L'exquise Marquise

Une charge, voila ce que désirait Priscille.
Seul le Roi pouvait lui donner ce qu'elle voulait, les temps étants durs dans la petite province. Fille de petit Marquis sans fortune, elle monta donc a Versailles pour y rencontrer Sa Majesté.
Ce ne fut pas une mince affaire tant il était difficilement accessible, mais d'après sa mère, elle avait "ce qu'il fallait" auprès des généalogistes et grands intendants du Roi pour obtenir ses quartiers de noblesses et parvenir jusqu'à lui.
En ce bon matin, les Roi était dans ses apparentements avec 4 des ses ministres et quelques Dames de compagnie comme d'habitude.
- Sir, permettez moi de présenté mes hommages au Roi des Français. Priscille de Taitonlour, Marquise de la Michonette.
D'un œil quelque peu lubrique le Roi observais cette belle jeunette, une femme superbe et si désirable.
- Eh bien Madame, que sollicitez vous a Versailles ?
- Une charge pour mon Domaine, mes terres ont besoin d'être défrichées.
Piquante allusion ou pas ?... Entourée du Roi et de 4 de ses ministres, elle avait fière allure avec sa perruque bien haute, sa petite mouche dans le cou, son buste généreux et bien ouvert, ses hanches épaisses et ses chevilles légèrement dénudées (l'équivalent d'un décolleté plongeant a l'époque). Elle faisait a Sa Majesté sa petite mou si ravageuse avec son regard de braise de libertine.
Ces Dames de compagnie qui discutais entre elles ne perdais pas une miette de la scène en voyant cette beauté tout en se demandant bien ce qu'il allait pouvoir se passer.
- Pour votre accord Sir, je me dévouerai a toutes vos exigences, croyez le.
- Certes madame, et vos arguments sembles bien légitimes, mais quelques insuffisances me fâche. Que pourriez vous m'offrir de plus Madame ?
Petit silence et tout le monde dans la pièce se tourne vers Priscille...
- Sir, j'aurais l'immense honneur de vous offrir le dû que le ciel m'a donner, s'il fait gré a Sa Majesté...
Un échange de regard coquin entre Priscille et le Roi, puis le même échange entre lui et ses hommes. Les Dames glousses dans le fond. Puis le Roi abaisse son doigt en signe d'approbation.
La jeune Marquise se mit dos au Roi (quelle audace !) mais face au petit siège positionné a côté, se coucha et se pencha bien en avant sur lit, dégrafa son corset pour en faire sortir sa forte poitrine et releva bien en haut sa lourde robe verte et blanche pour y laisser apparaitre une bonne paire de grosses fesses délicieuses et pâles. Il y avait encore plus de poudre sur ses miches que sur son visage. "Seigneur, mes astrologues ne m'avait pas prévu d'une telle lune a mon Lever !". éclats de rires de toute la pièce.
Effarée étaient les dames, on voyait les fesses de la petite Priscille toutes offertes a ces hommes sous leurs yeux... avec déjà une forte mouille sous leurs jupons.
- Madame, souffrez que je puisse comblé votre séant comme il le mérite
- Il est votre, Sir
Et le Roi sortir sa bite de sa culotte toute gonflé, la claqua un peu sur le pubis et le cul poudré de Priscille avant de célébré son intimité toute donnée. "Aaaah Madame, cette charge sera votre si le Roi est satisfait !". Et il commença a baiser la jeune Marquise de la Michonette, avec force et puissance. Le Roi pénétré Priscille sans ménagement !
Les dames ricanaient sous leurs éventailles en assistant a cette scène quelque peu incongrue mais si plaisante, elles semblaient dégusté ce moment salace... on s'ennuient tellement dans les salons ces derniers temps. "Voyez vous Messieurs, la Marquise a le con bien chaud, quel régal en son sein". Les Ministres du Roi, toujours autour d'elle, prenaient aussi bien de l'amusement a la voire se faire sauvagement bourrée par le Roi en public.
- Madame a déjà l'habitudes des mondanités de la cour visiblement, disait les Ministres goguenards a Priscille.
- Ah Sir, Sir... quel bonheur, quel honneur ! Oui ! Oui ! hurlait elle.
- Madame, je... hum quel... Ohhhh !
Il éjecta son foutre Royal dans sa chatte au bout de quelques minutes.
- Merci Sir, votre honneur et le miens dit-elle au Roi.
- Allons Messieurs, servez vous a foison de cette exquise Marquise.
Et les ministres tout content, a la chaine, prirent eux aussi position derrière la Marquise, se soulagèrent eux aussi sans vergogne derrière le Roi (quel honneur !) et se vidèrent de leurs semence dans sa minette bien vite remplie de sperme.
Ces Seigneurs claquaient vigoureusement le cul bien blanc de Priscille faisant apparaitre sur lui des marques de mains de plus en plus rouge. Sa chute de rein, sa nuque et ses seins lourds subirent le même sort. Les finances, les affaires étrangère etc, Priscille a visité quelques cabinets du Royaume ce jours là. 5 "charges" de hauts rang, notamment en la personne du Roi. Ce dernier s'approcha de Priscille pendant que ses hommes été encore sur elle et lui dit "Ma fille, vous êtes une chance inestimable pour le Royaume, je prendrais soin de vous au Château". A ces mots, le Roi l'avait honorée, elle était tout aussi fière qu'excitée. Enfin elle avait la charge désirée mais aussi une place a la cour du Roi.
Les Ministres la dénudèrent totalement durant les ébats et tout le monde pu admiré les corps somptueux de la Marquise… qu'elle est belle, cette nuque, cette imposante poitrine, ce bassin large, cette bouche charnue, ce long dos interminable. Délectée des chibres de ses hommes, elle n'eu pas la force de se rhabillée et quitta les appartement sur Roi dans son plus simple appareil a la vue de tous et de toute la cour (et le clergé au passage), ne portant plus que sa perruque. "Mille merci Sir, permettez moi de me retiré" après une révérence qui fit sortir un peu de sperme de "sang bleu" de sa chatte encore brulante sur le parquet.
Pendant 15 ans, Priscille fut une des courtisannes les plus prisée de Versailles et elle passa de chambres en chambres et de salons en salons dans les lits de bien des Aristocrates qui apprécièrent ses charmes. Parfois plusieurs en une seule nuit, des petites sauteries jusqu'au petit matin. Mais son amant principale resta le Roi qui très souvent venait visité sa couche, parfois même sous les yeux de la Reine (d'après les bruits de couloirs).
Beaucoup de voyeurs s'introduisaient souvent a la porte de sa chambre quand elle recevais un ou plusieurs de ses hommes. Ils aimaient la regarder dans ses orgies sexuelles, ou 3 ou 4 hommes forniquaient sans vergognes avec ses petites vertus… même des princes étrangers sont venus pour elles, des Russes, des Bavarois, des Suédois et même des Autrichiens pourtant ennemies du Royaume.
Un soir, le Roi avait offert la Marquise en présent diplomatique aux 5 ambassadeurs Habsbourg… Priscille découvrit Vienne toute une nuit avec 5 grosses bites rien que pour elle. Des nuits de champagne, de caviar et de luxure quasiment chaque jours. La représentation absolu du charme a la Française, entre ses cuisses.
Tout cela est belle histoire pour les romans libertins, qu'encore aujourd'hui on prends plaisir a se remémorer. Et c'est sur, les fesses de la Taitonlour, tout le palais s'en souvient encore. La Marquise de la Michonette, dite "Le pot fleuri" ou "La partagée"… si les murs de Versailles pouvaient parler...
Published by olenmcburn
4 years ago
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