Echappée belle dans le jardin d'Eden
En mars dernier au début du confinement, j'ai quitté la ville pour passer ce temps au vert afin d'être loin de tout, et surtout profiter de ces prochains jours d'isolement dans un endroit où je pourrais me concentrer sur mon travail.
Me voilà donc partie en rase campagne, sans trop de voisins autour, mes journées sont partagées entre cours en distanciel, et ballade dans la nature avec mon chien.
Durant ces longues randonnées, je ne rencontre personne, les alentours sont déjà vides de monde, et le peu de gens résidant dans ce coin, vivent dans la crainte du virus. Néanmoins, tous les jours je passe devant une petite bastide avec un splendide jardin, très bien entretenu et sans clôture. Je me prends à rêver dès que je vois les premières pierres de la bâtisse et je flâne dans ce jardin à regarder et humer les fleurs, à m'asseoir sous les arbres pendant que mon chien se baigne dans le ruisseau jouxtant ce coin de paradis.
A mesure que les jours passent, je ne croise jamais personne dans cet endroit, la maison et ses volets en bois sont toujours fermés, jusqu'au jour où passant devant la maison, il me semble voir du mouvement derrière la haie, je me glisse entre les herbes hautes et je croise un homme d'une cinquantaine d'années. Gênée de cette rencontre sur un domaine privé, je lui demande de pardonner ma curiosité. Il me sourit et vient à ma rencontre, je le félicite de ce jardin si luxuriant et me réponds qu'il fait sa fierté, et que c'est son échappatoire face à une épouse psychorigide. Je lui avoue que voilà plusieurs fois que je viens dans son Eden pour me poser et lire sur sa pelouse sous les arbres, profitant du printemps qui se réveille. Il me dit que je suis la bienvenue pour les jours à venir, qu'il est heureux que d'autres personnes soient réceptives à la paisibilité du lieu.
Les jours suivants, lui qui me disait venir qu'une fois par semaine, je suis surprise de le voir tous les jours ici, je lui en fais la remarque et il me réponds qu'il a de bonnes raisons pour venir plus souvent. Je ne relève pas et me mets dans un coin du jardin pour bouquiner. Il rentre dans la maison et ressort en short, le soleil chauffant de plus en plus à l'approche de l'été c'est une tenue plus qu'adéquate pour jardiner... Adéquate, jusqu'à ce que je remarque qu'il ne semble rien porter en dessous au vue du balancement dans son bermuda, que je reluque du coin de l'oeil.
"Maud, viens voir ces fleurs!", je me lève, le rejoins et je m'accroupis pour me mettre à son niveau, mon regard est immédiatement happé par sa queue que je vois pointer au milieu de son ample short. Je m'empourpre, gênée qu'il m'ait surprise, je bégaye et il me demande si j'ai vu un fantôme. Je me redresse, bredouille quelques mots comme quoi je dois aller préparer une réunion et m'en retourne vers chez moi.
Le soir dans mon lit, je n'arrive pas à trouver le sommeil, je me sens excitée par cette situation qui à la fois me dérange et me fais mouiller énormément. Je me caresse jusqu'à la jouissance et m'endors en pensant à cette belle queue que j'ai aperçue cette après midi.
Le lendemain, prenant mon courage à deux mains, je décide de porter mon legging de running sans culotte, du coup je sais qu'il moule mon cul bien rond et je fais en sorte de bien le rentrer dans ma raie afin de le chauffer à mon tour, un débardeur sans soutien gorge pour que mes tétons pointent bien à travers le tissus. Et je retourne là bas, espérant le trouver. Je m'assoie sous l'arbre où j'ai l'habitude d'aller lire, et je vois sa voiture arriver au coin du chemin. Je me sens déjà trempée à travers mon legging. Il descend de son véhicule, me salue, je me lève et lui demande de venir car je veux lui poser une question sur ses plantes, je passe devant lui pour l'entrainer au fond du jardin, afin de lui permettre de reluquer mon cul galbé dans ma tenue de sport. A mon tour de le faire bégayer et le rendre tout rouge. Il s'excuse de devoir prendre congé de moi pour pouvoir se mettre en tenue de jardinage. Il rentre donc dans la maison pour se changer.
Au bout de quelques minutes, je le vois apparaitre dans l'encadrement de la porte, il m'appelle et me demande si je veux venir visiter la maison, car "tu connais très bien les jardins mais pas l'intérieur". Je me lève et je sais qu'il ne tient qu'à moi de faire basculer cette relation "amicale" vers quelque chose de plus sexuel. Et j'avoue que ma séance de masturbation de la veille ne m'a pas apaisée, bien au contraire et me motive encore plus pour aller plus loin.
