D/S
D/s
La D/s est une sorte de jeu dans lequel chaque partie trouve son plaisir.
Comme pour un jeu, on aime participer, sâinvestir selon certaines rĂšgles.
Oui, il y a des rĂšgles, on ne joue pas au Monopoly avec les rĂšgles des Ăchecs.
On joue avec la rĂšgle, on se joue parfois de la rĂšgle, mais il y a quand mĂȘme
une rÚgle dont il faut respecter les grandes lignes. Si jamais, ça ne convient pas,
on quitte la table de jeu et on passe Ă autre chose.
Certains « MaĂźtres » utilisent lâargument de la D/s pour « baiser ». La D/s,
ce nâest pas forcĂ©ment le sexe. Oui, il peut y avoir du sexe, mais câest comme
la cerise sur le gĂąteau et câest si le soumis(e) le dĂ©sire. Un(e) soumis(e) nâa pas
vocation de dire « amen » Ă tout ce quâon lui propose. Elle reste un(e) homme,
femme, un ĂȘtre humain.
Comme pour le libertinage, il y a 2 maßtres-mots : plaisir et désir.
Tout le reste nâest que littĂ©rature.
Un(e) soumis(e) prend plaisir Ă se laisser dominer, Ă se laisser conduire vers dâautres horizons,
il, elle Ă©prouve au fond dâeux des frissons, ceux de lâinterdit, ceux de la frange,
de la frontiĂšre et ceux de plaisir quâil elle aura. Il, elle sâoffre totalement pour mieux recevoir.
Un bon MaĂźtre est celui qui fait dĂ©couvrir Ă son soumis(e) ce quâil(elle) nâose pas
toujours demander et quâil (elle) espĂšre secrĂštement, avec lâargument ultime quâil (elle) y a Ă©tĂ© « forcĂ©e »,
alors que, finalement, il(elle) ne demandait pas mieux.
Tout le problĂšme consiste Ă trouver lâaccord entre le soumis(e) et son MaĂźtre ou un MaĂźtresse.
Câest un jeu Ă©trange, dĂ©routant, mais un jeu qui procure un plaisir Ă la fois trouble et puissant.
Ceci est ma façon de voir, peut-ĂȘtre pas la vĂŽtre. Peu importe, du moment que chacun y trouve satisfaction.
La D/s est une sorte de jeu dans lequel chaque partie trouve son plaisir.
Comme pour un jeu, on aime participer, sâinvestir selon certaines rĂšgles.
Oui, il y a des rĂšgles, on ne joue pas au Monopoly avec les rĂšgles des Ăchecs.
On joue avec la rĂšgle, on se joue parfois de la rĂšgle, mais il y a quand mĂȘme
une rÚgle dont il faut respecter les grandes lignes. Si jamais, ça ne convient pas,
on quitte la table de jeu et on passe Ă autre chose.
Certains « MaĂźtres » utilisent lâargument de la D/s pour « baiser ». La D/s,
ce nâest pas forcĂ©ment le sexe. Oui, il peut y avoir du sexe, mais câest comme
la cerise sur le gĂąteau et câest si le soumis(e) le dĂ©sire. Un(e) soumis(e) nâa pas
vocation de dire « amen » Ă tout ce quâon lui propose. Elle reste un(e) homme,
femme, un ĂȘtre humain.
Comme pour le libertinage, il y a 2 maßtres-mots : plaisir et désir.
Tout le reste nâest que littĂ©rature.
Un(e) soumis(e) prend plaisir Ă se laisser dominer, Ă se laisser conduire vers dâautres horizons,
il, elle Ă©prouve au fond dâeux des frissons, ceux de lâinterdit, ceux de la frange,
de la frontiĂšre et ceux de plaisir quâil elle aura. Il, elle sâoffre totalement pour mieux recevoir.
Un bon MaĂźtre est celui qui fait dĂ©couvrir Ă son soumis(e) ce quâil(elle) nâose pas
toujours demander et quâil (elle) espĂšre secrĂštement, avec lâargument ultime quâil (elle) y a Ă©tĂ© « forcĂ©e »,
alors que, finalement, il(elle) ne demandait pas mieux.
Tout le problĂšme consiste Ă trouver lâaccord entre le soumis(e) et son MaĂźtre ou un MaĂźtresse.
Câest un jeu Ă©trange, dĂ©routant, mais un jeu qui procure un plaisir Ă la fois trouble et puissant.
Ceci est ma façon de voir, peut-ĂȘtre pas la vĂŽtre. Peu importe, du moment que chacun y trouve satisfaction.
4 years ago