La mère est une catin, la fille une pute

La mère est une catin, la fille une pute
En rentrant à l’improviste à la maison, la mère de Léa découvre dans le salon plusieurs paires de chaussures d’homme, mais aucune trace de sa fille (LA BELLE SALOPE DE LÉA ) . Etrange, tout ça ! Pour en avoir le cœur net, elle prend l’escalier qui mène vers les chambres à l’étage. On entend déjà les échos de soupirs qui ne laissent aucun doute sur ce qu’il se passe là-haut. Mais la mère est loin de se douter de ce qu’elle va découvrir. En effet, cachée dans l’ombre de la cage d’escalier, elle peut épier sa propre fille en train de baiser avec quatre gaillards bien membrés : un en levrette dans la chatte, un second dans la bouche, un troisième qu’elle branle d’une main, un dernier qui lui caresse les seins. La mère ne peut résister à la beauté et à la lubricité de ce spectacle et, la main dans la culotte, elle se branle debout dans l’escalier. Ses soupirs vont trahir sa présence. Amenée sans ménagement dans la chambre, elle se retrouve sur le lit, allongée aux côtés de sa FILLE LÉA . Après un court moment de panique, les deux femmes se laissent aller à leurs désirs. Il faut dire que vêtue d’une toute petite robe panthère et de bas noirs, la mère a tout d’une vraie salope. La fille ne se fera pas trop prier pour lécher la grosse chatte poilus de sa mère, et la mère sucera volontiers les bites qui se présentent à ses lèvres de vielle chienne en rut. À grands coups de reins, la mère encourage sa fille à lui bouffer la moule ; à grands coups de bite, la fille se fait ramoner la chatte. Avec quatre bites bien raides, deux chattes humides et deux trous du cul offerts, la soirée promet d’être longue…