pense qu'il ne rentrera jamais car il est vraiment très, très gros...
Je reste fascinée par cette énorme sexe dont la hampe atteint 9 cm de diamètre à sa base.
Il me fait peur et m'excite à la fois.
Cependant, en effleurant du doigt ses grosses veines saillantes sur sa hampe, je me dis qu'il va stimuler efficacement mon point G.
Après l'avoir lubrifié, Sabrina me murmure à l'oreille:
- Mets toi sur le dos ma belle, je vais l'enfoncer lentement pour que tu sentes chaque centimètre te donner du plaisir.
Mon anus s'ouvre peu à peu sous la pression de cette queue monstrueuse qui efface les plis de ma rosette.
Très vite, la douleur et le plaisir se mélangent en se transformant en une vague de chaleur bienfaisante qui m'envahit le ventre.
Quelques instants plus tard, je me surprends à aller à la rencontre de ce pal qui me défonce.
Les cuisses écartées, je le vois disparaître dans mon ventre et s'enfoncer jusqu'à la hauteur de mon nombril.
J'ai vraiment l'impression d'être embrochée comme un mouton.
Lorsque Sabrina le fait aller et venir en moi, je vois ma rosette se dérouler sur sa hampe lorsqu'elle la sort lentement de mes reins et s’enrouler dessus quand elle l'enfonce à nouveau.
Après de nombreux va et vient, ma chatte s'est complètement ouverte à la perversité de mon amie qui pilonne mon point G en m'arrachant des gémissements de plaisir.
La tête rejetée en arrière et les yeux mi clos, je jouis en sentant ma sève couler lentement et en continu de ma queue flasque emprisonnée dans sa cage.
Allongée sur le dos, je reste un long moment immobile afin de reprendre mes esprits en savourant les dernières contractions de mes sphincters.
- A ton tour de me faire jouir, car je ne veux pas que tu prennes du plaisir sans moi, me dit mon amie en retirant l'énorme gode de mes reins.
Aspiré par mes chairs, je l'entends sortir dans un bruit de succion.
Étendue sur son lit, Sabrina est vraiment très belle.
Je ne peux détacher mon regard de ses seins lourds qui se gonflent à chaque respiration, de ses cuisses fuselées largement ouvertes et de sa queue dressée à damner un saint.
Elle est plus belle et plus féminine que ses consœurs biologiques en ayant entre les cuisses une bite épaisse que bien des hommes lui envient.
Me glissant entre ses jambes, je remonte ma langue le long de sa colonne de chair.
Je mordille tendrement sa queue en la sentant grandir et tressauter de plaisir.
Puis, je tire doucement la peau satinée de sa verge pour lui décalotter le gland.
Après avoir titillé longuement son frein avec ma langue, j'engloutis sa queue qui vient buter contre ma gorge en me déclenchant un petit haut le cœur.
Je pompe avec frénésie cette hampe qui s'élargit jusqu'à sa racine en massant ses bourses gonflées de désir.
Je recueille sur ma langue quelques gouttes séminales sortant de son méat qui m'annonce l'imminence de son orgasme.
Dans le même temps, je glisse un doigt dans son anus.
Je ne peux m'empêcher de sourire lorsque je la vois ouvrir ses cuisses en râlant de plaisir.
Quelques instants plus tard, Sabrina très excitée se lève en n'ayant plus qu'une idée en tête.
- Maintenant, j'ai envie de toi, me dit-t-elle, en me jetant un regard de braise.
Elle retrousse ma nuisette sur mon ventre en pressant sa queue contre ma rosette restée ouverte.
Puis, elle s'enfonce d'un coup dans mes reins.
Par instinct, je pose mes jambes sur ses épaules pour qu'elle m'empale jusqu'à la racine de son sexe.
Chacune se concentre sur la partie du corps qui lui fait envie.
Moi sur sa queue et elle sur ma chatte.
Puis, je l'enlace en nouant mes jambes autour de sa taille, ce qui a pour effet de m'ouvrir plus largement la chatte.
Mon cœur bat la chamade en sentant sa queue massive me fouiller les reins avec ardeur.
Ayant atteint le point de non retour, je suis emportée par un orgasme foudroyant.
Le corps tendu comme une corde de violon, je gémis lorsque ma source de vie se met à couler en continu et sans spasme de ma queue flasque emprisonnée dans sa cage.
Ma jouissance anale est bien plus forte lorsque je ne bande pas car je suis plus concentrée sur mon orgasme de fille.
Ayant fait une pause pour retirer ma cage de chasteté et reprendre mes esprits, je décide d'achever Sabrina en me mettant à califourchon sur elle.
