Baise rapide d'une auto-stopeuse nympho
Sarah avait décidé de se rendre à Saint Tropez.
Elle se sentait d'attaque pour marcher jusque là-bas sans trop d'épuisement ou pour s'offrir un petit plaisir épuisant.
Tandis qu'elle balançait son fessier de gauche à droite et de droite à gauche en levant légèrement son pouce à chaque passage de véhicule, une voiture passa, coup de frein brutal, changement de vitesse qui craque et ronronnement nerveux de marche arrière.
La Mercedes arrive près d'elle et le conducteur lui ouvre la portière.
La jeune femme entame la conversation:
-Je m'appelle Sarah, vous êtes occupé cet après midi?
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Son sourire est complice, accueillant, elle ne peut être plus précise dans ses intentions...
Elle s'affirme un peu plus en s'approchant de lui sa main sur sa cuisse droite.
Soudain, brusque coup de frein, il se jette sur elle en un long baiser mouillé emprisonnant sa langue entre ses lèvres. Ses mains avides et précises caressent ses cuisses.
Puis il décide de la sortir de la voiture et l'entraîne dans le champ qui longe l'arrêt d'urgence.
Elle sourit, amusée. Lui, toujours muet, se jette à nouveau sur elle et lui arrache sa robe, un bouton saute, puis deux.
Sarah entrouvre la bouche mais l'homme délaisse ses lèvres tendues. Violent et malhabile, il lui pétrit les seins, les mord, le cœur rapide, des gouttes de sueur perlant sur son front, il est enragé.
Tout son corps ruisselle et tremble, dégage une odeur forte mais néanmoins agréable.
La jeune femme le pousse pour sauver ses vêtements de sa fougue, elle garde sa petite culotte blanche, petit obstacle que l'homme devra vaincre.
L'homme est bientôt nu, masse brillante et odorante sans aucune animation dans le visage.
Sarah est prise par la taille, enlevées dans les airs.
La culotte de la jeune femme fut vite vaincue par la brusquerie de l'homme qui l'écarte d'un coup sec brutalement, violement, il la possède.
Cri de douleur, elle est épinglée comme un papillon, ses jambes dorées battent de l'air.
L'étreinte est brève, ponctuée d'un grognement sourd.
Elle est encore allongée, insatisfaite, irritée, furieuse et déçue qu'il est déjà debout à se rhabiller.
L'homme la dépose à Saint Tropez, le trajet demeurant silencieux.
Il arrête la voiture, descend, ouvre la porte à Sarah et tout en la saluant et la remerciant il lui met dans la main un billet de 20 euros et s'éloigne.
Adulte Magazine
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Elle se sentait d'attaque pour marcher jusque là-bas sans trop d'épuisement ou pour s'offrir un petit plaisir épuisant.
Tandis qu'elle balançait son fessier de gauche à droite et de droite à gauche en levant légèrement son pouce à chaque passage de véhicule, une voiture passa, coup de frein brutal, changement de vitesse qui craque et ronronnement nerveux de marche arrière.
La Mercedes arrive près d'elle et le conducteur lui ouvre la portière.
La jeune femme entame la conversation:
-Je m'appelle Sarah, vous êtes occupé cet après midi?
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Son sourire est complice, accueillant, elle ne peut être plus précise dans ses intentions...
Elle s'affirme un peu plus en s'approchant de lui sa main sur sa cuisse droite.
Soudain, brusque coup de frein, il se jette sur elle en un long baiser mouillé emprisonnant sa langue entre ses lèvres. Ses mains avides et précises caressent ses cuisses.
Puis il décide de la sortir de la voiture et l'entraîne dans le champ qui longe l'arrêt d'urgence.
Elle sourit, amusée. Lui, toujours muet, se jette à nouveau sur elle et lui arrache sa robe, un bouton saute, puis deux.
Sarah entrouvre la bouche mais l'homme délaisse ses lèvres tendues. Violent et malhabile, il lui pétrit les seins, les mord, le cœur rapide, des gouttes de sueur perlant sur son front, il est enragé.
Tout son corps ruisselle et tremble, dégage une odeur forte mais néanmoins agréable.
La jeune femme le pousse pour sauver ses vêtements de sa fougue, elle garde sa petite culotte blanche, petit obstacle que l'homme devra vaincre.
L'homme est bientôt nu, masse brillante et odorante sans aucune animation dans le visage.
Sarah est prise par la taille, enlevées dans les airs.
La culotte de la jeune femme fut vite vaincue par la brusquerie de l'homme qui l'écarte d'un coup sec brutalement, violement, il la possède.
Cri de douleur, elle est épinglée comme un papillon, ses jambes dorées battent de l'air.
L'étreinte est brève, ponctuée d'un grognement sourd.
Elle est encore allongée, insatisfaite, irritée, furieuse et déçue qu'il est déjà debout à se rhabiller.
L'homme la dépose à Saint Tropez, le trajet demeurant silencieux.
Il arrête la voiture, descend, ouvre la porte à Sarah et tout en la saluant et la remerciant il lui met dans la main un billet de 20 euros et s'éloigne.
Adulte Magazine
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4 years ago