M'approchant de la porte, je vois qu'il a revêtu son short et qu'il n'a toujours rien en dessous, et qu'en plus il bande si fort, que mes yeux ne peuvent quitter sa protubérance. Je m'approche de lui qui reste dans l'encadrement de la porte, je suis obligée de frôler sa queue pour passer, et ça me déclenche une vague intense de désir dans mon corps. Mes tétons sont dressés si fièrement, et laissent deviner le piercing que je porte sur l'un d'entre eux. Je pense qu'il le devine car sa main touche légèrement mon sein droit où il se trouve, en voulant allumer la lumière de la pièce.
Il me fait visiter la maison qui se constitue d'une pièce principale et d'une autre pièce où se trouve la chambre, la visite est rapide du fait de la taille de cette demeure. Il ne tient qu'à moi à passer la vitesse supérieure, sinon on va retourner dehors et vaquer chacun à nos activités respectives. Au moment où je me dis qu'il n'a peut être pas le courage d'oser aller plus loin, je sens sa main se poser sur mon cul, l'autre sur mon sein droit et il me plaque contre lui. Mon dos contre son torse, je sens sa queue durcir entre la raie de mon cul, d'un mouvement ferme il baisse mon débardeur pour faire apparaitre mes seins. Il malaxe mon téton droit et me murmure qu'il n'a pas baisé depuis longtemps et que je l'excite intensément depuis le premier jour où on s'est rencontré. Vu la grosseur de sa queue dans mon dos, je me dis qu'une belle partie de baise m'attends. Je gémis comme une chienne en chaleur, il baisse mon legging sur les genoux et branle sa queue contre mon cul, me fessant par moment avec. Je ne tiens plus, je n'ai qu'une envie c'est qu'il me baise fort à même le carrelage.
Je lui retire entièrement son short et m'accroupis pour recevoir sa queue bien au fond de ma gorge, il att rappe ma tête et me baise la bouche, il est à deux doigts de venir mais s'interrompt. "Maud, tu vas me faire gouter ta chatte, mets toi à quatre pattes sur la table du salon", je finis de retirer mon pantalon de sport et m'exécute. Il glisse d'abord un doigt puis deux, s'étonne de me voir autant mouillée, je lui confesse m'être longuement touchée en pensant à lui la veille, et ça a pour effet de l'exciter bien plus encore. Il commence à me lécher goulument, alternant avec morsure de mon cul, et doigtage de mon minou qui est tellement mouillé que, je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. Il finit par caresser mon clito qui est si gonflé d'excitation que je viens dans un râle de jouissance incontrôlable. Je m'affale sur la table et le sens passer près de moi, il va dans la chambre je l'entends fouiller dans une commode, mettre une capote et revenir vers moi.
Il s'assoit dans le fauteuil face à la table, m'att rappe par la taille moi qui suis toujours en train de tenter de reprendre connaissance, me fais asseoir sur lui, et glisse sa grosse queue en moi. Je la sens me remplir entièrement, je vais et je viens sur ce sexe si excitant, il att rappe une poignée de mes cheveux me forçant à me cambrer pour me posséder encore plus profond. Je ne retiens pas mes cris et mes râles, cela faisait bien longtemps qu'on ne m'avait pas si bien baisée. "Tu es une belle salope Maud, tu caches bien ton jeu sous ton apparence de femme studieuse", ses mots m'excitent tant, je veux plus de lui et l'entendre encore et encore me traiter de salope.
Il se retire et me demande de venir à califourchon sur lui, afin d'apprécier mes seins bien lourds qui se balancent au rythme de nos coups de bassin, il les prends dans ses mains et mords mes tétons, je saute sur sa queue sans m'arrêter, chaque coup au fond de mes entrailles m'arrachent un gémissement, je le sens durcir de plus en plus prêt à jouir. Mais il se retire, souhaitant me prendre en levrette car "ton cul me fait bander dur dès le premier jour où je l'ai vu", je me mets à nouveau à quatre pattes, il vient se coller contre moi et rentre d'un coup en moi en m'attrapant les hanches, il crache sur mon petit trou et glisse ses deux pouces dedans, c'est tellement bon de se sentir remplie par ces deux orifices, ses coups de buttoir s'intensifient et ses couilles tapant contre ma chatte me font à nouveau atteindre le Nirvana dans cet Eden et il ne tarde pas à jouir lui aussi quelques secondes après moi.
On s'effondre sur le carrelage dans les bras l'un de l'autre. Nous reprenons peu à peu connaissance et se rhabillons. Nous sortons dans le jardin ensemble, je l'embrasse sur la joue et le remercie d'avoir apporté de l'intérêt à mes jours de confinement, et lui dit à demain, ce à quoi il me réponde "Avec grand plaisir et toujours sans sous vêtements".
