Ma collègue
Cela fait une heure que je suis arrivé. J’ai fait le tour pour dire bonjour à mes collègues. Je le fais juste par politesse car toutes ces grognasses me sortent des yeux. Toutes aussi connes les unes que les autres, il y en a juste une ou deux qui sortent du lot et heureusement. J’ai croisé Hanane en allant voir si elle a besoin de passer des opérations. Elle est un peu folle et complètement nympho mais j’ai bien discuté avec elle. Elle est un peu moins conne que les autres. Ma préférée de toutes, c’est Hanaa. J’ai hâte qu’elle arrive. Nous avons à peu près le même âge. Elle est célibataire. Je ne comprends pas pourquoi. Elle est super sympa et elle a un physique agréable à regarder.
Ce jour là, elle portait une petite robe d’été légere dévoilant sa poitrine généreuse et ses longues jambes. Depuis ce jour, dès que je la regarde, je repense à cette scène : elle s’était avancée vers moi tout naturellement pour me faire la bise. Mon regard s’était posé sur ses seins serrés et remontés par son soutien-gorge noir.
– Ça va Anass???, m’avait-elle dit comme à son habitude.
Je lui avais répondu oui en essayant de la regarder dans les yeux. Notre chef était arrivé et nous avait interpelé. Mais quel con lui aussi!!! Elle s’était retournée pour le saluer. Mes yeux s’étaient posés sur son fessier rebondi. Putain!!! je lui glisserais bien mon saucisson entre les cuisses. On ne serait pas les premiers à s’envoyer en l’air dans la salle d'archive. Je crois qu’une fois, à cette salle, j’ai croisé Hanane et le chef, elle s’essuyant le coin des lèvres et lui rabaissant rapidement son pull. J’ai demandé à Ahlam ce qu’elle en pense puisque c’est sa collègue. Elle aussi en est sûre : chaque jour Hanane passe sous le bureau. Les autres filles du service auraient bien besoin d’un petit coup, ça les détendrait un peu.
Le lendemain matin, je rentre dans le plateau et je ne vois pas Ahlam. Étrange, elle n’est toujours pas arrivée. Il est pourtant 8h45. Elle estrarement en retard. Je me dirige vers la salle d'archive pour prendre des documents. Moncœur fait un bond : elle est là Ahlam, à quatre pattes en train de de ramasser des feuilles éparpillées. Je n’ose lui parler. Le spectacle qu’elle m’offre dans cette position me met dans tous mes états. Je sens que si je reste ainsi mon pantalon ne va pas tenir. J’aperçois le haut du tatouage qu’elle a dans le haut du dos. Je serais curieux de le voir mais cela l’obligerait à retirer sa chemise. Rien que d’y penser, je me sens de plus en plus à l’étroit. Je recule de deux pas et l’interpelle pour lui annoncer mon arrivée. Elle tourne la tête et me sourit.
– Tu me donnes un coup de main, me dit-elle, un sourire malicieux au coin des lèvres...
Je ramasse trois, quatre feuilles et me relève. Elle est toujours à quatre pattes devant moi. Elle ramasse les dernières qu’elle me tend. Elle avance vers moi sur les genoux. Je la regarde surpris. Mais que fait-elle? Je reste immobile. Elle pose sa main sur la bosse de mon pantalon qui me serre de plus belle. Elle ouvre le bouton et descend la braguette. J’aurais presque envie de pousser un soupir de soulagement. Elle humidifie ses lèvres du bout de la langue.
A suivre.
Ce jour là, elle portait une petite robe d’été légere dévoilant sa poitrine généreuse et ses longues jambes. Depuis ce jour, dès que je la regarde, je repense à cette scène : elle s’était avancée vers moi tout naturellement pour me faire la bise. Mon regard s’était posé sur ses seins serrés et remontés par son soutien-gorge noir.
– Ça va Anass???, m’avait-elle dit comme à son habitude.
Je lui avais répondu oui en essayant de la regarder dans les yeux. Notre chef était arrivé et nous avait interpelé. Mais quel con lui aussi!!! Elle s’était retournée pour le saluer. Mes yeux s’étaient posés sur son fessier rebondi. Putain!!! je lui glisserais bien mon saucisson entre les cuisses. On ne serait pas les premiers à s’envoyer en l’air dans la salle d'archive. Je crois qu’une fois, à cette salle, j’ai croisé Hanane et le chef, elle s’essuyant le coin des lèvres et lui rabaissant rapidement son pull. J’ai demandé à Ahlam ce qu’elle en pense puisque c’est sa collègue. Elle aussi en est sûre : chaque jour Hanane passe sous le bureau. Les autres filles du service auraient bien besoin d’un petit coup, ça les détendrait un peu.
Le lendemain matin, je rentre dans le plateau et je ne vois pas Ahlam. Étrange, elle n’est toujours pas arrivée. Il est pourtant 8h45. Elle estrarement en retard. Je me dirige vers la salle d'archive pour prendre des documents. Moncœur fait un bond : elle est là Ahlam, à quatre pattes en train de de ramasser des feuilles éparpillées. Je n’ose lui parler. Le spectacle qu’elle m’offre dans cette position me met dans tous mes états. Je sens que si je reste ainsi mon pantalon ne va pas tenir. J’aperçois le haut du tatouage qu’elle a dans le haut du dos. Je serais curieux de le voir mais cela l’obligerait à retirer sa chemise. Rien que d’y penser, je me sens de plus en plus à l’étroit. Je recule de deux pas et l’interpelle pour lui annoncer mon arrivée. Elle tourne la tête et me sourit.
– Tu me donnes un coup de main, me dit-elle, un sourire malicieux au coin des lèvres...
Je ramasse trois, quatre feuilles et me relève. Elle est toujours à quatre pattes devant moi. Elle ramasse les dernières qu’elle me tend. Elle avance vers moi sur les genoux. Je la regarde surpris. Mais que fait-elle? Je reste immobile. Elle pose sa main sur la bosse de mon pantalon qui me serre de plus belle. Elle ouvre le bouton et descend la braguette. J’aurais presque envie de pousser un soupir de soulagement. Elle humidifie ses lèvres du bout de la langue.
A suivre.
4 years ago