Tout en lui pressant les bourses, je contracte mes muscles intimes en faisant tourner mes fesses sur son sexe qui me sert de pivot.
Très vite, je vois sa poitrine se soulever dans un rythme de plus en plus rapide.
Puis, le souffle de mon amie devient court et ses gestes incontrôlés.
Je n'attends pas longtemps pour sentir son sève qui me féconde s'écraser en jets puissants contre ma paroi anale.
Une grande fierté s'empare de moi d'avoir terrassé sa queue massive.
Heureuse de lui avoir donné autant de plaisir, je reste un moment couchée sur le dos pour garder en moi plus longtemps sa semence.
Lorsque je me lève, je la sens couler de mes fesses et à l'intérieur de mes cuisses.
sandratvtg
Lors de mes nombreux déplacements professionnels sur Paris, je ne manque jamais d'aller voir mon amie.
Sabrina est une transsexuelle cubaine que je connais depuis plusieurs mois.
Avec elle, je peux lâcher prise en toute confiance et vivre mes fantasmes.
Je fais partie de ses amis et amants qui lui donnent la possibilité de rester dans la capitale en l'aidant financièrement.
Aujourd'hui, je me fais une joie de passer la soirée et la nuit avec elle.
C'est avec un bonheur sans cesse renouvelé que je m'apprête à consacrer du temps à ma transformation.
Dans ma chambre d'hôtel, je commence par me déshabiller et m'enduire le corps de ma crème dépilatoire.
Quelques minutes plus tard, je me rince sous la douche en traquant avec mon rasoir les derniers poils sur ma queue et la raie de mes fesses.
Je ne résiste pas à l'envie de caresser mon sexe pour sentir la peau douce et satinée de mes bourses épilées.
Désirant avoir la chatte bien propre, je sacrifie à la corvée du lavement en prenant un microlax.
Ensuite, je m'assois devant mon miroir en appliquant avec un art consommé mascara, fard à paupières, rouge à lèvres, fond de teint en terminant par la pose de mes faux cils.
Je coupe aussi mes ongles de pieds pour éviter de filer mes bas cervin avant d'appliquer dessus un vernis rouge.
Face à la glace, j'ajuste avec précision sur ma tête ma perruque mi courte châtain clair.
Poursuivant ma métamorphose, je me glisse dans ma guêpière ivoire ornée de dentelles marron du plus bel effet.
Puis, je place mes volumineux seins en silicone dans mes bonnets 105/D qui me renvoient l'image d'une fille crédible et attirante.
J'achète toute ma lingerie sur les sites internet anglais car je trouve de superbes culottes fendues, des nuisettes, des robes sissy en satin, d'excitantes combinaisons et gaines ouvertes vintage ainsi que des porte jarretelles glamour à huit et dix attaches et des serres taille qui me font craquer.
En prévision des ébats qui m'attendent chez Sabrina, j'enfonce mon bijou anal dans mes fesses pour m'assouplir la chatte.
La vue de son socle en laiton orné d'un saphir bleu Siam produit toujours beaucoup d'effet chez elle.
J'adore porter ce rosebud Julian Snelling mesurant 6 cm de diamètre que je sens vivre en moi tout au long de la journée.
Je remonte ensuite sur mes hanches une culotte ouverte afin que mon jouet puisse bouger librement dans ma chatte en marchant.
Pour mettre mes jambes en valeur, j'accroche très haut sur mes cuisses mes luxueux bas cervin à six paires de jarretelles.
Je pense également à mettre ma cage de chasteté pour m'interdire toute érection et rester plus concentrée sur mon plaisir anal.
Ainsi harnachée, je ne résiste pas à l'envie de prendre des poses suggestives devant la glace en sentant le désir monter dans le creux de mes reins.
Puis, j'enfile la jupe de mon tailleur en vérifiant qu'elle pose bien sur mes hanches.
Elle s'arrête bien au-dessus du genou en me moulant les fesses.
Mon haut est plus sage, c'est une veste de couleur crème qui fait ressortir la couleur châtain clair de mes cheveux.
Mes bas noirs et mes escarpins complètent ma tenue en affinant ma silhouette.
L'appartement de Sabrina étant proche de mon hôtel, je décide de la rejoindre à pieds.
Dehors, la nuit commence à tomber.
Après des années d'entraînement, j'arrive à marcher sans difficulté avec mes escarpins.
C'est un vrai plaisir pour moi d'entendre le bruit cadencé de mes talons aiguilles sur l'asphalte.
Comme les femmes, je fais des petits pas en croisant les jambes et je cambre mes reins pour faire ressortir ma croupe en serrant les fesses.