Me voilà donc partie en rase campagne, sans trop de voisins autour, mes journées sont partagées entre cours en distanciel, et ballade dans la nature avec mon chien.
Durant ces longues randonnées, je ne rencontre personne, les alentours sont déjà vides de monde, et le peu de gens résidant dans ce coin, vivent dans la crainte du virus. Néanmoins, tous les jours je passe devant une petite bastide avec un splendide jardin, très bien entretenu et sans clôture. Je me prends à rêver dès que je vois les premières pierres de la bâtisse et je flâne dans ce jardin à regarder et humer les fleurs, à m'asseoir sous les arbres pendant que mon chien se baigne dans le ruisseau jouxtant ce coin de paradis.
A mesure que les jours passent, je ne croise jamais personne dans cet endroit, la maison et ses volets en bois sont toujours fermés, jusqu'au jour où passant devant la maison, il me semble voir du mouvement derrière la haie, je me glisse entre les herbes hautes et je croise un homme d'une cinquantaine d'années. Gênée de cette rencontre sur un domaine privé, je lui demande de pardonner ma curiosité. Il me sourit et vient à ma rencontre, je le félicite de ce jardin si luxuriant et me réponds qu'il fait sa fierté, et que c'est son échappatoire face à une épouse psychorigide. Je lui avoue que voilà plusieurs fois que je viens dans son Eden pour me poser et lire sur sa pelouse sous les arbres, profitant du printemps qui se réveille. Il me dit que je suis la bienvenue pour les jours à venir, qu'il est heureux que d'autres personnes soient réceptives à la paisibilité du lieu.
Les jours suivants, lui qui me disait venir qu'une fois par semaine, je suis surprise de le voir tous les jours ici, je lui en fais la remarque et il me réponds qu'il a de bonnes raisons pour venir plus souvent. Je ne relève pas et me mets dans un coin du jardin pour bouquiner. Il rentre dans la maison et ressort en short, le soleil chauffant de plus en plus à l'approche de l'été c'est une tenue plus qu'adéquate pour jardiner... Adéquate, jusqu'à ce que je remarque qu'il ne semble rien porter en dessous au vue du balancement dans son bermuda, que je reluque du coin de l'oeil.
"Maud, viens voir ces fleurs!", je me lève, le rejoins et je m'accroupis pour me mettre à son niveau, mon regard est immédiatement happé par sa queue que je vois pointer au milieu de son ample short. Je m'empourpre, gênée qu'il m'ait surprise, je bégaye et il me demande si j'ai vu un fantôme. Je me redresse, bredouille quelques mots comme quoi je dois aller préparer une réunion et m'en retourne vers chez moi.
Le soir dans mon lit, je n'arrive pas à trouver le sommeil, je me sens excitée par cette situation qui à la fois me dérange et me fais mouiller énormément. Je me caresse jusqu'à la jouissance et m'endors en pensant à cette belle queue que j'ai aperçue cette après midi.
Le lendemain, prenant mon courage à deux mains, je décide de porter mon legging de running sans culotte, du coup je sais qu'il moule mon cul bien rond et je fais en sorte de bien le rentrer dans ma raie afin de le chauffer à mon tour, un débardeur sans soutien gorge pour que mes tétons pointent bien à travers le tissus. Et je retourne là bas, espérant le trouver. Je m'assoie sous l'arbre où j'ai l'habitude d'aller lire, et je vois sa voiture arriver au coin du chemin. Je me sens déjà trempée à travers mon legging. Il descend de son véhicule, me salue, je me lève et lui demande de venir car je veux lui poser une question sur ses plantes, je passe devant lui pour l'entrainer au fond du jardin, afin de lui permettre de reluquer mon cul galbé dans ma tenue de sport. A mon tour de le faire bégayer et le rendre tout rouge. Il s'excuse de devoir prendre congé de moi pour pouvoir se mettre en tenue de jardinage. Il rentre donc dans la maison pour se changer.
Au bout de quelques minutes, je le vois apparaitre dans l'encadrement de la porte, il m'appelle et me demande si je veux venir visiter la maison, car "tu connais très bien les jardins mais pas l'intérieur". Je me lève et je sais qu'il ne tient qu'à moi de faire basculer cette relation "amicale" vers quelque chose de plus sexuel. Et j'avoue que ma séance de masturbation de la veille ne m'a pas apaisée, bien au contraire et me motive encore plus pour aller plus loin.
M'approchant de la porte, je vois qu'il a revêtu son short et qu'il n'a toujours rien en dessous, et qu'en plus il bande si fort, que mes yeux ne peuvent quitter sa protubérance. Je m'approche de lui qui reste dans l'encadrement de la porte, je suis obligée de frôler sa queue pour passer, et ça me déclenche une vague intense de désir dans mon corps. Mes tétons sont dressés si fièrement, et laissent deviner le piercing que je porte sur l'un d'entre eux. Je pense qu'il le devine car sa main touche légèrement mon sein droit où il se trouve, en voulant allumer la lumière de la pièce.
Il me fait visiter la maison qui se constitue d'une pièce principale et d'une autre pièce où se trouve la chambre, la visite est rapide du fait de la taille de cette demeure. Il ne tient qu'à moi à passer la vitesse supérieure, sinon on va retourner dehors et vaquer chacun à nos activités respectives. Au moment où je me dis qu'il n'a peut être pas le courage d'oser aller plus loin, je sens sa main se poser sur mon cul, l'autre sur mon sein droit et il me plaque contre lui. Mon dos contre son torse, je sens sa queue durcir entre la raie de mon cul, d'un mouvement ferme il baisse mon débardeur pour faire apparaitre mes seins. Il malaxe mon téton droit et me murmure qu'il n'a pas baisé depuis longtemps et que je l'excite intensément depuis le premier jour où on s'est rencontré. Vu la grosseur de sa queue dans mon dos, je me dis qu'une belle partie de baise m'attends. Je gémis comme une chienne en chaleur, il baisse mon legging sur les genoux et branle sa queue contre mon cul, me fessant par moment avec. Je ne tiens plus, je n'ai qu'une envie c'est qu'il me baise fort à même le carrelage.
Je lui retire entièrement son short et m'accroupis pour recevoir sa queue bien au fond de ma gorge, il att rappe ma tête et me baise la bouche, il est à deux doigts de venir mais s'interrompt. "Maud, tu vas me faire gouter ta chatte, mets toi à quatre pattes sur la table du salon", je finis de retirer mon pantalon de sport et m'exécute. Il glisse d'abord un doigt puis deux, s'étonne de me voir autant mouillée, je lui confesse m'être longuement touchée en pensant à lui la veille, et ça a pour effet de l'exciter bien plus encore. Il commence à me lécher goulument, alternant avec morsure de mon cul, et doigtage de mon minou qui est tellement mouillé que, je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. Il finit par caresser mon clito qui est si gonflé d'excitation que je viens dans un râle de jouissance incontrôlable. Je m'affale sur la table et le sens passer près de moi, il va dans la chambre je l'entends fouiller dans une commode, mettre une capote et revenir vers moi.
Il s'assoit dans le fauteuil face à la table, m'att rappe par la taille moi qui suis toujours en train de tenter de reprendre connaissance, me fais asseoir sur lui, et glisse sa grosse queue en moi. Je la sens me remplir entièrement, je vais et je viens sur ce sexe si excitant, il att rappe une poignée de mes cheveux me forçant à me cambrer pour me posséder encore plus profond. Je ne retiens pas mes cris et mes râles, cela faisait bien longtemps qu'on ne m'avait pas si bien baisée. "Tu es une belle salope Maud, tu caches bien ton jeu sous ton apparence de femme studieuse", ses mots m'excitent tant, je veux plus de lui et l'entendre encore et encore me traiter de salope.
Il se retire et me demande de venir à califourchon sur lui, afin d'apprécier mes seins bien lourds qui se balancent au rythme de nos coups de bassin, il les prends dans ses mains et mords mes tétons, je saute sur sa queue sans m'arrêter, chaque coup au fond de mes entrailles m'arrachent un gémissement, je le sens durcir de plus en plus prêt à jouir. Mais il se retire, souhaitant me prendre en levrette car "ton cul me fait bander dur dès le premier jour où je l'ai vu", je me mets à nouveau à quatre pattes, il vient se coller contre moi et rentre d'un coup en moi en m'attrapant les hanches, il crache sur mon petit trou et glisse ses deux pouces dedans, c'est tellement bon de se sentir remplie par ces deux orifices, ses coups de buttoir s'intensifient et ses couilles tapant contre ma chatte me font à nouveau atteindre le Nirvana dans cet Eden et il ne tarde pas à jouir lui aussi quelques secondes après moi.
On s'effondre sur le carrelage dans les bras l'un de l'autre. Nous reprenons peu à peu connaissance et se rhabillons. Nous sortons dans le jardin ensemble, je l'embrasse sur la joue et le remercie d'avoir apporté de l'intérêt à mes jours de confinement, et lui dit à demain, ce à quoi il me réponde "Avec grand plaisir et toujours sans sous vêtements".
4 years ago
au plaisir dans lire d'autre. bises tendres et affectueuses