Au cours du trajet, je sens vivre en moi mon rosebud qui me donne d'agréables sensations dans le bas ventre.
Son poids de 600gr a tendance à le faire sortir de mes fesses.
Je dois donc contracter régulièrement mes muscles intimes pour le faire remonter dans mon puits d'amour ce qui accroît mon plaisir lorsqu'il vient me presser la prostate.
La peur de le voir glisser de ma culotte ouverte et tomber sur le trottoir m'excite fortement les sens.
En marchant, j'aime sentir les frottements sensuels de mes bas nylon sur mes cuisses.
Je croise beaucoup de monde sur le boulevard Rivoli et quelques passants me dévisagent avec insistance à cause de ma grande taille en s'interrogeant visiblement sur mon état civil.
Je tente de faire illusion en faisant ressortir mes seins tout en accentuant légèrement le balancement de mes hanches initié par mes escarpins.
Arrivant à l'immeuble de Sabrina, je prends l'ascenseur qui me mène au troisième étage où je sonne à sa porte.
Elle m'ouvre, revêtue d'un superbe déshabillé d'une blancheur éclatante qui met sa peau bronzée en valeur.
Ses traits fins et son corps de liane ne laisse planer aucun doute sur sa féminité.
Seule, sa lingerie arachnéenne trahit la présence de son sexe d'ébène.
J'aime sa queue qui m'excite par sa grosseur car c'est pour moi le gage d'un plaisir assuré.
Son gland épais se prolonge d'une hampe qui s'élargit jusqu'à sa racine pour me donner davantage de plaisir.
La porte à peine refermée, elle me saisit par la taille en m'embrassant à pleine bouche.
Je sens sa queue durcie se coller contre ma cuisse.
Prenant l'initiative, elle glisse sa main sous ma jupe et dans l'ouverture de ma culotte fendue pour caresser mon sexe tout en me malaxant les fesses avec l'autre.
La découverte de ma cage de chasteté et de mon rosebud lui donne l'envie d'aller plus loin.
Elle me prend par la main en m’entraînant dans sa chambre.
Un voile mauve couvre les fenêtres mais une lumière tamisée me laisse entrevoir un grand lit circulaire trônant au centre de la pièce.
Sans perdre un instant, je tourne le dos à Sabrina pour qu'elle ouvre la fermeture éclair de ma jupe qui tombe à mes pieds.
En quelques secondes, je ne porte plus que ma guêpière, mes bas et mes escarpins.
J'attends debout, les yeux baissés et les bras croisés sur ma poitrine pendant qu'elle tourne autour de moi en me dévorant du regard.
Puis, elle enlève à son tour son déshabillé.
Je la trouve très belle et sensuelle juchée sur ses haut talons avec sa longue chevelure brune qui descend en cascade sur ses épaules.
Son corps est sanglé dans un corset d'un blanc immaculé.
Le contraste de ses seins splendides et de sa queue massive qui se balance lourdement entre ses cuisses au rythme de ses pas, m'enflamment les sens.
Sabrina vient se mettre derrière moi en faisant coulisser son sexe dans la raie de mes fesses.
Puis, elle accroche ses mains à mes hanches et presse son bassin contre ma croupe en mimant le coït qui m'attend.
Peu après, elle m'allonge sur son lit en remontant sournoisement sa main jusqu'à la lisière de mes bas.
M'enlaçant avec fougue, elle plaque ses seins contre ma poitrine tout en frottant ses cuisses gaînées de nylon contre les miennes.
Je sens sa queue gonflée de désir se presser contre mon ventre.
Elle en profite pour retirer mon bijou anal de mes fesses.
- Tu mérites mieux ma belle, me dit-elle en sortant un gode de dessous son oreiller.
Elle me le montre sous tous les angles ce qui ne manque pas de m'impressionner.
Il a tout d'un vrai pénis sauf sa taille démesurée.
Je pense qu'il ne rentrera jamais car il est vraiment très, très gros...
Je reste fascinée par cette énorme sexe dont la hampe atteint 9 cm de diamètre à sa base.
Il me fait peur et m'excite à la fois.
Cependant, en effleurant du doigt ses grosses veines saillantes sur sa hampe, je me dis qu'il va stimuler efficacement mon point G.
Après l'avoir lubrifié, Sabrina me murmure à l'oreille:
- Mets toi sur le dos ma belle, je vais l'enfoncer lentement pour que tu sentes chaque centimètre te donner du plaisir.
Mon anus s'ouvre peu à peu sous la pression de cette queue monstrueuse qui efface les plis de ma rosette.
Très vite, la douleur et le plaisir se mélangent en se transformant en une vague de chaleur bienfaisante qui m'envahit le ventre.
Quelques instants plus tard, je me surprends à aller à la rencontre de ce pal qui me défonce.
Les cuisses écartées, je le vois disparaître dans mon ventre et s'enfoncer jusqu'à la hauteur de mon nombril.
J'ai vraiment l'impression d'être embrochée comme un mouton.
Lorsque Sabrina le fait aller et venir en moi, je vois ma rosette se dérouler sur sa hampe lorsqu'elle la sort lentement de mes reins et s’enrouler dessus quand elle l'enfonce à nouveau.
Après de nombreux va et vient, ma chatte s'est complètement ouverte à la perversité de mon amie qui pilonne mon point G en m'arrachant des gémissements de plaisir.
La tête rejetée en arrière et les yeux mi clos, je jouis en sentant ma sève couler lentement et en continu de ma queue flasque emprisonnée dans sa cage.
Allongée sur le dos, je reste un long moment immobile afin de reprendre mes esprits en savourant les dernières contractions de mes sphincters.
- A ton tour de me faire jouir, car je ne veux pas que tu prennes du plaisir sans moi, me dit mon amie en retirant l'énorme gode de mes reins.
Aspiré par mes chairs, je l'entends sortir dans un bruit de succion.
Étendue sur son lit, Sabrina est vraiment très belle.
Je ne peux détacher mon regard de ses seins lourds qui se gonflent à chaque respiration, de ses cuisses fuselées largement ouvertes et de sa queue dressée à damner un saint.
Elle est plus belle et plus féminine que ses consœurs biologiques en ayant entre les cuisses une bite épaisse que bien des hommes lui envient.
Me glissant entre ses jambes, je remonte ma langue le long de sa colonne de chair.
Je mordille tendrement sa queue en la sentant grandir et tressauter de plaisir.
Puis, je tire doucement la peau satinée de sa verge pour lui décalotter le gland.
Après avoir titillé longuement son frein avec ma langue, j'engloutis sa queue qui vient buter contre ma gorge en me déclenchant un petit haut le cœur.
Je pompe avec frénésie cette hampe qui s'élargit jusqu'à sa racine en massant ses bourses gonflées de désir.
Je recueille sur ma langue quelques gouttes séminales sortant de son méat qui m'annonce l'imminence de son orgasme.
Dans le même temps, je glisse un doigt dans son anus.
Je ne peux m'empêcher de sourire lorsque je la vois ouvrir ses cuisses en râlant de plaisir.
Quelques instants plus tard, Sabrina très excitée se lève en n'ayant plus qu'une idée en tête.
- Maintenant, j'ai envie de toi, me dit-t-elle, en me jetant un regard de braise.
Elle retrousse ma nuisette sur mon ventre en pressant sa queue contre ma rosette restée ouverte.
Puis, elle s'enfonce d'un coup dans mes reins.
Par instinct, je pose mes jambes sur ses épaules pour qu'elle m'empale jusqu'à la racine de son sexe.
Chacune se concentre sur la partie du corps qui lui fait envie.
Moi sur sa queue et elle sur ma chatte.
Puis, je l'enlace en nouant mes jambes autour de sa taille, ce qui a pour effet de m'ouvrir plus largement la chatte.
Mon cœur bat la chamade en sentant sa queue massive me fouiller les reins avec ardeur.
Ayant atteint le point de non retour, je suis emportée par un orgasme foudroyant.
Le corps tendu comme une corde de violon, je gémis lorsque ma source de vie se met à couler en continu et sans spasme de ma queue flasque emprisonnée dans sa cage.
Ma jouissance anale est bien plus forte lorsque je ne bande pas car je suis plus concentrée sur mon orgasme de fille.
Ayant fait une pause pour retirer ma cage de chasteté et reprendre mes esprits, je décide d'achever Sabrina en me mettant à califourchon sur elle.
Tout en lui pressant les bourses, je contracte mes muscles intimes en faisant tourner mes fesses sur son sexe qui me sert de pivot.
Très vite, je vois sa poitrine se soulever dans un rythme de plus en plus rapide.
Puis, le souffle de mon amie devient court et ses gestes incontrôlés.
Je n'attends pas longtemps pour sentir son sève qui me féconde s'écraser en jets puissants contre ma paroi anale.
Une grande fierté s'empare de moi d'avoir terrassé sa queue massive.
Heureuse de lui avoir donné autant de plaisir, je reste un moment couchée sur le dos pour garder en moi plus longtemps sa semence.
Lorsque je me lève, je la sens couler de mes fesses et à l'intérieur de mes cuisses.
sandratvtg
4 years ago